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Saint-Pierre-des-Nids

Saint-Pierre-des-Nids est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 1 785 habitants[Note 1].

Saint-Pierre-des-Nids
Saint-Pierre-des-Nids
La place de la Poôté et l'église Saint-Pierre.
Blason de Saint-Pierre-des-Nids
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Dominique Savajols
2022-2026
Code postal 53370
Code commune 53246
Démographie
Gentilé Poôtéen
Population
municipale
1 785 hab. (2020 en diminution de 9,34 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 23′ 56″ nord, 0° 05′ 58″ ouest
Altitude Min. 106 m
Max. 272 m
Superficie 37,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villaines-la-Juhel
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Pierre-des-Nids
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Saint-Pierre-des-Nids
Liens
Site web www.stpierredesnids53.com

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    Géographie

    La commune est aux confins du Bas-Maine et de la campagne d'Alençon, entre les Alpes mancelles et le mont des Avaloirs. Son bourg est à 11 km au sud-est de Pré-en-Pail, à 15 km à l'ouest d'Alençon, à 16 km au nord-est de Villaines-la-Juhel et à 19 km au nord-ouest de Fresnay-sur-Sarthe[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 787 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pre-en-Pail_sapc », sur la commune de Pré-en-Pail-Saint-Samson, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 860,9 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le département de l'Orne, mise en service en 1946 et à 15 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[14], à 10,9 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pierre-des-Nids est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,2 %), terres arables (36,3 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Saint-Pierre des Nids s'appelait autrefois La Poôté.

    • 1050 : « Sanctus Petrus de Potestate nidi »[24]
    • 1128 : « Sanctus Petrus de Nidis »[25]
    • ~1160 : « Ecclesia sancti Petri de Potestate de Niz »[26]
    • 1180 : « Clericus de Nidis... ecclesia Sancti Petri de Nidis »[27]
    • 1250 : « Terra de Potestate de Nidis »[28]
    • 1251 : « Parrochia de nidis »[29]
    • 1333 : « La Posté Denis »[30]
    • 1358 : « La Posté de Saint Père »[31]
    • XIVe siècle : « Ecclesia de Potestate nidorum »[32]
    • 1447 : « La Poté de Niz »[33]
    • 1549 : « Sanctus Petrus de Nidis, alias la Posté »[34]
    • 1669 : La chastellenie de la Postée[35]
    • 1703 : La Poôté[36]
    • La Poté des Nids[37]
    • La Poôté[38]
    • 1789 : « La paroisse de Saint Pierre des Nis, dite la Poôté »[39]
    • En 1929, La Poôté devient officiellement Saint-Pierre-des-Nids[40].

    La Poôté est issu de l'ancien français poesté, « seigneurie Â», « Ã©tendue de domination d'un seigneur Â»[41]. La paroisse était dédiée à l'apôtre Pierre, premier pape.

    Le gentilé est Poôtéen.

    Histoire

    En 1787, la municipalité est constituée avec un procureur syndic. Le cahier de doléances de 1789, rédigé par Moulin de la Blanchère, réclame des états provinciaux avec vote par tête et autant de représentants pour le tiers état que pour les deux autres ordres. Le , l'assemblée primaire demande l'annexion du canton au département de l’Orne.

    À la création des cantons, La Poôté est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimé lors du redécoupage cantonal de l'an IX (1801)[40].

    Héraldique

    Blason de Saint-Pierre-des-Nids Blason
    D’azur, semé de fleurdelys d’or, à un lion du même, couronné de gueules, adextré d’une clé contournée du second ; au chef bastillé de trois pièces et deux demies cousu de gueules, chargé de sept billettes d’or, 4 et 3.
    Détails
    L’azur indique la présence de l’eau avec l’Ornette, la Sarthe et le Sarthon notamment, ces deux derniers ayant permis l’installation d’équipements de loisir.

    La clé symbolise Pierre, gardien des clés de l’église et saint patron du village.

    Le lion sur fond de semé de lys est la reprise du blason du seigneur de Beaumont qui a été seigneur de la Pooté de 1464 à 1636 soit 172 ans. La reprise intégrale du blason seigneurial étant interdite pour une commune, il suffit d’en emprunter un ou plusieurs éléments.

    Le chef rappelle le blason du seigneur de Vaucelles, dernier seigneur de la Pooté. Ici aussi la remarque concernant la récupération du blason seigneurial est valable.

    Le chef est crénelé pour indiquer la présence de la forteresse de Montaigu où vivaient les seigneurs précités.

    Les ornements sont deux branches de chêne d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’azur afin de représenter les nombreuses forêts de la commune et le parc Régional Normandie Maine ; la couleur or permet de rappeler la présence d’une agriculture prospère en évoquant les blés mûrs.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1965 1977 Louis Thoreton Agriculteur
    1977 1995 Albert Pinçon Instituteur
    juin 1995[42] mars 2001 Jean-Luc Gombert RPR, puis DVD[43] Directeur d'école publique
    mars 2001[44] mars 2014 Henri Leblond
    Mars 2014[45] Novembre 2015[46] Jean Rapy Aide-soignant
    Novembre 2015[47] Mai 2020 Angélique Poix Secrétaire
    Mai 2020[48] Juin 2022 Philippe d’Argent SE Retraité de la fonction publique d’État
    Juin 2022[49] En cours Dominique Savajols SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[50].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

    En 2020, la commune comptait 1 785 habitants[Note 8], en diminution de 9,34 % par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Saint-Pierre-des-Nids a compté jusqu'à 3 352 habitants en 1841.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 8062 8082 7652 9913 2913 2373 3523 1213 150
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2423 2083 1353 1743 1003 0092 9752 8522 822
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 6632 6002 5232 0041 8671 8831 7711 7461 721
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 7181 6101 4191 5281 5951 7121 8901 9091 932
    2015 2020 - - - - - - -
    1 9911 785-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Activité et manifestations

    • Fête de la Pentecôte en mai.
    • Fête de la pêche en juin.
    • Fête de la musique en juin.
    • Randonnée le Chemin des Arts en août.

    Personnalités liées à la commune

    • Hélène Grégoire, (1904 à La Poôté - 1988), écrivain.
    • Antoine Hyacinthe Moullin de la Blanchère, juge de paix à la Révolution de 1789.
    • Abbé de Verdelin, curé de la paroisse, « non jureur » sous la Révolution.
    • Le soldat Jules Achille du 415e RI né en 1893 à La Pooté (aujourd'hui Saint-Pierre-des-Nids), mort à Vrigne-Meuse dans les Ardennes le [58]. Les derniers tués de la grande guerre appartenaient au 415e RI. Ils étaient au nombre de 21 soldats dont Jules Achille de la classe 13, tué au combat quelques minutes avant le cessez-le-feu, le 11 novembre 1918.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 491
    2. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Nids et Pré-en-Pail-Saint-Samson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Pierre-des-Nids et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Orderic Vital, Hist. eccl., t. V, p. 177.
    25. Ibid., p. 203.
    26. Cart. de Saint-Evroul, f.110
    27. Ibid., f.88
    28. Ibid., f.5
    29. Ibid., f.87
    30. Bibl. des Arts, Le Mans, mss. 1474, f. 76
    31. Arch. nat., JJ 90., f.37
    32. Pouillé
    33. Arch. nat., R/5, 395, f.106
    34. Ins. eccl.
    35. Aveu de la Mayenne
    36. Reg. paroiss.
    37. Hubert Jaillot
    38. Carte de Cassini
    39. Cahiers paroiss.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1495.
    42. « Une nouvelle liste pour les municipales », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    43. « ouest-france.fr : Jean-Luc Gombert, ancien maire de Saint-Pierre des Nids, de sensibilité gaulliste,... » (consulté le ).
    44. « Municipales : Henri Leblond ne briguera pas de 3e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    45. « Jean Rapy a été élu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    46. « Le maire, Jean Rapy, démissionne Â», Orne Hebdo, 09 novembre 2015.
    47. « Angélique Poix, nouveau maire de Saint-Pierre-des-Nids », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    48. « Municipales. Philippe d’Argent pilote la mairie de Saint-Pierre-des-Nids », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    49. « Saint-Pierre-des-Nids. Dominique Savajols nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    50. « Saint-Pierre-des-Nids (53370) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    54. « Menhir dit La Pierre au Diable », notice no PA00109606, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Château du Plessis-Bochard », notice no PA53000003, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. Fichier des arrêtés de protection de biotope de la Direction régionale du l'environnement, de l'aménagement et du logement, consulté le 9 novembre 2015
    57. Liste des communes concernées par un site Natura 2000 en Mayenne, consulté le 9 novembre 2015
    58. Article du Maine Libre vendredi 14 novembre 2008 auteur Frédérique Brehault avec la participation du petit-fils Pierre Gérault de Saint-Biez-en-Belin (sarthe)

    Sources et bibliographie

    « Saint-Pierre-des-Nids », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910 [détail des éditions] (lire en ligne)

    Liens externes

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