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Constance Doukas

Constance Doukas (en grec byzantin ÎšÏ‰ÎœÏƒÏ„ÎŹÎœÏ„ÎčÎżÏ‚ Î”ÎżÏÎșας [Konstantios Dukas], nĂ© en 1060 et mort le 18 octobre 1081, est un des fils de l'empereur Constantin X Doukas et frĂšre de son successeur, l'empereur Michel VII Doukas. Il fut nommĂ© co-empereur dĂšs sa naissance. Lorsque Michel VII Doukas fut destituĂ© en 1078, il devait succĂ©der Ă  celui-ci, mais ne put s'affirmer contre NicĂ©phore III BotaniatĂšs ; il dut alors se faire moine dans les Îles des Princes. RappelĂ© par Alexis Ier ComnĂšne, il commande les troupes byzantines contre les Normands lorsqu'il pĂ©rit devant Dyrrachium en 1081.

Constance Doukas
Co-empereur byzantin
Image illustrative de l’article Constance Doukas
Histamenon d’or de Romain IV DiogĂšne : Michel VII Doukas y est reprĂ©sentĂ© avec ses frĂšres Andronic et Constance au verso, Eudocie et Romain IV couronnĂ©s par le Christ Ă  l’endo.
RĂšgne
1060-1078
PĂ©riode Doukas
Co-empereur Michel VII Doukas (1059-1078)
Constantin (1074-1078)
Andronic (1068-1077)
Romain IV DiogĂšne (1068-1071)
Biographie
Naissance v. 1060
DĂ©cĂšs (~21 ans)
PĂšre Constantin X Doukas
MĂšre Eudocie Makrembolitissa

Origines

Constance Doukas appartenait Ă  l'une des familles aristocratiques les plus anciennes de Byzance, celle des Doukas. Ce patronyme apparaĂźt au milieu du IXe siĂšcle lorsqu'un certain Andronic, militaire de carriĂšre, auparavant domestique des Scholes (gĂ©nĂ©ral en chef des troupes impĂ©riales) en 904, reçut le titre de doux (gouverneur militaire), qualificatif qui se transforma en nom de famille : Doukas[1]. Les domaines qui leur appartenaient sont alors situĂ©s en Paphlagonie. On les retrouve prĂšs d’un siĂšcle plus tard un peu plus Ă  l’ouest, en Bithynie, mais la famille possĂ©dait Ă©galement des terres en Thrace et en MacĂ©doine[2].

Le pÚre de Constance était Constantin X Doukas (1006-1067), empereur de 1059 à 1067. Sa mÚre était Eudocie Makrembolitissa (1021-1096), qui assuma la régence en 1067 et en 1071. AprÚs la mort de Constantin, celle-ci avait épousé en secondes noces Romain DiogÚne, empereur de 1068 à 1071 sous le nom de Romain IV.

Co-empereur sous son pĂšre

Bien qu’il ait Ă©tĂ© le quatriĂšme fils de Constantin X (voir gĂ©nĂ©alogie ci-aprĂšs), il fut le seul Ă  naitre dans la salle rĂ©servĂ©e aux accouchements impĂ©riaux et put dĂšs lors porter le titre honorifique de « porphyrogĂ©nĂšte Â» (nĂ© dans la pourpre)[N 1], honneur considĂ©rĂ© comme plus Ă©levĂ© que celui d'ĂȘtre l'ainĂ©[3]. DĂšs sa naissance, Constance fut proclamĂ© coempereur[N 2], Ă  l’instar de son frĂšre Michel, l’hĂ©ritier prĂ©somptif.

Psellos dira de lui : « Ce prince n’a pas la pensĂ©e prompte, mais concentrĂ© en lui-mĂȘme, il a tout l’air d’un sophroniste. Il est, d’ordinaire, Ă©veillĂ©, et il a, quand il le faut, la langue un peu vive Ă  la parole.[
] Pour la pĂ©nĂ©tration d’esprit, c’est un vieillard Ă  cheveux blancs. [
] Homme de libĂ©ralitĂ© moyenne, il n’a ni la main renversĂ©e pour offrir, ni les doigts fermĂ©s pour retenir[4] ».

Co-empereur sous Romain IV

En 1067, Constance n’avait que sept ans lorsque son pĂšre, le basileus Constantin X, mourut. L’hĂ©ritier prĂ©somptif du trĂŽne, Michel, Ă©tant Ă©galement mineur, sa mĂšre, l’impĂ©ratrice Eudocie Makrembolitissa, assuma la rĂ©gence assistĂ©e de Michel Psellos, moine, homme d’État et Ă©crivain et du cĂ©sar Jean Doukas, frĂšre de l’empereur dĂ©funt et chef de la maison des Doukas.

La sĂ©curitĂ© de l’empire Ă©tait alors gravement menacĂ©e : d’une part, les Turcs seldjoukides, qui s’étaient emparĂ©s de CĂ©sarĂ©e et avaient pillĂ© la rĂ©gion d’Antioche, mettaient en pĂ©ril l’ensemble des possessions byzantines en Anatolie ; d’autre part, les derniers empereurs, en particulier Constantin X, avaient laissĂ© l’armĂ©e byzantine, autrefois toute-puissante, s’affaiblir[5]. RĂ©alisant Ă  quel point elle avait besoin d’un militaire capable de redresser l’armĂ©e et de faire face aux invasions turques, l’impĂ©ratrice Eudocie rĂ©ussit Ă  convaincre le patriarche Jean Xiphilinos de la dĂ©lier du serment qu’elle avait fait Ă  son Ă©poux de ne pas se remarier[6] - [7] et, bien plus, de se prononcer publiquement en faveur d’un deuxiĂšme mariage pour le salut de l’État[8]. En dĂ©pit des avis de la noblesse de cour qui ne voulait pas voir la noblesse militaire reprendre le pouvoir, elle Ă©pousa le gĂ©nĂ©ral Romain DiogĂšne. Issu d’une ancienne famille de l’aristocratie militaire alliĂ©e Ă  la plupart des autres grandes familles d’Asie Mineure, grand propriĂ©taire terrien en Cappadoce, celui-ci avait commencĂ© sa carriĂšre sur la frontiĂšre danubienne et avait rapidement gravi les Ă©chelons de la hiĂ©rarchie militaire avant de devenir gouverneur de Sardica. Il avait toutefois Ă©tĂ© accusĂ© et convaincu d’avoir voulu s’emparer du trĂŽne aux dĂ©pens des enfants de Constantin X et attendait, en prison, le jugement de l’impĂ©ratrice. Il dut ĂȘtre considĂ©rablement surpris lorsqu’il comparut devant elle d’apprendre que non seulement l’impĂ©ratrice dĂ©sirait l’épouser, mais qu’elle voulait Ă©galement en faire le protecteur des jeunes coempereurs[9].

Romain IV DiogĂšne rĂ©gna ainsi de 1068 Ă  1071, se consacrant Ă  mettre un terme au dĂ©clin de la puissance militaire byzantine et Ă  lutter contre les incursions turques dans l’empire. Il Ă©carta progressivement du pouvoir et l’impĂ©ratrice et ses conseillers politiques, relĂ©guant Ă  l’arriĂšre-plan les deux jeunes coempereurs ainsi que leur frĂšre Andronic (pourtant nĂ© avant Constance). Ce dernier devait ĂȘtre promu coempereur par Romain IV en 1068, probablement pour afficher en public son respect pour les successeurs lĂ©gitimes de Constantin X alors que l’impĂ©ratrice donnait deux nouveaux hĂ©ritiers mĂąles Ă  Romain IV (LĂ©on et NicĂ©phore), ce qui aurait pu compromettre la succession au sein de la maison des Doukas[10].

En trois ans, Romain IV se rendit impopulaire Ă  l’intĂ©rieur par une sĂ©rie de rĂ©formes heurtant presque toutes les couches de la sociĂ©tĂ©[11]. En politique Ă©trangĂšre, il subit une Ă©crasante dĂ©faite aux mains des Turcs Ă  Manzikert[12] le 26 aoĂ»t 1071 et fut fait prisonnier. La consternation fut vive Ă  Constantinople oĂč la faction opposĂ©e Ă  Romain IV dĂ©cida de profiter de la situation pour passer Ă  l’action. Le cĂ©sar Jean Doukas revint en hĂąte de Bithynie oĂč Romain IV l’avait exilĂ© avant son dĂ©part. Avec Michel Psellos, il força l’impĂ©ratrice Eudocie Ă  se retirer dans un couvent ; puis les deux hommes obligĂšrent le coempereur Michel VII Ă  prononcer la dĂ©chĂ©ance de son pĂšre[13] et refusĂšrent de ratifier l’accord intervenu entre Romain et Alp Arslan[14].

Co-empereur sous Michel VII

Si Constantin X avait fait promettre Ă  son Ă©pouse de ne pas se remarier, c’est probablement qu’il apprĂ©hendait que les droits au trĂŽne de son fils Michel VII, dont la faiblesse de caractĂšre s’était rĂ©vĂ©lĂ©e tout jeune, ne fussent pas respectĂ©s[15] - [16]. Celui-ci fut toutefois couronnĂ© empereur le 24 octobre 1071[17]. Son bref rĂšgne (octobre 1071 - mars 1078) montra Ă  quel point Ă©taient justifiĂ©es les craintes Ă  son Ă©gard. En politique Ă©trangĂšre, la dĂ©faite de Manzikert coĂŻncida avec la perte de Bari aux mains des Normands, seule possession byzantine restant en Italie, alors que la domination byzantine dans les Balkans Ă©tait Ă©branlĂ©e et que le prince Michel de ZĂ©ta recevait de Rome la couronne royale[18]. La crise extĂ©rieure se doublait d’une grave crise Ă©conomique, les prix montant en flĂšche au point qu’une monnaie d’or n’achetait plus qu’un mĂ©dimne de blĂ© « moins un pinakion (Ï€Î±ÏÎŹ πÎčÎœÎŹÎșÎčÎżÎœ) », ce qui valut Ă  Michel VII son surnom de Parapinakion[19] - [18] - [20].

De nombreuses rĂ©voltes Ă©clatĂšrent alors, entre autres celle de Roussel de Bailleul, chef des mercenaires normands, qui finit par ĂȘtre capturĂ© par les Turcs Ă  la demande des Byzantins et remis au gĂ©nĂ©ral Alexis ComnĂšne, le futur Alexis Ier[21]. Finalement, en 1077, deux autres rĂ©voltes Ă©clatĂšrent : une en Europe, dirigĂ©e par NicĂ©phore Bryenne, le duc de Dyrrachium, et une autre en Asie dirigĂ©e par NicĂ©phore BotaniatĂšs, le stratĂšge du thĂšme des Anatoliques[22]. Ce dernier fut proclamĂ© empereur par ses troupes en janvier 1078 et marcha immĂ©diatement sur Constantinople. Lorsqu’il se fut emparĂ© de NicĂ©e, au mois de mars, une rĂ©volution de palais eut lieu dans la capitale oĂč le patriarche d’Antioche, rĂ©fugiĂ© Ă  Constantinople, ainsi qu’un groupe de sĂ©nateurs et de mĂ©tropolites d’Asie Mineure prirent la tĂȘte d’un mouvement visant Ă  renverser le gouvernement. Le 24 mars, l’un des conjurĂ©s tenta de convaincre le cĂ©sar Jean Doukas de se mettre Ă  leur tĂȘte. Devant le refus de celui-ci, les conspirateurs se rendirent le lendemain Ă  Sainte-Sophie d’oĂč ils allĂšrent libĂ©rer les prisonniers et menacer les hauts fonctionnaires de reprĂ©sailles s’ils ne se joignaient pas Ă  eux[23].

Empereur désigné, puis moine

Alexis ComnĂšne tenta de convaincre Michel VII de mettre fin Ă  l’émeute en faisant intervenir la garde varĂšgue. Devant le refus de l’empereur qui se refugia au palais des Blachernes avec son Ă©pouse Marie d’Alanie et leurs fils Constantin, Alexis se rendit auprĂšs de l’hĂ©ritier prĂ©somptif : Constance[N 3]. Mais devant l’hostilitĂ© de la foule qui entourait le palais, Constance rĂ©alisa l’inutilitĂ© de toute rĂ©sistance et pria Alexis de l’accompagner chez NicĂ©phore BotaniatĂšs qui attendait de l’autre cĂŽtĂ© du Bosphore pour lui jurer fidĂ©litĂ©. Il ne restait plus Ă  Michel VII qu’à abdiquer le 3 avril 1078 et Ă  se retirer au monastĂšre du Studion oĂč il devait mourir quelques annĂ©es plus tard[24] - [25] - [23]. DĂšs son entrĂ©e Ă  Constantinople, BotaniatĂšs reçut les insignes impĂ©riaux et fut couronnĂ© sous le nom de NicĂ©phore III le 2 juillet[26] - [N 4]. Il contraignit le malheureux Constance Ă  se faire moine et l’exila sur les Iles des Princes dans la mer de Marmara.

Général sous Alexis Ier

Constance n’était toutefois pas destinĂ© Ă  y finir ses jours. L’annĂ©e oĂč il fut banni, sa niĂšce, IrĂšne Doukas, Ă©pousa le gĂ©nĂ©ral Alexis ComnĂšne[27]. Cette alliance matrimoniale valut aux ComnĂšne l’appui des Doukas lorsque, en 1081, Alexis força NicĂ©phore III BotaniatĂšs Ă  abdiquer.

ArrivĂ© au pouvoir, Alexis Ier annula l’ordre d’exil de Constance et lui transmit le commandement de troupes aux frontiĂšres occidentales de l’empire, alors menacĂ©es par le Normand Robert de Hauteville, dit Robert Guiscard, lequel, aprĂšs avoir conquis les possessions byzantines en Italie, entretenait des visĂ©es sur l’Empire byzantin. Robert Guiscard prit comme prĂ©texte la dĂ©position de Michel VII et le fait que ce dernier lui avait proposĂ© en 1074 de fiancer son propre fils, Constantin[N 5] Ă  la fille de Guiscard, Olympie (renommĂ©e HĂ©lĂšne Ă  son arrivĂ©e Ă  Constantinople)[28] - [29]. AprĂšs avoir conquis Corfou, Robert Guiscard mit le siĂšge devant Dyrrachium. C’est au cours d’une bataille devant les murs de la ville que Constance, commandant un dĂ©tachement sous les ordres de Georges PalĂ©ologue, devait pĂ©rir le 18 octobre 1081[30] - [31].

Postérité

On ignore si Constance eut des enfants ou fut mĂȘme mariĂ©.

Généalogie

La gĂ©nĂ©alogie suivante peut ĂȘtre tracĂ©e Ă  partir d'Andronic Doukas[N 6] :

Notes et références

Notes

  1. La « salle de porphyre » du Grand Palais devait son nom au fait que les planchers et les murs étaient recouverts de marbre de porphyre pourpre.
  2. Dans sa Chronographie, Psellos donne Ă  Constance (ÎšÎżÎœÏƒÏ„Î±ÎœÏ„ÎčÎżÏ‚) le prĂ©nom de « Constantin (ÎšÎżÎœÏƒÏ„Î±ÎœÏ„ÎčÎœÎżÏ‚) », confusion entretenue par quelques auteurs. Ainsi Malamut 2014, p. 76 : « TombĂšrent au combat beaucoup de nobles byzantins dont KĂŽnstantios (Constantin), fils de Constantin X Doukas ».
  3. Un des médaillons de la couronne de Hongrie représente en effet Constance avec la mention de frÚre et héritier de Michel VII.
  4. Polemis toutefois devance le couronnement au 2 juin (Polemis 1965, p. 71).
  5. Lequel devait ĂȘtre fiancĂ© plus tard Ă  Anne ComnĂšne, mais mourir jeune.
  6. TracĂ©e Ă  partir de Kazhdan 1991, vol. 1, « Doukas », p. 656, lui-mĂȘme basĂ© sur Polemis 1968. Pour un arbre gĂ©nĂ©alogique plus Ă©tendu, voir « Doukas Â».

Références

  1. Schwennike 1978, vol. 2, tableau 178.
  2. Malamut 2014, p. 37.
  3. Norwich 1996, p. 14, note 1.
  4. Psellos, « Michel VII », XV.
  5. Finlay 1854, p. 32.
  6. Chisholm 1911, p. 881-882.
  7. Psellos, « Eudocie (1067) », para. IV et V.
  8. Norwich 1994, p. 344.
  9. Kazhdan 1991, vol. 3, « Romanos IV Diogenes », p. 1807.
  10. Shepard 2008, p. 608.
  11. Norwich 1994, p. 345.
  12. Norwich 1994, p. 353.
  13. Norwich 1994, p. 355.
  14. Norwich 1994, p. 358.
  15. Norwich 1996, p. 1.
  16. Bréhier 1969, p. 233.
  17. Ostrogorsky 1983, p. 367.
  18. Ostrogorsky 1983, p. 368.
  19. Zonaras, III, 712, 13.
  20. Norwich 1994, p. 358-359.
  21. Malamut 2014, p. 44-45.
  22. Malamut 2014, p. 46-50.
  23. Malamut 2014, p. 48-50.
  24. Ostrogorsky 1983, p. 370.
  25. Norwich 1994, p. 359-360.
  26. Kazhdan 1991, vol. 3, « Nikephoros III Botaniates », p. 1479.
  27. Kazhdan 1991, vol. 2, « Irene Doukaina », p. 1009.
  28. Norwich 1996, p. 14.
  29. Malamut 2014, p. 65.
  30. Norwich 1996, p. 18-20.
  31. Malamut 2014, p. 76.

Bibliographie

Sources primaires

  • (en) Michel AttaleiatĂšs (trad. Anthony Kaldellis & Dimitris Krallis, lieu=Cambridge), The History, Harvard University Press, .
    Michel AttaleiatĂšs reprĂ©sentait le parti de la noblesse militaire et son Ɠuvre est dĂ©dicacĂ©e Ă  NicĂ©phore BotaneiatĂšs, alors que Psellos reprĂ©sentait la noblesse civile et sa Chronographie fut Ă©crite Ă  la suggestion de Michel VII.
  • Anne ComnĂšne (trad. du grec ancien), L’Alexiade, Paris, Les Belles Lettres, , 306 p. (ISBN 978-2-251-32219-3).
  • Michel Psellos, Chronographie, vol. 2, Paris, Les Belles Lettres, , « Eudocie (1067)- Romain IV (1067-1071) » ».
  • Jean Zonaras, Histoire des Romains, Create Space, , 128 p. (ISBN 978-1-5116-9256-4).

Sources secondaires

  • Louis BrĂ©hier, Vie et mort de Byzance, Paris, Albin Michel, (1re Ă©d. 1946).
  • (en) Alexander Canduci, Triumph and Tragedy : The Rise and Fall of Rome's Immortal Emperors, Millers Point, Pier 9, , 367 p. (ISBN 978-1-74196-598-8).
  • Jean-Claude Cheynet, Pouvoir et contestations Ă  Byzance (963–1210), Paris, publication initiale : Publications de la Sorbonne, sĂ©rie Byzantina Sorbonensia, vol. 9 – rĂ©impression : Publications de la Sorbonne, Centre de recherches d'histoire et de civilisation byzantines (no 110), , 523 p. (ISBN 978-2-85944-168-5, lire en ligne).
  • (en) George Finlay, History of the Byzantine and Greek Empires from 1057–1453, vol. 2, William Blackwood & Sons, .
  • (en) Alexander Kazhdan (dir.), Oxford Dictionary of Byzantium, New York et Oxford, Oxford University Press, , 1re Ă©d., 3 tom. (ISBN 978-0-19-504652-6 et 0-19-504652-8, LCCN 90023208).
  • Élisabeth Malamut, Alexis Ier ComnĂšne, Paris, Ă©ditions Ellipses, (1re Ă©d. 2007), 526 p. (ISBN 978-2-7298-8999-9).
  • (en) John Julius Norwich, Byzantium, vol. 2 : The Apogee, New York, Alfred A. Knopf, , 389 p. (ISBN 978-0-394-53779-5).
  • (en) John Julius Norwich, Byzantium, vol. 3 : The Decline, New York, Alfred A. Knopf, , 488 p. (ISBN 978-0-679-41650-0).
  • Georges Ostrogorsky (trad. de l'allemand), Histoire de l’État byzantin, Paris, Payot, , 649 p. (ISBN 2-228-07061-0).
  • (en) Demetrios I. Polemis, « Notes On Eleventh-century Chronology », Byzantinische Zeitschrift, vol. 58, no 1,‎ , p. 60-76.
  • (en) Demetrios I. Polemis, The Doukai : A Contribution to the Byzantine Prosopography, Athlone Press, .
  • (de) Detlev Schwennike, EuropaĂŻsche Stammtafeln, Neue Folge, vol. 2, J. A. Stargard Ă©d., (ISBN 978-3-465-03167-3).
  • (en) Jonathan Shepard (dir.), The Cambridge History of the Byzantine Empire, c. 500-1492, Cambridge, Cambridge University Press, , 1207 p. (ISBN 978-0-521-83231-1).

Articles connexes

Liens externes

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