Guîtres
Guîtres est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Guîtres | |||||
En bordure de l'Isle, Guîtres et son abbatiale. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Libourne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Libournais | ||||
Maire Mandat |
Hervé Alloy 2020-2026 |
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Code postal | 33230 | ||||
Code commune | 33198 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guitrauds | ||||
Population municipale |
1 606 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 320 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 31″ nord, 0° 11′ 07″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 70 m |
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Superficie | 5,02 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Libourne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Nord-Libournais | ||||
Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Guitrauds[1].
La ville doit son nom au latin Aquistriae (trois eaux) car elle est traversée par trois cours d'eau, l'Isle et ses deux affluents, le Lary et le Galostre.
Géographie
Localisation et accès
Située dans le nord de la Gironde, Guîtres est une des principales villes du Pays Gabay, à la limite de l'influence de la langue d'oc en Grande Gavacherie. Elle domine la vallée de l'Isle et est située à 3 km à l'ouest de Coutras.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Bayas, Coutras, Lagorce, Sablons et Saint-Martin-de-Laye.
Hydrographie
Guîtres est situé sur la rive droite de l'Isle, affluent de la Dordogne à sa confluence avec le Lary et le Galostre donc les trois derniers kilomètres séparent Guîtres de Saint-Martin-de-Laye.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coutras », sur la commune de Coutras, mise en service en 1966[8] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 836 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Guîtres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Libourne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (58,4 %), zones urbanisées (16,8 %), prairies (11,7 %), eaux continentales[Note 7] (5,9 %), cultures permanentes (5,8 %), forêts (1,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Guîtres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lary. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1993, 1994, 1999, 2000 et 2009[23] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 718 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 718 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2012 et 2017, par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1993 et 1994[21].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].
Histoire
Guîtres est une seigneurie indépendante depuis le XIIe siècle.
La bulle de 1171 du Pape Alexandre III, cite les édifices religieux de Chamadelle, Les Peintures, Porchères, Le Fieu, parmi ceux donnés à l'abbaye de Guîtres.
Lors de la guerre de Cent Ans, la contrée fut dévastée au point d’avoir la majorité de ses paroisses dites "désertées ou vacantes" de 1360 à 1410 environ. L'apport d'une population des régions septentrionales voisines, Saintonge, Poitou, Vendée, redynamisa alors le territoire qu'on appela "Pays Gabay".
En 1548, les paysans de Guîtres se sont révoltés contre la gabelle.
La ville a été le siège des huguenots en 1587.
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Guitre.
Héraldique
Politique et administration
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2020, la commune comptait 1 606 habitants[Note 9], en diminution de 1,83 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2020, la commune comptait 1 606 habitants[Note 9], en diminution de 1,83 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 781 hommes pour 804 femmes, soit un taux de 50,73 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,06 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Gare et musée ferroviaire
L'ancienne gare de Guîtres, construite en 1874 par la Compagnie des Charentes, puis reprise par les chemins de fer de l'État et la SNCF, est maintenant la propriété de la commune qui en a confié la gestion à L'Association des Amis du Chemin de Fer de la Vallée de l'Isle. Elle est utilisée par le train touristique de Guîtres à Marcenais exploité sur une ancienne voie. Le fonctionnement est assuré par des bénévoles. Les locomotives fonctionnent soit à la vapeur, soit au diesel.
Lieux et monuments
- L'abbatiale Notre-Dame[38] - [39] : ancienne église d'une abbaye de moines bénédictins détruite en 1774 et dont il ne reste plus que l'abbatiale, classée au titre des monuments historiques depuis 1901[40]. Le chœur, le transept et la partie orientale de la nef, de style roman, datent du XIIe siècle[41]. Le portail ouest et la partie occidentale de la nef sont des XIIIe et XIVe siècles alors que le clocher actuel remonte à 1850[41]. En 1973, l’abbé Paul Haverlan rassemble un groupe de réflexion afin d'équiper l'abbatiale d'un grand orgue. La société nantaise Beuchet-Debierre, pour laquelle travaille Martin Haverlan (frère de l'abbé), est choisie pour réaliser les travaux. Ceux-ci auront lieu de 1975 à 1978 pour la première tranche (inauguration le par l'organiste Philippe Lefebvre) et en 1986 pour la deuxième tranche (inaugurée par l'organiste Jean Guillou).
- Le puits Henri IV, datant des XVIe et XVIIe siècles, est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1956[42].
L'abbatiale Notre-Dame Le portail ouest Le portail nord du transept Le chevet
Personnalités liées à la commune
- Antoine Jay (1770-1854), homme de lettres, journaliste, historien et homme politique, est né à Guîtres
- Nicolas Claude Fabri de Peiresc (1580-1637), savant, littérateur et jurisconsulte, fut abbé commendataire de Guîtres[43].
- Roger Thabault (1895-1979), pédagogue français, instituteur, inspecteur primaire, inspecteur d'académie à Bordeaux, directeur général de l'Enseignement au Maroc de 1945 à 1955, inspecteur général. Résidence d'été à Guîtres.
Voir aussi
Bibliographie
- André Godin, Histoire de la ville et du canton de Guîtres ; revue et complétée par J. Hovyn de Tranchère. - [Reproduction en fac-similé] - Paris : le Livre d'histoire, impr. 2006 (02-Autremencourt : Impr. Lorisse). - 1 vol. (247 p.) : couv. ill. en coul. ; 20 cm. - (Monographies des villes et villages de France, ISSN 0993-7129; 2485).
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site internet de l'Office de Tourisme du canton de Guîtres
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Guîtres », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Guîtres sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de Guîtres sur habitants.fr, consulté le 19 janvier 2013.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Coutras - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Guîtres et Coutras », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Coutras - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Guîtres et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Guîtres », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Guîtres », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guîtres (33198) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Gironde (33) », (consulté le ).
- L'abbatiale de Guîtres sur le site Les amis de l'abbatiale de Guîtres
- Abbatiale Notre Dame de Guîtres sur le site Patrimoine au Pays de Guîtres
- « Église Notre-Dame », notice no PA00083568, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
- Panneau d'information du P.S.O. du Libournais, apposé contre le mur nord de la nef
- « Puits Henri IV », notice no PA00083569, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 19 juin 2012.
- Monument à la mémoire de Peiresc à Belgentier
- « Jumelage(s) de Guîtres », sur l'atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures du Ministère des Affaires étrangères (consulté le ).