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Cormainville

Cormainville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Elle fait partie d'une zone écologique protégée du réseau Natura 2000. C'est une zone importante pour la conservation des oiseaux de la vallée de la Conie et Beauce centrale.

Cormainville
Cormainville
Grange dimière et église Saint-Pierre
Logo monument historique Inscrit MH (1928)[1], Logo monument historique Inscrit MH (1927)[2].
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Jean-Luc Legrand
2020-2026
Code postal 28140
Code commune 28108
Démographie
Population
municipale
231 hab. (2020 en diminution de 6,48 % par rapport à 2014)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 17″ nord, 1° 36′ 28″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 138 m
Superficie 17,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cormainville
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Cormainville
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Cormainville
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Cormainville

    Géographie

    Situation

    • Situation géographique
    • Extrait de la carte de Cassini, 1757
      Extrait de la carte de Cassini, 1757
    • Carte de la commune de Cormainville, 2012.
      Carte de la commune de Cormainville, 2012.
    • Cormainville dans son arrondissement, 2016.
      Cormainville dans son arrondissement, 2016.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 637 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guillonville_ca28 », sur la commune de Guillonville, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 611,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Cormainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,5 %), forêts (4,4 %), zones urbanisées (1,7 %), zones humides intérieures (0,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cormainville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Conie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cormainville.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des effondrements généralisés de terrains miniers[25].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 137 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 sont en en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Colomella vers 1130, à lire probablement * Colomenvilla[28] ; Colomevilla en 1140 et 1141[29] ; Columpna villa en 1189 ; Colummen villa en 1190 ; Coulemainvilla en 1270 ; Courmainville en 1451[28].

    Il y a, pour désigner Cormainville, des hypothèses concurrentes.

    Dans le cas de Cormainville, les mentions indiquent d'abord un diminutif (Colomella), une « petite colonne », puis un composé avec villa « domaine »[29]. Colonne qui pourrait désigner des bornes frontières délimitant un territoire.

    Du latin columen « cime, sommet, comble d'un toit, colonne, poutre servant de support, étançon »[28], « ferme aux bâtiments étançonnés ».

    Gérard Taverdet a émis l'hypothèse d'une étymologie populaire avec le nom de Sainte Colombe, martyre à Sens en 273[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Cormainville.
    La mairie de Cormainville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2008 Albert Lailler
    mars 2008 En cours Jean-Luc Legrand[30] - [31] Commerçant
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2020, la commune comptait 231 habitants[Note 7], en diminution de 6,48 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    382451422443574550540514596
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    610653681636643630606602617
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    614580594472427422392393380
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    339312290219185192219227248
    2018 2020 - - - - - - -
    232231-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Ferme d'éoliennes construites à Cormainville par Volkswind Gmbh.

    Parc éolien de Cormainville - Guillonville

    En 2006, trente turbines Vestas V80, d'une puissance de MW chacune, ont été mises en service par la société Difko sur les communes de Cormainville et Guillonville, développant une puissance totale de 60 MW[36].

    Parc éolien de Cormainville - Guillonville - Courbehaye

    En 2016, sept turbines Nordex N100/2500 d'une puissance de 2,5 MW chacune, ont été mises en service par la société STEAG sur les communes de Cormainville, Guillonville et Courbehaye, développant une puissance totale de 17,5 MW[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre, rue du Dix-Sept-Août.
    L'église Saint-Pierre, rue du Dix-Sept-Août.

    Église Saint-Pierre

    XVIe et XIXe siècles, Logo monument historique Inscrit MH (1927)[2]

    Grange aux dîmes

    Ancien couvent et granges qui stockaient le grain.

    Il existe aussi à Cormainville une ancienne grange aux dîmes, Logo monument historique Inscrit MH (1928)[1], remontant partiellement aux XIVe et XVe siècles, aujourd'hui intégrée dans une propriété privée.

    L'abbé Bordas notait au XVIIIe siècle que les moines de Bonneval « mettent les revenus [de l'église] à couvert dans une ferme qui fait l'ornement du bourg par la grandeur et la solidité de sa grange et de ses greniers ».

    Autres lieux et monuments

    • Autres lieux et monuments
    • Guerre 1914-1918.
      Guerre 1914-1918.
    • Martyrs du 17 août 1944.
      Martyrs du .

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Dreux (1829-1888), connu politiquement sous le nom de Dreux-Linget, est un homme politique français, maire de Cormainville en 1865.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Société archéologique d'Eure-et-Loir, Bulletin de la Société archéologique d'Eure-et-Loir : édifices religieux du canton d'Orgères-en-Beauce., Chartres, coll. « Spécial inventaire monumental » (no 12), , 25 cm (ISSN 1149-6789, BNF 34426702, lire en ligne)
    • Jean-Baptiste Bordas et Achille Guenée (responsable intellectuel), Chorographie du Dunois, ou Notice sur les villes, bourgs, fiefs, justices, châteaux, maisons de campagne de quelque importance qui y sont renfermés : par M. l'abbé Bordas, publié sur son manuscrit conservé à la bibliothèque de Châtaudun ; et revue par M. Achille Guénée, Châteaudun, A. Lecesne, , 228 p., in-8° (BNF 30131295), p. 66

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Ancienne grange dîmière », notice no PA00097083, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. « Église Saint-Pierre », notice no PA00097082, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Guillonville_ca28 - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Cormainville et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Guillonville_ca28 - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Cormainville et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Cormainville », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 375.
    29. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 82.
    30. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Parcs éoliens en France, zone 28 », sur https://www.thewindpower.net, .
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