Dourdain
Dourdain est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 1 212 habitants[Note 1].
Dourdain | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Liffré-Cormier Communauté | ||||
Maire Mandat |
Michel Maillard 2023-2026 |
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Code postal | 35450 | ||||
Code commune | 35101 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 212 hab. (2020 en augmentation de 7,45 % par rapport à 2014) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 11′ 35″ nord, 1° 22′ 12″ ouest | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 112 m |
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Superficie | 13,80 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Liffré | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.dourdain.fr | ||||
Géographie
Situation
Dourdain est l'une des 333 communes d'Ille-et-Vilaine. Située à 36 km au nord-est de Rennes, à 30 km au sud-ouest de Fougères et à 20 km de au nord-ouest de Vitré, la commune présente un paysage de bocages[1].
Liffré | Livré-sur-Changeon | |||
La Bouëxière | N | Val-d'Izé | ||
O Dourdain E | ||||
S | ||||
Hydrographie
La Veuvre (affluent de rive droite de la Vilaine) limite au nord le finage communal, traversé par le ruisseau de la Barbotais (affluent de la Veuvre), dont le ruisseau de Chevré forme la limite sud et le ruisseau de la Fontaine de la Cibonnière (tous deux affluents du ruisseau de la Barbotais) la limite est[1].
Relief
Les altitudes varient de 111 mètres pour le point culminant (entre le bourg et le hameau de la Corblais) au centre-nord du territoire communal, et 53 mètres (à la confluence de la Veuvre et du ruisseau de la Barbotais, à l'extrême ouest du finage communal. Le bourg avoisine les 80 mètres d'altitude.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fougeres », sur la commune de Fougères, mise en service en 1966[8] et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 923,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 30 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Dourdain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), terres arables (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), zones urbanisées (2,7 %), forêts (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Dourdan au XIe siècle et Dorden en 1136[22].
Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou pré-gaulois basé sur un thème *dord- de sens obscur. Cette racine est identifiée dans la toponymie et l'hydronymie de la France cf. Dourdan (Essonne, Dordincum en 956) ; Dordives (Loiret, *Dordiva)[23].
Comme le montre la forme la plus ancienne de Dourdain, Dourdan au XIe siècle, il est probable qu'il s'agisse du même type toponymique que Dourdan (Essonne, Dordincum en 956), c'est-à -dire Dord-incum[24], le suffixe -incum (-inco) ayant régulièrement abouti à la terminaison -an, évoluée par la suite en -ain dans le cas de Dourdain (cf. panem > pan> pain, etc.).
En gallo, langue traditionnelle des habitants de Dourdain, la commune est appelée Dourdin[25].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Dourdan[26].
Histoire
Premières occupations
Des traces d'occupation néolithiques ont longtemps subsisté : l'inventaire du patrimoine cite un tumulus existant « au début du siècle » au Haut-Sérigné ou Haut-Ligné[27], Les mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine mentionne des menhirs à La Bédouannerie, sur le coteau de la Veuvre, détruits au XIXe siècle[28].
Moyen Âge
La fiche d'inventaire du patrimoine indique que la paroisse existait au XIIe siècle, et que durant les guerres de Religion, la paroisse et le château du Plessis-Pillet (qui appartient depuis le XIIIe siècle aux Montbourcher, devenus à l'époque l'une des grandes familles protestantes bretonnes) sont pillés par les ligueurs[27].
Elle mentionne également l'existence d'une léproserie au Moyen Âge, dont l'emplacement est inconnu[27].
Époque moderne
En 1639, Paul Bouan, seigneur de Châteaubourg et du Plessis-Pillet est indiqué comme étant « seigneur patron et fondateur de l'église et du presbytère de Dourdain ; il avait droit aux prières nominales après le seigneur de Sévigné »[29].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Dourdain en 1778 :
« Dourdain, à six lieues à l'Est-Nord-Est de Rennes, son évêché, et à une lieue et ½ de Saint-Aubin-du-Cormier, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse, fondée (...) par les seigneurs du Bordage, compte 900 communiants[30]. La cure est à l'alternative. Son territoire est un pays plat, couvert d'arbres et de buissons, dont les terres sont assez bonnes. On y voit des prairies, des landes et des arbres qui rapportent beaucoup de fruits ; deux maisons-nobles, savoir la Normandais, moyenne justice, à M. de la Teillaye, et le Plessis-Pillet, moyenne justice à M. de la Celle de Châteaubourg[31] - [32]. »
Révolution française
La population de la commune, qui devient chef-lieu de canton lors de la Révolution française[27], est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[33].
La commune fut prise d'assaut par les chouans lors du mois de .
Le XIXe siècle
Le comte de Châteaubourg, châtelain du Plessis-Pillet, fut lieutenant de louveterie et maire de Dourdain[34]. En 1851, le journal La Presse écrit :
« Les loups commencent à s'agiter dans les forêts enclavées entre les bourgs de La Bouëxière, Servon, Dourdain, Marpiré, Broons et Saint-Jean-sur-Vilaine, et la gendarmerie de Châteaubourg a déjà eu à constater de graves dégâts. Ces redoutables animaux paraissent jusqu'à présent sortir plus particulièrement de la forêt de la Corbière. Le 31 décembre [1850], un cheval et un poulain ont été dévorés sur le territoire de Saint-Jean, et une génisse sur celui de Broons. Les loups doivent être nombreux, car on entend beaucoup de hurlements dans les campagnes. On a rencontré, dans la commune de Broons, une louve et quatre louveteaux[35]. »
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Dourdain en 1843 :
« Dourdain (sous l'invocation de saint Pierre, 29 juin) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : la Corblais, la Chapronais, le Plessix-Pillet, la Touche, la Robinais, la Choltais, la Bedouannerie. Superficie totale : 1318 hectares, dont (...) terres labourables 966 ha, prés et pâtures 249 ha, vergers et jardins 11 ha, bois 4 ha, landes et incultes 93 ha (...). Moulins : 2 (Ory, la Barbotais, à eau). (...) Géologie : quartzite, schiste à 1 km au sud. On parle le français [en fait le gallo][36] »
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Dourdain porte les noms de trente-et-un soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, deux au moins (François Chesnais, Eugène Riaudel) sont morts en Belgique ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français. Pierre Rocher[37] a été décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; Joseph Boucherie[38], Aimé Guérin[39] et Francis Lecoq[40] de la Croix de guerre[41].
Trois frères originaires de la commune sont morts pendant ce conflit : outre Pierre Rocher, déjà cité, ses frères Alfred[42] et François Rocher[43], tous les trois fils de Pierre et Jeanne Marie Monnerie.
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Dourdain porte les noms de deux soldats (J. Betton, F. Rabault) morts pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[41].
L'après Seconde Guerre mondiale
En avril 1949, l'une des toutes premières CUMA de France, dénommée L'entraide paysanne de Dourdain fut créée de fait (la création officielle datant de 1952) par sept agriculteurs de la commune, dont Paul Havard, un jaciste, est le principal animateur. En 1958, Paul Havard devint le délégué de la Fédération nationale des CUMA pour les régions Bretagne, Basse-Normandie et Pays de la Loire[44]
Politique et administration
En 2023, des élections municipales auront lieu afin d'élire un nouveau conseil à la suite de la démission de la maire précédente. Cédric Denoual, premier adjoint, assure les fonctions de maire par intérim.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[49].
En 2020, la commune comptait 1 212 habitants[Note 9], en augmentation de 7,45 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2017, Dourdain était, selon l'INSEE, la commune d'Ille-et-Vilaine où les retraités avaient le plus faible revenu imposable (15 465 euros).
Lieux et monuments
La commune ne compte aucun monument historique mais deux monuments inventoriés :
- l'église paroissiale Saint-Pierre date des XVe et XVIe siècles, et a subi des remaniements réguliers depuis cette époque. Elle porte les armes de la famille Montbourcher[52] ;
- la chapelle de la Giolais, datant de 1743 et dédiée à Notre-Dame de toutes Aides et Notre-Dame des Sept Douleurs, est une chapelle frairienne[53] ;
- Le lavoir de Dourdain.
Personnalités liées à la commune
- Gilles Fournel, poète et ancien instituteur ayant exercé à Dourdain.
Voir aussi
Archives
- Seigneurie du Bordage - Concerne Chasné-sur-Illet, Ercé-près-Liffré, Dourdain, Gosné, La Bouëxière, Mézières, Saint-Aubin d'Aubigné, 17 J 43 à 17 J 110 > Fonds de la Magnane, (17 J), Archives I&V.
Notes
- Population municipale 2020, légale en 2023.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Isabelle Courtigné, maire de la commune depuis juillet 2020, est absente totalement de la vie municipale de l'hiver 2021 jusqu'à sa démission en janvier 2023
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Page « Dourdain » sur le site web de la communauté de communes du Pays de Liffré.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Fougeres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Dourdain et Fougères », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Fougeres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dourdain et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 57
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 251a.
- ibidem
- le jardin graphique, « ChubEndret, Dictionnaire de noms de lieux, institu Chubri, Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consulté le ).
- Résultats concernant « Dourdain » dans la base KerOfis
- Fiche de la commune sur le site patrimoine.region-bretagne.fr/
- Jacques Briard, Loïc Langouët, Yvan Onnée, Les Mégalithes du département d'Ille-et-Vilaine, Institut culturel de Bretagne, 2004, p. 31.
- Émile Évellin, Excursion de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1928, consultable en ligne sur Gallica.
- Personnes en âge de communier
- Paul de la Celle de Châteaubourg, né le à Rennes, décédé le à Mézières-sur-Couesnon
- Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome second, 1778, consultable https://archive.org/stream/dictionnairehist02og#page/78/mode/2up
- Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », Annales de Bretagne, vol. 21, t. 4,‎ , p. 398-399.
- Christian Estève, Les tentatives de limitation et de régulation de la chasse, "Revue historique", janvier 1997, consultable en ligne sur Gallica.
- Journal La Presse, n° du 18 janvier 1851, consultable en ligne sur Gallica.
- A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de Bretagne", tome 1, 1843, consultable en ligne sur Google Livres.
- Pierre Rocher, né le à Dourdain, canonnier au 50e régiment d'artillerie de campagne, mort des suites de ses blessures le à Mourmelon-le-Grand (Marne)
- Joseph Boucherie, né le à Dourdain, soldat au 150e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi au Mont Sapigneul en Cormicy (Marne)
- Aimé Guérin, né le à Dourdain, soldat au 41e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à l'hôpital auxiliaire de Sainte-Menehould (Marne)
- Francis Lecoq, né le à La Bouëxière, soldat au 41e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Vierzy (Aisne)
- « Dourdain, Monument aux Morts », sur www.memorialgenweb.org.
- Alfred Rocher, né le à Dourdain, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Neuville-Vitasse (Pas-de-Calais)
- François Rocher, né le à Dourdain, prêtre, soldat à la 10e section d'infirmiers militaires, mort de maladie contractée en service le à Chaumont (Haute-Marne)
- Robert Fort, Ils ont révolutionné le monde rural. L'aventure de la JAC en Bretagne (1930-1970), éditions Le Télégramme, 2001 [ (ISBN 2-909292-94-0)]
- Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
- « Bretagne: Une maire disparaît pendant un an avant de finalement annoncer sa démission », BFM TV,‎ (lire en ligne).
- « Isabelle Courtigné, première femme maire à Dourdain », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA35010552, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Notre-Dame-de-toutes-Aides, Notre-Dame-des-sept-Douleurs (chapelle frairienne) », notice no IA35010592, base Mérimée, ministère français de la Culture.