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Gilles-William Goldnadel

Gilles-William Goldnadel, né le à Rouen, est un avocat franco-israélien[1], essayiste pro-israélien, militant associatif, politique (UMP)[2], membre du CNIP et néo-conservateur.

Gilles-William Goldnadel
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Président
France-Israël
-
Président
Avocats sans frontiĂšres (d)
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Naissance
Nationalité
Domicile
Formation
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Avocat, militant associatif, essayiste, Ă©crivain

Biographie

Enfance et jeunesse

La famille maternelle de Gilles-William Goldnadel est russe et communiste, sa famille paternelle provient de la gauche polonaise. Ses parents tiennent un magasin de vĂȘtements Ă  Gournay-en-Bray (Seine-InfĂ©rieure)[2]. Fils unique, ses souvenirs d'enfance sont contrastĂ©s : « J’ai eu une jeunesse trĂšs aimĂ©e mais trĂšs grise... J’étais le seul juif, je me prenais rĂ©guliĂšrement des trempes de la part des petits cathos. J’en ai vraiment souffert mais en mĂȘme temps, ça m’a tannĂ© le cuir »[2]. Il effectue son premier voyage en IsraĂ«l en 1971 : « C’est la dĂ©sillusion. Je sillonne le pays et je suis déçu par les gens. L'IsraĂ©lien moyen est moyen[2] ».

Vie privée

Sa femme, BĂ©atrice Vonderweidt, ancien mannequin, est peintre. Ensemble, ils ont deux enfants : Benjamin et Laura-Sarah. Tous deux vivent en IsraĂ«l. Gilles-William Goldnadel dĂ©clare que son judaĂŻsme n’est pas religieux, lui-mĂȘme n'Ă©tant ni croyant ni pratiquant. Il passe sa vie entre Paris, Tel-Aviv et Palerme[2].

CarriĂšre professionnelle

Gilles-William Goldnadel prĂȘte serment le . Il a Ă©tĂ© avocat dans plusieurs affaires notables, dĂ©fendant notamment sans succĂšs l'ancien maire de Toulon, Maurice Arreckx[3] - [4] en 1995, l’homme d’affaires franco-israĂ©lien Samuel Flatto-Sharon qu'il fait relaxer en 2007 dans l'affaire de la sociĂ©tĂ© papetiĂšre JOB[5] - [6], Patrick Buisson condamnĂ© en 2012 contre LibĂ©ration[7] - [8] et contre Marianne qu'il fait condamner pour diffamation[9] - [10], l'homme d'affaires russo-israĂ©lien Arcadi Gaydamak dont il obtient la relaxe en matiĂšre de trafic d’armes lors du procĂšs de l’affaire de l'Angolagate[11] - [12].

En 2002, il dĂ©fend au nom de la libertĂ© d'expression la journaliste italienne Oriana Fallaci, contre le MRAP, la LICRA et la LDH pour son livre La Rage et l'Orgueil qualifiĂ© par les plaignants de « brĂ»lot islamophobe ». Le procĂšs est annulĂ© pour vice de procĂ©dure, et le livre est autorisĂ© Ă  paraĂźtre en France[13]. En 2015, il dĂ©fend Florian Philippot contre l'État du Qatar dans une affaire de diffamation[14].

Il est également l'avocat de Grégory Chelli, plus connu sous le pseudonyme « Ulcan »[15], et de Nadine Morano[16].

Début 2013, il défend Clément Weill-Raynal, journaliste ayant révélé l'affaire du « Mur des cons ».

DĂ©but mars 2021, sur le rĂ©seau social Twitter, il proteste contre la dissolution du groupe d’extrĂȘme droite GĂ©nĂ©ration identitaire, dont il est l'avocat[17] - [18].

Engagements et prises de position

Engagements communautaires, associatifs et politiques

Gilles-William Goldnadel est le fondateur et prĂ©sident d'Avocats sans frontiĂšres, crĂ©Ă©e en 1993[19] (Ă  ne pas confondre avec l'ONG internationale du mĂȘme nom ASF, basĂ©e en Belgique). Il prĂ©side l’association France-IsraĂ«l[20]. Depuis 2011, il tient une chronique hebdomadaire (« La semaine Goldnadel »), sur le site d'informations Atlantico[21], il est aussi intervenant dans l'Ă©mission de radio Les Grandes Gueules sur RMC.

En 1995, Ă  la suite de la vague d'attentats islamistes en France, il fonde l'association « Droit Ă  la sĂ©curitĂ© » (DALS)[22] - [23] ; en tant que prĂ©sident de cette association, il dĂ©nonce le « lobby de l’insĂ©curitĂ© », qu'il dĂ©finit comme « un groupe de pression influent et polymorphe, d’autant plus fort qu’il est encore persuadĂ© d’incarner la gĂ©nĂ©rositĂ© et l’intelligence françaises »[24]. En 2001, Anne Kling, responsable de Droit Ă  la sĂ©curitĂ© en Alsace, est renvoyĂ©e en correctionnelle Ă  la suite d'une plainte de la LICRA, pour avoir distribuĂ© sous les auspices de l'association un tract liant immigration et insĂ©curitĂ© : Gilles-William Goldnadel assure sa dĂ©fense gratuitement[25] et obtient sa relaxe[19].

En 1999, il signe pour s'opposer à la guerre en Serbie la pétition « Les Européens veulent la paix »[26], initiée par le collectif Non à la guerre[27].

Soutien d'IsraĂ«l[2] et engagĂ© Ă  droite[28], il se prĂ©sente comme un « Juif de combat » et se dĂ©finit comme « sĂ©curitaire », « rĂ©actionnaire » et partisan d'une « rĂ©volution conservatrice », se rĂ©clamant de la « droite sauciflard »[19]. Gilles-William Goldnadel se dĂ©clare « hostile Ă  toutes formes d’antisionisme et d’antisĂ©mitisme indĂ©pendamment de leur orientation politique ». Dans le cadre de sa dĂ©fense de la politique d’IsraĂ«l[29], il s'oppose notamment Ă  d'autres intellectuels juifs tels que Bernard-Henri LĂ©vy et Alain Finkielkraut qui, eux, expriment leurs rĂ©serves[30]. L'historien JĂ©rĂŽme Bourdon le dĂ©crit comme un « militant pro-israĂ©lien radical »[31]. Michel Tubiana, prĂ©sident d’honneur de la Ligue des droits de l’homme, le dĂ©crit comme quelqu'un de « fanatiquement, obsessionnellement, pro-israĂ©lien ». Les auteurs du livre OPA sur les Juifs de France (2006) l'accusent quant Ă  eux de « [flirter] parfois avec la nouvelle droite, version relookĂ©e de l'extrĂȘme-droite »[19], tandis qu'un spĂ©cialiste de ces courants politiques, Jean-Yves Camus, Ă©carte le qualificatif d'extrĂȘme droite pour le rattacher « au courant nĂ©o-conservateur juif qui [a pris] son essor dans les annĂ©es 2000 »[32]. Le MRAP l'accuse de haĂŻr les quartiers populaires et de se rapprocher idĂ©ologiquement de la thĂšse du « grand remplacement » de l'Ă©crivain Renaud Camus[33].

Il est l’invitĂ© personnel de Nicolas Sarkozy lors du voyage du prĂ©sident français en IsraĂ«l le [34] et, dans un article qu'il publie dans LibĂ©ration, il se fĂ©licite de cette visite : « l'exercice prĂ©sidentiel ayant davantage relevĂ© de l'Ă©quilibre que de l'Ă©quilibrisme. Preuve est ainsi faite que l'on peut tenir aux IsraĂ©liens le discours que l'on souhaite, dĂšs lors oĂč l'on renonce, au rebours de l'ancienne politique, Ă  la pratique de l'humiliation systĂ©matique[35] ».

Dans Le Nouveau BrĂ©viaire de la haine, Gilles-William Goldnadel dĂ©nonce l’émergence d’un « nouvel antisĂ©mitisme », qu'il attribue Ă  une certaine partie de la gauche. Il met en avant, aux cĂŽtĂ©s d'autres intellectuels, le concept d'« islamo-gauchisme » pour dĂ©noncer les alliances entre une certaine gauche et des islamistes radicaux[36].

En 2010, Gilles-William Goldnadel dĂ©clare que le vĂ©ritable danger antisĂ©mite ne vient plus, en France, du Front national mais des jeunes musulmans de banlieue et de leurs « complices », « les altermondialistes en keffieh »[2] - [37]. S'il donne acte Ă  Marine Le Pen de ne pas se livrer aux mĂȘmes provocations que son pĂšre sur le sujet de la Shoah, il juge nĂ©anmoins que le Front national compte toujours en son sein « des gens peu recommandables » et qu'un Juif qui voterait Front national se fourvoierait[38].

En 2010, il est Ă©lu membre du comitĂ© directeur du Conseil reprĂ©sentatif des institutions juives de France (CRIF) : son Ă©lection est interprĂ©tĂ©e par des personnalitĂ©s juives de gauche comme le signe d'un « virage Ă  droite » de l'organisation[28]. Ils dĂ©noncent sa volontĂ© de vouloir jeter des ponts entre « patriotes français » et « sionistes de droite ». Il appuie Ă©galement la candidature Ă  la prĂ©sidence du CRIF de Meyer Habib, proche de Benyamin Netanyahou[39]. Quelques annĂ©es aprĂšs son Ă©lection au CRIF en 2010, Gilles-William Goldnadel indique avoir pris ses distances avec « la chose juive », dĂ©clarant : « Cela a Ă©tĂ© un peu une erreur de me faire Ă©lire au CRIF, je n'ai jamais Ă©tĂ© communautaire. J'ai voulu stupidement tester ma popularitĂ© »[40]. Gilles-William Goldnadel demeure nĂ©anmoins un fervent dĂ©fenseur de l'État juif.

En 2012, Gilles-William Goldnadel publie Le vieil homme m’indigne, ouvrage Ă©crit en rĂ©ponse au livre Indignez-vous, de StĂ©phane Hessel. Jugeant indigent le texte de Hessel, il reproche en outre Ă  ce dernier de se montrer complaisant avec le Hamas tout en critiquant IsraĂ«l[41].

En 2013, il est nommé secrétaire national de l'UMP chargé des médias. En 2018, il est secrétaire national à la Justice du CNIP[42].

En , il rejoint l'Ă©quipe des chroniqueurs de l'Ă©mission Les Terriens du dimanche ! de Thierry Ardisson[43].

Il défend des positions jugées « climatosceptiques », mettant notamment en doute la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique[44].

Actions judiciaires dans le cadre de son engagement contre l'antisémitisme

Gilles-William Goldnadel mÚne divers procÚs dans le cadre de son engagement contre l'antisémitisme :

  • en 1985, il fait condamner devant la 17e chambre correctionnelle de Paris le dessinateur SinĂ©, pour des propos antisĂ©mites prononcĂ©s sur la radio Carbone 14 le [45] ;
  • en 1998, il fait condamner pour diffamation raciale le philosophe français Roger Garaudy[38] ;
  • en 2001, il poursuit en vain pour diffamation raciale l'Ă©diteur Éric Hazan, pour la publication de L'Industrie de l'Holocauste, de l'historien amĂ©ricain Norman G. Finkelstein[46] - [47] - [48] ;
  • en 2002, il tente vainement, au nom du CRIF, de faire interdire la traduction française du livre RĂȘver la Palestine, roman Ă©crit en italien par Randa Ghazy, considĂ©rĂ© par le CRIF comme antisĂ©mite[49] ;
  • le , il fait condamner Ă  5 000 euros d’amende l'humoriste DieudonnĂ© pour « incitation Ă  la haine raciale et diffamation Ă  l'Ă©gard des Juifs[28] » ;
  • Le , il intervient devant le Tribunal correctionnel de Paris en qualitĂ© d'avocat de la famille de l'IsraĂ©lienne Lee Zeitouni Ă  l'occasion du procĂšs du Français Éric Robic qui avait tuĂ© la jeune femme lors d'un accident de voiture Ă  Tel Aviv en 2011. Le chauffard a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  cinq ans de prison ferme pour « homicide involontaire aggravĂ© et non-assistance Ă  personne en danger ». Le passager de la voiture un autre Français du nom de Claude Khayat, a quant Ă  lui Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  quinze mois de prison ferme[50].
  • le 12 novembre 2021, il fait condamner Yacine Milhoub Ă  la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ©[51] pour le meurtre « au caractĂšre antisĂ©mite » de Mireille Knoll. Ce dernier a fait appel de sa condamnation.
  • AprĂšs deux ans de procĂšs, il obtient en appel le l'hospitalisation assortie de mesures de sĂ»retĂ© pour vingt ans, Ă  la suite de la dĂ©cision d'irresponsabilitĂ© pĂ©nale de Kobili TraorĂ© pour le crime de Sarah Halimi[52], dont la cour confirme les motivations antisĂ©mites[53].

Spécialiste du droit de la presse, Gilles-William Goldnadel revendique de lutter contre la « désinformation » sur les sujets liés à Israël et au conflit israélo-palestinien : à ce titre, il plaide contre de nombreux médias et dénonce réguliÚrement sur son blog la « caste médiatique et intellectuelle » et la « presse bien-pensante »[2]. Plusieurs procÚs notoires témoignent de cet engagement :

  • l’affaire Morin. En , il engage des poursuites, au motif de diffamation raciale, contre Edgar Morin, Sami NaĂŻr, DaniĂšle Sallenave et Le Monde, pour la parution de l'article « IsraĂ«l-Palestine : le cancer » dans l'Ă©dition du . DĂ©boutĂ© en premiĂšre instance par le tribunal de Nanterre , il obtient dans un premier temps gain de cause, le , devant la cour d'appel de Versailles. Ce procĂšs est perçu par plusieurs journaux tels que Le Monde diplomatique comme une intimidation des journalistes et une menace pour la libertĂ© de la presse, tandis que l’International Herald Tribune Ă©voque, « la vigilance de la France dans la surveillance du discours public pour la poursuite de sa vision d'une nation homogĂšne, laĂŻque, et exempte de divisions sectaires »[54] - [55]. L'arrĂȘt est cassĂ© par la Cour de cassation le . Dans son arrĂȘt, la Cour considĂšre que le texte d'Edgar Morin et ses amis est « l’expression d’une opinion qui relĂšve du seul dĂ©bat d’idĂ©es »[56] et que le jugement rendu contre eux par la cour de Versailles viole la loi sur la presse ainsi que la Convention europĂ©enne des droits de l'homme[56] ;
  • l’affaire Mohammed al-Durah. Dans le cadre des polĂ©miques autour de cette affaire, Goldnadel dĂ©fend un proche, le journaliste d'ActualitĂ© Juive ClĂ©ment Weill-Raynal, accusĂ© de diffamation pour avoir Ă©crit que les « blessures de Jamal al-Dura existaient dĂ©jĂ  en 1993 sans la moindre ambiguĂŻtĂ© possible »[57]. ClĂ©ment Weill-Raynal est condamnĂ© le [58], mais la dĂ©cision est cassĂ©e par un arrĂȘt de cassation dĂ©finitif du qui nie « le caractĂšre diffamatoire des propos dĂ©noncĂ©s », et dĂ©boute le pĂšre al-Durah[59] - [60] ;
  • l’affaire Mermet. Aux cĂŽtĂ©s de l'UEJF et de la LICRA, il porte plainte pour incitation Ă  la haine raciale contre le journaliste Daniel Mermet[61] et la Ligue française pour la dĂ©fense des droits de l'homme et du citoyen, Ă  propos de six messages d’auditeurs dans ses Ă©missions diffusĂ©es du 18 au et intitulĂ©es « IsraĂ«l, la guerre maintenant ». La cour d'appel de Versailles relaxe dĂ©finitivement Daniel Mermet le dans le cadre de son procĂšs pour incitation Ă  la haine raciale[62].

Dominique Vidal reproche (dans son livre Le Mal-Être Juif) Ă  Gilles-William Goldnadel de participer au « harcĂšlement juridique » des personnalitĂ©s opposĂ©es au sionisme ou Ă  la politique d'IsraĂ«l[63]. Dans un article du Monde Diplomatique de , il dĂ©crit Gilles-William Goldnadel comme la « cheville ouvriĂšre des procĂšs contre les intellectuels qualifiĂ©s d’« antisĂ©mites » »[34].

Gilles-William Goldnadel engage Ă©galement un procĂšs en diffamation contre le MRAP, cette association l'ayant accusĂ©, dans son rapport sur la nouvelle extrĂȘme droite sur internet, d'entretenir des liens avec l'extrĂȘme droite (israĂ©lienne et française) et de harceler juridiquement les journalistes critiquant la politique de l’État d’IsraĂ«l[64]. Le MRAP est mis hors de cause[65] et son prĂ©sident Mouloud Aounit porte plainte Ă  son tour contre Gilles-William Goldnadel. En 2009, Gilles-William Goldnadel est condamnĂ© Ă  payer 5 000 euros Ă  titre de dommages intĂ©rĂȘts et 3 000 euros au titre des frais de justice Ă  Mouloud Aounit qu'il avait accusĂ© d'ĂȘtre un « compagnon de route des islamistes » et d’avoir participĂ© Ă  une manifestation dans laquelle on avait criĂ© : « Mort aux Juifs »[66].

Distinction

Par décret du , il est fait chevalier de l'ordre national du Mérite par Nicolas Sarkozy, président de la République, qui le lui remet personnellement[67].

Publications

  • Une idĂ©e certaine de la France (en collaboration), 1998, France-Empire.
  • Le Nouveau BrĂ©viaire de la haine, 2001, Ramsay.
  • Les Martyrocrates, 2004, Plon.
  • Conversation sur les sujets qui fĂąchent avec Alexandre Adler, 2008, Ă©ditions Jean-Claude Gawsewitch.
  • Le Blognadel, 2009, Ă©ditions de Passy.
  • Sans concessions. Conversations avec David Reinharc, avec Pascal Boniface, 2010, Ă©ditions David Reinharc.
  • RĂ©flexions sur la question blanche, 2011, Ă©ditions Jean-Claude Gawsewitch.
  • Le vieil homme m'indigne !, 2012, Ă©ditions Jean-Claude Gawsewitch (le sous-titre est : les postures et impostures de StĂ©phane Hessel).
  • NĂ©vroses mĂ©diatiques. Ou comment le monde est devenu une foule dĂ©chaĂźnĂ©e, 2018, Plon.
  • Manuel de rĂ©sistance au fascisme d'extrĂȘme-gauche, 2021, Nouvelles Éditions De Passy.
  • PrĂ©face de : Les Vertus du Nationalisme, titre original en anglais : The Virtue of Nationalism, Ă©crit par : Yoram Hazony, Collection Le Cercle Aristote, Éditions Jean-Cyrille Godefroy, Paris, dĂ©cembre 2022, (ISBN 978-2-86553-308-4).

Notes et références

  1. Depuis 2000, Ă  la suite, selon lui, de « l’Intifada des banlieues ».
  2. « Passion Sion », interview de Gilles-William Goldnadel, Libération, 2 mars 2010.
  3. « Arreckx: la défense demande un cessez-le-feu », Libération, .
  4. « "Monsieur Nobody" et son amie tentaient d'escroquer des avocats », Libération, .
  5. Site officiel de Samy Flato-Sharon, Biographie, consulté en septembre 2012.
  6. La DĂ©pĂȘche, « Job : 12 ans aprĂšs », .
  7. Daniel Bernard, « Sondages de l'Elysée, le procÚs Buisson/Libération », Marianne, .
  8. AFP, « Sondages de l’ÉlysĂ©e: P. Buisson dĂ©boutĂ© », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne).
  9. Régis Soubrouillard, « Sondages de l'Elysée: suite et fin ? », Marianne, .
  10. Thierry Dupont, « Marianne, l'Elysée et la lettre de M. Séguin », L'Express, .
  11. « Angolagate : la cour d'appel de Paris relaxe Charles Pasqua », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  12. « Angolagate : Pasqua relaxé en appel, Falcone libéré », Challenges, .
  13. « Le livre d'Oriana Fallaci ne sera pas interdit », L'Obs, .
  14. Dominique Albertini, Gilles-William Goldnadel, avocat de Philippot contre le Qatar, Libération, .
  15. « Ulcan est-il derriĂšre les attaques ayant ciblĂ© Rue89 et ArrĂȘt sur images ? », Les Inrocks, .
  16. Barthélémy Philippe, « Que fait Gilles-William Goldnadel dans la liste des assistants parlementaires de Nadine Morano ? », sur Capital.fr, (consulté le ).
  17. AFP, « Génération identitaire dissous en conseil des ministres », Le Monde, .
  18. Jules Torres, « Gilles-William Goldnadel : “La dissolution de GĂ©nĂ©ration identitaire dĂ©montre la schizophrĂ©nie française” », Valeurs actuelles, .
  19. CĂ©cilia Gabizon, Johan Weisz, « Opa sur les juifs de France: EnquĂȘte sur un exode programmĂ© (2000-2005) », Grasset, 2006, (ISBN 978-2246704614).
  20. L'ironie ou la colĂšre ?, article paru sur france-israel.org, 19 juillet 2012.
  21. Voir sa chronique la plus ancienne disponible sur le site Atlantico, « Sortons des pessimismes obligatoires et des optimismes de commande », 12 septembre 2011.
  22. « L'homme des théories dangereuses » Me WILLIAM GILLES GOLDNADEL, président d'Avocats sans frontiÚre et de Droit à la sécurité, Le Parisien, 28 août 2000
  23. Site de l'association DALS
  24. Association de bienfaiteurs, Le Figaro, 16 octobre 1999
  25. Daniel Bensoussan, France : Des alliances sulfureuses, CCLJ, 7 septembre 2010.
  26. « Liste des personnalités signataires de l'Appel », sur nonguerre.chez.com.
  27. Renaud DĂ©ly, « L'extrĂȘme droite ratisse large contre les frappes de l'Otan. Le «Collectif non Ă  la guerre» a tenu une rĂ©union proserbe hier soir », sur liberation.fr, .
  28. "Virage Ă  droite chez les Juifs de France"
  29. Contre les abus de la victimisation, L'Express, 22 mai 2003
  30. Netanyahu attendu en France, oĂč la politique d'IsraĂ«l est de plus en plus contestĂ©e , Le Point, 26 mai 2005
  31. JérÎme Bourdon, Le récit impossible. Le conflit israélo-palestinien et les médias, de boeck, 2009, p. 177.
  32. « la rĂ©duction de la droite juive Ă  l’extrĂȘme droite est bien sĂ»r conçue comme un procĂ©dĂ© disqualifiant et elle est Ă  ce titre critiquable. Il se trouve aussi qu’elle est fausse et que ceux qui l’utilisent passent Ă  cĂŽtĂ© d’un fait important, Ă  savoir la naissance en France d’un vĂ©ritable courant nĂ©oconservateur juif, prenant rĂ©ellement son essor dans les annĂ©es 2000, bien que ses racines remontent Ă  la victoire israĂ©lienne de la guerre de 1967, qu’il convient de prendre au sĂ©rieux comme acteur de la vie intellectuelle. [
] Nulle part ailleurs, l’inflexion nĂ©oconservatrice n’est aussi sensible et aussi Ă©laborĂ©e que dans les Ă©crits de Gilles-William Goldnadel, Ă  l’exemple de son dernier livre, Les martyrocrates. » dans Jean-Yves Camus, « Un conflit instrumentalisĂ© par les communautaristes », Revue internationale et stratĂ©gique, no 58, 2/2005, pp. 79-86, DOI 10.3917/ris.058.0079.
  33. « G.W. Goldnadel : le MRAP dénonce la haine des quartiers populaires du Président de France-Israël », sur mrap.fr, (consulté le )
  34. CRIF, la droitisation d’une institution - Ceux qui parlent au nom des Juifs de France Dominique Vidal, Le Monde Diplomatique, juillet 2011
  35. « Retour de Jérusalem », Libération, 7 juillet 2008.
  36. Gilles William Goldnadel, « Goldnadel : de quoi l'islamo-gauchisme est-il le nom ? », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consultĂ© le )
  37. Gilles-William Goldnadel : « N'ayons pas peur de poser la question blanche », Le Figaro Magazine, 19 février 2011
  38. Gilles-William Goldnadel : « Je suis un extrémiste de la modération », revue-medias.com no 32, printemps 2012.
  39. lejdd.fr: Un ami de Netanyahou pour représenter les juifs de France
  40. « Quand l'avocat de Patrick Buisson tentait de dĂ©miner l'affaire des enregistrements », Le Monde.fr,‎ (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consultĂ© le )
  41. Goldnadel rejoint les indignés
 contre Stéphane Hessel Philippe Cohen, Marianne, 21 avril 2012
  42. Lucie Soullier, « Le CNIP, Ă©ternelle passerelle entre droite et extrĂȘme droite », sur lemonde.fr, (consultĂ© le ).
  43. « Jeremstar, Natacha Polony
 Nouveaux chroniqueurs de Thierry Ardisson dans Salut les Terriens », non-stop-zapping.com, 6 juillet 2017.
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  47. Courrier International le 23 décembre 2004.
  48. CommuniquĂ© de LA FABRIQUE, DES NOUVELLES DU PROCÈS, 10 mars 2005 : « ChĂšres amies, chers amis, La XVIIe chambre correctionnelle a rendu son jugement dans le procĂšs qui nous Ă©tait intentĂ© par l’association « Avocats sans frontiĂšres », Ă  propos de la publication de L’Industrie de l’Holocauste de Norman Finkelstein. Éric Hazan, gĂ©rant de la SARL, Ă©tait assignĂ© pour « incitation Ă  la haine raciale » et « diffamation Ă  caractĂšre racial ». Le tribunal a suivi les conclusions de notre avocat, Me Antoine Comte : il a dĂ©clarĂ© techniquement irrecevable le premier motif et pour le second, il a dĂ©boutĂ© les plaignants sur le fond.Nous avons donc gagnĂ© ce procĂšs absurde. Mais Avocats sans frontiĂšres, comme Ă  son habitude, a interjetĂ© appel. ».
  49. (en)Pro-Palestinian teen novel denounced by French Jewish groups Michel Zlotowski, The Jerusalem Post. 2002. HighBeam Research, (site sur abonnement).
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  66. M. Gilles William Goldnadel condamné pour avoir diffamé Mouloud Aounit, mrap.fr, .
  67. Promotion du 7 mai 2007

Liens externes

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