Coussay-les-Bois
Coussay-les-Bois est une commune du centre-ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Coussay-les-Bois | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Vienne | ||||
Arrondissement | Châtellerault | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Grand Châtellerault | ||||
Maire Mandat |
Michel Favreau 2020-2026 |
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Code postal | 86270 | ||||
Code commune | 86086 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Coussayais | ||||
Population municipale |
929 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 21 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 48′ 31″ nord, 0° 44′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 144 m |
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Superficie | 43,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Châtellerault (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châtellerault-3 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Ses habitants sont appelés les Coussayais[1].
Géographie
Localisation
Coussay-les-Bois est située entre Châtellerault et La Roche-Posay, à 16,5 km à l'est de la première et à 6 km à l'ouest de la deuxième.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roche-Posay Cou », sur la commune de La Roche-Posay, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 719,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Coussay-les-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,8 %), forêts (31 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), prairies (6,8 %), zones urbanisées (1,3 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Coussay-les-Bois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Luire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1993, 1999, 2001, 2008 et 2010[23] - [21].
Coussay-les-Bois est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[24]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 8] - [25], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [26] - [27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[28]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. 72,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [30].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].
Toponymie
Le nom du bourg pourrait provenir de l’anthroponyme gallo-romain Cossius avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis - ay et signifiant domaine de[31].
Histoire
Le , trois membres du maquis Le Chouan sont fusillés par les SS en représailles contre une attaque d’un convoi allemand[32]. Un odonyme local (« Place du 20-Juin-1944 ») rappelle cet événement.
Le 9 septembre suivant, ce sont 17 soldats allemands qui sont exécutés sommairement[33] - [34].
Politique et administration
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].
En 2020, la commune comptait 929 habitants[Note 10], en diminution de 4,52 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 20 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Économie
Agriculture
Selon la Direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[40], il n'y a plus que 19 exploitations agricoles en 2010 contre 40 en 2000.
Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 1 945 hectares en 2000 à 1 647 hectares en 2010. 40 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi un peu d'orge et de maïs), 16 % pour les oléagineux (colza et tournesol), 14 % pour le fourrage et 21 % reste en herbes. En 2010,2 hectares (4 hectares en 2000) sont consacrés à la vigne[40].
7 exploitations en 2010 (contre 8 en 2000) abritent un élevage de bovins (601 têtes en 2010 contre 371 têtes en 2000). 5 exploitations en 2010 (contre 9 en 2000) abritent un élevage d'ovins (762 têtes en 2010 contre 447 têtes en 2000). Les élevages de chèvres et de volailles ont disparu en 2010 (respectivement: 188 têtes sur 5 fermes en 2000 et 178 têtes sur 4 exploitations)[40].
Développement durable
La commune accueille l'un des 11 centres de compostage des déchets organiques du département. Le tonnage annuel est de 800 tonnes alors que pour l'ensemble des équipements du département, il est de 175 050 tonnes[41].
Culture locale et patrimoine
Vestiges préhistoriques et antiques
- Vestiges gallo-romains aux Châtelliers.
Architecture civile
- Château de La Vervolière XVe siècle est classé comme monument historique en 1920. Il appartenait aux du Plessis, ancêtres du cardinal de Richelieu. C'est un bel ensemble avec dans la cour, une remarquable porte de style gothique flamboyant, aux sculptures très fouillées.
- Château de La Grelandière XIXe siècle.
- Château du Turrault XIXe siècle.
Architecture sacrée
- Église Saint-Martin date de la fin du XIe siècle est inscrite comme monument historique depuis 1951[42]. Elle fut la première église du village. Elle a été construite en 1099. Elle fut ensuite vendue comme bien national et fut intégrée au couvent de l'adoration perpétuelle de 1835 à 1948. Celui-ci devint propriété de la ville de Clamart qui en fit un centre de vacances jusqu'en 2001. Elle est actuellement propriété de la commune de Coussay-les-Bois. Elle possède un clocher tors. L'église est dédiée à saint Martin comme à peu près 4 000 autres édifices en France et (8 000 en Italie). Saint Martin était très populaire au Moyen Âge.
- Église Notre-Dame est classée comme monument historique depuis 1914[43]. Elle est de style roman du XIIe siècle et du XVe siècle. L'église est originale par les coupoles qui couvrent la nef. C'est un bel édifice construit dans le matériau local : le tuffeau. L'église présente un plan basilical courant, composé d'une nef unique munie d'un transept peu saillant et d'un chœur à chevet plat du XVe siècle. Beau tableau représentant le Repos de la Sainte Famille, datant du XVIIIe siècle. sculptures romanes de Denis et de son atelier
- Ancien couvent de l'ordre du Sacré-Cœur-de-Picpus : chapelle en partie du XIIe siècle.
- Chapelle ogivale du château de la Vervolière.
Voir aussi
Articles de Wikipédia
Notes et références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Roche-Posay Cou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Coussay-les-Bois et La Roche-Posay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Roche-Posay Cou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Coussay-les-Bois et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Coussay-les-Bois », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
- « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
- « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
- Hervé Cannet, « Prisonniers du maquis et fusillés », sur liberation.fr, Libération, (consulté le ).
- Guillemette Faure, « Un monument en France pour des fusillés allemands ? », sur Rue89, nouvelobs.com, (consulté le ).
- Yann Bouchez, « Des Allemands fusillés dans la Vienne n'auront pas de plaque commémorative », sur la-croix.com, (consulté le ).
- Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
- Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105442
- https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105441
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )