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Eugène Paul

Eugène Paul, dit Gen Paul, né le à Paris et mort le dans la même ville, est un peintre, dessinateur, graveur au burin et lithographe expressionniste français.

Eugène Paul
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Prononciation
Plaque commémorative
Vue de la sépulture.

Ami de Louis-Ferdinand Céline, Gen Paul est un autodidacte, parfois qualifié de façon réductrice de « peintre de Montmartre ». Il fut initié à la gravure par Eugène Delâtre.

Gen Paul a peint ses premières toiles entre 1919 et 1924 sous le pseudonyme de Paul Trelade.

Biographie

Eugène Paul naît dans une maison de Montmartre, au 96, rue Lepic, laquelle a vu passer de nombreux artistes, et pratique dès son jeune âge le dessin et la peinture. Sa mère est brodeuse et son père, qui est musicien de cabaret, meurt alors qu'il n'a que dix ans[1].

Gen Paul est d'abord formé pour construire des meubles décoratifs.

La Première Guerre mondiale éclate et il doit se résigner à s'engager sous la pression patriotique parisienne. Après une première blessure, il est gravement touché et perd une jambe. Rétabli de l'amputation et de ses dix-huit mois de mobilisation et combat, il se remet à peindre et devient ami, au Bateau-Lavoir, de Juan Gris, qui l'aidera beaucoup.

Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le [2].

Durant la Seconde Guerre mondiale, Gen Paul est proche d'Otto Abetz et des milieux collaborationnistes et antisémites[3], mais il échappe à l'épuration à la fin de la guerre[4].

Influences

Ses premières œuvres semblent refléter de nombreuses influences croisées, dont celles de ses amis de Montmartre : Maurice de Vlaminck, Maurice Utrillo et Frank-Will, mais il développe rapidement une personnalité teintée d'un expressionnisme qui reflète des influences aussi variées que celles de Toulouse-Lautrec, Vincent van Gogh, Paul Cézanne, et avant eux Goya, Diego Vélasquez, El Greco, influences que l'on retrouve à cette époque chez son ami Henri-Martin Lamotte. Les influences cubistes de Juan Gris, Pablo Picasso et Fernand Léger se sentent dans certaines œuvres, alors que nombre de ses gravures de paysages urbains sont beaucoup plus « réalistes ».

Pendant l'entre-deux-guerres, de 1925 à 1929, alors que le peintre cherche à dépasser son handicap physique et le souvenir des horreurs de la guerre, il produit plusieurs de ses peintures réputées les meilleures. Elles sont caractérisées par le mouvement créé par le geste de pinceau, l'audace des compositions empreintes de vues forcées, de diagonales, zébrures et zigzags, juxtaposant des motifs colorés abstraits à des parties réalistes.

Contrairement à d'autres expressionnistes de ce temps, tels que Chaïm Soutine et Georges Rouault, et contrairement aux expressionnistes allemands, plus sombres, qui semblent déjà annoncer la Seconde Guerre mondiale, les œuvres de Gen Paul semblent gaies et pleines d'optimisme, nourries d'une passion pour la vie et d'un intérêt pour la simplicité de la vie quotidienne.

Par le dynamisme et le mouvement présents dans ses peintures, certains considèrent Gen Paul comme le précurseur des formes de l'Expressionnisme abstrait des années 1950.

Gen Paul meurt à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, le [5].

Carrière

Atelier Gen-Paul dans l'avenue Junot, ancienne impasse Girardon.
Plaque commémorative apposée au no 2 de l'avenue Junot à Paris, où Gen Paul vécut de 1917 à sa mort.
Tombe de l'artiste, Paris, cimetière Saint-Vincent.

Sa première peinture à l'huile, un Moulin de la Galette vu de sa fenêtre, date de 1916. Les débuts sont incertains, il peint surtout des vues de Paris à la manière des grands peintres pour satisfaire des commandes.

Gen Paul expose pour la première fois au Salon d'automne et au Salon des indépendants à Paris en 1920, époque à laquelle il compte parmi ses amis Henri-Martin Lamotte, et côtoie Camille Pissarro et le groupe des Partisans. En 1928, ses œuvres sont exposées avec celles de Picasso et de Soutine, qui choquent une partie du public. Dans les années 1930, Gen Paul sombre dans l'alcoolisme, aggravant ainsi ses problèmes chroniques de santé. Les peintures de ces années s'en ressentent, deviennent plus sombres, avec une pâte et des traits épais, restent cependant construites avec des couleurs soigneusement choisies, gardant un rythme puissant et du mouvement. En 1934, il est officiellement reconnu pour ses contributions à l'art français et reçoit la Légion d'honneur. En 1937, il est engagé pour peindre une grande fresque pour le Pavillon des vins de France à l'Exposition internationale de Paris.

Des années 1940 à sa mort, Gen Paul retrouve un style pictural qui reprend de nombreux éléments de son travail des années 1920, mais sans jamais retrouver l'innovation, l'émotion et l'expressionnisme des premières époques de sa vie de peintre.

En 1942, Louis-Ferdinand Céline ami de Gen Paul, lui demande d'illustrer pour les éditions Denoël deux de ses romans, Voyage au bout de la nuit (quinze dessins hors texte) et Mort à crédit (seize dessins hors texte)[6]. En 1974, Gen Paul réhausse à la gouache quelques rares exemplaires originaux. Il peint également le portrait de Ferdinand Bardamu, héros du Voyage au bout de la nuit et double de Louis-Ferdinand Céline.

En 1952, la galerie Drouant et David organise une rétrospective de ses œuvres peintes à l’huile et la galerie du Cirque expose une trentaine de gouaches.

Outre nombre de scènes de son quartier de Montmartre et de portraits de son ami, le compositeur Darius Milhaud, on connaît de Gen Paul des peintures et dessins faits aux États-Unis, scènes de jazz et musiciens classiques, sujets pour lesquels il manifestait beaucoup d'intérêt.

Un grand nombre de ses œuvres appartient à des collections privées, mais un nombre significatif se trouve dans les musées de France et d'autres pays d'Europe, tels les musées de Berne et de Granville. Le musée d'Art moderne de la ville de Paris conserve dans ses réserves deux grands tableaux de la fin des années 1930.

Postérité

Expositions

Expositions personnelles

  • 1926 : Galerie Bing, Paris[10].
  • DĂ©cembre 1928 : Galerie Bing[11] - [12].
  • 1952 : galerie Drouant-David, Paris[1].
  • 1970 : galerie Ferrero, Genève.
  • 1974 : Gen Paul - RĂ©trospective, Petit Palais, Genève[10].
  • 1975 : galerie des Chaudronniers.
  • 1978 : galerie Pittiglio.
  • 1979 : galerie Paul Lebar.
  • octobre-novembre 1986 : musĂ©e de Montmartre. Commissaire d'exposition AndrĂ© Roussard.
  • 1986 : galerie Roussard.
  • 1987 :
    • galerie Apesteguy ;
    • mairie des Lilas ;
    • galerie Pittiglio.
  • 1990 : galerie Roussard.
  • 1992 : galerie du Collège royal de Beaumont.
  • 1993 : galerie Roussard.
  • juillet-octobre 1993 : Gen Paul - RĂ©trospective, musĂ©e des Beaux-Arts de Menton[13].
  • 1995 : galerie Roussard.
  • 1995 : musĂ©e du Petit Palais Ă  Genève.
  • 1995 : Exposition du centenaire de la naissance de Gen Paul, couvent des Cordeliers, Paris[10].
  • 1995 : Gen Paul - Le centenaire, musĂ©e de Montmartre, Paris.
  • 1996 : galerie Roussard.
  • 1997 : galerie Roussard.
  • 1998 : galerie Roussard.
  • 1998-1999 : HĂ´tel SplĂĽgenschloss, Zurich.
  • 1999 : galerie Roussard.
  • 2000 : Wally Findlay Galerie, New-York. En collaboration avec la galerie Roussard.
  • 2000 : galerie Sourillan.
  • 2000 : galerie Roussard.
  • 2002 : galerie Roussard.
  • 2004 : Mainau.
  • 2004 : Mesocco.
  • 2006 : galerie Roussard.
  • 2008 : galerie Roussard.
  • 2010 : galerie Roussard.
  • octobre-dĂ©cembre 2010 : Gen Paul - 1925 Ă  1929, galerie de la BĂ©raudière, Bruxelles[14].
  • 2012 : Gen Paul : Pre-War/Post-War, galerie Roussard[15].
  • mai-juin 2014 : Gen Paul intime, galerie Roussard.
  • novembre-dĂ©cembre 2015 : Gen Paul - Le Davaine, galerie Roussard[16].

Expositions collectives

RĂ©ception critique

  • « Qu'on imagine un Boldini se mettant Ă  l'Ă©cole de Soutine, voilĂ  Gen Paul. » - François Fosca[11]
  • « Guitaristes, violonistes, trombones, pistons, solistes, toutes ses figures de musiciens expriment la frĂ©nĂ©tique ou sĂ©raphique extase de jouer pour le seul plaisir des airs syncopĂ©s de jazz ou des rengaines fleuries de fĂŞtes foraines qu'il conduit magistralement de la baguette comme de la brosse et du couteau. » - Francis Carco[20]
  • « Auteur de paysages, de portraits et d'un très grand nombre de compositions dans lesquelles il cherche Ă  rendre le mouvement sous ses multiples aspects (animation des rues de Paris, des fĂŞtes foraines, des gares, des courses hippiques, des musiciens en train de jouer), Gen Paul a très tĂ´t affirmĂ© une vigoureuse personnalitĂ© qui s'impose avant tout par une exubĂ©rance et un dynamisme peu communs. C'est du reste Ă  la facture violente de son Ĺ“uvre, Ă  l'Ă©lan dĂ©chiquetĂ© des couleurs qu'il doit sa rĂ©putation de novateur, alors que ses thèmes restent attachĂ©s Ă  l'observation de la vie la plus quotidienne. » - Les Muses, encyclopĂ©die des arts[21]
  • « La production de Gen Paul, qui fut avec ses amis Marcel AymĂ© et Louis-Ferdinand CĂ©line l'une des grandes figures de la butte Montmartre, est considĂ©rable... Mais il a signĂ©, en gĂ©nĂ©ral avant 1940, quelques chefs-d'Ĺ“uvre bouleversants qui le situent parmi les meilleurs expressionnistes français. Il montre alors dans ses portraits de musicien des virulences pathĂ©tiques et tourmentĂ©es dignes de Soutine. » - GĂ©rald Schurr[13]
  • « Il y a des peintres qui figent une impreesion fugitive, Gen Paul, lui, capture non pas un instant, mais plusieurs, et les fait jouer les uns avec les autres. Son thème privilĂ©giĂ©, c'est le mouvement, d'oĂą la frĂ©quence dans l'ensemble de sa production des courses de chevaux, courses cyclistes, musiciens en action, animation de la foule dans les rues de Paris. L'art de Gen Paul n'a rien de pacifique. Il n'est pas de ceux qui bĂ©nissent l'existence. MĂŞme lorsqu'il peint une jeune femme au repos, un vase de fleurs, il disloque les contours, fracture, torture les formes. Le feu qui brĂ»le dans ses tableaux, loin d'anĂ©antir le visible, le porte Ă  l'incandescence. » - Dictionnaire BĂ©nĂ©zit[1].
  • « Gen Paul ne s'Ă©tait pas bornĂ© Ă  peindre un seul chef-d'Ĺ“uvre ayant comme sujet le Moulin Rouge. Il l'avait utilisĂ© des centaines de fois. Il peignait grâce aux vieux tubes de couleurs et aux toiles que son ami Juan Gris lui passait. Une cigarette au bec, un verre de pinard en main, il couchait sur ses tableaux un art qu'il faut dĂ©finir d'"expressionnisme en mouvement". Du rythme, de l'Ă©motion, de grandes lignes puissantes qui se retrouvent ou s'Ă©loignent, c'est ça, l'art de Gen Paul, cet homme marginal et provocateur, "le dernier des ravageurs" comme il disait... Ses Moulin Rouge, encore qu'ils ne montrent pas les danseuses, qu'il exĂ©cuta jusqu'Ă  ses derniers jours, nous font ressentir les tourbillons du cancan, la fĂŞte des bals populaires, le goĂ»t pour la musique que le peintre a toujours su cultiver. C'Ă©tait comme si les ailes du Moulin scandaient les battements de son cĹ“ur, c'Ă©tait comme si la couleur rouge de la tourelle Ă©tait celle de son sang. Et peut-ĂŞtre que c'Ă©tait vraiment ainsi : ses parents ne s'Ă©taient-ils pas connus et aimĂ©s au Moulin Rouge ? » - Francesco Rapazzini[22]

Collections publiques

France

Royaume-Uni

Drapeau de la Suisse Suisse

Collections privées

Références

  1. Jean Miller et Jacques Busse, « Gen Paul », Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, vol.5, pages 956-958.
  2. Selon la biographie de Gen Paul par André Roussard, sur louisferdinandceline.free.fr.
  3. Pierre-André Taguieff, L'antisémitisme de plume, Univers poche, 817 p. (ISBN 9782823815894).
  4. Gen Paul et Montmartre sur Mémoire et société, le blog de Jean-Pierre Biondi.
  5. Jean-Paul Caracalla, « Gen Paul en faisait voir de toutes les couleurs à la Butte », Le Figaro, 24 mai 2007
  6. « Gen Paul », Le bulletin célinien, 1er juillet 2007
  7. « Celui joué par Gabin, synthèse du peintre Gen Paul (dans l'esprit de Marcel Aymé) […] », in François Truffaut, Les Films de ma vie, Flammarion, col. « Champs Contre-Champs », 1987.
  8. Jean-Maul Sourillan, « Gan Paul, le dernier des grands expressionnistes de l'École de Montmartre », Galerie Sourillan
  9. « Radioscopie par Jacques Chancel - Gen Paul : "si j'avais pas eu une gambille de moins, j'aurais jamais été peintre" », France Inter, 1970
  10. Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, GrĂĽnd, 2001, page 475.
  11. François Fosca, « Chroniques - Gen Paul, Galerie Bing », L'Amour de l'art, n°1, janvier 1929, p. 35.
  12. André Roussard, « Gen Paul », Dictionnaire des artistes à Montmartre, 1999
  13. Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, page 350.
  14. Galerie de la Béraudière, Gen Paul - 1925 à 1929, présentation de l'exposition, 2010
  15. Galerie Roussard, Gen Paul : Pre-War/Post-War, présentation de l'exposition, 2012
  16. Le Musée privé, Gen Paul - Le Davaine, 2015
  17. Musée Regards de Provence, Autour du Bateau-Lavoir - Des artistes à Montmartre et la Méditerranée, présentation de l'exposition, 2014
  18. Musée Daubigny, Expositions passées : le peintre et l'intime, 2016
  19. Musée de Montmartre, Artistes à Montmartre - Lieux et ateliers mythiques, présentation de l'exposition, 2018
  20. Francis Carco, Gen Paul, Éditions de la Galerie Drouant-David, 1952.
  21. Les Muses - Encyclopédie des arts, Grange Batelière, 1972, vol.7, page 2327.
  22. Francesco Rapazzini, Quand le cabaret le plus célèbre du monde inspire les artistes, Le Cherche Midi, 2016.
  23. Musée d'art moderne Richard-Anacréon, Le cirque dans les collections
  24. André Chamson, Collection Girardin, Éditions du Petit Palais, 1954, n°99.
  25. Warrington Museum and Art Gallery, Gen Paul dans les collections
  26. Junko Shibanuma, « Même la nuit, le soleil est bleu… Adieu Michou », Lettre de l'Association Bernard-Lorjou, n°61, printemps 2020.
  27. « Quinze chefs-d'œuvre de la collection Tino Rossi en vente à Paris », Corse-matin, 5 décembre 2015
  28. Coutau-Bégarie et Associés, commissaires-priseurs, N°49 : Gen-Paul, "Portrait de Louis Aragon, catalogue du 12 mars 2014

Annexes

Bibliographie

  • Francis Carco, Gen Paul, Éditions de la Galerie Drouant-David, 1952.
  • AndrĂ© Chamson, Collection Girardin, Éditions du Petit Palais, Paris, 1954.
  • Raymond Nacenta, The School of Paris - The painters and the artistic climate of Paris since 1910, Osbourne Press, Londres, 1960.
  • François Gibault, CĂ©line, cavalier de l'apocalypse (1944-1961), Mercure de France, 1961.
  • Jean-Paul Crespelle, Montmartre vivant, Hachette, 1964. Voir chapitre 8 (p. 224 Ă  247) : « Gen Paul, de la rue Lepic ».
  • Les Muses - EncyclopĂ©die des arts, Éditions Grange Balelière, 1972.
  • Pierre Davaine (prĂ©face de Jean Miller), Gen Paul, Éditions I.G.E., 1974.
  • Emmanuel David (entretiens avec Herve Le Boterf), Le mĂ©tier de marchand de tableaux, Éditions France-Empire, 1978.
  • Carlo a Marca (prĂ©face de Marc-Édouard Nabe, Gen Paul, TransĂ©dition, 1986.
  • Gabrielle Aber-Gen Paul, Guy Vignoht (« La Force de l'instinct d'un gĂ©ant de l'expressionnisme »), Jeanine Warnod, Gen Paul, 1895-1975, catalogue de l'exposition du Palais des Beaux-Arts, Menton, 1993.
  • Chantal Le Bobinnec, Gen Paul Ă  Montmartre, Éditions Chalmin et Perrin, 1995.
  • AndrĂ© Roussard et Carlo a Marca, Catalogue de l'exposition Gen Paul, Couvent des Cordeliers, 1995.
  • GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Carlo a Marca, Joann a Marca, Gabrielle Aber-Gen Paul (introduction de Dora Lardelli), Gen Paul (1895-1975), Ă©ditions de l'HĂ´tel SplĂĽgenschloss, Zurich, 1998.
  • AndrĂ© Roussard, Gen Paul. La biographie, Éditions AndrĂ© Roussard, 2006, 304 p. [prĂ©sentation en ligne].
  • Jacques Lambert (prĂ©face de Claude Duneton), Gen Paul : Un peintre maudit parmi les siens, La Table Ronde, 2007 (ISBN 978-2710329343) (prĂ©sentation en ligne).
  • Chantal Le Boubinnec (prĂ©sentation de Claude Duneton), Gen Paul Ă  Montmartre, Les Ă©ditions de Paris - Max Chaleil, 2007 (prĂ©sentation en ligne).
  • Francesco Rapazzini, Le Moulin Rouge en folies - Quand le cabaret le plus cĂ©lèbre du monde inspire les artistes, Le Cherche Midi, 2016.
  • Marie-France Coquard, « Gen Paul et Jean-Pierre Serrier, deux potes de Montmartre », Revue Paris Montmartre [prĂ©sentation en ligne].

Liens externes

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