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Gesvres (Mayenne)

Gesvres est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 518 habitants[Note 1].

Gesvres
Gesvres (Mayenne)
L'Ă©glise Saint-Pierre.
Blason de Gesvres
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Denis Duvallet
2020-2026
Code postal 53370
Code commune 53106
DĂ©mographie
Gentilé Gesvrois
Population
municipale
518 hab. (2020 en diminution de 3,54 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 22â€Č 08″ nord, 0° 08â€Č 47″ ouest
Altitude Min. 145 m
Max. 301 m
Superficie 21,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Villaines-la-Juhel
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Gesvres
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Gesvres
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Gesvres
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Gesvres
Liens
Site web www.gesvres.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    GĂ©ographie

    SituĂ©e dans une dĂ©pression Ă  l'est de la forĂȘt de Pail, Gesvres recĂšle de pittoresques paysages.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 807 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pre-en-Pail_sapc », sur la commune de PrĂ©-en-Pail-Saint-Samson, mise en service en 1945[10] et qui se trouve Ă  11 km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 860,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le dĂ©partement de l'Orne, mise en service en 1946 et Ă  19 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Gesvres est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (94,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (55,9 %), terres arables (32,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,6 %), forĂȘts (4,3 %), zones urbanisĂ©es (1,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Gavre[24] (v. 834); Vicaria Gaviacencis[25] (Xe siĂšcle); ecclesia de Gabra[26] (v. 1120); Presbytere de Gervre[27] (v. 1140); Gesvre[28] (1312); sanctus Petrus de Gevra[29] (1545); Gevres[30] - [31]. L'Ă©tymologie de Gesvres est Gevra ou Capra. D'aprĂšs Dauzat et Rostaing, il s'agit du nom d'homme gaulois Gabros, lui-mĂȘme issu de gabros, « chĂšvre Â»[32].

    Le gentilé est Gesvrois.

    Histoire

    Saint Aldric Ă©vĂȘque du Mans fonde un domaine Ă  Gesvres vers 834. En 900, Charles le Simple autorise le comte Hugues un de ses puissants parents Ă  donner aux moines de Saint-Evroult plusieurs domaines situĂ©s dans la vigueries de Gesvres[33]. L'abbaye de Saint-Évroult y possĂ©dait une villa Nunniacum au Xe siĂšcle, au XIIe siĂšcle l'Ă©glise Saint Pierre et ses dĂźmes sont donnĂ©es Ă  l'abbaye Saint-Vincent du Mans[31].

    Françoise Cueillette, dame de Gesvres au Maine, porte la seigneurie Ă  la famille Potier en Ă©pousant en 1523 Jacques Potier, seigneur de Blanc-Mesnil (nĂ© vers 1500-† 1555), conseiller au Parlement de Paris.

    La seigneurie de Gesvres a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en Marquisat, en faveur de leur descendant Louis Potier (1613-† en 1643/1645 au siĂšge de Thionville, prĂ©dĂ©cĂ©dĂ©), marĂ©chal des Camps & ArmĂ©es du Roi, fils aĂźnĂ© de RenĂ© Potier (1579-1670 ; 1er duc de Tresmes en 1648, gouverneur du Maine[34]) et petit-fils de Louis Potier de Gesvres, comte de Tresmes († 1630). Puis le nom de Gesvres s'est portĂ© sur le duchĂ© de Tresmes en Crouy, renommĂ© duchĂ© de Gesvres en 1670 en faveur de LĂ©on Potier (1620-1704), 2e duc de Tresmes alias 1er duc de Gesvres, le 2e fils de RenĂ© Potier.

    HĂ©raldique

    Blason de Gesvres Blason
    BurelĂ© d’argent et d’azur de dix piĂšces, Ă  deux clĂ©s adossĂ©es de gueules, mises en chevron, accostĂ©es de trois mains appaumĂ©es d’argent, 2 et 1, le tout brochant sur le burelĂ©.
    DĂ©tails
    L’azur et les trois mains d’argent sont les Ă©lĂ©ments principaux du blason du seigneur Potier qui possĂ©dait dans son marquisat de Gesvres les villages de Gesvres, PrĂ© en Pail, la PootĂ© et Couptrain. La reprise intĂ©grale du blason d’un seigneur Ă©tant interdite pour la municipalitĂ©, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs Ă©lĂ©ments.

    Les clĂ©s symbolisent Pierre, le saint patron du village. La disposition en chevron indique que la commune est entourĂ©e de monts plus ou moins Ă©levĂ©s, dont les derniĂšres crĂȘtes de la corniche de Pail.

    Le fond burelĂ© d’argent et d’azur avec la couleur des clĂ©s de gueules rappellent le blason de la famille de la Rochefoucault qui a Ă©tĂ© seigneur de Gesvres pendant 114 ans de 1394 Ă  1508. La remarque concernant la rĂ©cupĂ©ration du blason seigneurial est valable ici aussi.

    Les ornements sont deux lions burelĂ©s d’or et de sinople, couronnĂ©s d’argent. Ils proviennent des armes de la famille de Doucelle, premier seigneur de Gesvres de 1312 Ă  1350. Ils sont posĂ©s sur une terrasse de sable sur laquelle s’élĂšve un mont d’or, pour honorer l’agriculture gabrasienne.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1953 Albert Veille
    1989[35] mars 2008 Christian Ramond - Responsable de production
    mars 2008 septembre 2008 Claude Bourillon SE Gérant en métallurgie retraité
    septembre 2008[35] En cours Denis Duvallet[36] SE ÉlectromĂ©canicien

    Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[36].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 518 habitants[Note 8], en diminution de 3,54 % par rapport Ă  2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Gesvres a comptĂ© jusqu'Ă  1 574 habitants en 1872.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1711 2011 3381 4741 4191 4641 5021 4721 542
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4941 5161 5001 5741 5251 4611 4251 4211 325
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1881 2171 076974893872850806737
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    651625573486489543532537526
    2020 - - - - - - - -
    518--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Pierre datĂ©e du XIIe siĂšcle par l'AbbĂ© Angot, elle est probablement antĂ©rieure (XIe siĂšcle).
    • Chapelle Sainte-Catherine.
    • Chapelle de Rouvadin.
    • Chapelle Saint-Sulpice, actuellement disparue. Un prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin est mentionnĂ© par Hubert Jaillot. Il est notĂ© dĂ©laissĂ© au XVIe siĂšcle. La chapelle sur le versant de la vallĂ©e est dĂ©jĂ  dĂ©labrĂ©e en 1753 ; reconstruite, elle est vendue avec la ferme en 1791[41]. Un sarcophage de type mĂ©rovingien est mis au jour en 1908, proche de la ruine, il est placĂ© actuellement dans l'Ă©glise[42].
    • Chapelle du Bourg datĂ©e de 1813.
    • Lavoir communal.
    • Gesvres abrite une partie du site des Alpes mancelles, qui figurent au rĂ©seau Natura 2000[43].
    • Pont dit des cinq pierres, traversant l'Ornette, datant de 1833. Il doit son nom aux cinq pierres qui le composent, soit deux pierres verticales et trois pierres horizontales[44].
    • Mairie, ancien presbytĂšre.
      Mairie, ancien presbytĂšre.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Poids public.
      Poids public.
    • Calvaire Ă  l'entrĂ©e du bourg.
      Calvaire à l'entrée du bourg.
    • Clocher de l'Ă©glise.
      Clocher de l'Ă©glise.
    • Chapelle du bourg.
      Chapelle du bourg.
    • Pont des cinq pierres.
      Pont des cinq pierres.

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Potier (mort en 1630), baron de Gesvres, homme d'État.
    • Pierre Culioli (1912-1994), rĂ©sistant, est enterrĂ© au cimetiĂšre de Gesvres.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 39
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Gesvres et Pré-en-Pail-Saint-Samson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Gesvres et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Gesta Aldrici.
    25. Dom Piolin, Histoire de l'Église du Mans, t. II, p. 494.
    26. Cartulaire de Saint-Vincent, ch. 516.
    27. Cartulaire de Tiron, ch. 254.
    28. B.N., fr. 8.736.
    29. Insin. eccl.
    30. Jaillot Almanach de 1774 et Cassini.
    31. Abbé Angot Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. (1962), t. 2, p. 291-294.
    32. Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Albert Dauzat et Charles Rostaing.
    33. Abbé Angot Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne. (1962), t. 4, p. 400.
    34. André René Le Paige, Dictionnaire topographique, historique, généalogique et bibliographique de la province et du diocÚse du Maine, Vol. 1, (1777), p. 382.
    35. « Denis Duvallet, maire, se représente aux élections », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. Réélection 2014 : « Gesvres (53370) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. ANGOT (abbé), Dict Hist, toponym et biographique. (1962), t. 3 (lire en ligne), p. 676-677.
    42. « CURIOSITES GESVROISES : Le Sarcophage de St Sulpice », sur Mairie de Gesvres (consulté le ).
    43. Liste des communes concernées par un site Natura 2000 en Mayenne, consulté le 9 novembre 2015
    44. Curiosités gévroises : le pont des cinq pierres, http://www.gesvres.mairie53.fr, consulté le 1er janvier 2019.
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