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Faubourg de BĂ©thune

Le Faubourg de Béthune est un quartier du Sud-Ouest de Lille, classé zone franche urbaine.

Faubourg de BĂ©thune
Faubourg de BĂ©thune
École Samain-Trulin et mairie du Faubourg de Béthune
Administration
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Nord
Ville Lille
Arrondissement Lille
DĂ©mographie
Population 7 702 hab.
DensitĂ© 7 335 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 50° 37′ 05″ nord, 3° 01′ 58″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 46 m
Superficie 105 ha = 1,05 km2
Transport
Gare Lille – CHR
MĂ©tro (1) (2) Porte des Postes
Localisation
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Faubourg de BĂ©thune
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Faubourg de BĂ©thune

    GĂ©ographie

    Le Faubourg de Béthune est le territoire situé au sud-ouest de Lille, délimité au nord-est par les boulevard de Metz et de la Moselle, ancien boulevard Militaire qui parcourait l'intérieur des fortifications de Lille, à l'ouest par la délimitation entre Lille et Loos et au sud par la voie de chemin de fer Lille-Don-Sainghin, qui sépare le Faubourg de Béthune de Lille-Sud. Ce territoire était complètement extra-muros jusqu'à l'arasement des fortifications au début du 20e siècle. Il se raccorde au Lille «intra-muros» par la place Antoine-Tacq, emplacement de l'ancienne porte de Béthune.

    Le tracé de l'autoroute A25, qui constitue le boulevard périphérique sud divise le quartier en deux zones vivant séparément : à l'est du périphérique, des grands ensembles construits le long des boulevards de Metz et de la Moselle, adossés au périphérique, notamment le groupe Concorde, l'un des secteurs les plus pauvres de France[1] ; à l'ouest du périphérique, le «vieux faubourg», tissu urbain dans la continuité de celui de Loos, relié au reste de la ville de Lille par un pont franchissant l'autoroute A25..

    Scindé par le boulevard périphérique, délimité et parcouru par des grands axes (boulevard de Metz, boulevard de la Moselle, avenue Beethoven) et de gros échangeurs routiers (rond-point du boulevard de la Moselle et place Barthélémy-Dorez), coupé des autres faubourg du sud par la voie SNCF, le quartier du Faubourg de Béthune présente plusieurs ensembles enclavés géographiquement (Concorde, secteur Baltique, avenue Verhaeren, chemin de Bargues).

    Histoire

    La rue du Faubourg de Béthune, suit le tracé de la route de Lille qui est attestée sur des documents qui datent du XIe siècle. Cette voie de communication appartenait au village d’Esquermes. La route de Béthune s’est industrialisée à partir de 1853, notamment grâce à la création de la filature Thiriez, qui devient l’employeur principal des villages d’Esquermes et de Loos-les-Lille. C’est en 1858 que naît le Faubourg de Béthune, en dehors des murs d’enceinte. Le Faubourg de Béthune rejoint la place Antoine Tacq à la commune de Loos lez Lille mais les industries ont disparu[2].

    Lors de l'Ă©dification des nouvelles fortifications de la ville Ă  la suite de son extension de 1858, le quartier n'Ă©tait encore Ă  cette Ă©poque qu'une zone rurale rĂ©servĂ©e Ă  l'activitĂ© agricole[3]. Il Ă©tait surnommĂ© « la banlieue d’Esquermes », il a connu au cours de la seconde moitiĂ© du XIXe siècle et au dĂ©but du XXe siècle, un dĂ©veloppement industriel considĂ©rable autour de l'expansion de la filature de coton Thiriez qui couvre, Ă  la veille de la Première Guerre mondiale, une superficie de 19 hectares. Progressivement, le quartier se peuple d'habitations ouvrières et d'Ă©quipements collectifs, souvent Ă  l'initiative des industriels Thiriez soucieux d'encadrer la vie des ouvriers de l'usine[3]. En 1922, le quartier compte 2 700 habitants et la crĂ©ation d'un centre paroissial et l'Ă©dification d'une Ă©glise apparaissent nĂ©cessaires pour pallier l'exiguĂŻtĂ© de la chapelle proche de la « Crèche Thiriez » qui fait office de lieu de culte dominical. La construction de l'Ă©glise est dĂ©cidĂ©e une dizaine d'annĂ©es plus tard et sa rĂ©alisation est confiĂ©e Ă  l'architecte lillois Jean Delrue. Les travaux, engagĂ©s en 1935, sont achevĂ©s deux ans plus tard et l'inauguration a lieu Ă  la fin de l’annĂ©e 1937[4].

    Le quartier du Faubourg de BĂ©thune Ă©volue au fil de l'histoire et se structure progressivement en 4 principaux sous quartiers[5] :

    Le Vieux Faubourg

    Le quartier du Vieux Faubourg connaît au XIXe siècle une importante métamorphose. Il est jusqu’en 1858 situé dans la banlieue du village d’Esquermes. Lors de l’agrandissement de Lille et de l’incorporation des quartiers de Fives, Moulins, Wazemmes et Esquermes, les fortifications sont agrandies et de nouveaux remparts sont édifiés. La porte de Béthune est alors construite en 1865. Elle sépare le quartier d’Esquermes, rattaché à Lille, du Faubourg de Béthune.

    À cette époque, les entreprises Thiriez déjà installées sur ce secteur depuis 1839, façonnent le quartier. Cette manufacture textile en plein essor va progressivement remplacer les champs et prairies des alentours par des constructions d’usines, d’une retorderie, d’hôtels particuliers, de logements ouvriers organisés en courées, d’infrastructures sociales telles que des écoles, des jardins ouvriers[3]

    De nombreux commerces bordent alors la rue du Faubourg de Béthune qui est un axe et lieu de vie important des Faubourgs de Lille. Cette rue est reliée à Lille par la porte de Béthune et la place Tacq. C'est au XIXe, un très fréquenté de Lille avec le passage des tramways B et H.

    Après la Première Guerre mondiale, les remparts sont progressivement détruits et avec eux les Portes de Béthune et des Postes[3].

    La construction des HBM (Habitations Bon Marché) en 1934

    En 1919, le dĂ©classement de l’enceinte fortifiĂ©e de la ville de Lille est proclamĂ©, libĂ©rant ainsi 275 hectares en partie constructibles sur les pourtours de la ville[5].

    À la suite de cet événement, le maire de Lille, Gustave Delory et la municipalité planifient le développement futur du territoire et amorcent une politique de rénovation. Le quartier du Faubourg de Béthune est alors concerné par des travaux de grandes envergures qui débutent durant l’entre-deux-guerres. Le groupe scolaire Samain Trulin sera construit en 1930 par l’Architecte Joseph Segers afin de remplacer les écoles existantes construites dans des baraquements[5].

    1 400 logements de type HBM (habitation Ă  bon marchĂ©) seront Ă©galement crĂ©Ă©s parmi lesquels le groupe Verhaeren dont les travaux, dĂ©butĂ©s en 1934, s’achèveront en 1936. Construit par l’Office Municipal des HBM de Lille, cet ensemble de 8 bâtiments implantĂ©s en Ă©pis compte 265 logements. “Il se caractĂ©rise par une architecture soignĂ©e aux allures haussmanniennes : grilles filtrant les passages, cĹ“ur d’ilĂ´t amĂ©nagĂ© en square, boutiques au rez-de-chaussĂ©e (crèmerie, librairie, marchand de lĂ©gumes, droguiste.)”

    À l’époque l’architecte François- Joseph Delemer prend le parti pris de la modernité. Chaque bâtiment était équipé d’un ascenseur, et chaque appartement disposait de l’eau courante, de l’électricité, d’un vide ordure et d’une surface habitable supérieure à ce qui se faisait à la même époque[5].

    Concorde

    HBM.

    La destruction des anciennes fortifications, achevĂ©e en 1924, a libĂ©rĂ© un espace non nĂ©gligeable au sud-est de la ville. Sur ces territoires, situĂ©s entre les portes de Fives et de Canteleu, se trouve dĂ©jĂ  l’ensemble HBM de Verhaeren. Face Ă  l’expansion de Lille, ces territoires vont servir, après le Seconde Guerre mondiale, Ă  loger de nombreux Lillois. Ă€ l’époque, cet espace appartient au sud du boulevard Beethoven, Ă  l’État, et Ă  la municipalitĂ©, au nord. Il est traversĂ© par une zone non aedificandi sur laquelle il n’existe, lĂ©galement, aucune habitation. Cependant, les plans d’époque et les tĂ©moignages rĂ©vèlent l’existence, dès la fin de la Première Guerre mondiale, d’une sĂ©rie de 30 baraques le long de la ruelle Jeanne Hachette, de nombreux potagers ainsi qu’une Ă©glise et un dispensaire. Ces habitations perdurent jusque dans les annĂ©es 1970. Au moment de la construction du pĂ©riphĂ©rique en 1973, les habitants seront relogĂ©s Ă  la citĂ© de la Baltique. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la ville de Lille fait toujours face Ă  une importante crise du logement aggravĂ©e par les destructions de guerre. Le Ministère de la RĂ©novation Urbaine dĂ©cide, pour rĂ©pondre aux besoins, la construction d’une citĂ© d’urgence, bordant l’actuel boulevard de Metz, composĂ©e de 56 baraquements prĂ©fabriquĂ©s en bois et destinĂ©e Ă  accueillir 142 familles soit 500 Ă  650 personnes. Ces habitants seront relogĂ©s boulevard d’Alsace Ă  la construction de Concorde.

    Dans quel cadre s’inscrit le projet Concorde ?

    La municipalité de Lille met en place un important plan d’urbanisme visant à répondre aux problèmes du logement. Elle s’inspire pour cela du Plan de Reconstruction et d’Aménagement élaboré par Théodore Leveau et Jean Dubuisson des années 1950. Ce dernier prévoit la construction sur les grands boulevards militaires entourant Lille au Sud, de logements sociaux parsemés d’îlots de verdure. L’acquisition par la ville des terrains militaires et notamment de la zone non aedificandi en 1953, vont permettre de concrétiser ces projets urbains. Ces constructions, dites de « secteur industrialisé », répondent à un certain nombre de critères : urbanisme vertical avec la concentration des logements dans des ensembles entiers, à forte densité, procédés de préfabrication standardisée pour réduire les lenteurs de production, promotion de dispositifs de passation de marché pour diminuer la perte de temps[5].

    Concrètement, il s’agit d’habitats collectifs, de conception hygiéniste, dégagés de la rue et clairsemés de verdure... Ils doivent s’inscrire dans la continuité de ce qui existait avant. Le projet Concorde est sur ce point très significatif. Le Maresquier, architecte du projet, conçoit le complexe de manière à reprendre le tracé des anciens remparts, à maintenir leur paysage spécifique (murs élevés parsemés d’îlots de verts). Les habitations sont dégagées des rues et accessibles par des voies secondaires[5].

    De part et d’autre du boulevard Beethoven, là où se tenait la porte de Béthune, sont conçus deux grands ensembles qui marquent l’entrée de la ville et rappellent l’ancienne porte. L’ensemble Concorde est à l’époque une prouesse technique composé de logements modernes dotés d’un confort unique à Lille (chauffage central, vide-ordure, tout à l’égout, ascenseur…). Il sera livré en 1962 après avoir remporté le prix de Rome en 1958[5].

    Château d'eau.

    Concorde, la nature apprivoisée

    Avant l’émergence du projet Concorde, l’espace libéré par la destruction des fortifications avait été investi par les habitants des courées du Vieux Faubourg et d’Esquermes pour la culture potagère. Cet immense terrain vague constituait un lieu de cultures, de détente et de jeux formidable pour les habitants des environs. Ces espaces spontanément exploités par les habitants, sont officiellement mis en culture pendant la Seconde Guerre mondiale pour répondre aux besoins de la population. L’espace naturel que représente le territoire situé entre la porte des Postes et de Canteleu, en plein cœur de la ville de Lille en expansion, constituait un « enjeu » à prendre en compte dans la conception de l’ensemble Concorde[5].

    Ce dernier s’inscrit dans la doctrine urbaniste de l’époque qui envisage le logement de masse en nettoyant le cœur des îlots, en organisant des jardins intérieurs sur lesquels les logements pourront prendre abondamment air et lumière. Le projet est donc envisagé comme un ensemble de 21 immeubles d’habitation en « barre » prenant en compte les contraintes naturelles (géologie, climat...) et de surfaces plantées de trois types différents (grandes pelouses, jardin public, longue butte herbeuse).

    L’ensemble Concorde est aujourd’hui encore fort marqué par la présence de verdure, héritée de son histoire, qui en fait l’un des quartiers les plus verts de Lille[5].

    La Baltique

    Avant les premières constructions de logements entreprises par la municipalité dans les années 1950, se tenait sur le territoire de l’actuelle cité Baltique, l’importante propriété Honoré spécialisée dans la culture de fruits, légumes et fleurs. Les nouvelles habitations qui apparaissent entre le Vieux Faubourg et le CHR, en construction, entrent dans le même plan d’aménagement que l’ensemble Concorde et sont destinées à accueillir des familles alors privées de logement par les destructions de guerre ou à cause de la pénurie qui touche Lille depuis 1930.

    La cité Baltique, telle qu’elle existe en 2019, voit le jour en 1970 comme ensemble de logements sociaux destinés à reloger les habitants de la « zone », à savoir de la rue Jeanne-Hachette et des Dondaines. La construction du périphérique en 1973 va contribuer à cloisonner ce quartier alors situé entre plusieurs grandes artères de circulation et l’imposant complexe hospitalier[5].

    Le train de ceinture de Lille.

    Typologie de la population

    Le quartier compte 8 038 habitants. Le revenu moyen des habitants est de 1 100 euros mensuel, le taux de chĂ´mage s’élève Ă  32% et 27% des mĂ©nages du quartier sont allocataires du RSA. La population du quartier est jeune, 32,2% ont moins de 20 ans. Les habitants sont pour la plupart (85%) locataires de leurs logements. Le quartier compte un nombre important de logements sociaux (80%). De plus 16% de la population est de nationalitĂ© Ă©trangère[6] - [7].

    Tissu associatif

    Socioculturel

    Il existe de nombreuses associations sur le Faubourg de BĂ©thune comme, Au lavoir, une laverie solidaire.

    La maison de quartier est installée dans l'ancienne église paroissiale du Saint-Curé-d'Ars, construite en 1960 par les architectes Ludwik Peretz et Maurice Salembier.

    Au Lavoir

    Les machines Ă  disposition des habitants
    Fresque murale du lavoir avec représentation de l'équipe et des habitants

    Au lavoir est une association loi de 1901 qui gère une laverie sociale et solidaire, dans le quartier Faubourg de Béthune à Lille. Ce serait la première laverie de ce type en France[8].

    Le projet « Au lavoir » est créé le à la suite d'une étude du Centre social, la mairie de quartier du Faubourg de Béthune et de la société des Eaux du Nord. Cette étude révèle diverses difficultés rencontrées chez les habitants du quartier, notamment un déficit de matériel permettant l’entretien du linge[7] - [6]. L'association Au lavoir a vu le jour pour remédier à ce problème de façon concrète. Le Centre Social Projet assure la gestion du lavoir dès son ouverture en 2012 jusqu’en 2013, puis passe le relais lors de la création de l'association.

    L'association est la première laverie solidaire créée en France[9] - [10] - [11], elle permet aux habitants du quartier Faubourg de Béthune de venir laver leur linge et le sécher à des prix adaptés à leurs revenus[11]. Elle propose également des cours de français, un service permettant régler des problèmes administratifs, ou encore d'effectuer des démarches de recherche d'emploi[12]. L'association a pour objectif d'amener les usagers vers l’autonomie dans les démarches de la vie quotidienne (la gestion du budget, l’accès aux droits, la consommation)[11] - [13].

    Le local est ouvert sur un jardin et s'articule autour de deux Ă©tages, le premier est un lieu d'accueil et le deuxième en sous-sol est composĂ© de l’espace laverie[11] - [14]. Le public accueilli par l’association est issu de tous les quartiers de la mĂ©tropole Lilloise. NĂ©anmoins, de nombreux adhĂ©rents sont issus des quartiers de Wazemmes et de Faubourg de BĂ©thune en raison de la proximitĂ© gĂ©ographique avec l’association. Les personnes adhĂ©rentes au Lavoir sont issues de diffĂ©rentes catĂ©gories socio-professionnelles mais on dĂ©nombre une majoritĂ© d'allocataires du RSA (30%) ou de personnes en recherche d'emploi (18%). 44% des personnes frĂ©quentant cet espace ont entre 26 et 64 ans. 54% des adhĂ©rents sont des femmes. En 2019, l’association compte 979 personnes adhĂ©rentes[11].

    Sportif

    Il existe un club de judo sur la quartier FBJCL[15]

    Un club de football a toujours fait partie des infrastructures du quartier.

    Cohésion sociale

    Vivre ensemble

    Le Conseil de quartier du Faubourg de Béthune se réunit régulièrement, il est présidé par Latifa Kechemir, adjointe au maire[16]

    Statut

    Le faubourg de Béthune est classé depuis 2012 en zone de sécurité prioritaire, avec renforcement des effectifs de la police nationale. Il est également inclus au sein du vaste quartier prioritaire « Secteur-Sud », dont il constitue la partie la plus occidentale[17].

    Culte

    Eglise Notre-Dame-des-Victoires construite entre 1935 et 1937 par la famille Thiriez

    L'Église Notre-Dame-des-Victoires de Lille, est une église située rue Augereau, dans le quartier du Faubourg de Béthune à Lille. Ce site est desservi par la station de métro CHR Oscar-Lambret.

    Personnalités du quartier

    • Brahim El wahdani, administrateur du centre social, accompagne de jeunes Ă©tudiants et Ă©tudiantes pour la prĂ©paration du concours de la fonction publique[18] - [19].

    Projet

    Un projet de rénovation urbaine est en cours en 2019 sur le quartier, avec des familles en attente de relogement. La déconstruction de l'immeuble 2 - 12 Bd de Metz, programmée initialement pour 2019[20] a débuté en janvier 2021[21].

    Annexes

    Liens externes

    Notes et références

    1. « Lille - Un secteur du Faubourg-de-Béthune parmi les plus pauvres de France », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    2. « lille rue du faubourg de bethune, industrie textile, lille usine thiriez », sur www.lilledantan.com (consulté le )
    3. Yumpu.com, « Laissez-vous conter le Faubourg de Béthune... - Ville de Lille », sur yumpu.com (consulté le )
    4. « Église Notre-Dame-des-Victoires de Lille », dans Wikipédia, (Église Notre-Dame-des-Victoires de Lille)
    5. Informations issues de l'exposition "Faites Votre Patrimoine" réalisée conjointement par les Archives Départementales du Nord et l'association Histoire de Savoirs en 2014
    6. Diagnostic du territoire, politique de la ville, Mairie
    7. Document interne Ă  l'association Au Lavoir
    8. « ASSOCIATION AU LAVOIR (LILLE) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 790482764 », sur www.societe.com (consulté le )
    9. « Laverie solidaire », sur https://www.generationsetcultures.fr
    10. « Lille. Au lavoir : linge, ateliers, emploi et convivialité », sur https://actu.fr/hauts-de-france (consulté en )
    11. Adou Océane, Rapport de stage de la 3e année de Licence Coordination Médico-sociale, 2019, sous la direction de Farahy Driss
    12. « Au lavoir », sur https://www.petitfute.com (consulté le )
    13. Au Lavoir Au lavoir 24 RUE Van Hende 59000 Lille, « Au lavoir association Linge autonomie droit illétrisme (sic) information Lille », sur Gralon (consulté le )
    14. « Lille : Au lavoir de Wazemmes, ça tourne depuis deux ans - La Voix du Nord », sur www.lavoixdunord.fr (consulté le )
    15. (en) « Judo Club Lillois Faubourg de Béthune » Histoire du club » (consulté le )
    16. « Conseil de quartier du Faubourg de Béthune », sur www.lille.fr (consulté le )
    17. « Quartier Prioritaire Faubourg De Béthune - Quartier prioritaire de la politique de la ville de la commune: Cuincy - SIG Politique de la Ville », sur sig.ville.gouv.fr (consulté le )
    18. « Faubourg Boulevard de Metz », sur www.facebook.com (consulté le )
    19. Groupe Vocation Service Public, « Une Prépa Solidaire pour aider les jeunes de quartiers à intégrer la Fonction publique », sur vocationservicepublic.fr (consulté le )
    20. « - Au Faubourg-de-Béthune à Lille, le secteur Concorde se prépare un nouvel envol », sur La Voix du Nord, (consulté le )
    21. lmh, « Démarrage de la déconstruction Résidence Concorde à Lille », sur lmh.fr, (consulté le )
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