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Esches

Esches est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Esches
Esches
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC des Sablons
Maire
Mandat
Denis Vanhoutte
2020-2026
Code postal 60110
Code commune 60218
Démographie
Gentilé Eschois, Eschoises
Population
municipale
1 626 hab. (2020 en augmentation de 9,35 % par rapport à 2014)
Densité 211 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 08″ nord, 2° 09′ 58″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 142 m
Superficie 7,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
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Esches
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Esches
Liens
Site web https://www.esches.fr/

    Géographie

    Description

    La gare.

    Esches et un bourg périurbain du Pays de Thelle, au sud-est du Pays de Nacre[Note 1] dans l'Oise, limitrophe à l'est de Méru et situé à 42 km au nord-ouest de Paris, 28 km au nord-est de Magny-en-Vexin ou de Gisors, 23 km au sud de Beauvais et 23 kù à l'ouest de Creil.

    Le bourg est structuré le long de l'ancienne route nationale 323 (actuelle RD 923) qui relie Chambly (Oise) à Gisors. Le sud-ouest du territoire communal est tangenté par l'Autoroute A16 dont la sortie Amblaiville dessert la commune.

    La commune dispose de la gare d'Esches, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et de Beauvais.

    En 1837, Louis Graves indiquait « Le territoire fort allongé du nord au midi, est traversé par un large ravin qui descend jusqu'au ruisseau de Méri. Le chef-lieu placé au bas dé ce ravin, ne comprend qu'un petit nombre de maisons mêlées de jardins et de plantations[1] ».

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe de Méru, Amblainville, Bornel, Mortefontaine-en-Thelle, Andeville.

    Communes limitrophes d’Esches
    Andeville Mortefontaine-en-Thelle
    Méru Esches
    Amblainville Bornel

    Hydrographie

    La commune partage son nom avec l'Esches, la petite rivière dont les bras la traversent et qui est environnée de zones humides.

    L'Esche est un sous-affluent de la Seine pat l'Oise.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 682 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pontoise - Aero », sur la commune de Boissy-l'Aillerie, mise en service en 1946[8] et qui se trouve à 19 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 638,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 28 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Esches est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,4 %), forêts (19,2 %), zones urbanisées (7,3 %), prairies (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Les hameaux d’Esches sont : Liécourt, Lalande, Harbonnières et Vignoru[22].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 554, alors qu'il était de 495 en 2014 et de 432 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 3,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,3 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Esches en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) inférieure à celle du département (2,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,1 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Esches en 2019.
    Typologie Esches[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 95,1 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 3,1 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été désignée comme Leiches, Esche, Hesches , Leche (Haseca)[1]

    Histoire

    Antiquité

    Des épées, des glaives, des poteries et divers objets ont été trouvées au XVIIIe siècle à Buchy, un lieu-dit de la commune[23].

    Moyen Âge

    Un château fort entouré de douves se trouvait à l’emplacement du château actuel[24].

    Le seigneur avait haute, moyenne et basse justice[1].

    Temps modernes

    Eiches est. des lieux du Beauvaisis imposés comme résidence aux huguenots chassés de Beauvais vers 1580[1]

    Époque contemporaine

    L'énergie motrice de la rivière Esche est utilisée par un moulin pour fabriquer au XIXe et au début du XXe siècle des boutons ainsi que des objets de tabletterie de nacre[24].

    En 1837, Louis Graves indique que la population du chef-lieu est exclusivement agricole. Celle des hameaux fournit des ouvriers en tabletterie[1].

    • Esches au tout début du XXe siècle
    • La gare.
      La gare.

    Politique et administration

    L'ancienne mairie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de l'Oise.

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Méru[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 20 à 16 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes des Sablons, créée en 2000 et qui succédait au district des Sablons initialement dédié au développement économique.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962[26] Charles Jery
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 juin 2000 Jean Ranger[27] DVG Professeur à Sciences politiques
    Démissionnaire
    juin 2000[28] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Denis Vanhoutte Technicien commercial
    Vice-président de la CC des Sablons (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    À Esches, il y a deux écoles : l'école du Parc (maternelle) et l'école du Moulin (primaire)[30].

    Démographie

    Les habitants d'Esches sont les Eschois[31].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2020, la commune comptait 1 626 habitants[Note 9], en augmentation de 9,35 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    240272318352334357335346366
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    335351295316305299295304290
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    311359358301294289274271335
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4475996225998281 0711 1041 2031 255
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 4871 6101 626------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Esches et Méru se partagent le parc d’activités Méressan d'une superficie de 93 hectares.

    Culture locale et monuments

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-Rémi, rue Nationale, datant du XIIe siècle et située en contrebas d'une ancienne motte castrale, reconstruite en 1789.
      Le chœur de deux travées à chevet date des années 1140 et était initialement voûté d’ogives. Son mur est refait à la fin du XIIe siècle et l'ensemble est pressque totalement repris au XVIe siècle.
      La nef est également remaniée; voire reconstruite, à la même époque.
      Au XIXe siècle est réalisée la façade en briques et pierres de style néogothique, ainsi que la chapelle au nord de la première travée du chœur
      Elle a été restaurée de 2002 à 2007 par l'intercommunalité[35] - [36] - .
    • La chapelle Saint-Hubert à Lalande.
    • Le château du XVIIIe siècle construit par le marquis de Hamecourt, et qui est devenu la mairie d'Esches[37].
    • Église Saint-Rémi.
      Église Saint-Rémi.
    • Église Saint-Rémi.
      Église Saint-Rémi.
    • Église Saint-Rémi.
      Église Saint-Rémi.
    • Chapelle Saint-Hubert.
      Chapelle Saint-Hubert.
    • Chapelle Saint-Hubert.
      Chapelle Saint-Hubert.
    • Château d'Esches.
      Château d'Esches.

    Personnalités liées à la commune

    • Le pionnier de la télévision française Claude Santelli (1923-2001) a habité une trentaine d'années à Esches et y est inhumé[38] - [39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Esches », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. La dénomination de Pays de Nacre rappelle l'histoire industrielle de ce secteur du sud de l'Oise, qui, au XIXe siècle, s'était spécialisé dans le travail de la nacre afin de réaliser des objets d’objets de tabletterie en utilisant la force motrice de ses petites rivières.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Méru, arrondissement de Beauvais (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 116 p. (lire en ligne), p. 47-49, sur Google Livres.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pontoise - Aero - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Esches et Boissy-l'Aillerie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pontoise - Aero - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Esches et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Esches », sur http://cc-sablons.com (consulté le ).
    23. « Esches sur la CC », Communauté de communes des Sablons (consulté le ).
    24. « Esches », La Destination > Nos communes et églises /, sur https://tourisme-vexin-nacre.fr/ (consulté le ).
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Les maires de Esches », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    27. « Décès de Jean Ranger, l'ancien maire d'Esches », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean Ranger, ancien maire d'Esches, est décédé hier à l'âge de 78 ans. Elu pendant plus de vingt-cinq ans, il a été maire jusqu'en 2000, date à laquelle Denis Vanhoutte lui a succédé ».
    28. Patrick Caffin, « Denis Vanhoutte élu maire contre son père », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il a été élu vendredi soir au premier tour à la quasi-unanimité puisqu'il a récolté 14 voix sur 15 (un bulletin nul). Les conseillers municipaux ont suivi la volonté de l'ancien maire, Jean Ranger, qui avait désigné son dauphin en janvier dernier lors de l'annonce de sa démission ».
    29. Philippe Delattre, « Esches : un 4e mandat de maire pour Denis Vanhoutte », L'Écho du Thelle,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul à présenter une liste lors du premier tour des municipales, il avait donc remporté haut-la-main 100 % des suffrages ».
    30. « Écoles », sur Mairie de Exches (consulté le ).
    31. « Esches », sur http://www.habitants.fr (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Visite virtuelle Église Saint-Rémi d’Esches », Nos communes et églises > Esches, sur https://tourisme-vexin-nacre.fr (consulté le ).
    36. Dominique Vermand, « Esches, église Saint-Rémi : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    37. « Église Saint-Rémi d’Esches », sur https://cc-sablons.com (consulté le ).
    38. Sandrine Raffin, « Il vécut trente-huit ans à Esches : Un vibrant hommage à Claude Santelli », L'Écho du Thelle, no 742,‎ , p. 4 « C’est donc à Esches qu’il vécut de 1963 à 2001. Pendant 38 ans, il a partagé la vie du village, offrant des livres aux écoliers à Noël, participant à la tombola de la kermesse, et venant même tourner le film « Milo mon amour » à Esches et Anserville, avec pour figurants des habitants, comme Marie-Hélène Piocelle, l’épouse de Pascal, président de l’association THEME (Tradition Mémoire et Histoire de Esches) ».
    39. Patrick Caffin, « Esches : Le bel hommage rendu au réalisateur Claude Santelli : Pendant 40 ans, le réalisateur, pionnier de la télévision, a résidé à Esches jusqu’à son décès en 2001 », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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