AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Gumond

Gumond (orthographe officielle[2]) ou Gumont est une commune française située dans le département de la CorrÚze en région Nouvelle-Aquitaine.

Gumond
Gumond
Le bourg de Gumond.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement CorrĂšze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Jean-Pierre Peuch
2020-2026
Code postal 19320
Code commune 19090
DĂ©mographie
Gentilé Gumontois - Gumontoises[1].
Population
municipale
95 hab. (2020 en diminution de 2,06 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 9,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 13â€Č 17″ nord, 1° 58â€Č 47″ est
Altitude Min. 350 m
Max. 546 m
Superficie 9,87 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Sainte-Fortunade
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Gumond
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Gumond
GĂ©olocalisation sur la carte : CorrĂšze
Voir sur la carte topographique de la CorrĂšze
Gumond
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Gumond

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Gumond est limitrophe de cinq autres communes.

    Carte de la commune de Gumond et de ses proches communes.

    Attention ne pas confondre avec le hameau Gumond faisant partie de la commune de Saint-Pantaléon-de-Larche, également en CorrÚze.

    La commune est bordée à l'est par le Doustre.

    Entrée du village.

    Hameaux

    La commune comprend douze hameaux :

    • Grafeuille, Ă  1,5 km Ă  l'ouest en direction d'Espagnac
    • l'Étang,
    • l'Hivernerie, Ă  3,5 km au sud-ouest
    • Laborde
    • la Gane,
    • la Vedrenne,
    • le Breuil,
    • le Fagnat,
    • le Gaud,
    • les Fraux
    • les Ganottes
    • Leyssac,
    • le Roc,
    • Terre noire,
    • EntrĂ©e du hameau de Grafeuille.
      Entrée du hameau de Grafeuille.
    • Ancien puits public restaurĂ© Ă  Grafeuille.
      Ancien puits public restauré à Grafeuille.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 299 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Marcillac », sur la commune de Marcillac-la-Croisille, mise en service en 1963[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 333,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et Ă  36 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  13,0 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Gumond est une commune rurale[Note 5] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (80,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (81 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (80,4 %), prairies (19,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Gumond est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gumond.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 41,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (26,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 101 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 38 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 38 %, Ă  comparer aux 36 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Marcillac, un ouvrage de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de 31 millions de mĂštres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Gumond est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[29].

    HĂ©raldique

    Blason de Gumond Blason
    D'or à trois fasces ondées d'azur.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Période Identité Fonction Etiquette
    1790 - 1793 Jean Borvé Maire
    1793 - 1797 Louis Dominique Monteil Maire
    1797 - 1799 Chales Mouly Maire
    1799 - 1800 Jean Plazé Maire
    1800 - 1808 Louis Dominique Monteil Maire
    1808 - 1810 Pierre Soumaille Maire
    1810 - 1811 Maximilien De Beaufort Maire
    1811 - 1814 Louis François Desartiges Maire
    1814 - 1837 Desartigue De Beaufort Maire
    1837 - 1841 Antoine Monteil Maire
    1841 - 1852 Jean Graffeuille Maire
    1852 - 1858 Antoine Dupuy Maire
    1858 - 1870 Julien LĂ©on Monteil Maire
    1870 - 1877 Antoine RĂ©my Monteil Maire
    1877 - 1880 Jean Faurie Maire
    1880 - 1890 Julien LĂ©on Monteil Maire
    1890 - 1893 Victor Faurie Maire
    1893 - 1902 Jean Peuch Maire
    1902 - 1920 Antoine Gimelle Maire
    1920 - 1939 FĂ©lix Nougein Maire
    1939 - 1944 Pierre Loussert Président de la délégation spéciale
    1944 - 1959 René Chastanet Maire
    1959 - 1989 Lucien Bachellerie Maire PS
    1989 - 2012 François Leygonie Maire
    2012 - 2014 Anne-Marie Leygnac Maire
    2014 - En cours Jean -Pierre Peuch Maire

    DĂ©mographie

    Le monument aux morts.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 95 habitants[Note 8], en diminution de 2,06 % par rapport à 2014 (Corrùze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    457398531611606629571573574
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    443456407461505509506387447
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    421426434328300303306211155
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    14611911093801041119896
    2020 - - - - - - - -
    95--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Galerie

    • L'Ă©glise paroissiale de Gumond.
      L'Ă©glise paroissiale de Gumond.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • La place.
      La place.
    • Vieux puits restaurĂ©.
      Vieux puits restauré.
    • Le calvaire.
      Le calvaire.
    • L'ancienne gare.
      L'ancienne gare.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Références

    1. Les gentilés de CorrÚze
    2. Code officiel géographique de l'Insee
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Marcillac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Gumond et Marcillac-la-Croisille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Marcillac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Gumond et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Gumond », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gumond », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. Article R214-112 du code de l’environnement
    27. « barrage de Marcillac », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la CorrÚze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[26].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.