Feugères
Feugères est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 338 habitants[Note 1].
Feugères | |
Le pressoir et l'église Saint-Pierre. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Coutances |
Intercommunalité | Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche |
Maire Mandat |
Nicolas Jeanson 2020-2026 |
Code postal | 50190 |
Code commune | 50181 |
Démographie | |
Population municipale |
338 hab. (2020 ) |
Densité | 41 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 09′ 06″ nord, 1° 19′ 09″ ouest |
Altitude | Min. 4 m Max. 112 m |
Superficie | 8,31 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Agon-Coutainville |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | feugeres.fr |
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-Hébert », sur la commune de Pont-Hébert, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 972,3 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Feugères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [14] - [15] - [16].
La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la[base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (33,8 %), terres arables (7,6 %), zones urbanisées (3,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Filgeriae au XIIe siècle, Feugeriis en 1280[21].
Pluriel de l'oïl feugiére, feugére (« fougére »)[21].
Toponyme médiéval précoce (étant donné l'absence d'article défini) évoquant une végétation caractéristique du lieu. Feugères est en effet située dans la vallée humide d'un des ruisseaux qui forment la Vanloue sur le territoire de la commune contiguë de l'ancienne commune de Lozon traversée par la rivière le Lozon.
Histoire
En 1796, des chouans de la région se réunirent à Lastelle et dressèrent une liste de personnalités à abattre. Tombèrent sous leurs balles, deux républicains de Feugères[22].
Les Davy du Perron
Le premier membre de la famille Davy du Perron qui réside avec certitude au château du Bois, est Pierre-Jean Davy, écuyer, sieur du Bois, La Champagne, Rougefort et Muneville, né vers 1539, décédé le [23]. Mais certains de ses ancêtres ont déjà probablement habité Feugères. En effet, comme l'écrit Hubert Lamant, « la caractéristique de la famille Davy du Perron est d'être incroyablement embrouillée. Peu de familles se sont autant divisé leurs terres. Les titres de fiefs sont portés par plusieurs rameaux à la fois, sans doute par suite de la division de ces fiefs qu'on regroupait ensuite ; ainsi en est-il du Bois, de Virville, du Perron. Le Cardinal porte le nom de ce dernier fief sans en avoir eu la seigneurie qui était possédée à ce moment par son cousin Jean Davy, sieur de la Champagne ».
Les fiefs et les titres s'échangent, se dispersent et se regroupent au gré des événements, qu'ils soient heureux ou tragiques : le frère aîné de Pierre-Jean, sieur du Bois, Nicolas Davy, écuyer, sieur de Virville, du Bois (également), puis d'Angoville et Saint-Malo-de-la-lande, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin « avait 25 ou 26 ans lorsqu'il obtint en , des lettres de grâce d'un homicide qu'il avait fait le (…). Il avait plongé sa dague dans le corps d'un contradicteur au cours d'une discussion relative à un héritage (sans doute avec la branche bâtarde), mais il avait invoqué l'excuse de la provocation et s'était prétendu en état de légitime défense, ce qu'apparemment, le roi avait admis »[24]. Mais les questions patrimoniales et féodales se règlent, la plupart du temps, de manière beaucoup moins violente, si l'on se fie à l'ascendance de Jean-Baptiste-Jacques Davy de Boisroger (arrière-petit-fils de Pierre-Jean), sieur de Feugères, du Bois et Saint-Hilaire, décédé à Feugères le : ses grands-parents paternels, Jean Davy et Jeanne Davy de Boispinel, sont tous deux issus de la branche cadette de la famille (de Virville), tandis que sa grand-mère maternelle, Marie Geneviève Davy du Perron, est la propre sœur du Cardinal et l'héritière de la branche aînée (du Perron). Avant de se retrouver ainsi au XVIIe siècle, à l'occasion de cet heureux mariage, les deux branches s'étaient séparées au début du XVe siècle dans les personnes de Jean, sieur du Perron, et Simon, sieur de Virville, l'un et l'autre fils de Jean, premier ancêtre connu de la famille.
Déjà, à l'extrême fin du XIVe siècle, le trisaïeul de Pierre-Jean, Jean Davy, est dit « sieur du Perron, Virville et du Bois ». Jean, "premier ancêtre certain, qui fit la fortune de la famille, apparaît dans des chartes en 1391, 1393, 1394 et 1403, sans qualification de « noble » ou « d'écuyer », mais comme bailli de monseigneur le duc d'Orléans en ses terres de Normandie (…). Il est désigné, en 1399, comme « sieur du Perron et Virville », puis des fiefs de Guéhébert et du Bois, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin. Il épousa Chardine Le Petiot (Le petit) et décéda le (…). D'eux sont nés : Jean Davy, sieur du Perron, Nicolas Davy, chanoine de Coutances et Bayeux, Marthe et Simon Davy, chef de la branche cadette de Virville et Boisroger."[25]
Simon Davy, sieur de Virville et du Bois, bisaïeul de Pierre-Jean Davy, épouse en 1424 Annette d'Anneville ; leur fils, Jean Davy, écuyer, sieur de Virville, du Bois et Saint-Hilaire-Petitville, licencié ès arts, conseiller du roi, bailli de Périers en 1465, 1482 et 1483 épouse Jeanne de Montaigu. Ils ont cinq enfants : Regnault, qui devient sieur de Virville ; Pierre, sieur de Thosville et de Languerie, bailli de Saint-Sauveur-Lendelin ; Jeanne ; Simon, prêtre, curé de Beuzeville et Jacques, écuyer, sieur de Boispinel, Boisrivet et Saint-Hilaire.
L'aîné de ces cinq enfants, Regnault, père de Pierre-Jean, a probablement résidé au château du Bois puisqu'il est dit « sieur du Bois », avant de devenir « sieur de Virville », par échange avec son cousin Pierre Davy, écuyer, sieur de Saint-Malo-de-la-Lande et du Homméel vers 1550 ; de l'union de Regnault avec Françoise du Mesnildot naissent quatre enfants - l'aîné, Nicolas, qui devient sieur de Virville, Pierre-Jean, donc, qui demeure à Feugères, Charles et Françoise - mais il a également un fils illégitime avec Gillette Bretel : Pierre Davy, sieur de la Monnerie, qui obtient, le , des lettres de légitimation sans anoblissement (on peut supposer que c'est cette dernière naissance qui est à l'origine de l'homicide du ).
Pierre-Jean du Perron épouse, vers 1558, Marthe du Bouillon. Ils ont six enfants, dont l'aîné, Jean, écuyer, est sieur de Feugères, du Bois, Montmartin, Boisrivet et Saint-Hilaire-Petitville. Il est pourvu, le , de la charge de bailli de Saint-Sauveur-Lendelin, qu'il garde jusqu'en 1597, et épouse, en 1585, Jeanne Davy de Boispinel[25]. Leur fils aîné, Jacques-Pierre Davy, né vers 1604, décédé à Saint-Aubin en 1661, écuyer, sieur de Mary et patron de Feugères et Saint-Hilaire, épouse, en 1628, sa cousine, Ursine de la Rivière, fille de Jean, conseiller du roi au siège présidial du Cotentin et premier médecin d'Henri IV, et de Marie Davy du Perron, sœur du Cardinal et poète Jacques Davy du Perron. De cette union naît, vers 1635, Jean-Baptiste-Jacques, sieur de Feugères, du Bois et Saint-Hilaire, bailli de Saint-Sauveur, qui épouse, en 1656, Anne Clérel de Tocqueville.
Jean-Baptiste-Jacques Davy et Anne Clérel de Tocqueville ont un fils : Jacques-Ursin, sieur du Bois, Saint-Hilaire, Quettreville et patron de Feugères, mais celui-ci meurt tôt, avant 1666, et ses propres fils, François et Jacques décèdent tous deux sans postérité (l'aîné, François, est décédé, à Feugères, le même jour que son grand-père Jean-Baptiste-Jacques : le ).
Ce sont donc les enfants de la sœur de Jacques-Ursin, Joséphine, dame du Bois et de Quettreville, qui hérite des fiefs familiaux. Celle-ci avait épousé Pierre Le Trésor, seigneur de la Bazière (1649-1689).
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[32].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2020, la commune comptait 338 habitants[Note 8], en diminution de 2,59 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
La commune se situe dans la zone géographique des appellations d'origine protégée (AOP) Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny[37].
Lieux et monuments
- Manoir du Bois édifice des XVIe – XIXe siècles inscrit au titre des monuments historiques par décret du [38], avec une double porterie. Jacques Davy (XVIe siècle), chevalier et seigneur du Bois à Feugères, obtiendra en 1538, par lettre de François Ier, l'office de conseiller chambellan du roi et grand bailli du Cotentin. En 1559, le parlement de Rouen le priva de l'office de bailli, qu'il tenta de transférer, sans succès, à son fils Adrien Davy[39].
- Château ou maison de Feugères (XVIIIe siècle).
- Château du Pont-samson ou le Campgrain (XVIe – XIXe siècles).
- Église Saint-Pierre (XIIe, XIXe – XXe siècles). Elle abrite un maître-autel du XIXe, une Vierge de la Pitié du XVIIIe, les statues de saint Jacques le Majeur du XVIIIe, de saint Nicolas du XVIIe, et une verrière (XXe) de Mauméjean.
- Chapelle Notre-Dame de l'Huis-Ouvert avec à l'intérieur une statue Vierge à l'Enfant du XVIIe.
- La roche branlante. Selon une légende, tout jeune homme qui parvenait à la remuer était bon à marier dans l'année ! Depuis une cinquantaine d'années, il n'est plus possible de la bouger[39].
Personnalités liées à la commune
- Louis Jean David le Trésor du Bactot (1744-1817), maréchal de camp des armées de la Royauté y est décédé. Comte, émigré à Jersey, il fut chargé vers 1795 d'organiser une expédition vers Quiberon qui n'aboutira pas[39].
- Gustave Rauline (1822 à Feugères-1904), homme politique, maire de Saint-Lô de 1874 à 1888, député de la Manche de 1876 à 1904.
- Le général d'armée aérienne Pierre Fay (1899-1971), chef d'état-major de l'armée de l'air, possédait une résidence dans cette commune, le manoir du Pont Samson. C'est là qu'il se retira après sa mise à la retraite. Sa carrière militaire commence par un engagement à l'âge de dix-huit ans pour combattre durant la grande Première Guerre mondiale. Son choix se tourne vers l'aviation et sa carrière se terminera aux plus hautes fonctions de l'armée de l'air. Avec des décisions importantes à prendre lors du conflit indochinois sur les moyens à mettre en œuvre.
- Son épouse fut aussi une personne brillante qui a vécu les différentes affectations de son mari. Alger, Rio, l'Indochine, Paris. Elle a volé avec Mermoz au Brésil assise dans la carlingue sur des sacs postaux[Note 9].
Voir aussi
Bibliographie
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 200.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site municipal
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Pour plus d'informations sur la carrière du Général Fay, notamment sur la période du conflit indochinois 1945-1954[40]
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[41].
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Feugères et Pont-Hébert », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pont-Hébert - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Feugères et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1240.
- Stéphane William Gondoin, « Balades aux portes des marais du Cotentin : Les petits trésor du Plessis-Lastelle », Patrimoine normand, no 119, octobre-novembre-décembre 2021, p. 94 (ISSN 1271-6006).
- Hubert Lamant, Armorial général et nobiliaire français, Tome V, fascicules 3 et 4.
- Hubert Lamant, Op. Cit., p. 291, qui s'appuie lui-même sur Carrés d'Hozier 224, pièces 299 et 200.
- Hubert Lamant, Op. Cit.
- La mère de Léonor Dameuve est Marie Le Trésor (1736-1814), arrière-petite-fille de Pierre Le Trésor de la Bazière (1649-1689) et de Joséphine Davy.
- Pierre Ursin Le Trésor de la Bazière (1744-1807) est un cousin germain de Marie Le Trésor évoquée ci-dessus.
- L'épouse d'Alexandre Ferrand de la Conté, Hélène Louise Charlotte Duprey, fille de Joseph Duprey et de Louise Hélène Le Trésor, est la nièce de Pierre Ursin Le Trésor de la Bazière précédemment cité.
- Charles Joseph Rauline (Feugères, 1803 - Feugères, 1884) succède à son cousin germain.
- Gaston Ferrand de la Conté (Feugères, 1843 - Feugères, 1931) est le fils d'Alexandre Ferrand de la Conté (Saint-Sauveur-Lendelin, 1775 - Feugères 1862), le maire de la Restauration.
- Réélection 2014 : « Feugères (50190) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales à Feugères. Nicolas Jeanson succède à Jacques Ventomme », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- AOP Beurre d'Isigny et Crème d'Isigny.
- « Manoir du Bois », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Gautier 2014, p. 200.
- Revue historique des armées, numéro 3, 1996, Arnaud Corvisy.
- « Feugères sur le site de l'Institut géographique national » (archive Wikiwix)