Escou
Escou est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Escou | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Haut Béarn | ||||
Maire Mandat |
Jean Casabonne 2020-2026 |
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Code postal | 64870 | ||||
Code commune | 64207 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
428 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 11âČ 00âł nord, 0° 32âČ 07âł ouest | ||||
Altitude | Min. 271 m Max. 416 m |
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Superficie | 6,19 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Escou se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 27,4 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 8,5 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Escout (1,4 km), HerrÚre (1,5 km), Précilhon (3,8 km), Estialescq (4,4 km), Ogeu-les-Bains (4,7 km), GoÚs (4,9 km), Gurmençon (5,6 km), Bidos (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Escou fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
Hydrographie
La commune est drainée par l'Escou, l'Arrigastoû, Fossé le Rieu Marsous, L'Arrigastou, le ruisseau Bidou, le ruisseau de Claverie, le ruisseau Hauret, le ruisseau Labronze, le ruisseau Sarailles, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
L'Escou, d'une longueur totale de 16,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Estos, aprÚs avoir traversé 9 communes[9].
L'Arrigastoû, d'une longueur totale de 11,9 km, prend sa source dans la commune de Buzy et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Ossau à Escout, aprÚs avoir traversé 6 communes[10].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[11]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[16] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[17] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 341,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 26 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[21], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[22].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[24], d'une superficie de 2 547 ha, une riviĂšre Ă saumon et Ă©crevisse Ă pattes blanches[25] - [Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Escou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [26] - [27] - [28].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[29] - [30].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (77,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (44,4 %), terres arables (30,5 %), forĂȘts (18,5 %), zones urbanisĂ©es (4,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,7 %)[31].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
- le Hameau
- le Village
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Escou est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[32]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Escou et le ruisseau Moulias. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2009, 2011, 2014 et 2018[34] - [32].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[35]. 48 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [36].
Toponymie
Le toponyme Escou apparaßt[37] sous les formes Escoo (1380, contrats de Luntz[38]), Scoo (1546, réformation de Béarn[39]) et Sent Pierre d'Escou (1656, insinuations du diocÚse d'Oloron[40]).
Histoire
Paul Raymond[37] note qu'en 1385, Escou comptait 11 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de quatre structures intercommunales[41] :
- la communauté de communes du Piémont Oloronais ;
- le syndicat AEP d'Ogeu-les-Bains ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat pour le regroupement scolaire de la vallée de l'Escou.
Escou accueille le siÚge du syndicat pour le regroupement scolaire de la vallée de l'Escou.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[43].
En 2020, la commune comptait 428 habitants[Note 10], en augmentation de 6,2 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.
Ăconomie
L'activité est principalement agricole (vigne, céréales, élevage). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
- Les Pyrénées vues du village d'Escou.
- Escou, chemin de randonnée.
Patrimoine civil
- La commune se situe sur la ligne Pau-Canfranc. La gare est fermée au trafic.
- La maison Capieig, bùtisse du XVIIe. Propriété privée.
- Portes datant du XVIIe en centre bourg
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Pierre[46] date du XVIIe siÚcle. (autel tombeau du XIXe, petit tabernacle de bois doré de la fin du XVIIe, statue de saint Pierre en bois doré).
- Le village est dominĂ© par une ligne de crĂȘtes sur laquelle pointe une croix en bĂ©ton, la croix d'Escou, Ă©rigĂ©e au XXe siĂšcle par un apprĂ©ciĂ© curĂ© de la paroisse, l'abbĂ© Joseph Camblong (...-1992).
Ăquipements
La commune dispose d'une Ă©cole maternelle et d'un terrain de rugby.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[23].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique d'Escou » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Escou », sur www.geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune d'Escou », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escou et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Escou et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Escou », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale d'Escou », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « l'Escou ».
- Sandre, « l'Arrigastoû ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Escou et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Escou et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- Insinuations du diocÚse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siÚcle..
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes du Piémont oloronais