Gontaud-de-Nogaret
Gontaud-de-Nogaret (Gontaut en gascon, prononcé Gountà wt lou Nougarétt ) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Gontaud-de-Nogaret | |||||
Une maison de Gontaud. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Val de Garonne Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Christian Jambon 2020-2026 |
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Code postal | 47400 | ||||
Code commune | 47110 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 630 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 55 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
3 658 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 27′ 25″ nord, 0° 17′ 44″ est | ||||
Altitude | 45 m Min. 26 m Max. 132 m |
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Superficie | 29,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Gontaud-de-Nogaret (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Marmande (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marmande-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
Commune située sur l'ancienne route nationale 641 entre Puymiclan et Fauillet, et sur ligne Bordeaux-Saint-Jean - Sète-Ville accès gare de Gontaud-Fauguerolles (désormais inactive).
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Agmé, Birac-sur-Trec, Fauguerolles, Fauillet, Hautesvignes, Longueville, Puymiclan et Varès.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fauillet », sur la commune de Fauillet, mise en service en 1992[8] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 763,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 40 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Gontaud-de-Nogaret est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Gontaud-de-Nogaret, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[18] et 3 658 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), prairies (4,4 %), zones urbanisées (4,3 %), forêts (4,1 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Gontaud-de-Nogaret est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Canaule. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[26] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[27].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
Le toponyme Nogaret (en occitan moderne, nogaret signifie « noiseraie ») renvoie soit à un noyer, arbre distinctif d'une ferme ou d'un lieu, soit à la noiseraie, productrice d'huile[30].
Histoire
D'après la Chanson de la Croisade contre les Albigeois, la ville est détruite par le feu en 1209, ce qui explique que l'église Notre-Dame a dû être presque entièrement reconstruite après cette guerre.
D'après un document du /1253, le feu prend dans les cornières de Gontaud et huit maisons sont détruites par les flammes[31]
À la fin de la guerre de Cent Ans, Gontaud était partagé entre plusieurs co-seigneurs. Jean de Melet, écuyer, rendit hommage au roi le pour sa part et portion de la seigneurie de Gontaut, mouvant du duché de Guienne (BNF, Fonds Périgord, tome 11, cote 257).
Le , la ville est prise par l'armée royale commandée par le maréchal de Gontaud. Elle est mise à sac sauf la maison de Cancon (château actuel) et la population massacrée[32].
Un incendie, le , a détruit tout un quartier de la ville.
Réunion des communes de Gontaud et de Saint-Pierre-de-Nogaret en 1965.
Le château de Gontaud-de-Nogaret
Un document daté de 1473, après la fin de la guerre de Cent Ans, dit au sujet de Gontaud : « il n’y avait point alors ni château, ni maison pour le seigneur ». Puis on apprend dans le « Nobiliaire de Guyenne et Gascogne » en date du que l’écuyer Jean de Melet s’est vu accorder par le roi Charles VII la faculté de racheter le « Castel et seigneurie de Gontaud » qui avaient été vendus pour 2 500 livres à Catherine d’Anglade et son fils Jean de Verdum.
C’est donc entre 1473 et 1495 que fut construit cet édifice. Pendant les guerres de religion, le , le maréchal Armand de Gontaud, baron de Biron, à la tête de l’armée catholique, attaque Gontaud qui est aux mains des protestants. Le château sera la seule maison épargnée par ce pillage et l’incendie du village. En effet, il appartient alors à un noble catholique : Jean de Montferrand, baron de Cancon, héritier des Verdun. Le lendemain, le château sera occupé par les soldats catholiques.
Pendant les troubles de la Fronde, le , Gontaud sera à nouveau assiégé et pillé par deux régiments de cavalerie et d’infanterie du marquis de Biron. Là encore, le château du seigneur de Montferrand sera épargné par l’armée de Condé mais pour payer cette grâce le comptable de la communauté devra donner aux assiégeants 20 boisseaux d’Avoine et neuf d’orge.
Après les Montferrand, c’est la famille Luppe d’Arblade qui possédera le château en 1661 puis Timothée de Bacalan en 1694 qui y fera effectuer les premières réparations connues. Puis ce sera messire Jean Pellet.
Le , les biens de la famille Pellet seront saisis et le château de Gontaud sera adjugé aux enchères publiques à la citoyenne Marguerite Degalz, veuve Martineau. Le château restera la propriété de la famille Martineau jusqu’au , date à laquelle il sera vendu à monsieur Armand de Gontaud-Biron, marquis de Gontaud et de Saint-Blancard.
Mais le château manque alors cruellement d’entretien et le la petite tour du côté nord s’écroule sur la rue, entraînant avec elle la moitié du corps de logis.
À partir de 1955 de nombreux propriétaires se sont succédé sans engager de grands travaux. Un travail de restauration des parties existantes a été entrepris depuis 1997 par de nouveaux propriétaires. Depuis mi-2007, la moitié du corps de logis, écroulée en 1949, a été reconstruite par des entreprises locales.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 1 630 habitants[Note 8], en diminution de 2,4 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Vie locale
- Distributeur de billets;
- Bureau de poste;
- Tous commerces: épicerie, boucherie-charcuterie, boulangerie-pâtisserie;
- Bureau de tabac-presse, salon de coiffure, garages automobiles, agricoles et jardinage;
- Quincaillerie, droguerie;
- Cabinet médical;
- cabinet paramédicaux: kinésithérapeutique, infirmier (2), podologue;
- activités paramédicales douces: kinésiologue, réflexologue, Sophrologue;
- Pharmacie;
- Relais d'Assistance Maternelle Intercommunal, crèche familiale, MAM;
- Marché le mercredi matin sous la halle (activité momentanément suspendue);
- Marchés fermiers nocturnes et gustatifs en juillet et août;
Enseignement
- École Maternelle : 3 classes et 80 enfants environ;
- École Primaire : 5 classes et 120 enfants environ;
Manifestations culturelles et festivités
- Fête de la musique;
- Concerts musicaux de printemps dans l'espace de verdure de la mairie et d'automne en l'église classée Notre-Dame-de-Gontaud ;
- Journées du moulin de Gibra;
- Messe un dimanche sur deux
- Bibliothèque municipale.
Sports et loisirs
Associations sportives: foot, basket, vtt, cyclo, trail, tennis, gym pour tous âges, yoga, billard,
Économie
Cette commune à vocation agricole compte soixante-trois fermes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame de Gontaud-de-Nogaret et le presbytère. L'église a été inscrite au titre des monuments historique en 1925[38].
- Église Saint-Martin dite église de Bistauzac de Sabourau.
- Église Saint-Pierre-ès-Liens de Saint-Pierre-de-Nogaret.
- Église Saint-Pierre le Vieux de Gontaud-de-Nogaret. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[39].
- Église Saint-Siforin de Leu de Gontaud-de-Nogaret. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[40].
- Halle de Gontaud-de-Nogaret (inscrite MH)
- Château de Gontaud-de-Nogaret et son jardin "médiéval" (propriété privée, inscrit MH)
- Balance et lavoir de la place de la Mairie
- Jardin et arcades de l'ancien cloître
- Remparts et maison forte
- Moulin de Gibra
- Puits de Saint-Pierre et de Blanquine
- Église de Saint-Pierre
- Châteaux de Lafitte, Bistauzac, d'Escage, de Laubesc, du Marès, la maison du Faudon (propriétés privées)
- Pigeonnier de Lafitte (propriété privée)
- Église Saint-Martin de Bistauzac
- Berges arborées de la Canaule (rivière qui traverse Gontaud de Nogaret), moulin à eau du chemin de ronde et lavoir
- Fontaine de "Fonsalade"
Personnalités liées à la commune
- Famille de Gontaut
- Vianne de Gontaut-Biron
- Vincent de Chausenque (1782-1868), pyrénéiste.
- Philippe Tamizey de Larroque (1828-1898), homme de lettres.
- Pierre-Étienne Daniel Campagne né en 1851 dans le château d'Escages à Gontaud-de-Nogaret, sculpteur, mort à Paris.
- Jean Carrère, journaliste et homme de lettres.
- Henri Pépin (1864-1914), cycliste amateur et professionnel, 3 tours de France (1905/07/14).
- Raoul Perpère (1907-1994), maire puis sénateur.
Héraldique
Blason | Écartelé d’or et de gueules[41]. |
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Détails | Ces armoiries sont celle des Gontaut-Biron Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Gontaud-de-Nogaret sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station Météo-France Fauillet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gontaud-de-Nogaret et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Gontaud-de-Nogaret », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Jacques Astor, Dictionnaire des noms de familles et des noms de lieux du Midi de la France, Éditions du Beffroi, 2002, pp. 549-550 (rubrique « Nougaret »).
- Note : Voir notes dans l'article de Philippe Tamizey de Larroque sur la prise de Gontaud en 1580.
- Philippe Tamizey de Larroque, Le maréchal de Biron et la prise de Gontaud en 1580, p. 485-495, Revue de l'Agenais, 1896, tome 23 (lire en ligne), p. 5-13, Revue de l'Agenais, 1897, tome 24 (lire en ligne)
- http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=8207 sur le site MairesGenWeb
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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- Armorial de France