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Cour-Cheverny

Cour-Cheverny est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire.

Cour-Cheverny
Cour-Cheverny
Vendanges à Cour-Cheverny en 1905.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Blois « Agglopolys »
Maire
Mandat
François Croissandeau
2020-2026
Code postal 41700
Code commune 41067
Démographie
Gentilé Courchois[1]
Population
municipale
2 781 hab. (2020 en diminution de 0,18 % par rapport à 2014)
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 37″ nord, 1° 27′ 25″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 118 m
Superficie 29,80 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Cour-Cheverny
(ville isolée)
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vineuil
Législatives Première circonscription

(Contres jusqu'en 2014)

Localisation
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Cour-Cheverny
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Cour-Cheverny
Liens
Site web http://www.cour-cheverny.com

    Le territoire de la commune s'étend sur l'aire naturelle du Val de Loire ainsi que sur celle de la Sologne.

    Les habitants s'appellent les Courchois.

    Géographie

    Description et localisation

    La ville est située à une dizaine de kilomètres au sud de Blois et une quinzaine du château de Chambord. Cour-Cheverny est un petit village français, situé dans le département de Loir-et-Cher et la région du Centre Val-de-Loire. La commune s'étend sur 2 980 hectares et compte 2 913 habitants (les Courchois) depuis le dernier recensement de la population. Le bourg regroupe près de la moitié de la population, le reste de la population se trouve dans une multitude de petits écarts disséminés à travers la campagne environnante.

    Topographie, hydrographie et géologie

    Situé à 80 mètres d'altitude, Cour-Cheverny est traversée par le Conon et le Beuvron. Au niveau de chaque rivière, une zone longeant les bords du cours d'eau est inondable[2]. La présence d’étangs et de rus est importante.

    Urbanisme

    Typologie

    Cour-Cheverny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cour-Cheverny, une unité urbaine monocommunale[6] de 2 824 habitants en 2018, constituant une ville isolée[7] - [8].

    Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9] - [10].

    Le PLU (Plan local d'urbanisme) de la commune de Cour-Cheverny a été approuvé le 12 mai 2016.

    Un PLU intercommunal (PLUi HD, intégrant les volets habitat et déplacement) est en cours d'élaboration par Agglopolys. Il prendra en compte le Schéma de cohérence territoriale du Blésois, approuvé en 2016.

    La commune compte 1 443 logements en 2015 dont 1 209 résidences principales. L'Insee indiquait, pour 2016, 121 logements vacants soit 8,3 %. Plus de 32 % des maisons ont été construites avant 1945. En 2016, le nombre de logements sociaux était de 40, soit 3,3 %[11].

    Toponymie

    L'origine du nom de Cour-Cheverny (ou Cour Cheverny) se trouve dans le latin vulgaire (populaire) curtis, signifiant ferme. Le village aurait ainsi été une importante propriété terrienne rattachée à Cheverny. Le village a aussi été appelé Cour-en-Sologne jusqu'au XIXe siècle.

    Histoire

    Les sites archéologiques révèlent des traces gallo-romaines : « Le Vivier », établissement rural gallo-romain (des monnaies ont été signalées), deux fossés au site de l'Ardoise[12]. Trois fosses du début de la période Hallstatt ont également été révélées au clos de Talcy.

    L'église est mentionnée en 1145 sous la dépendance de l'abbaye de Bourgmoyen. Elle relevait jadis du diocèse de Chartres. C'est une curtis, ferme, voisine du petit centre urbain de Cheverny, important dès le VIe siècle.

    À partir de la Renaissance, la région blésoise connait un développement important de châteaux et gentilhommières dans les campagnes proches de Blois. Plusieurs châteaux occupent ainsi le territoire communal.

    A la fin de la Première Guerre mondiale, une unité du Service des transmissions de l’Armée des États-Unis, le « Signal Corps », s'installe sur le territoire de la commune et sur celui du village voisin de Cheverny. Ils publient un journal interne en langue anglaise, intitulé Toot-sweet[13].

    Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 3 100 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant Franco, arrivent en Loir-et-Cher. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (les haras de Selles-sur-Cher sont notamment utilisés), 47 villages sont mis à contribution[14], dont Cour-Cheverny[15]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants, sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[16]. Au printemps et à l'été, les réfugiés sont regroupés à Bois-Brûlé (commune de Boisseau)[17].

    Le château de Cheverny, situé dans la commune voisin de Cheverny, devient un lieu de tourisme prisé au cours du XXe siècle, contribuant au développement touristique de Cour-Cheverny. Le bourg s’étoffe en services et commerces, et s’agrandit fin XXe siècle et début du XXIe siècle avec des zones résidentielles et d'activité.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1940 Henri Duru
    1940 1943 Louis Sauvage
    1943 1945 Georges Bégé
    1944 1945 Jean Huillet
    1945 René Chéry
    1959 1970 Edouard Brunet
    1970 mars 1989 Jean Grateau Médecin
    mars 1989 mars 2008 Bernard Billot DVD
    mars 2008 mars 2014 Yves Antier
    mars 2014 En cours François Croissandeau ensemble, Cour-Cheverny va plus loin Retraité

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[18].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2020, la commune comptait 2 781 habitants[Note 3], en diminution de 0,18 % par rapport à 2014 (Loir-et-Cher : −1,26 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4241 7801 7801 7391 7341 7341 8972 1942 250
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 2602 3282 4322 3212 2822 3692 3792 3382 218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2222 2332 2412 0261 8601 6451 7681 8031 736
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 7131 7241 8632 1302 3472 5552 6062 5912 731
    2015 2020 - - - - - - -
    2 8222 781-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 36,1 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 359 hommes pour 1 465 femmes, soit un taux de 51,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,45 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    3,6
    10,0
    75-89 ans
    12,4
    21,7
    60-74 ans
    22,6
    23,2
    45-59 ans
    21,4
    14,9
    30-44 ans
    15,2
    12,9
    15-29 ans
    10,8
    15,7
    0-14 ans
    14,0
    Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,1
    90 ou +
    2,5
    9
    75-89 ans
    11,7
    19,1
    60-74 ans
    19,7
    21
    45-59 ans
    20,2
    16,8
    30-44 ans
    16,4
    15,3
    15-29 ans
    13,3
    17,8
    0-14 ans
    16,2

    Économie

    Agriculture

    En 2012, 18 exploitations agricoles étaient recensées sur le territoire[2].

    Vin

    L'AOC cour cheverny a été reconnue en 1997[25]. Géographiquement, elle couvre la commune de Cour-Cheverny ainsi que 10 autres communes environnantes. Le cépage unique est le romorantin à partir duquel est produit un vin blanc sec.

    L'AOC cheverny, reconnue elle aussi en 1997[26] couvre une zone plus large, englobant notamment la commune de Cour-Cheverny. Sous cette appellation sont produits des vins blancs secs (cépage principal sauvignon, chardonnay) ainsi que des vins rouges et rosés (cépage principal gamay).

    Principaux vignerons
    • Domaine des Huards (Jocelyne et Michel Gendrier): 34 hectares de vignes conduites en culture biodynamique.
    • Le Domaine de la Plante d'Or (Philippe Loquineau) : 15 hectares de vignes, cuvée La Salamandre.
    • Domaine de la Champinière (Alain Chery): 14 hectares de vignes.
    • Domaine Dronne (Catherine et Renaud Dronne): 13,5 hectares de vignes.
    • Domaine de la Désoucherie (Christian et Fabien Tessier): 25 hectares de vignes.
    • Clos de l'Aumonière (Gérard Givierge).
    • La Charmoise (Jacky et Laurent Pasquier).
    • La Closerie de Bournigal (Étienne Morin) : 3 hectares de vignes.
    Caves
    • Clos de l'atelier.
    • L'épicourchois : Luc Percher.

    Services

    La ferme de la Gaudinière est un gîte qui comporte des chambres d'hôtes. Elle est située au lieu-dit la Gaudinière, qui tient son nom de la Gaude, la plante jadis utilisée pour son pouvoir colorant "jaune".

    Il y a également trois hôtels.

    La maison de retraite La Favorite est la structure employant le plus de personnes sur la commune.

    Vie locale

    • Marché hebdomadaire : vendredi matin.
    • Fêtes :

    Écoles

    Manifestations

    Outre les fêtes nationales, Cour-Cheverny tient annuellement des fêtes locales, parmi lesquelles :

    • la Saint-Vincent, fête des vignerons, le 22 janvier ;
    • la fête du Pain, la première fin de semaine de juillet ;
    • la foire à la brocante, la première fin de semaine d'août ;
    • la Sainte-Cécile, fête des musiciens, le 22 novembre ;
    • le Festival francophone du théâtre amateur : Côté cour Côté Loire (5e édition en 2012)[27].

    Clubs de loisirs

    • Aéromodélisme
    • Musique (la lyre de Cour-Cheverny, Cheverny)
    • Tir au pistolet et carabine
    • Randonnées pédestres
    • Pétanque

    Sports

    Le cyclisme et le VTT se pratiquent dans l’association « Entre bruyères et roseaux ».

    • Gymnastique volontaire
    • Football
    • Tennis
    • Tennis de table
    • Basket
    • Badminton

    L’Étoile sportive de Cheverny et Cour-Cheverny (ESCCC) créé en aout 1922 est un club omnisports qui regroupe 13 sections ( BABY-GYM / BADMINTON / BASKET / DANSE / FOOTBALL / GYM VOLONTAIRE / JUDO / PETANQUE / RANDONNEE PEDESTRE / TENNIS DE TABLE / TIR / V.B.R / YOGA).

    Le gymnase construit dans la décennie passée sert aux activités intérieures.

    Lieux et monuments

    Voies

    139 odonymes recensés à Cour-Cheverny
    au 19 février 2014
    Allée Avenue Bld Chemin Clos Impasse Montée Passage Place Pont Route Rue Ruelle Voie Autres Total
    2 [N 1] 7 [N 2] 2 [N 3] 29 3 [N 4] 6 0 0 2 [N 5] 0 6 33 [N 6] 2 [N 7] 23 24 [N 8] 139
    Notes « N »
    1. Allée des Bruyères et Allée des Lavandes.
    2. Dont Avenue du 11-Novembre.
    3. Boulevard Carnot et Boulevard Munier.
    4. Clos de Cougrand, Clos de la Borderie et Clos de Lutaine.
    5. Place de la République et Place Victor Hugo.
    6. Dont Rue du 8-Mai-1945.
    7. Ruelle Augustin Thierry et Ruelle de Saint Aignan
    8. Autres voies non identifiées en relation avec des écarts, lieux-dits, hameaux, zones industrielles, lotissements, résidences, quartiers, etc.
    Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & perche-gouet.net & OpenStreetMap

    Édifices et sites

    • La Loire passant à environ km de la limite du territoire communal, et environ 12 km du cÅ“ur de bourg, le patrimoine bâti communal s'inscrit dans le vaste patrimoine des châteaux de la Loire.

    Édifices

    • La commune compte 6 Châteaux : le château de Sérigny, le château la Sistière, le château Beaumont, le château Chantreuil, le château les Murblins et le château la Taurie.
    • Le manoir du Vivier est inscrit monument historique : façades et toitures de la tour carrée et des deux tourelles (inscription par arrêté du 11 octobre 1971).
    • La Borde est une clinique psychiatrique réputée pratiquant la psychothérapie institutionnelle fondée par Jean Oury.
    • L'église Saint-Aignan XIIe siècle, remaniée aux XVIe et XVIIe siècles est composée d'une nef de trois travées, deux bas-côtés, d'une abside semi-circulaire, d'arcades en tiers-point, de voûtes d'ogives avec clef 1609, d'un portail occidental XIIe siècle, d'une haute flèche de charpente sur le clocher central.
    • Chapelle de Sérigny.
    • Oratoire de la Boide.
      • flèche du clocher de l'église Saint-Aignan
        flèche du clocher de l'église Saint-Aignan
      • intérieur de l'église Saint-Aignan
        intérieur de l'église Saint-Aignan

    Sites culturels et petit patrimoine

    • La Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) du Centre a recensé 28 sites archéologiques connus ou présumés en mai 2009 sur Cour-Cheverny[12].
    • Le monument aux morts, inauguré en 1924 est très connu. Il a cependant été endommagé en 2010.

    Patrimoine naturel et biodiversité

    • La vallée du Conon traverse la commune du sud-est au nord-ouest, passant par le bourg dans sa partie sud.
    • Le Beuvron est un affluent de la Loire, long d'environ 115 km qui se jette dans la Loire à Candé-sur-Beuvron. Il constitue la limite nord de la commune.
    • Les boisements communaux sont constitués en majorité de feuillus, mais des boisements de conifères sont également présents.

    Deux espèces protégées, pour l'une au niveau national, et pour l'autre au niveau régional, ont été inventoriées sur la commune entre 2005 et 2015 :

    • La Nivéole d'été (Leucojum aestivum), faisant partie de la liste des espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire (Arrêté du 20 janvier 1982 modifié), a été trouvée à la limite Est de la commune au lieu-dit Le Gué La Guette, le long du Conon, sur une prairie humide, en 2005.
    • La Laîche appauvrie (Carex depauperata), faisant partie de la liste des espèces végétales protégées au niveau régional (Arrêté du 12 mai 1993) a été vue sur la commune au lieu-dit Bois du Vivier, le long du Beuvron en 2000[2].
    • La commune dispose d'un certain nombre d'arbres d'alignement (platanes…) et de quelques arbres remarquables (platane…), ainsi que de nombreux sujets isolés chez les particuliers (conifères, tilleuls, etc.).
    Sologne et site Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[28] - [29].

    Le site Natura 2000 présent sur le territoire communal de Cour-Cheverny est le site de la Sologne, qui commence dans la partie est du territoire communal, en couvre environ 20 %, et s'étend bien au-delà, sur 96 communes et 3 départements. Les trois types de milieux naturels de la Sologne sont présents sur la commune :

    • milieux forestiers, composant la grande majorité des milieux protégés en Natura 2000 ;
    • milieux humides (étang le Grand Cottereau...) ;
    • milieux ouverts notamment prairies (« les Bruyères »…).
    Forêt de Cheverny

    La forêt de Cheverny, d'une surface de 2 502 ha, s'étend sur 4 communes, Cheverny, Cour-Cheverny, Contres et Fontaines-en-Sologne. Une partie est identifiée en noyau de biodiversité de la sous-trame des boisements, et une forêt mixte avec micro-tourbières. Elle est classée en ZNIEFF de type 2 uniquement pour la partie située sur Cheverny.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Loir-et-Cher », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. PLU, 2016, Rapport de présentation.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Cour-Cheverny », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « Dossier complet - commune de Cour-Cheverny », sur Insee, (consulté le ).
    12. ECMO, Rapport de présentation du PLU de Cour-Cheverny, approuvé en 2016.
    13. « Mémoire Cheverny Cour-Cheverny: Toot-Sweet, journal du Signal Corps de Cour-ChevernyCheverny, Cour-Cheverny », sur Mémoire Cheverny Cour-Cheverny (consulté le )
    14. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    15. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    16. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    17. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    18. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cour-Cheverny (41067) », (consulté le ).
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Loir-et-Cher (41) », (consulté le ).
    25. INAO : Textes Consolides
    26. INAO : Textes Consolides
    27. Site du festival francophone du Théâtre amateur
    28. « Deux directives européennes », sur developpement-durable.gouv.fr, site du Ministère de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables (consulté le ).
    29. « Les objectifs de la démarche Natura 2000 », sur developpement-durable.gouv.fr, site du Ministère de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables (consulté le ).
    30. « Pierre Gabelle », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore].
    31. « Shaka Ponk : l'histoire a débuté à Cour-Cheverny - 06/11/2013 - La Nouvelle République Loir-et-Cher », sur www.lanouvellerepublique.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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