Nottonville
Nottonville est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Nottonville | |||||
La Conie entre La Chenardière et Nottonville. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Châteaudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Beauce | ||||
Maire Mandat |
Mathilde Weill 2020-2026 |
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Code postal | 28140 | ||||
Code commune | 28283 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
283 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 06′ 47″ nord, 1° 30′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 112 m Max. 143 m |
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Superficie | 24,74 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Villages Vovéens | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
Situation
La commune est traversée par la Conie, affluent du Loir. Deux bras se rejoignent à Nottonvile : La Conie haute qui vient de la commune de Varize et La Conie basse qui passe par le lieu-dit Pontault puis par La Chenardière vers Courbehaye.
Ensuite, elle suit son cours en traversant une étendue appelée La Goure de Spoy, puis les Raffaults jusqu'au lieu-dit Vallières avant de passer par la commune de Conie-Molitard. La Conie basse est une résurgence de la nappe de Beauce, elle s'étalait autrefois en un marécage vers les bois de La Chenardière. Le lit actuel a été creusé à la main, entre les deux guerres afin d'éradiquer les moustiques et de protéger les ouvriers agricoles saisonniers.
Communes limitrophes
Hameaux et lieux-dits
- Le Bois ;
- Pontault ;
- Réclainville ;
- Secouray.
Goure de Spoy
La Goure (ou le Gour) de Spoy est située sur la commune de Nottonville, au sud de la ferme de Spoy. C'est un bassin profond de 8 à 10 mètres où il semble que les eaux d'amont des deux vallées des Conies se rassemblent en une sorte de réservoir.
Le nom est tiré de l'association de celui de la ferme de Spoy, écart de la commune voisine de Civry, et de "goure", qui peut être reproché de "gouffre"[1].
Si les deux Conies amonts (la Conie du Sud ou Conie de Varize, et la Conie du Nord ou Rau la Conie, résurgences de la nappe de Beauce) sont intermittentes, ce n'est qu'à partir de la Goure de Spoy que la Conie se fait pérenne, et mérite alors totalement le nom de rivière affluente du Loir. On en déduit que la Goure est également alimentée souterrainement par une troisième source souterraine locale, qui assure la pérennité du débit aval[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pré-Saint-Evroult », sur la commune de Pré-Saint-Évroult, mise en service en 1995[9] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 597,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 11 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Nottonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,3 %), forêts (6,4 %), zones humides intérieures (5,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Nottonville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Conie et la Conie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2013[24] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[25]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 36,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 196 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 149 sont en en aléa moyen ou fort, soit 76 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[28].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa Nantonensis et Nantona villa en 1080, Nantonville en 1178, Nothonville en 1736[29].
Du bas latin Nantul fundum, Nanto, nom de personne d'origine gauloise, et villa, « domaine rural ». D'après la forme Nantona villa de 1080.
Histoire
En 1890, le hameau de Pontault subit un important incendie. Le sinistre détruit la localité et fait plusieurs victimes[30].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2020, la commune comptait 283 habitants[Note 7], en diminution de 10,44 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
- Stores-et-rideaux.com est une PME française de commerce en ligne, créée en 2011 à Nottonville.
Culture locale et patrimoine
Ancienne abbaye du Bois
L'ancienne abbaye du Bois, Classé MH (1988)[35], est un prieuré, seule construction attestée, fortifié du Xe siècle situé à la sortie du lieu-dit le Bois en direction du lieu-dit Vallières. Elle possède une porte encadrée de deux tours avec des meurtrières et une trace de pont-levis, ainsi qu'une porte massive en chêne, restaurée récemment.
Elle fut bâtie par les moines de Marmoutier qui établirent, sur les restes d'une résidence d'époque carolingienne, un prieuré dès le XIe siècle. Le logis prioral date du XVe siècle et comprend une charpente en bateau inversé.
Dans la cour on trouve un grand colombier, révélateur de la richesse du domaine des moines (le nombre de nids autorisés était dépendant de l'étendue du domaine). Le logis aurait servi de grange dîmière.
- L'entrée.
- Vue générale.
- L'abbaye, depuis Villiers-Saint-Orien.
Château de La Brosse
Le château de La Brosse, Inscrit MH (1990)[36], date du XVIIe siècle. En 1755, l'ancien fermier général Jean François de la Borde (également usufruitier de la seigneurie de Mémillon) l'acquiert moyennant 200 000 livres, il y finit ses jours[37].
Il brûle au XIXe siècle. Les communs, la cour et une tourelle demeurent les seuls vestiges d'époque de ce château.
Église Saint-Pierre
L'église Saint-Pierre, quant à elle date du XIVe siècle. Elle est située à Nottonville même en face de la mairie. Son clocher en charpente du XVIIe siècle a été restauré à la suite de la tempête de 1999.
Site castral de Nottonville
Château puissamment fortifié du vicomte de Chartres, dont l’élément principal était un donjon-tour maçonné quadrangulaire haut d’une vingtaine de mètres dont il ne reste plus que les fondations, auquel est accolé un bâtiment aulique encore en élévation. Logis avec salles de plain-pied[38].
Mégalithes
- Dolmen effondré dit Le Palet de Gargantua sur la route entre Pontault et le château de La Brosse.
- Dolmens et polissoirs entre Le Bois et Vallières.
- Polissoir (déplacé) dit de La Pierre Saint Martin devant la ferme de La Natterie.
Maisons en rouche
- Nombreuses maisons en rouche (roseau local), notamment le long de la rue des Chaumières en face de l'église. Précédemment, les roselières étaient largement exploitées. De ce passé, témoigne la présence sur la commune d'une fabrique de stores, aujourd'hui en tissu et mécaniques.
Voir aussi
Bibliographie
- Archéologie et histoire d’un prieuré bénédictin en Beauce, sous la direction de Philippe Racinet, Comité des travaux historiques et scientifiques (CHTS), 2006.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Nottonville sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Raymond Bouquery, Les Noms de Lieux en Eure et Loir, page 64.
- La (ou les) Conie(s).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pré-Saint-Evroult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Nottonville et Pré-Saint-Évroult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pré-Saint-Evroult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Nottonville et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Nottonville », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Nottonville », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, p. 232.
- Bernard Roubreau, Ph. Duplant, Ch. Léger, R. Proult et L. Royneau, « Habitat, économie et société dans le Dunois au milieu du 19ème siècle. », Société Dunoise d'Archéologie, Histoire, Sciences et Arts, no 311,‎ , p. 128 (ISSN 0335-9174)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Ancienne abbaye du Bois », notice no PA00097181, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Brosse », notice no PA00097244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Mathieu Couty, Jean-Benjamin de Laborde, ou, Le bonheur d'être fermier-général, 2001.
- Emmanuel Litoux et Gaël Carré, Manoirs médiévaux : Maisons habitées, maisons fortifiées (XIIe – XVe siècles), Paris, Rempart, coll. « Patrimoine vivant », , 158 p. (ISBN 978-2-904365-47-8), p. 71.
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Goure de Spoy » (voir la liste des auteurs).