Accueil🇫🇷Chercher

GĂ©ographie de Wallis-et-Futuna

Cet article prĂ©sente la gĂ©ographie de Wallis-et-Futuna, collectivitĂ© d'outre-mer française du Pacifique. L'appellation « archipel » appliquĂ© Ă  Wallis-et-Futuna est impropre car les deux Ă®les sont distantes d'environ 250 kilomètres, sans unitĂ© gĂ©ographique ou historique avant l'arrivĂ©e des missionnaires catholiques puis de l'administration française. NĂ©anmoins, tant par la population que par la gĂ©ographie, ces Ă®les possèdent des points communs : ce sont des Ă®les volcaniques au climat tropical, marquĂ©es par l'insularitĂ©.

Localisation

Wallis-et-Futuna au sein de l'Océanie (les zones colorées marquent les eaux territoriales de chaque État ou territoire).

Wallis-et-Futuna est situĂ© dans l'ocĂ©an Pacifique et fait partie de l'OcĂ©anie. Cette collectivitĂ© est constituĂ©e de Wallis (Ă®le principale entourĂ©e d'un lagon et de plusieurs Ă®lots) et des Ă®les Horn (Futuna et Alofi). Leur superficie totale est de 255 km2[1].

Wallis-et-Futuna se trouve dans l'aire culturelle de la Polynésie, dans l'Océanie lointaine. Ces îles sont entourées de plusieurs pays ou territoires : au nord-est, les Tokelau, à l'est les Samoa, au sud les Tonga, au sud-est les Fidji, et au nord-est les Tuvalu. Avant les contacts européens et la christianisation, les Wallisiens et les Futuniens maintenaient des contacts importants avec ces différentes îles (voir histoire de Wallis-et-Futuna).

Territoires limitrophes de Wallis-et-Futuna
Tuvalu Tokelau
Fidji (île de Rotuma) Wallis-et-Futuna Samoa
Fidji Tonga (île de Niuafo'ou) Tonga (île de Niuatoputapu)

Après l'intégration dans la République française (protectorat de 1888 à 1961 puis territoire d'outre-mer en 1961 et collectivité d'outre-mer en 2003), Wallis-et-Futuna fait partie des trois territoires français de l'océan Pacifique, situé à mi-chemin entre la Nouvelle-Calédonie (avec qui elle entretient d'intenses liens) au sud-est et la Polynésie française au sud-ouest.

GĂ©ologie

Carte de Wallis-et-Futuna

Wallis-et-Futuna sont des Ă®les au relief volcanique et aux cĂ´tes très dĂ©coupĂ©es. ProtĂ©gĂ©es par une ceinture de rĂ©cif, elles sont difficiles d'accès. Wallis-et-Futuna possèdent 106 km de cĂ´tes au total[2].

Wallis

Les Ă®les Wallis (77,9 km2)[3], au nord-est, sont composĂ©es d'une Ă®le principale, UvĂ©a, et de plusieurs Ă®lots coralliens. C'est un ancien volcan, situĂ© dans le point chaud des Samoa, qui a commencĂ© Ă  s'enfoncer, laissant ainsi apparaĂ®tre un rĂ©cif corallien et un lagon ouvert sur l'ocĂ©an par quatre passes dont seule une est navigable pour les navires de gros tonnage (passe Honikulu, au sud)[4]. Son point culminant, le mont Lulu, est peu Ă©levĂ© (151 mètres). Bien que dĂ©pourvue de ruisseaux, l'Ă®le est ponctuĂ©e de lacs de cratère dont le plus grand est le lac Lalolalo, et qui constituent de prĂ©cieuses rĂ©serves d'eau douce pour l'Ă®le. Le lac Lanutavake et le lac Lano sont Ă©galement importants[4].

Futuna et Alofi

Futuna et Alofi vues depuis l'espace.

Les Ă®les Horn (64,3 km2)[3], au sud-ouest, sont composĂ©es de deux Ă®les principales : l'Ă®le de Futuna et sa voisine immĂ©diate, l'Ă®le d'Alofi (plus petite, au relief plus accidentĂ©, plus Ă©levĂ© et ne comportant pas de rĂ©cif corallien)[4]. Elles sont ouvertes sur l'ocĂ©an Pacifique. En effet, leur existence est liĂ©e Ă  un volcanisme plus rĂ©cent. Leur point culminant, le mont Puke sur Futuna, est Ă  522 mètres environ[4]. Elles sont traversĂ©es de ruisseaux apportant de l'eau douce et qui ont creusĂ© des vallĂ©es. Futuna est ceinturĂ©e de rĂ©cifs frangeants, mais dĂ©pourvue de lagon[4]. Les montagnes de Futuna sont sujets aux glissements de terrain, et bordĂ©es par une Ă©troite bande littorale[4].

Un bras de mer de 1,8 km et de 200 m de profondeur, le Vasa, sĂ©pare Futuna de Alofi. Cette dernière Ă®le est composĂ©e de plateaux Ă©tagĂ©s au versant nord, culminant avec le mont Kolofau (417 m), tandis que son versant sud est constituĂ© de falaises surplombant des plages[4].

Volcanisme sous-marin

En 2010, un large volcan sous-marin, dénommé Kulo lasi, a été découvert par l'Ifremer au sud-est de Futuna. Cette zone (qui fait partie de la zone économique exclusive de la France) ainsi que plusieurs autres sites explorés contiennent des métaux rares et constituent un intérêt stratégique pour la France[5].

Climat

Le climat de l'archipel est du type tropical maritime, avec une très importante humidité se situant la plupart du temps au-dessus des 80 %, et d'assez fortes températures, toujours comprises au-dessus des 25 °C, ne variant pas tellement entre le jour et la nuit[6].

Le climat de l'archipel peut se décliner en deux principales saisons[7]. La première, qui s'étale approximativement de mai à septembre, est généralement fortement balayée par les alizés, qui participent au rafraîchissement des températures. La seconde, qui comprend les mois d'octobre à avril est, quant à elle, surtout caractérisée par de hautes températures et de très fortes précipitations pouvant parfois être accompagnées par des cyclones.

  • Carte topographique de Wallis
    Carte topographique de Wallis
  • Carte topographique de Futuna et d'Alofi
    Carte topographique de Futuna et d'Alofi
  • Le rĂ©cif-barrière de Wallis
    Le récif-barrière de Wallis
  • Le rĂ©cif frangeant de Futuna
    Le récif frangeant de Futuna
  • Le trou de la tortue, dans le lagon de Wallis.
    Le trou de la tortue, dans le lagon de Wallis.
  • Ă®lots du nord de Wallis : Nukufotu, Nukula'ela'e et Nukuloa.
    îlots du nord de Wallis : Nukufotu, Nukula'ela'e et Nukuloa.
  • Les Ă®lots du centre de Wallis (Tekaviki au premier plan) sous la pluie tropicale.
    Les îlots du centre de Wallis (Tekaviki au premier plan) sous la pluie tropicale.

Utilisation de l'espace Ă  Wallis

CĂ´te fertile

Photo satellite du centre et du nord de Wallis. Les villages sont concentrés sur la côte est, tandis que les zones cultivés se situent à l'ouest.

Historiquement, les Wallisiens ont toujours habité sur la côte[8], en particulier sur la côte est et le sud. En effet, « l'île est cernée d'une étroite bande de terre fertile »[9] constituée de terrains argileux. On trouve en bord de mer de nombreuses sources d'eau douce, ce qui permet l'horticulture. D'autre part, la présence des alizés en juillet et août rend la température plus clémente, et l'habitat côtier permet un accès facile au lagon[10]. Des tarodières se trouvent à proximité de la mer, tandis que les jardins des habitants et les plantations (ignames...) se situent plus à l'intérieur des terres[11]. Les rivages sont constitués de mangroves, en particulier sur la côte ouest[12].

Le taro est cultivé sur la côte est et nord-est, tandis qu'au sud l'agriculture est centrée autour de l'igname, le kape, le bananier et l'arbre à pain[9].

Toafa

Carte du toafa (d'après les données de Géoportail de l'Université de Nouvelle-Calédonie[13])

À l'inverse, le centre et le plateau nord de l'île, dénommé toafa (« désert » en wallisien[14]), est un maquis peu propice aux cultures[11]. Constitué de fougères, pandanus, Hibiscus tiliaceus et Casuarina equisetifolia, il n'a jamais été habité de manière durable, notamment à cause du manque d'eau (pas de rivières ni de sources)[9].

Néanmoins, depuis les années 1970, il a été peu à peu aménagé et des habitations y ont été construites, afin de faire face à l'augmentation de la population et la raréfaction de l'espace en bord de mer[15]. Des routes ont été construites, les maisons ont été reliées en eau et électricité et la perception de cet espace a changé[16] : « ce sont surtout des jeunes couples qui s'installent au toafa, qui veulent construire une maison moderne, et profiter du calme et de la distance de la famille »[8].

ForĂŞt

Enfin, au sud-ouest de l'île, autour du lac Lalolalo, se trouve une forêt tropicale (va’o matu’a ou vao tapu), sous l'autorité du roi (Lavelua) de l'île. Ce dernier peut autoriser son exploitation en cas de besoin[17].

Espace vécu

Une habitation traditionnelle (fale) sur l'îlot de Faioa.
Deux hommes s'affairent entre les poutres d'un toit en construction.
Pose des derniers rangs de pandanus durant un chantier de réfection de la couverture de feuilles de pandanus d'un fale familial à Vaisei, Sigave, Futuna, juin 2017.

D'après Elizabeth Worliczek, l'espace dans lequel évoluent les habitants est constitué de la manière suivante. Autour de l'habitation familiale (fale) se trouvent le parc à cochons, un abri pour faire la cuisine (paito), ainsi que des jardins. Cette maison se trouve dans un village, lui-même présent dans l'un des trois districts de l'île. Le « centre », Mata Utu (où se situe l'administration, le palais royal et les principaux magasins), est également un lieu important que les habitants fréquentent régulièrement. Enfin, on trouve les îlots (motu), qui appartiennent aux différentes familles wallisiennes. Parfois cultivés, ce sont surtout des endroits où l'on va pour se détendre et se reposer[18].

La vie quotidienne est ainsi orientée vers l'est et les habitants vont « vers l'arrière » (muli) lorsqu'ils se rendent dans les plantations situées à l'ouest de l'île[19].

Organisation administrative

Wallis-et-Futuna forme depuis 2003 une collectivité d'outre-mer à part entière. L’État français y est représenté par un administrateur supérieur qui a le rang de préfet. Wallis abrite la circonscription d'Uvea (qui assure des services similaires à ceux remplis en métropole par les communes, plus des responsabilités coutumières)[20], et Futuna abrite une délégation du préfet[21].

Royaumes coutumiers

Wallis-et-Futuna est découpé en trois royaumes coutumiers : Uvea, qui correspond à l'île de Wallis, et à Futuna les royaumes d'Alo et de Sigave. Les souverains, choisis parmi les familles nobles, sont reconnus par l’État français et ont autorité sur le foncier, les affaires coutumières, la gestion des ressources, et plus généralement le maintien de l'organisation sociale et le respect de la coutume (les valeurs fondamentale de la société, les dons et cérémonies associées, et la chefferie chargée de faire respecter ces traditions)[22]. Les rois sont assistés de ministres coutumiers (six à Wallis), qui portent des titres précis selon leur rang et leur fonction ; cela forme la « grande chefferie »[22].

Districts

Carte administrative de l'île de Wallis montrant le district de Hahake en surbrillance au centre.
Wallis est divisée en trois districts: Hihifo (nord), Hahake (centre), Mu'a (sud).

Wallis compte trois districts : Hihifo au nord, Hahake au centre, Mu'a au sud. Hihifo signifie « ouest » ou « descente », Hahake signifie « est, orient, montée » et Mu'a se traduit par « le premier, marcher en tête, en avant ». Pour Worlizcek, cette dénomination vient en partie du mouvement du soleil : « les gens de Mu'a voient le soleil se lever en premier le matin. Les gens de Hahake voient la montée, et les gens de Hihifo voient la descente »[23]. Ainsi, dans la vision wallisienne, le sud est en avant. Cette perception de l'espace est l'héritage de la conquête de l'île par les Tongiens, qui ont fortifié le sud de l'île (Mu'a) pour résister au nord (Hihifo), demeuré indépendant[24]. D'autre part, Worliczek fait remarquer que le nom des trois districts fait écho à la situation aux Tonga : Mu'a, la demeure du Tu'i Tonga, se trouvait à Hahake (à l'est de Tongatapu) tandis que le district de Hihifo était son adversaire[15].

Les districts ont été fixés à la fin du 19e siècle par les autorités françaises dans le cadre du protectorat de Wallis-et-Futuna, en « [s'appuyant] sur une division territoriale ancienne »[22], qui fait l'intermédiaire entre le territoire et le village. Chaque district est dirigé par un chef, faipule, nommé par le roi[25]. Il est doté de pouvoirs de police et de justice[22].

Villages

Route d'entrée dans le village de Falaleu à Wallis (2017).

Wallis-et-Futuna ne comportent pas de communes, mais sont constituées de villages : 21 à Wallis, 9 à Alo et 6 à Sigave. Ils sont dirigés par des chefs de village (pule kolo), chargés de gérer la vie quotidienne. Ils sont « souvent jeunes et instruits, parlant le wallisien [ou le futunien] et le français, [et] jouent aujourd’hui un rôle important auprès de la population »[22].

Transports

Voitures

La première voiture arrive à Wallis en 1928 ; jusqu'aux années 1970, les véhicules à moteur sont rares et réservés aux notables : évêque et prêtres de la mission, sénateur, préfet[26]. La majorité de la population se déplace à pied ou à cheval, animal utilisé pour se déplacer dans les plantations et transporter des charges. Le cheval, apporté par les missionnaires maristes en 1844, reste pendant plus d'un siècle le moyen de locomotion le plus utilisé, avant d'être remplacé par les véhicules à moteur[26]. La première route est construite par l'armée américaine en 1942 et traverse l'intérieur de Wallis[27] ; après le passage au statut de territoire d'outre-mer, l’État français investit dans le réseau routier : « 86,2 km de voies territoriales et 24 km de routes secondaires » sont créées ou améliorées. D'abord en cailloux, les routes sont progressivement bitumées à partir des années 1980[28]. De 1985 à 1988 est construite la RT1, une route qui fait le tour de Futuna[29].

Dans les années 1980, les scooters de type vespa se généralisent. Ils permettent de transporter des charges (sac de coco ou de manioc...) ou des passagers et parcourent aisément les chemins étroits qui relient les villages[26].

Les habitants se plaignent régulièrement du mauvais état des routes, et sont parfois conduits à entretenir eux-mêmes les routes en rebouchant les nids de poule[30]. Le réseau routier est également endommagé par les cyclones qui frappent régulièrement les deux îles, et les travaux de remise en état peuvent prendre plusieurs années[31].

Aviation

Le DHC-6 Twin Otter "Ville de Paris" relie l'aérodrome de Futuna Pointe Vele à l'aéroport de Wallis-Hihifo depuis 1986. La liaison inter îles a été ouverte au début des années 1970.

Wallis possède un aérodrome situé dans le district de Hihifo. Ancienne piste construite par l'armée américaine durant la Seconde Guerre mondiale en 1942, elle est réhabilitée en 1957 et devient l'aéroport de Wallis-Hihifo[32]. Les liaisons aériennes ont lieu vers Futuna et Nouméa, via Nadi aux Fidji. Des liaisons ont également existé vers la Polynésie française. À Futuna, l'aérodrome de la Pointe Vele créé autour de 1968 permet des liaisons aériennes avec Wallis[33]. Les vols sont assurés par la compagnie Aircalin depuis 1987.

Transport maritime

Wallis compte un wharf à Mata Utu et au sud à Halalo. Futuna, dépourvue de lagon, est plus difficile d'accès ; le seul wharf est situé à Leava, dans l'anse de Sigave[34].

Frontières maritimes et zone économique exclusive

Frontières

Cinq frontières de la France sont délimitées par les eaux territoriales de Wallis-et-Futuna : avec les Fidji, les Samoa, la Nouvelle-Zélande (Tokelau), les Tonga et les Tuvalu[35]. Wallis-et-Futuna est d'ailleurs le territoire français d'outre-mer qui génère le plus de frontières, devant la Nouvelle-Calédonie (quatre frontières) et la Polynésie française (trois frontières)[36]. Ces frontières ont été fixées dans les années 1980 (1980 pour les Tonga, 1983 pour Fidji, 1985 pour Tuvalu) et juin 2003 pour la Nouvelle-Zélande. Seule la frontière avec les Samoa n'a, en 2022, pas été délimitée juridiquement.

Zone Ă©conomique exclusive

De par sa situation insulaire, Wallis-et-Futuna dote la France d'une zone Ă©conomique exclusive de 256 745 km2[37]. Cette ZEE a Ă©tĂ© Ă©tablie en 1978 par un dĂ©cret, en mĂŞme temps que les ZEE de Nouvelle-CalĂ©donie, de PolynĂ©sie française et de Clipperton[38]. En 2012, la France dĂ©pose une demande d'extension du plateau continental au nord de la ZEE, qui donne sur les eaux internationales[39]. La ZEE est peu exploitĂ©e pour la pĂŞche[40], qui reste majoritairement artisanale et proche des cĂ´tes[4]. Des accords ont Ă©tĂ© passĂ©s avec les États-Unis en 1991 et renouvelĂ©s en 2015 pour les autoriser Ă  exploiter les ressources halieutiques en Ă©change de compensations financières[41]. De 2010 Ă  2012, trois expĂ©ditions sont menĂ©es au sud de la ZEE pour cartographier les fonds marins et recenser d'Ă©ventuelles ressources minières sur le sous-sol. NĂ©anmoins, la crainte d'une exploitation minière entraĂ®ne une vive opposition de la population wallisienne et futunienne ainsi que des autoritĂ©s coutumières[42]. Pour les rois coutumiers de Wallis-et-Futuna et leur chefferie, dont le statut de 1961 leur garantit la gestion des affaires foncières, l'ocĂ©an et le sous-sol marin relèvent de leur autoritĂ©, car ils sont une extension de la terre[42]. L'extension du code minier Ă  Wallis-et-Futuna est jugĂ© dĂ©favorable par l'AssemblĂ©e territoriale (bien qu'elle ne dĂ©tienne pas le pouvoir exĂ©cutif) en septembre 2014, ce qui interrompt le processus lĂ©gislatif et industriel[42].

Bibliographie

  • Elisabeth Worliczek, La vision de l’espace littoral sur l’île Wallis et l’atoll Rangiroa dans le contexte du changement climatique : Une analyse anthropologique de la perception des populations locales (Thèse de doctorat en Anthropologie), UniversitĂ© de la Nouvelle-CalĂ©donie/Universität Wien, , 503 p. (DOI 10.6098/2013NCAL0049, lire en ligne)
  • Dominique Pechberty et Epifania Toa, Vivre la coutume Ă  Ę»Uvea (Wallis), L'Harmattan, (lire en ligne)

Références

  1. (en) Hanns JĂĽrgen Buchholz, Law of the Sea Zones in the Pacific Ocean, Institute of Southeast Asian Studies, (ISBN 978-9971-988-73-9, lire en ligne), p. 102
  2. IGN magazine, no 54, juillet-août 2009, p. 8. Lire en ligne [PDF]
  3. « Présentation générale, Préfecture de Wallis-et-Futuna »
  4. Frédéric Angleviel, « L'homme et la mer à Wallis et Futuna », dans Gilles Blanchet (dir.), Les petites activités de pêche dans le Pacifique Sud, IRD éditions, (lire en ligne), p. 83-92
  5. « La France relance la course aux métaux rares », sur lesechos.fr (consulté le )
  6. Ministère des Outre-mer, « Présentation de Wallis-et-Futuna » (consulté le )
  7. Continent Océanien, « Caractéristiques de l'archipel de Wallis-et-Futuna » (consulté le )
  8. Worliczek 2013, p. 113-114
  9. Bernard Vienne et Daniel Frimigacci, « Les fondations du royaume de ’Uvea: Une histoire à revisiter », Journal de la société des océanistes, nos 122-123,‎ , p. 27–60 (ISSN 0300-953X et 1760-7256, DOI 10.4000/jso.529, lire en ligne, consulté le )
  10. Pechberty et Toa 2004, p. 211
  11. Worliczek 2013, p. 62
  12. « GeoPortail UNC », (cliquer sur "mangroves" pour les afficher), sur grimm.univ-nc.nc (consulté le )
  13. « GeoPortail UNC », sur grimm.univ-nc.nc (consulté le )
  14. (fr + wls) Karl H. Rensch, Tikisionalio Fakauvea-Fakafalani - Dictionnaire wallisien-français, Archipelago Press, (lire en ligne)
  15. Worliczek 2013, p. 101
  16. Worliczek 2013, p. 159-160
  17. Sophie Chave-Dartoen, « Ignames, enfants des hommes. Horticulture et reconduction du social à Wallis (Polynésie occidentale)1 », Journal de la société des océanistes, nos 130-131,‎ , p. 145–160 (ISSN 0300-953X et 1760-7256, DOI 10.4000/jso.6057, lire en ligne, consulté le )
  18. Worliczek 2013, p. 96
  19. Worliczek 2013, p. 102
  20. « Circonscription d'Uvéa / Services de l'Etat et du Territoire / Accueil - Les services de l'État à Wallis et Futuna », sur www.wallis-et-futuna.gouv.fr (consulté le )
  21. « Délégation de Futuna / Services de l'Etat et du Territoire / Accueil - Les services de l'État à Wallis et Futuna », sur www.wallis-et-futuna.gouv.fr (consulté le )
  22. Françoise Douaire‑Marsaudon, « Droit coutumier et loi républicaine dans une collectivité d’outre‑mer française (Wallis‑et‑Futuna) », Ethnologie française, vol. 169, no 1,‎ , p. 81 (ISSN 0046-2616 et 2101-0064, DOI 10.3917/ethn.181.0081, lire en ligne, consulté le )
  23. Worliczek 2013, p. 100
  24. Christophe Sand, « Empires maritimes préhistoriques dans le Pacifique : Ga'asialili et la mise en place d'une colonie tongienne à Uvea (Wallis, Polynésie occidentale) », Journal de la Société des océanistes, vol. 108, no 1,‎ , p. 103–124 (DOI 10.3406/jso.1999.2081, lire en ligne, consulté le )
  25. Sophie Chave-Dartoen, « Introduction », dans Royauté, chefferie et monde socio-cosmique à Wallis ('Uvea) : Dynamiques sociales et pérennité des institutions, pacific-credo Publications, coll. « Monographies », (ISBN 978-2-9563981-7-2, lire en ligne)
  26. « DOCU. Léone Vaitanoa raconte l'histoire de Wallis-et-Futuna à travers l'évolution de ses moyens de transports », sur Outre-mer la 1ère, (consulté le )
  27. Frédéric Angleviel, « Wallis-et-Futuna (1942-1961) ou comment le fait migratoire transforma le protectorat en TOM », Journal de la Société des océanistes, nos 122-123,‎ , p. 63 (lire en ligne)
  28. Roux 1995, p. 333
  29. Jean-Claude Roux, Wallis et Futuna : Espaces et temps recomposés. Chroniques d'une micro-insularité, Talence, Presses universitaires de Bordeaux, , 404 p. (ISBN 2-905081-29-5, lire en ligne), p. 333
  30. « Futuna : rebouchage des routes à l'ancienne - Wallis et Futuna la 1ère », Wallis et Futuna la 1ère,‎ (lire en ligne, consulté le )
  31. « Quatre kilomètres de route refaite à Futuna en 2018 - Wallis et Futuna la 1ère », Wallis et Futuna la 1ère,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. Raymond Mayer, « Le classement des archives administratives de Wallis-et-Futuna (1951-2000) de Gildas Pressensé », Journal de la Société des Océanistes, no 129,‎ , p. 305–322 (ISSN 0300-953x, lire en ligne, consulté le )
  33. Marcel Gaillot, « Futuna. Un isolement pénalisant », Journal de la Société des Océanistes, no 135,‎ , p. 265–268 (ISSN 0300-953x, lire en ligne, consulté le )
  34. Frédéric Angleviel et Claire Moyse-Faurie, « Futuna ou "l'enfant perdu"... un timide biculturalisme », Hermès, La Revue, nos 32-33,‎ , p. 377-384 (DOI 10.4267/2042/14395, résumé, lire en ligne [PDF])
  35. Didier Ortolland, Atlas géopolitique des espaces maritimes : frontières, énergie, transports, piraterie, pêche et environnement : première cartographie exhaustive du plateau continental, Technip, (ISBN 978-2-7108-0947-0, lire en ligne), p. 174, 177
  36. François Taglioni, « Les petits espaces insulaires au cœur des revendications frontalières maritimes dans le monde », L’Espace Politique. Revue en ligne de géographie politique et de géopolitique, no 1,‎ (ISSN 1958-5500, DOI 10.4000/espacepolitique.732, lire en ligne, consulté le )
  37. « Tableau des superficies : Superficies des espaces maritimes de souveraineté et de juridiction de la France », sur limitesmaritimes.gouv.fr,
  38. (en) Hanns JĂĽrgen Buchholz, Law of the Sea Zones in the Pacific Ocean, Institute of Southeast Asian Studies, (ISBN 978-9971-988-73-9, lire en ligne), p. 85-86
  39. « Le programme d’EXTension RAisonnée du PLAteau Continental (Extraplac) », Taï Kona,‎ , p. 18-26 (lire en ligne [PDF])
  40. « L’économie bleue à Wallis-et-Futuna : Un secteur clé de la vie économique locale », Institut d'émission d'outre-mer - Note Express, no 184,‎ (lire en ligne)
  41. « Vives réactions à Wallis et Futuna à l'annonce d'un accord de pêche avec les USA », sur Wallis-et-Futuna la 1ère (consulté le )
  42. Pierre-Yves Le Meur et Valelia Muni Toke, « Une frontière virtuelle : l’exploitation des ressources minérales profondes dans le Pacifique », VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement, no Hors-série 33,‎ (ISSN 1492-8442, DOI 10.4000/vertigo.29723, lire en ligne, consulté le )
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.