Fresnières
Fresnières est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Fresnières | |||||
Carte postale du village vers 1910. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays des Sources | ||||
Maire Mandat |
Jean-Claude Gout 2020-2026 |
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Code postal | 60310 | ||||
Code commune | 60258 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
161 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 54 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 37′ 22″ nord, 2° 48′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 76 m Max. 98 m |
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Superficie | 2,97 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Compiègne (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thourotte | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Fresnières est un village rural du Santerre du nord de l'Oise, limitrophe du département de la Somme, situé à 9 km à vol d'oiseau au sud de Roye, 24 km au sud-ouest de Ham, 14 km au nord-ouest de Noyon, 22 km au nord de Compiègne et 39 km au nord-est de Clermont.
Il est desservi par la RD 149 qui me relie à Roye et à Lassigny, et par la RD 160, d'intérêt plus local.
En 1850, Louis Graves indiquait que « la commune de Fresnières est assise dans la plaine de la région septentrionale du canton, qui se lie au pays de Santerre ; le village ne forme qu'un eseule rue rendue impraticable en hiver par la nature trop argileuse du sol : cet état permanent de dégradation des chemins, qui empêche les communications, est une cause d'appauvrissement pour le pays. Il n'y a point d'eau sur le territoire, qui est couvert de bois au nord et à l'ouest[1] ».
Communes limitrophes
Crapeaumesnil | ||||
Beuvraignes Somme |
N | Amy | ||
O Fresnières E | ||||
S | ||||
Canny-sur-Matz | Lassigny |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 36 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Fresnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), prairies (17,6 %), zones urbanisées (10,1 %), forêts (1,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 68, alors qu'il était de 68 en 2014 et de 60 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 95,6 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 4,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fresnières en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0 %) inférieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (93,8 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Histoire
Moyen Âge
Un château-fort doté de huit tours se trouve au Moyen-Âge à Fresnières[1]. Un second château-fort semble avoir existé au lieu dit le Château de Plaisance. A la fin du XIXe siècle, on y voyait encore les vestiges d'une enceinte circulaire de vingt mètres de diamètre, entourée de fossés larges et profonds, au centre desquels se trouvait une motte d'au moins cent soixante mètres de circonférence, dans laquelle se trouvait des fondations du bâtiment[22].
Louis Graves indiquait en 1850 « il y a dans le village un emplacement qu'on croit avoir été occupé par un établissement de Templiers : on y trouve beaucoup d'ossements, et on y a recueilli des médailles romaines[1] ».
Temps modernes
Le duc du Châtelet, seigneur de Fresnières, obtient du roi Louis XIV des subsides pour reconstruire l'église, dont le chantier s'achève en 1730[1]. Il fait démolir l'ancien château-fort, « ruiné par les guerres », qu'il remplace par un nouveau [1].
Sous l'Ancien Régime, Fresnières fait partie du bailliage et du grenier à sel de Roye, de l'élection de Noyon et de l'intendance de Soissons[22].
Époque contemporaine
En 1850, Fresnières compte 58 maisons et ses habitants sont principalement des bûcherons et des laboureurs[1].
Le Père Enfantin a des émules à Fresnières, où un phalanstère est construit sans toutefois être achevé[22].
En 1911, le village compte 55 maisons, 46 ménages et 155 habitants[23].
Première Guerre mondiale
Dès le début de la guerre, le village est envahi le par l'armée allemande et il se trouve sur la ligne de front ensuite, notamment lors de la course à la mer. Parmi la partie des habitants demeurés sur place, les hommes en âge de se battre sont faits prisonniers et déportés en Allemagne[23].
La commune est continuellement prise sous le feu des bombardements[23].
Elle est temporairement libérée le , lors du retrait allemand de l'Opération Alberich, et demeure en zone avancée alliée sous contrôle militaire strict. Des essais de canons de tranchées y sont réalisés en en présence des généraux Humbert et Pétain. Occupée à nouveau le , Fresnières, totalement rasée, n'est définitivement libérée que le [23]. Des monuments tels que le petit château Renaissance ou l'église, il ne reste aujourd'hui plus rien. Quelques traces de tranchées subsistent dans le bois des Loges tout proche.
- Essai d'un mortier de 75 Jouhandeau-Deslandres en septembre 1917
- Autre image du même essai
Elle a été décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le [24].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thourotte
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Fresnières est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Liste des maires
Équipements et services publics
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Lassigny, de Plessis-de-Roye, Gury et de Crapeaumesnil dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[29] (RPI).
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2020, la commune comptait 161 habitants[Note 8], en diminution de 2,42 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 80 hommes pour 84 femmes, soit un taux de 51,22 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de l’Assomption Notre-Dame, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale en 1929-1930 sur les plans de l’architecte Prêtre. Elle préserve un souvenir de l'édifice précédent sous son porche : une plaque commémorative rappelant sa restauration en 1822-23 grâce aux dons du comte d’Artois et du duc d’Angoulême.
L'édifice, mélange de style néo-roman et de style art déco, est bâti en pierres taillées avec bossage et comprend le traditionnel massif de façade avec porche encadré par un baptistère et l’accès au clocher, une nef unique de trois travées, un transept débordant et une abside à cinq pans[35].
Personnalités liées à la commune
Le nom de certains seigneurs de Fresnières nous est parvenu. Emile Coët indique que « la famille du Châtelet posséda longtemps la terre de Fresnières[22] » :
- Claude du Châtelet, seigneur de Fresnières et de Moyencourt, se marie avec Louise La Chaussée. Leur fils, Laurent, seigneur de Fresnières, se marie le , à Louise de Saint-Simon[22].
- Anne-Marie du Châtelet, fille de Laurent du Châtelet et de Catherine Favier de Bains, se marie le avec Jacques-François Choiseul, lieutenant général au gouvernement de Champagne ; elle meurt le , âgée de soixante-un ans, à l'abbaye Saint-Pierre de Poulangy, diocèse de Langres. Parmi ses douze enfants, on note Jacques du Châtelet, seigneur de Fresnières, conseiller au grand Conseil. Il épouse en 1669, Madeleine Niquery, qui meurt le , sans lui laisser d'enfants[22].
La maison du Châtelet est maintenue dans l'état de noblesse par un jugement du 11 janvier 1706[22].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Fresnières (60258) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Fresnières », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Fresnières » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Fresnières » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnières - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Fresnières - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise, Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 58-59, sur Google Livres.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Fresnières et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Fresnières et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, A. Mennecier lieu=Compiègne, , 462 p. (lire en ligne), p. 206-208, sur Gallica.
- « Fresnieres dans la Grande Guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
- Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Fresnières », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Fresnières », Cartes de France (consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- Stephane Lebarber, « Pétition pour une classe supplémentaire à l’école maternelle de Lassigny : Les parents d’élèves réclament l’ouverture en septembre d’une quatrième classe dans cet établissement, qui accueille non seulement les enfants de Lassigny, mais aussi ceux de Plessier-de-Roye, Gury, Crapeaumesnil et Fresnières », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fresnières (60258) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Dominique Vermand, « Fresnières, église de l’Assomption Notre-Dame : Diocèse : Noyon », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).