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Haspres

Haspres est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Haspres
Haspres
Haspres, centre-ville avec clocher.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Jean-François Delattre
2020-2026
Code postal 59198
Code commune 59285
Démographie
Gentilé Haspriens
Population
municipale
2 650 hab. (2020 en diminution de 4,33 % par rapport à 2014)
Densité 217 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 15′ 32″ nord, 3° 25′ 03″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 80 m
Superficie 12,2 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Haspres
(ville isolée)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes
Législatives Dix-neuvième circonscription
Localisation
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Haspres
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Haspres

    Géographie

    Paysage avec petite éolienne de drainage.

    Haspres est située à 15 km au sud-ouest de Valenciennes et à 17 km au nord-est de Cambrai, dans la région de l'Ostrevant. La commune est traversée par la Selle.

    Communes limitrophes

    Toponymie

    Haspra, cartulaire de Saint-Vaast; 1044. Hasprum, bBlderic. Aspra, Meyer. Hasprensis villa,cella prœpositura[1]

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 732 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Haspres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Haspres, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 739 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,9 %), zones urbanisées (9,5 %), prairies (4,9 %), forêts (0,7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Histoire

    Jules César bat les Nerviens dans la région d'Haspres en -57 (bataille du Sabis). Pendant la période gallo-romaine, le village se trouve sur la route reliant Bavay (Bagacum) à Amiens (Samarobriva). Les Francs envahissent la région dès le IIIe siècle, puis au Ve siècle à nouveau. Vers le VIIIe siècle est fondée la Prévôté, prieuré dépendant de l'Abbaye de Jumièges. Vers 840, lorsque les Vikings déferlent sur ce qui deviendrait la Normandie, les moines de Jumièges s'enfuient à Haspres en emportant avec eux les reliques de Saint Hugues et Saint Achaire. Ces deux saints sont toujours les patrons du village.

    La charte de 1176, accordé par Baudouin V de Hainaut, donne au Prévôt de l'Abbaye les pouvoirs de juridiction. Jusqu'à la Révolution, c'est l'Abbaye qui détiendra le pouvoir à Haspres. Le village passe au Duc de Bourgogne Philippe le Bon en 1433, puis devient espagnol en 1502 lorsque son arrière-petit-fils Philipe le Beau devient roi de Castille. À l'extrême sud des Pays-Bas espagnols, le village reçoit des fortifications dont il reste encore quelques traces. Durant ces deux siècles de présence espagnole, les guerres se succèdent : François Ier, Henri II, puis Louis XIII et Louis XIV tentent successivement de reprendre le Hainaut. C'est au traité de Nimègue, en 1678 qu'Haspres devient française.

    À la Révolution, les biens de la Prévôté sont déclarés biens nationaux (l'abbaye deviendra une ferme), les moines chassés et le curé guillotiné sous la Terreur. Le , c'est le combat d'Haspres : l'artillerie autrichienne positionnée à Iwuy bombarde les troupes françaises, puis, la cavalerie autrichienne partie des hauteurs d'Haspres et d'Avesnes se précipite sur les Français et les taille en pièces. Les fuyards durent se diriger vers Bouchain et, à la faveur de la nuit, se glissèrent dans les fossés de la Sensée pour rejoindre Cambrai[25].
    Après le Premier Empire, des soldats russes occupent Haspres pendant 2 ans. Le village connaît un essor industriel au XIXe siècle grâce aux filatures, qui emploient un grand nombre d'habitants.

    Lors de la Première Guerre mondiale, Haspres est envahie par les Allemands le au matin. 35 Territoriaux de la Mayenne trouvent la mort lors des combats. Les Haspriens vivent 4 années de couvre-feu et de privations. Le village est repris par les Britanniques le , au prix de plusieurs centaines de morts et la destruction de plusieurs dizaines de maisons.

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, après la drôle de guerre, le village est à nouveau envahi, le , lors d'une violente bataille de chars. Haspres subit à nouveau l'occupation, jusqu'au , date de la libération par une division blindée américaine.

    Cimetières militaires et monuments aux morts

    Haspres connaît ensuite la fermeture des filatures, puis des mines et des entreprises sidérurgiques et voit sa population stagner depuis les années 1980.

    Héraldique

    Les armes de Haspres se blasonnent ainsi :"Parti : au 1, d'azur semé de fleurs de lys d'or ; au 2, de sinople à la fasce d'argent."

    La mairie d'Haspres

    Politique et administration

    Liste des maires successifs

    Maire en 1802-1803 : Ch. Raoult[26].

    Maire en 1807 : Lagrue[27].

    Ainsi est dressée la liste des maires de la commune[28] :

    Titulaires de la fonction de maire de Haspres
    IdentitéPériodeDuréeÉtiquette
    DébutFin
    Jean-Baptiste Marouzé (d)
    (né le )
    33 ans
    Henri Forget (d)
    ( - )
    31 ans
    Lucien Busin (d)[29]13 ans Parti communiste français
    André Dagniaux (d)[30]12 ans divers droite
    Francis Stievenard (d)[31]13 ans Parti socialiste
    Jean-François Delattre (d)[32]
    (né le )
    En cours9 ans et 4 mois Parti socialiste
    La salle du temps libre

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 2 650 habitants[Note 8], en diminution de 4,33 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    1 9442 0662 4162 7262 7012 8463 0313 0593 216
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3 3153 0902 8832 8362 7633 0043 0053 0272 928
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 8432 9412 5862 7112 7682 8882 8542 8432 962
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    2 9412 8892 7002 7152 7532 6922 6792 8002 761
    2020 - - - - - - - -
    2 650--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 317 hommes pour 1 392 femmes, soit un taux de 51,38 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,8
    4,6
    75-89 ans
    7,7
    19,1
    60-74 ans
    19,9
    19,4
    45-59 ans
    18,0
    20,4
    30-44 ans
    20,0
    14,4
    15-29 ans
    13,0
    21,4
    0-14 ans
    19,6
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Associations

    • Les canoniers, descendants des défenseurs du village, qui participent encore aux parades avec leur canon « Gare si j'y vas » (aussi appelé « Buque fort »).
    • La fanfare, qui date de 1874, et a enregistré plusieurs disques.

    Lieux et monuments

    • Les remparts, construits sous les Espagnols
    • La Mairie du XIXe siècle
    • L'Église Saints-Hugues-et-Achaire du XIXe siècle et son clocher de 1904. Les reliques des deux saints sont le but d'un vieux pèlerinage.
    L'église Saint-Hugues-et-Saint-Achaire
    • L'église
      L'église
    • La pietà
      La pietà
    • Buste de saint Hugues
      Buste de saint Hugues
    • Buste de saint Achaire
      Buste de saint Achaire
    • Vitrail de saint Hugues
      Vitrail de saint Hugues
    • Vitrail de saint Achaire
      Vitrail de saint Achaire
    • Le Prieuré d'Haspres (la Prévôté), dont il ne reste que quelques bâtiments du XVIIe siècle
    • L'ancienne abbaye de femmes des Prés-Porchains de 1233, dite Le vieux couvent, maintenant La cense de maugré.
    • L'ancien moulin sur la Selle
    • Un pigeonnier de la fin du XVIIIe siècle
    • La Maison de la typographie d'Haspres
    • Deux cimetières de la Commonwealth War Graves Commission, le "Haspres Coppice Cemetery" avec 64 tombes[39] et le York Cemetery avec `123 tombes[40]
    • Plusieurs monuments aux morts: un grand monument et un petit monument communal, le monument dans l'église. Le monument aux morts de la guerre 1914-1918, Å“uvre du sculpteur Émile Guillaume, fut inauguré le dimanche 10 juin 1923[41] - [42].
    • Un calvaire et cinq chapelles-oratoires disposées aux différentes sorties du villages.
    Calvaire et chapelles
    • Le calvaire
      Le calvaire
    • Chapelle Notre Dame de la Délivrance, chemin de Cambrai.
      Chapelle Notre Dame de la Délivrance, chemin de Cambrai.
    • Chapelle Notre Dame de Foy, route de Valenciennes
      Chapelle Notre Dame de Foy, route de Valenciennes
    • Chapelle notre Dame de Lourdes, 1874, rue Jules Boucly
      Chapelle notre Dame de Lourdes, 1874, rue Jules Boucly

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Haspres et son passé, écrit par M. Guy Morelle, instituteur à la retraite, permet de connaître l'histoire de cette toute petite ville de l'Antiquité aux années 1980.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Page 403 - Statistique archéologique du Département du Nord - seconde partie - 1867- Librairie Quarré et Leleu à Lille, A. Durand 7 rue Cujas à Paris - archive du Harvard College Library - numérisé par Google Books
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Haspres et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Haspres et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Haspres », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Haspres, théâtre des guerres de la Révolution
    26. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
    27. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 134-135 (images 164-165).
    28. « La mairie d'Haspres », sur https://genealegrand.pagesperso-orange.fr/.
    29. Pierre Pascal, En communisme : mon journal de Russie, 1918-1921, , 226 p., p. 62 :
      « Deux maires sortants ont été en difficulté au soir du premier tour de la consultation : à Haspres et à Hélesmes un second tour a été nécessaire. Dans le premier cas la mairie a été conservée de justesse par le maire sortant Lucien Busin. »
    30. « Une troisième liste se constitue à Haspres pour les prochaines municipales », La Voix du Nord,  : « Nous étions sur la liste d’André Dagniaux, qui a été maire de 1989 à 2001. Mais la liste de Francis Stiévenard avait été élue entièrement au premier tour. »
    31. « Haspres : la maison du maire détruite par un incendie », La Voix du Nord,  : « Dans le Denaisis, la maison du maire d'Haspres, Francis Stievenard, a été ravagée cet après-midi par un incendie accidentel d'origine domestique. »
    32. « À Haspres, Jean-François Delattre, élu maire, succède à Francis Stievenard », La Voix du Nord,  : « Disposant de la majorité absolue, Jean-François Delattre a donc été déclaré maire et c’est tout naturellement Francis Stievenard, le premier magistrat sortant – qui ne s’était pas représenté –, qui lui a remis l’écharpe tricolore. »
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Haspres (59285) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    39. Haspre Coppice Cemetery sur www.inmemories.com
    40. York cemetery sur www.inmemories.com
    41. Délibérations du Conseil municipal du 28 mars 1922.
    42. « Le Monument aux morts de la guerre », Le Réveil du Nord,‎ , p. 3/6
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