Hauteville-la-Guichard
Hauteville-la-Guichard est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 477 habitants[Note 1].
Hauteville-la-Guichard | |
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Coutances |
Intercommunalité | Communauté de communes Coutances Mer et Bocage |
Maire Mandat |
Guy Fossard 2020-2026 |
Code postal | 50570 |
Code commune | 50232 |
Démographie | |
Population municipale |
477 hab. (2020 ) |
Densité | 40 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 07′ 35″ nord, 1° 18′ 07″ ouest |
Altitude | Min. 11 m Max. 111 m |
Superficie | 11,98 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Lô (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Agon-Coutainville |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Géographie
La commune de Hauteville-la-Guichard, se trouve dans le département de la Manche.
Depuis une cession de terrain en 1825 à la commune de Montcuit, la superficie de Hauteville-la-Guichard est réduite à 1 198 hectares 37 ares 8 centiares[1].
Le territoire regroupe de nombreux hameaux[2] : le Mont, le Château, la Maison Blanche.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[11] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[12] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[13].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 38 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,9 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[17].
Urbanisme
Typologie
Hauteville-la-Guichard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,7 %), terres arables (16,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées [Guillelmus de] Altavilla fin XIe siècle, Altavilla vers 1210[25], Altavilla la Guischart en 1236[26] puis romanes Auteville la Guichart vers 1280, Autheville la Guischart en 1416, Haulteville-la-Guichard en 1700, Hautteville-la-Guychard en 1787, Hauteville-le-Guichard en 1789, Haulteville-la-Guischard en 1793 et Hautteville-la-Guichard[27].
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », voire « village ». Le premier élément Haute- représente, d'après les formes anciennes, l'adjectif d'ancien français au féminin alte, halte « haute »[26], d'où le sens global de « domaine rural en hauteur, village en hauteur »[26]. Cela correspond à la réalité du terrain. En effet, si l’on se place à certains endroits de la commune, sur le Mont, par exemple, la vue embrasse une étendue considérable. En 1939, on pouvait ainsi y apercevoir treize clochers[27] des environs.
Le déterminant complémentaire la-Guichard n'apparaît que vers le XIIIe siècle selon les formes anciennes disponibles et se rapporterait à Robert « Guiscard »[28], l'un des enfants de Tancrède, qui naquit au lieu-dit la Cave en 1015[27]. Il est en effet, traditionnel de considérer Hauteville-la-Guichard comme le lieu d'origine de Robert Guiscard.
Cependant, il n'existe pas de preuves décisives car il y avait trois paroisses du nom de Hauteville dans le Cotentin, c'est-à -dire dans le diocèse de Coutances. En outre, selon le pouillé de 1280, le déterminant la-Guichard se rapporte plutôt à un certain Guichard de Montfort, alors patron de la paroisse ou à un prédécesseur homonyme[26]. Peut-être s'agit-il d'une famille d'origine bretonne (Montfort-sur-Meu, Ille-et-Vilaine, chef-lieu de canton), mais implantée dans la région (seigneurs du petit fief de Montfort à Heugueville-sur-Sienne dont le toponyme sera transplanté à Remilly-sur-Lozon par les Le Marquetel)[29]. On notera cependant que plusieurs autres personnages du Cotentin ont porté le surnom de Guischart (cart. Mbg, f° 149 ; cart. Hambye, f° 106), sans qu'on puisse déterminer s'il s'agit de parents dudit Robert Guiscard, mais aucun d'eux n'est localisé à Hauteville-la-Guichard[30]. Enfin, Guichard (anciennement Guischart) et non pas Guiscard (il s'agit d'un [ʃ] ch et non pas [k]), est un ancien nom de baptême d'origine germanique fréquent comme nom de famille (l'évêque Gohard de Nantes mort en 1224 est aussi nommé Guischart), alors que guiscard est un surnom dérivé en -ard de l'ancien français signifiant « ruse », d'où le sens de « roublard ».
En 1933, le conseil municipal de la commune demanda que la forme Guiscard soit substituée à celle actuelle de Guichard ce qui aurait donné Hautteville-la-Guiscard, sous-entendu : la patrie de Guiscard. Le Conseil d'État répondit que ce changement de nom n'était pas une nécessité et la commune s'inclina devant cette décision, sans comprendre qu'un sentiment de reconnaissance envers les fondateurs illustres de la commune doive céder à la raison administrative[27]. Ce qui à postériori, est justifié par l'histoire car Guichard n'a pas de rapport avec Guiscard, ni étymologiquement, ni historiquement (cf. ci-dessus).
Le gentilé est Hautevillais.
Beaucoup de hameaux portent le nom d'hôtel, « hôtel d'hôte », « habitation d'un hôte » ; au Moyen Âge, on désignait par « hôte » un paysan libre cultivant un tènement pour lequel il devait des rentes et des corvées : Hôtel-au-Noir, Hôtel-Godefroy, Hôtel-Caillard, Hôtel-André, Hôtel-ès-Bruns (en langue normande, « ès » signifie « aux »), Hôtel-Benoist, Hôtel-Batteur, Hôtel-Vincent, Hôtel-Dudouyt, Hôtel-Eude, anciennement Hôtel-Duquesnay, Hôtel-Cardonnel, l'Hôtel Durand, l'Hôtel Luce, l'Hôtel Girard, l'Hôtel Rauline, l'Hôtel André, l'Hôtel au Roux, l'Hôtel Girard, l'Hôtel Archer, l'Hôtel Quesnel, etc.
D'autres ont pris le suffixe -ière « lieu de, habitation de » : la Mottinière (de Mottin), la Formière, la Jaminière, les Guilberdières, la Cardonnière, la Hectière, la Verdurerie, la Pâquerie, l'Oiselière, Village de la Homérilière, la Marière, la Fauvisière, la Landrurie, Gouey, la Maillardière, la Louerie, la Dessoulière, la Vimondière, la Maugerie, le Bel, la Baffardière, la Heuzerie, D'autres ont pris le nom de la topographie ou du sol : le Mont, la Vallée, les Roches Breton, la Rivière, la Masure, la Lande Lapin, Château Vanloue, Moulin de Pipey, la Croûte, la Fosse, la Pannerie, le Bouillon, les Mesnils, la Bûcherie.
Histoire
Selon la légende Hauteville aurait été fondée par un Viking norvégien du nom de Hialtt qui s'installa en ce lieu au Xe siècle, ayant reçu des terres au partage de la Normandie effectué par Rollon, et lui donna le nom de *Hialttvilla[27] (forme non attestée, d'ailleurs Albert Dauzat revient sur cette explication en ne citant que la forme Altavilla dans son ouvrage sur les noms de lieux[31]). Il existe bien un Héauville (Heltvilla vers 1081) dans la Manche, dont le premier élément pourrait s'expliquer par l'anthroponyme anglo-scandinave Helte, qui est précisément la variante du nom de personne norrois Hjalti / Hialti[32]. Par ailleurs, il est attesté comme prénom sous la forme latinisée Helti (génitif de Heltus) au XIIe siècle dans le cartulaire de Saint-Lô (elemosina Helti de Melpha)[33]. Non loin de Héauville se trouvent deux autres Hauteville (à Surtainville 15 km et à Tollevast 20 km) qui, à tout prendre, constitueraient de meilleurs candidats que Hauteville-la-Guichard.
Au XIe siècle, Hauteville dépend de la seigneurie de Marigny jusqu'à son démembrement de la baronnie de Say[27].
Dans la première moitié du XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur du Hommet[34].
En 1461, Jean de Mautauban, baron de Marigny, achète le fief principal[27]. Des écrits attestent que la famille de Rohan (en 1498, 1518 et 1538) est en possession de la baronnie[27].
En 1575, Charles II de Rohan, duc de Montbazon, comte de Mautauban, prince de Guemenée, vend la baronnie à Henri de Silly avant de la racheter en 1582[27].
Au XVIIe siècle, suivant les règles en vigueur, la baronnie de Marigny devient un marquisat (il fallait posséder trois baronnies et trois châtellenies), Alexandre de Rohan en devient le premier marquis[27].
En 1609, un procès-verbal de la sergenterie de la Halle au Gascoing, indique que Hauteville-la-Guichard est divisée en cinq fiefs[27] :
- la grande seigneurie, appartenant au marquis de Marigny ;
- Vanloue, possédée par les héritiers de François de Glatigny puis, en 1706, par Jean Lejolly de Villiers, écuyer du Bouillon ;
- Louvel, appartenant au marquis de Dampierre, seigneur du Lorey à Cambernon ;
- Bellouze, appartenant au sieur du Lorey ;
- le Chastel, appartenant au sieur de Bellouze, relevant de la seigneurie de Marigny.
Le , le descendant de la famille de Rohan, Jules Hercule Meriadec de Rohan, vend le marquisat de Marigny à Marniere de Guer[35]. Le successeur de ce dernier, son neveu Hyacinthe Julien Anne de Marniere de Guer, en fut le dernier possesseur jusqu’à la Révolution française. Les biens des émigrés (nobles ayant fui la France) furent confisqués et vendus aux enchères, ainsi qu’une partie du mobilier de l’église, les cloches ayant été envoyées à la fonte pour en faire des canons. Après la Révolution, on trouve l’organisation territoriale que nous connaissons aujourd'hui[27].
Les sources font bien du diocèse de Coutances le berceau de la famille.
L'affaire criminelle Hamelin se déroule à Hauteville-la-Guichard et fut jugée par la cour d'assises de la Manche à Coutances, le [36].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[39].
Enseignement
L'école est intégrée au regroupement pédagogique intercommunal (trois sites) avec les communes voisines du Lorey et de Camprond.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].
En 2020, la commune comptait 477 habitants[Note 9], en augmentation de 1,71 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Hauteville-la-Guichard a compté jusqu'à 1 603 habitants en 1800.
Économie
Hauteville est une commune rurale. Elle abrite une quinzaine de fermes en production laitière, viande de porc, viande de poulet, viande de bœuf, culture de blé et de maïs. On y trouve une épicerie-bar-tabac, un salon de coiffure, un garage en VL, PL et machines agricoles. Quelques artisans : plombier, maçon, électricien, paysagiste, photographe (aérien).
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption (XIIIe, XIVe – XXe siècles). Elle abrite un autel de la Vierge et son retable (XIXe), une verrière et Chemin de croix commémoratif (XXe), les statues de sainte Barbe (XVIe), saint Célerin (XVIIIe) et saint Sébastien (XVIIe).
- Ferme-manoir du Bouillon (XVIe – XVIIe siècles).
- Ferme de la Rivière, du XVIIe siècle avec son pigeonnier.
- Ferme de la Maillardière (XVIe – XVIIe siècles).
- Musée Tancrède de Hauteville, ancien presbytère, et son jardin médiévale, qui narre l'histoire des Hauteville. Il abrite notamment une statue en marbre blanc de Robert Guiscard (1934) par Maxime Real del Sarte.
Activité et manifestations
Sports
- L'entente Le Lorey-Hauteville-Feugères fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[44].
- Centre équestre.
Personnalités liées à la commune
- Maison de Hauteville : Tancrède de Hauteville et ses fils Serlon de Hauteville, Guillaume Bras-de-Fer, Drogon de Hauteville, Onfroi de Hauteville, Godefroi de Hauteville, Robert Guiscard, Mauger de Hauteville, Guillaume de Hauteville et Roger de Hauteville, seigneurs normands du XIe siècle à l'origine du royaume de Sicile.
- Jean Héroard (1551 à Hauteville-la-Guichard - 1628), médecin et anatomiste, nommé par Henri IV, médecin du dauphin, futur Louis XIII.
Voir aussi
Bibliographie
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 242.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Résumé statistique de Hauteville-la-Guichard sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- Source 1939
- « Hauteville-la-Guichard » sur Géoportail..
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hauteville-la-Guichard et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, Picard, , 254 p. (ISBN 2-7084-0299-4), p. 133.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- Louise Flattet et Albert Dauzat, Hauteville-La-Guichard, le pays des Tancrède – Des origines à 1938, Éditions Eurocibles Collection « Inédits et Introuvables ».
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 143.
- Léonor de Mons, « « Les grands lignages seigneuriaux dans le bailliage de Cotentin au Moyen Âge » in La vie et l'administration d'une grande seigneurie au Moyen-Âge et à l’Époque moderne », Revue de la Manche, tome 55, fascicules 221-222,‎ 3e et 4e trimestre 2013, p. 26.
- Yves Nédélec, " Quand le déterminatif la Guichard est-il apparu dans le toponyme Hautteville-la-Guichard ?", 1974, 3 p.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 346a.
- Site de Nordic Names : nom de personne Helte (lire en anglais).
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 135.
- Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 188.
- Archives nationales, minutier central fonds LXVI, liasse 533
- Jean-François Miniac, Les Nouvelles Affaires criminelles de la Manche, de Borée, avril 2012.
- La liste est établie depuis la Révolution française, mais durant les époques troubles (Conventions, Premier Empire…), les royalistes ont été représentés par Léonord Robert d'Anjou, chevalier de Saint-Louis, officier de la Légion d'honneur, nommé par le préfet.
- « Guy Fossard élu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2020 : « Municipales à Hauteville-la-Guichard. À défaut de candidat, Guy Fossard est réélu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ent. Le Lorey-Hauteville-Feugères », sur Site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).