Conie-Molitard
Conie-Molitard est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Conie-Molitard | |||||
L'église Notre-Dame en . | |||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Châteaudun | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Grand Châteaudun | ||||
Maire Mandat |
Anne Genneseaux 2020-2026 |
||||
Code postal | 28200 | ||||
Code commune | 28106 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
400 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 06′ 52″ nord, 1° 26′ 29″ est | ||||
Altitude | Min. 110 m Max. 149 m |
||||
Superficie | 15,17 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Châteaudun (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteaudun | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
| |||||
Géographie
Situation
- Conie-Molitard dans son arrondissement.
- Carte de la commune de Conie-Molitard.
Communes limitrophes
Hydrographie
- Comme son toponyme l'indique, la commune est traversée par la rivière la Conie, affluent du Loir, sous-affluent du fleuve la Loire par la Sarthe et la Maine.
- La commune bénéficie depuis 1969 d'une station hydrologique au pont de Bleuet : le débit moyen annuel ou module de la Conie, observé durant une période de 49 ans (de 1969 à 2018), est de 1,68 m3/s, soit 1 680 litres par seconde. La hauteur maximale instantanée, relevée à Conie-Molitard le , est de 1,03 m[1].
- Une seconde station hydrologique a également fonctionné durant 16 ans, de 1970 à 1985, en aval de Conie-Molitard près de Valainville[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952[9] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Conie-Molitard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), forêts (17,8 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %), zones humides intérieures (0,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Conie-Molitard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Conie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1989, 1992, 1999 et 2001[22] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 55,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 213 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 210 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992 et 2001 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Connia en 1095, Coneia en 1119, Conneia en 1225, Conia en 1230. Il s’agit bien sûr du village Conie et de la rivière, avec une terminaison latine de traduction a[27].
Conie désigne le village, chef-lieu de la commune de Conie-Molitard. Selon Nicolas Huron : « La rivière Conie se sépare en deux à l’est de la commune. De plus, ce nom se retrouve dans celui de Moret-Conie, une ferme de la commune de Villeneuve-sur-Conie, dans le département du Loiret. Le terme conia y désigne la cigogne. Certains chercheurs aujourd’hui prétendent que le village a donné son nom à la rivière ou que la rivière a donné son nom au village, sans imaginer que ce terme désignait une caractéristique marquante de ce terroir : la présence de cigognes durant les beaux jours. Il n’y a plus de cigognes aujourd’hui. Cet oiseau était présent autrefois sur une bonne partie de l’ouest de la France comme l’atteste la répartition géographique du toponyme « Cigogne ». Cet échassier qui se nourrit de batraciens, d’écrevisses, d’oisillons, de petits rongeurs, de petits reptiles, etc., devait trouver son bonheur dans la vallée de la Conie, sa vallée[27] ».
Molitard est attesté sous la forme Mons Letardi vers 1102, le toponyme a fait l’objet de multiples interprétations, dont le latin montem et le nom propre germanique Letardus[28].
Histoire
Époque moderne
Sous l'Ancien Régime, Conie et Molitard sont deux paroisses dépendant au spirituel du diocèse de Blois, de l'archidiaconé de Dunois et doyenné de Beauce[29]. En plus de son église paroissiale, Molitard comprenait également un prieuré simple. Tous deux ont aujourd'hui disparus. Dans le bourg de Molitard, une Rue du Prieuré en conserve le souvenir.
Époque contemporaine
En 1829, la commune de Conie absorbe la commune de Molitard et change alors de nom, devenant Conie-Molitard[30].
XXe siècle
Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[31], dont Conie[32]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[33]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[34].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].
En 2020, la commune comptait 400 habitants[Note 7], en augmentation de 3,63 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame : elle abrite la dalle funéraire de Jehan Vaillant de Guélis et de Jehanne Nivart, sa mère, Inscrit MH (1906)[41]. Jehan Vaillant de Guélis est mort en 1574, sa mère en 1548. En sus de leurs effigies, cette pierre gravée de 1574 représente leur épitaphe et leurs armoiries.
- L'église Notre-Dame en .
- L'église et le château d'eau.
- Le château d'eau.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - La Conie à Conie-Molitard (Pont de Bleuet) (M1073020) » (consulté le ).
- Banque Hydro - MEDDE, « Synthèse de la Banque Hydro - La Conie à Conie-Molitard (Valainville) (M1073010) » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Châteaudun - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Conie-Molitard et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Conie-Molitard », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Conie-Molitard », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Nicolas Huron (historien), La fête des toponymes, Moléans (Eure-et-Loir) : noms de lieux, traces de peuples, Moléans, (lire en ligne), p. 26-27.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, , p. 987.
- Carte du diocèse de Blois : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b59718331/f1.item.zoom
- « Conie-Molitard - Notice Communale », sur ehess.fr (consulté le ).
- Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
- Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
- Le maire de Conie-Molitard a mis fin à ses jours, sur http://www.lechorepublicain.fr
- L'ancien adjoint Claude Haudebourg devient maire de Conie-Molitard, sur http://www.lechorepublicain.fr.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Dalle funéraire de Jehan Vaillant de Guélis et de Jehanne Nivart, sa mère », notice no PM28000245, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Philippe Renouard, Imprimeurs et libraires parisiens du XVIe siècle. Tome deuxième., Paris, Service des travaux historiques de la Ville de Paris, coll. « Histoire générale de Paris » (no 30), , LIV-523 p. -40 f. de pl., 28 cm (BNF 36645335), p. 513.
- Archives départementales d'Eure-et-Loir, no E.3167.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Conie-Molitard sur le site de l'Institut géographique national.