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Eswatini

L’Eswatini[n 1], en forme longue le royaume d’Eswatini[8] - [9] (en swati : eSwatini [ɛswåˈtÊŒiːni][10] et Umbuso weSwatini ; en anglais : Eswatini et Kingdom of Eswatini), appelĂ© Swaziland (forme longue : royaume du Swaziland) jusqu’en avril 2018, est un pays d'Afrique australe sans accĂšs Ă  la mer, bordĂ© par l'Afrique du Sud et le Mozambique.

Royaume d’Eswatini

(ex-Swaziland)

(ss) Umbuso weSwatini

(en) Kingdom of Eswatini

Devise en swati : Siyinqaba (We are a fortress, « Nous sommes une forteresse »)
Hymne en swati : Nkulunkulu Mnikati wetibusiso temaSwati (« Ô Seigneur est notre dieu, Eswatini »)
FĂȘte nationale
· ÉvĂ©nement commĂ©morĂ©
Description de l'image LocationEswatini.svg.
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Carte de l'Eswatini
GĂ©ographie
Plus grande ville Manzini
Superficie totale 17 363 km2
(classé 152e)
Superficie en eau 0,9
Fuseau horaire UTC +2
Histoire
Entité précédente
Indépendance Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Date
DĂ©mographie
Gentilé Eswatinien, Swatinien[1] - [2]
Population totale (2020[3]) 1 104 479 hab.
(classé 160e)
DensitĂ© 64 hab./km2
Économie
Monnaie Lilangeni (SZL​)

Cette nation, comme ses habitants, doit son nom au roi du XIXe siĂšcle Mswati II, chef dont le nom signifie « bĂąton de commandement » en zoulou[11]. L'Eswatini est un petit pays, moins de 200 km sĂ©parent le nord du sud et 130 km l'est de l'ouest. La partie ouest du pays est en altitude, l'altitude est moins importante vers le centre. La frontiĂšre est du pays se distingue grĂące aux monts Lebombo. Le climat est assez tempĂ©rĂ© Ă  l'ouest, mais il atteint les 40 °C dans l'est du pays en Ă©tĂ©. Le pays connaĂźt d'importantes prĂ©cipitations dans l'ouest et surtout en Ă©tĂ©.

Le territoire de l'actuel Eswatini a réguliÚrement été habité depuis la Préhistoire, mais les plateaux étaient peu peuplés lorsque les Dlamini (issus du peuple nguni)[12] - [13] y trouvÚrent refuge. De nos jours, ses habitants appartiennent presque tous à l'ethnie swazi, dont la langue est le swati.

Étymologie

Le nom « eSwatini » signifie « pays des Swazis »[14].

Histoire

Peintures rupestres de Nsangwini.

Bien que des restes d'occupations par des humains datant de plus de 100 000 ans aient Ă©tĂ© trouvĂ©s en Eswatini, la population actuelle, composĂ©e de pasteurs, s'y installe uniquement au XIXe siĂšcle, dans des hauts-plateaux, dans le cadre des guerres qui opposent les Ndwandwe aux Ngwane. Une guerre oppose, en 1815, les Ngwane-Dlamini du roi Sobhuza Ier aux Ndwandwe menĂ©s par Zwide. En conflit pour les terres de la vallĂ©e de la Pongola, Zwide repousse les Ngwane vers le nord ; ils se rĂ©fugient sur les hauts-plateaux de ce qui deviendra l'Eswatini[15] - vol. 6127-128_17-0">[16]. À la mort de Sobhuza, son fils Mswazi (ou Mswati) lui succĂšde ; c'est Ă  ce moment que le peuple Ngwane-Dlamini prend le nom de Swazivol. 6129_18-0">[17]. Un peu plus tard, les premiers Blancs commencent Ă  pĂ©nĂ©trer dans cette rĂ©gion.

AprĂšs la seconde guerre des Boers, l'Eswatini devient une colonie britannique sous le nom de Swaziland.

L'indĂ©pendance est accordĂ©e au pays le . C'est Sobhuza II qui est Ă  la tĂȘte de cette monarchie : de chef suprĂȘme des Swazi pendant la domination britannique, il est devenu roi. L'Eswatini reste membre du Commonwealth et intĂšgre l’ONU. En avril 1973, jugeant la constitution rĂ©digĂ©e par les Britanniques, et faisant de ce pays une monarchie constitutionnelle, en inadĂ©quation avec les traditions swazies, Sobhuza II dissout le parlement (le Libandla) Ă©lu, et abolit cette Constitution, s'appuyant pour ce faire sur une armĂ©e privĂ©e qu'il a formĂ©e et Ă©quipĂ©e en secret. Ceci lui permet de s'arroger les pleins pouvoirs. À partir de ce moment, les partis politiques sont interdits. L'Eswatini devient une monarchie absolue de fait depuis 1973 et de droit depuis 1978[18] - [19]. Il meurt en aoĂ»t 1982. Le Liqoqo (Conseil intĂ©rieur royal) nomme alors Dzeliwe, une de ses Ă©pouses parmi soixante-dix, comme reine rĂ©gente, en raison a priori de son niveau d'Ă©ducation, en attendant qu'un autre prince que son fils, le prince Makhosetive, dĂ©signĂ© par le Conseil royal comme successeur, ait atteint l'Ăąge de vingt-deux ans[20]. C'est le point de dĂ©part d'une pĂ©riode d'intrigues au sein de la Cour, avec Ă©galement l'influence de puissances Ă©trangĂšres, notamment l'Afrique du Sud voisine. Finalement, elle est poussĂ©e, par ce mĂȘme conseil, Ă  renoncer Ă  la rĂ©gence au profit de Ntfombi Tfwala, la mĂšre du prince hĂ©ritier Makhosetive[21].

Le prince hĂ©ritier devient roi, sous le nom de Mswati III en 1986. C'est le dernier monarque absolu du continent africain, appuyant son pouvoir sur les traditions. Il nomme le premier ministre, les ministres, les juges, et une partie des parlementaires, une autre partie Ă©tant toutefois Ă©lue. Il y a des Ă©lections lĂ©gislatives pour Ă©lire 55 des 65 dĂ©putĂ©s. Pour faire candidature, un candidat doit lever la main lors d'une assemblĂ©e de tous les habitants de la rĂ©gion, et patienter jusqu'Ă  obtenir que quinze personnes se rangent derriĂšre lui, en prĂ©sence du chef, pour valider son inscription. Les partis politiques sont interdits. Par ailleurs, chaque annĂ©e, Ă  la fin aoĂ»t, tous les parents doivent s'assurer que leurs filles encore vierges participent Ă  la danse des roseaux, qui s'effectue devant le roi. C'est l'occasion pour celui-ci de choisir Ă©ventuellement une nouvelle Ă©pouse (il en a une quinzaine)[22].

Le , le roi Mswati III annonce que le pays reprend son nom d'origine d'avant la colonisation : Eswatini[7] - [23], pour les 50 ans de l’indĂ©pendance du pays. Eswatini signifiant « le pays des Swazis » en langue swati, Swaziland Ă©tait donc un nom hybride entre l’anglais et la langue nationale. Le roi Mswati III a dĂ©clarĂ© : « Nous Ă©tions le seul pays d’Afrique Ă  avoir conservĂ© son nom de l’époque coloniale »[24].

Le royaume est secoué en 2019 par une vague de grÚves des fonctionnaires, accusant le monarque de vider les caisses du pays au détriment de la population. En 2021, de grandes manifestations en faveur de la démocratie conduisent le pouvoir à imposer un couvre-feu à sa population[25].

Politique

Les partis politiques sont interdits dans le pays depuis 1973[26].

Le , le roi Mswati III annonce que le pays va changer de constitution. Les organisations de dĂ©fense des droits de l'homme et les groupes d'opposition dĂ©noncent le projet proposĂ© de constitution, puisqu'elle continue Ă  interdire les partis politiques et renforce les pouvoirs du roi. En dĂ©pit des rĂ©sistances des groupes d'opposition, la nouvelle constitution du Swaziland est ratifiĂ©e par le roi le et entre en vigueur le . Le pays demeure une monarchie absolue. Les partis politiques ne sont perçus que comme des associations et la Cour suprĂȘme ne peut juger d'affaires pouvant impliquer la monarchie.

En , ce pays de 1,1 million d'habitants reste le dernier pays africain Ă  ĂȘtre l'alliĂ© de TaĂŻwan, alors que l'ensemble des autres pays du continent soutiennent la rĂ©publique populaire de Chine[27].

Le pays est la derniùre monarchie absolue d’Afrique[28].

En , le pays est bouleversé par des mouvements de protestation contre le régime. Le prince Simelane Dlamini, ministre des travaux publics, déclare que les manifestations sont interdites dans le pays[29].

Districts

L'Eswatini est divisé en quatre districts :

GĂ©ographie

Paysage en Eswatini.

L'Eswatini offre une grande variĂ©tĂ© de paysages : des montagnes le long de la frontiĂšre avec le Mozambique (monts Lebombo), des savanes d'altitude Ă  l'est avec le highveld (qui fait partie du Drakensberg) et des forĂȘts tropicales dans le nord-ouest. Plusieurs fleuves traversent le pays, tel que le Umbeluzi ou le Lusutfu. L'Eswatini n'a pas d'accĂšs Ă  la mer.

Son point culminant est le mont Emlembe, 1 862 mĂštres, situĂ© au nord-ouest du pays, prĂšs de Pigg's Peak.

Avec 62 000 habitants[30], la capitale Mbabane est la deuxiĂšme plus grande ville du pays derriĂšre Manzini ; Lobamba (capitale royale et lĂ©gislative) ou Siteki sont de moindre importance.

Économie

L'Ă©conomie de l'Eswatini est caractĂ©risĂ©e par un taux de chĂŽmage de 34%, soit le 170e rang mondial en 2004. Les exportations qui reprĂ©sentent une entrĂ©e d'argent de plus de 900 millions de dollars ne couvrent pas le coĂ»t des importations, qui reprĂ©sentent plus d'un milliard de dollars. La balance commerciale est dĂ©ficitaire de 72 millions de dollars. En 2001, le PNB s'Ă©levait Ă  1,4 milliard de dollars. La croissance Ă  1,6 % en 2001 et Ă  2 % en 2006[31].

La production est surtout agricole. Le secteur primaire emploie 80 % des actifs mais ne reprĂ©sente que 16,4 % du PNB. Le pays cultive la canne Ă  sucre, le coton, le tabac, le riz et le maĂŻs. Depuis les annĂ©es 1980, l'industrie se dĂ©veloppe, en particulier dans l'agroalimentaire et le textile. L'activitĂ© des services atteint plus de 40 % du PNB. La culture de la canne Ă  sucre, principale ressource du pays, asservit cependant une partie de la population : expulsions forcĂ©es de communautĂ©s rurales pour amĂ©nager les plantations, travail des enfants, semaines de travail allant jusqu'Ă  60 heures, etc. La ConfĂ©dĂ©ration syndicale internationale Ă©voque « des conditions de travail ardues et malsaines, des salaires misĂ©rables et une rĂ©pression violente de toute tentative de syndicalisation »[28]. En 2018, le pays est le quatriĂšme producteur de canne Ă  sucre du continent[28].

L'économie de l'Eswatini dépend pour partie des échanges avec l'Afrique du Sud, son voisin, et de ceux avec l'Europe. En 2006, les importations depuis l'Afrique du Sud représentaient les 9/10e des importations totales et les exportations vers ce pays les 3/4 des exportations. L'Union européenne est son second partenaire commercial avec 14,2% des exportations. Les échanges commerciaux avec l'UE se sont renforcées depuis la signature d'un partenariat économique en 2016. Les produits manufacturés sont tous importés d'Afrique du Sud mais du minerai de fer, du kaolin, du bois, du sucre sont exportés en Angleterre ou au Japon. Des entreprises étrangÚres implantées dans le pays, comme Coca-Cola, bénéficient d'un taux d'imposition trÚs faible[28].

Pagnes traditionnels de l'Eswatini.

L'Eswatini doit faire face Ă  des problĂšmes de dĂ©veloppement importants. Le pays est au 144e rang mondial pour l'IDH[4], malgrĂ© une aide internationale en 2001 de 104 millions de dollars. Les deux tiers des habitants vivent en effet sous le seuil de pauvretĂ©[32].

Dans le mĂȘme temps, 10 % de la population dĂ©tient 50% des richesses du pays[32]. Les difficultĂ©s sont rĂ©elles dans les dĂ©penses Ă©tatiques : le dĂ©ficit budgĂ©taire atteignait 101 millions de dollars en 2003. L'inflation atteignait 7,3%, devant celle que connaĂźt la Namibie. Les services publics sont trĂšs peu dĂ©veloppĂ©s : le pays ne dispose que de douze ambulances publiques, les Ă©coles primaires n'assurent gĂ©nĂ©ralement plus la cantine et les pharmacies disparaissent[28].

Un cercle Ă©conomique de 15 000 hommes d'affaires s'octroie l'essentiel des richesses du pays. Ce cercle comprend des investisseurs sud-africains venus trouver Ă  l'Eswatini une main-d’Ɠuvre trois fois moins chĂšre et un groupe de chefs d'entreprises blancs hĂ©ritiers des colons britanniques[28].

La monnaie de l'Eswatini est le lilangeni (7,67 emalangeni pour 1 dollar en 2009, env. 12 pour 1 dollar[33] et 17 pour 1 euro[34] en 2021). Les sommes allouĂ©es au roi Mswati III pour ses dĂ©penses de fonction reprĂ©sentent 8% du budget national. Les forces de police reçoivent 5% du budget, tout comme les forces armĂ©es[28].

Sports

L'Eswatini a une équipe nationale de football qui n'a participé à aucune phase finale de compétition[35].

DĂ©mographie

En 2018, la population de l'Eswatini est estimĂ©e Ă  1 159 250 habitants[36]. Les principales aires urbaines sont Manzini (154 763 habitants en 2018) et Mbabane, la capitale administrative et judiciaire (106 709 habitants). Lobamba, la capitale royale et lĂ©gislative, ne compte que 12 372 habitants[36].

Évolution de la dĂ©mographie entre 1950 et 2021 (chiffre de la division de la population du DAES). Population en milliers d'habitants.

L'Eswatini est l'un des pays du monde oĂč l'espĂ©rance de vie est la plus faible (51,6 ans, estimation 2016[37]), principalement[38] parce que c'est le pays du monde oĂč le taux de prĂ©valence chez les adultes du VIH/SIDA est le plus Ă©levĂ©, avec 25,9%[39].

L'Eswatini possĂšde le 31e plus fort taux de mortalitĂ© infantile du monde (59,57 â€°, estimation 2012)[40].

Langues

L'Eswatini a deux langues officielles, le swati (une langue nguni de la famille des langues bantoues), la langue maternelle de prÚs de 90% de la population, et l'anglais (0,6 %). D'autres langues sont parlées dans le pays et appartiennent essentiellement à la famille des langues bantoues.

Culture

FĂȘtes et jours fĂ©riĂ©s
DateNom françaisNom localRemarques
6 septembreFĂȘte de l'indĂ©pendance

Le christianisme est la principale religion en Eswatini.

Codes

L'Eswatini a pour codes :

Personnalités liées

Voir aussi

Bibliographie

  • (en) Hilda Kuper, An African Aristocracy : Rank Among the Swazi, Routledge, coll. « African ethnographics studies of the 20th century », (1re Ă©d. 1947)
  • (en) Hilda Kuper, The Swazi, International African Institute,
  • Aliette de Coquereaumont-Gruget, Le royaume du Swaziland : un État dans l'Afrique du Sud, Paris, L'Harmattan, , 286 p. (ISBN 2-7384-1456-7)
  • JĂ©rĂŽme Vialatte, Swaziland, un royaume en Afrique australe : bibliographie thĂ©matique commentĂ©e (1886-2000), Bordeaux, CEAN, Institut d'Ă©tude politique de Bordeaux, , 211 p.
  • Jacob Festus Adeniyi Ajayi (dir.), Histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique, vol. 6 : L’Afrique au XIXe siĂšcle jusque vers les annĂ©es 1880, UNESCO,
  • François-Xavier Fauvelle, Histoire de l'Afrique du Sud, Seuil, coll. « L'univers historique », (1re Ă©d. 2006)

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. parfois Ă©crit eSwatini selon la graphie swati[7] - [8].

Références

  1. Recommandation concernant les noms d'États, d'habitants, de capitales, de siùges diplomatiques ou consulaires.
  2. « Swazi », Grand Dictionnaire terminologique, Office québécois de la langue française, (consulté le ).
  3. (en) « Africa :: Eswatini — The World Factbook - Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consultĂ© le )
  4. Rapport sur le développement humain 2021/2022 : Temps incertains, vies bouleversées : façonner notre avenir dans un monde en mutation, New York, Programme des Nations unies pour le développement, , 337 p. (ISBN 978-92-1-126452-4, lire en ligne).
  5. (en) « Gini index », sur Banque mondiale (consulté le ).
  6. (en) Martin J. Wolf, John W. Emerson, Daniel C. Esty, Alex de Sherbinin, Zachary A. Wendling et al., 2022 Environmental Performance Index, New Haven, Connecticut, États-Unis, Yale Center for Environmental Law & Policy, , 192 p. (lire en ligne [PDF]).
  7. « Le Swaziland change de nom et redevient eSwatini », sur rfi.fr, Radio France internationale, (consulté le ).
  8. « Le Swaziland retrouve son nom prĂ©colonial, l’« Eswatini » », Le Monde, (consultĂ© le ).
  9. « PrĂ©sentation d’Eswatini », sur France Diplomatie (consultĂ© le ).
  10. Prononciation en swati retranscrite selon la norme API.
  11. Petit Robert des noms propres, , p. 2187
  12. (en) « Swaziland. Emergence of the Swazi nation », britannica.com.
  13. (en) D. Hugh Gillis, The Kingdom of Swaziland : Studies in Political History, Greenwood Publishing Group, , p. 10.
  14. « Le Swaziland retrouve son nom prĂ©colonial, l’« Eswatini » », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  15. Fauvelle 2013, p. 220-221.
  16. vol. 6127-128-17" class="mw-reference-text">Histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique, vol. 6, p. 127-128.
  17. vol. 6129-18" class="mw-reference-text">Histoire gĂ©nĂ©rale de l'Afrique, vol. 6, p. 129.
  18. « Sobhuza II (1899-1982) roi des Swazi (1921-1982) », sur le site EncyclopÊdia Universalis.
  19. « Swaziland », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  20. Patrica Claude, « Des intrigues byzantines exploitĂ©es par Pretoria », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  21. « Swaziland », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  22. SĂ©bastien Hervieu, « Swaziland : Ubu royaume », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  23. « Le Swaziland retrouve son nom prĂ©colonial, l’eSwatini », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  24. « Ces pays qui changent de noms pour rompre avec leur passé colonial », sur www.20minutes.fr (consulté le ).
  25. « SecouĂ© par des manifestations pro-dĂ©mocratie, le royaume d’Eswatini impose un couvre-feu », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  26. By: New Frame et Illustrator: Anastasya Eliseeva, « Oppression and resistance in eSwatini », sur New Frame, (consulté le )
  27. Brice Pedroletti, « L’Eswatini, dernier alliĂ© de TaĂŻwan en Afrique », sur lemonde.fr, (consultĂ© le ).
  28. Alain Vicky, « La derniĂšre monarchie absolue d’Afrique », Le Monde diplomatique,‎ , p. 13 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  29. « Face Ă  la vague de contestation, l’Eswatini interdit toute manifestation », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  30. (en) « City Profile », sur mbabane.org.sz.
  31. Le bilan du monde de l'année 2007, Le Monde, .
  32. Le Monde, daté du 28 juillet 2009, page 12.
  33. (en + fr) « Convertisseur de devises xe » (consultĂ© le ).
  34. « Taux de change (autres cours de l'euro à fin de mois) Août 2021 », Banque de France.
  35. FIFA.com, « Le Classement mondial FIFA/Coca-Cola - Associations - Eswatini - Hommes - FIFA.com », sur FIFA.com (consulté le ).
  36. « Eswatini (Swaziland) ‱ Fiche pays ‱ PopulationData.net », sur PopulationData.net, (consultĂ© le )
  37. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consultĂ© le )
  38. Beatriz Pavon, « Crise du dĂ©veloppement : le sida rĂ©duit l'espĂ©rance de vie dans 23 pays africains », Chronique de l'ONU, vol. XLI, no 3,‎ , p. 54 (lire en ligne)
  39. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consultĂ© le )
  40. (en) « The World Factbook — Central Intelligence Agency », sur www.cia.gov (consultĂ© le )

Articles connexes

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