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Foulangues

Foulangues est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Foulangues
Foulangues
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC Thelloise
Maire
Mandat
Annie Blanquet
2020-2026
Code postal 60250
Code commune 60249
Démographie
Gentilé Foulanguois
Population
municipale
197 hab. (2020 en diminution de 0,51 % par rapport à 2014)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 32″ nord, 2° 18′ 52″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 119 m
Superficie 5,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Foulangues
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Foulangues

    Géographie

    Description

    Ambiance du village : vieille ferme rue Saint-Denis et clocher de l'église.

    Foulangues est un bourg rural picard du Pays de Thelle, situé à 12 km à vol d'oiseau à l'ouest de Creil, 46 km au nord de Paris, 30 km au nord-est de Pontoise, 14 km au nord-est de Méru et 24 km au su-est de Beauvais. Il est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 329 qui relie Beaumont-sur-Oise à Clermont (actuelle RD 929)..

    D'une superficie de 5,1 km2, la commune compte environ 50 % de bois et forêts[1].

    Le sentier de grande randonnée GR 11 passe à Foulangues.

    Louis Graves indiquait en 1842 que « le territoire, de figure ellipsoïde, est traversé , dans sa partie moyenne par le vallon de Cire sur le versant droit duquel le chef-lieu est situe. On ne peut guère compter dans ce village qu'une seule rue à niveau inégal et largeur variable[2]. »

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Foulangues
    Balagny-sur-Thérain
    Ully-Saint-Georges Foulangues
    Cires-lès-Mello

    Hydrographie

    Le ruisseau de Cires coule sur le territoire communal[1].

    • Vestiges des aménagements hydroliques du Vieux moulin.
      Vestiges des aménagements hydroliques du Vieux moulin.
    • Vestiges des aménagements hydroliques du Vieux moulin.
      Vestiges des aménagements hydroliques du Vieux moulin.
    • Source, rue Saint-Denis.
      Source, rue Saint-Denis.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Foulangues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (67,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,5 %), forêts (31,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), prairies (1,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 90, alors qu'il était de 86 en 2014 et de 86 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 81,1 % étaient des résidences principales, 11,1 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Foulangues en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,1 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,5 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Foulangues en 2019.
    Typologie Foulangues[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 81,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,1 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 7,8 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée sous les noms de Foulangues , Foulangre , Foulengues , Foullangue[2].

    Ce nom est dérivé de Fullonica issu du latin Fullo Fullonis (Foulon) nom de métier dont l'activité s'exerçait auprès de la rivière Cires.

    Histoire

    Moyen Âge

    Foulangues, autrefois fief de l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais, est citée dans de nombreuses archives depuis 1119 dont le témoignage de Eudes de Fulengis au sujet des donations passées entre les religieux de Saint-Leu et le comte de Clermont.

    La seigneurie a été longtemps partagée partagées entre le seigneur de Balagny-sur-Thérain et l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais[2].

    L'abbaye Saint-Lucien appliquait la haute justice sur ces terres[23].

    À l'origine, les rares habitations se dispersaient à l'est de la ferme Saint-Lucien et autour du lavoir utilisé par les premiers foulons[24].

    Temps modernes

    Le village compte des carrières de pierres qui ont servi notamment à la construction de l’hôtel de ville de Beauvais, vers 1754[1].

    Époque contemporaine

    En 1842, la commune compte deux carrières et deux moulins à eau. Les habitants se consacrent principalement à l'agriculture, mais quelques femmes travaillent la soie[2].

    Au XIXe siècle et au début du XXe siècle, la commune comptait 51 maisons, et on y trouvait toujours les deux moulins à eau, ainsi qu'unfabricant de boutons[1].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Montataire

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[26] - [27].

    La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [28].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 Jean Famin
    16 septembre 1792 Vincent Fillion
    1812 Jean Buquet
    4 janvier 1816 Louis Martin
    1er avril 1817 Jean Boulanger
    17 décembre 1821 Louis Martin
    23 juillet 1826 Denis Desjardins
    6 février 1832 Samuel Noël
    1er novembre 1834 mai 1837 Louis Martin (fils)
    5 juillet 1840 Jean Souillard
    5 juillet 1846 Jean Desjardins
    28 août 1870 Louis Désiré Noël
    30 janvier 1881 Valentin Noël
    18 mai 1884 Louis Désiré Noël
    15 mai 1892 Alphonse Noël
    17 mai 1896 Victor Fournet
    26 novembre 1911 Charles Durand
    10 décembre 1918 Henri Overt
    12 mai 1929 Henri Fillion
    24 mai 1945 Désiré Depuille
    8 mars 1959 Charles Rebatel
    5 juillet 1967 Émile Bouchet
    28 mars 1971 Pierre Gisserot
    24 mars 1989[1] 2008 Jacques Verloock[30]
    mars 2008[1] En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Annie Blanquet Agricultrice
    Réélue pour le mandat 2020-2026[31] - [32]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

    En 2020, la commune comptait 197 habitants[Note 8], en diminution de 0,51 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    193197204181191192194187182
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    167162157136137130130122102
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9410690828991807686
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    878190128176167201199197
    2020 - - - - - - - -
    197--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 107 hommes pour 91 femmes, soit un taux de 54,04 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,1
    2,8
    75-89 ans
    1,1
    17,0
    60-74 ans
    23,1
    22,6
    45-59 ans
    19,8
    19,8
    30-44 ans
    22,0
    13,2
    15-29 ans
    15,4
    24,5
    0-14 ans
    17,6
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Économie

    En 2016, le village ne compte plus de commerces de proximité. L'activité économique est constituée par une ferme en activité, quelques artisans et un étang de pêche privé[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Foulangues compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Denis (classée monument historique par arrêté du 11 septembre 1906[39] : Elle comporte probablement des parties d'une église plus ancienne, bâtie à la fin du XIe ou au début du XIIe siècle : ce sont les parties hautes de la nef, invisibles depuis l'extérieur.
      L'église a été bâtie, selon la tradition par l'Abbaye de Saint-Denis[2], pendant une seule campagne de travaux à partir des années 1140, et affiche un style roman tardif, qui annonce déjà le gothique par la qualité de la sculpture de ses chapiteaux, la composition rigoureuse de ses piliers cantonnées, et son voûtement d'ogives, même si l'iconographie des chapiteaux et les profils archaïques des tailloirs, des ogives et des arcades sont encore proprement romans.
    L'église de Foulangues est, malgré ses petites dimensions, l'une des plus remarquables de la région. Ses murs extérieurs ne trahissent en rien le caractère de l'édifice qu'ils renferment, car ils ont été presque entièrement rebâtis à divers époques.
    La chapelle latérale nord du chœur est gothique et date d'autour de 1200, et la chapelle latérale sud, qui est flamboyante et date de la première moitié du XVIe siècle, sont à l'intérieur conformes au style des façades. Ces chapelles remplacent de toute évidence des absidioles romanes, dont ne subsistent plus que les chapiteaux à l'entrée.
    Le clocher octogonal se rattache au groupe de clochers octogonaux romans de la région, mais il n'a été réalisé que longtemps après la croisée du transept qui le supporte, en même temps que la chapelle du nord, et affiche le style gothique. Sa flèche de pierre a été abattue en 1842.
    Presque abandonnée au XIXe siècle, l'église se dégrade successivement. Sa restauration commence par une première campagne en 1928-1930 et est rendu possible grâce à la générosité d'un donateur américain, alors que l'église menace de s'effondrer[40].


    • L'église Saint-Denis
    • Détail du clocher.
      Détail du clocher.
    • Corniche beauvaisine et masques sur le mur occidental du collatéral sud du chÅ“ur.
      Corniche beauvaisine et masques sur le mur occidental du collatéral sud du chœur.
    • Nef et poutre de gloire
    • Croisée d'ogives du chÅ“ur et autel
      Croisée d'ogives du chœur et autel
    • Piscine liturgique.


    • Autres éléments du patrimoine
    • Bâti ancien, rue Saint-Denis.
      Bâti ancien, rue Saint-Denis.
    • Maison de vigneron, rue Saint-Denis.
      Maison de vigneron, rue Saint-Denis.
    • Cave externe, rue Saint-Denis.
      Cave externe, rue Saint-Denis.
    • Rue Saint-Denis.
      Rue Saint-Denis.
    • Ferme à l'ouest de l'église.
      Ferme à l'ouest de l'église.

    Personnalités liées à la commune

    Le nom de certains seigneurs et féaudaux de Foulangues nous est parvenu :

    • Le cardinal Chollet légue en 1286.à l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais tout ce qu'il possédait à Foulangue[2].
    • Philippe II de Trie, seigneur du Plessis-Gassot et de Mareuil, donne vers 1350 au même monastère les biens qu'il avait acquis en ce lieu, moyennant quatre grandes messes avec diacre et sous-diacre, à célébrer tous les ans pour le repos de son âme[2].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Roger Ana, Histoire de Foulangues, , 187 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Foulangues », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).


    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Philippe Delattre, « Foulangues : ses pierres ont servi à bâtir la mairie de Beauvais : Quatorzième opus de notre série d’articles consacrés aux villages de la Communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », L’Écho du Thelle, no 653,‎ , p. 5.
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Neuilly-en-Thelle, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 144 p. (lire en ligne), p. 76-, sur Google Livres.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Airion - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Foulangues et Airion », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Airion - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Foulangues et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. « L'église Saint-Denis de Foulangues », Autour de Balagny, Balagny Patrimoine, (consulté le ).
    24. Roger Ana, Histoire de Foulangues'.
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