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Colette Beleys

Colette Beleys née le à Paris et morte le à Ennery (Val-d'Oise) est une artiste peintre française.

Colette Beleys
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  86 ans)
Ennery
Nationalité
Activité

Active Ă  Paris, son atelier se situait dans le quartier du Montparnasse, rue Huyghens[1]. Elle y a travaillĂ© pendant une soixantaine d'annĂ©es. Dans cet atelier se sont cĂ´toyĂ©s de nombreux artistes qui furent ses amis, dont Georges Rohner, Mario Prassinos, Francis Gruber, Pierre Tal Coat, Édouard Pignon, AndrĂ© Marchand, Jean Bazaine, ainsi que de grands marchands, critiques d'art et conservateurs de musĂ©es tels Wilhelm Uhde, Maximilien Gauthier, Jean Cassou, Raymond Cogniat, George Besson ou Bernard Dorival[1]. InspirĂ©es par l'art naĂŻf, ses Ĺ“uvres figurent dans de nombreux musĂ©es français et Ă©trangers.

Biographie

1911-1931 : l'enfance, les Ă©tudes, rencontre avec Jean Lasne

Colette Beleys est née le à Paris, dans une famille d'imprimeurs installée rue Lafayette. À cinq ans, elle entre au lycée Lamartine et y poursuit ses études jusqu'à l'obtention du baccalauréat en 1929. À partir de 1923, elle suit des cours de dessin chez Mademoiselle Bazot, boulevard de Clichy. Elle s'initie à la lithographie avec Charles Léandre et Maurice Neumont. Elle expose deux lithographies au Salon des artistes français de 1931[2] - [3].

Après le baccalauréat, elle suit simultanément les cours de droit à la faculté et les cours de l'École des arts appliqués, rue Duperré. Elle fréquente l'atelier de Fernand Sabatté et s'initie à l'art de l'affiche chez Paul Colin.

Elle se présente en au concours d'entrée à l'École des beaux-arts de Paris. Elle y rencontre le peintre Jean Lasne, qu'elle épousera en 1935. Colette Beleys et Jean Lasne fréquentent l'atelier de Lucien Simon et ont pour camarades Georges Rohner, Robert Humblot, Henri Jannot et Lucien Fontanarosa.

1932-1935 : l'atelier de la rue Falguière et l'atelier de la rue Perrel

Colette Beleys s'installe avec Jean Lasne dans un atelier de la cité Falguière à Paris[4] pour y travailler. Colette Beleys, ivre de liberté, oublie tout son savoir-faire acquis et se passionne pour les œuvres de Lubin Baugin, Jacques Linard et Louise Moillon révélées en 1934 au musée de l'Orangerie dans l'exposition Les Peintres de la réalité en France au XVIIe siècle. Elle pratique à cette époque une peinture « d'innocence » dans la lignée du Douanier Rousseau. À l'été 1935, Colette Beleys et Jean Lasne quittent la cité Falguière et sont accueillis par leur ami le peintre Henri Jannot dans son atelier de la rue Perrel dans le 14e arrondissement. C'est précisément l'ancien atelier qu'occupait le Douanier Rousseau. Beleys, émerveillée, peint dans l'atelier du Maître. Son admiration pour les peintres naïfs ne cessera de guider ses choix picturaux jusqu'à la Seconde Guerre mondiale[5].

1936-1940 : avec Jean Lasne dans l'atelier de la rue Huyghens

En , Colette Beleys et Jean Lasne se marient. Ils s'installent en dans un atelier de Montparnasse, rue Huyghens. En , le couple voyage en Italie oĂą elle va voir les primitifs de Sienne et particulièrement les Ĺ“uvres de Piero della Francesca. Les toiles de cette Ă©poque sont imprĂ©gnĂ©es de cette poĂ©sie archaĂŻque. Des grands marchands-collectionneurs, dĂ©fenseurs de l'art naĂŻf, tels Wilhelm Uhde, Maximilien Gauthier ou l’Anglais Arthur Jeffress (en) acquièrent ses Ĺ“uvres. Arthur Jeffress dĂ©sire consacrer une exposition aux toiles naĂŻves de Colette Beleys dans sa galerie londonienne. Les prĂ©mices de la Seconde Guerre mondiale empĂŞcheront la rĂ©alisation de ce projet. En 1939, Georges Huisman, directeur gĂ©nĂ©ral des Beaux-Arts, acquiert pour l'État deux toiles qui seront dĂ©posĂ©es au musĂ©e de Grenoble, dont le conservateur, Andry-Farcy, avait Ă©tĂ© un des pionniers dans la dĂ©couverte en France de l'art naĂŻf en organisant, en 1937, Ă  Paris, l'exposition intitulĂ©e Les MaĂ®tres populaires de la rĂ©alitĂ©. Ces deux toiles, Évocation pastorale et Bolbec[6], sont les premiers achats publiques faits Ă  Colette Beleys. Jean Lasne est mobilisĂ© en . Il disparaĂ®t sur le front Ă  Inor (Meuse) dès le dĂ©but de l'avance allemande en .

1944-1954 : le retour Ă  la peinture

De 1940 Ă  1944, l'unique prĂ©occupation de Colette Beleys fut de rĂ©unir des tĂ©moignages sur la disparition de son mari. Elle a cessĂ© de peindre durant cette pĂ©riode. Ses amis, les peintres AndrĂ© Marchand, Francis Gruber, Édouard Pignon et Mario Prassinos l'encouragent Ă  reprendre les pinceaux. Avec sa mère Marguerite Beleys, devenue veuve Ă©galement, elle va alors parcourir la France et l'Europe pour en rapporter un grand nombre de notes, croquis et dessins qui vont servir, une fois revenue Ă  l'atelier, Ă  composer ses toiles. En 1945, Colette Beleys visite successivement Perpignan, Châteauroux et le Calvados. En 1946 et 1947, elle se rend en Bretagne, Ă  Loctudy, Quimper, Pont-l'AbbĂ©, Perros-Guirec et Huelgoat. En 1948, elle part dans le Lot près de Saint-Cirq-Lapopie, dans les Alpes-de-Haute-Provence près de Sisteron et en Alsace dont sa famille maternelle est originaire. En 1949, elle sĂ©journe dans les Alpes près d'Embrun. En 1950, elle va en Belgique et en Hollande ainsi qu'au Grand-DuchĂ© du Luxembourg. En 1951, elle se rend au lac LĂ©man et visite Samoens, la Suisse et l'Autriche. Paris et la banlieue parisienne lui fournissent Ă©galement des sujets pour ses toiles. En 1951, le marchand Charles-Auguste Girard lui prĂ©sente le collectionneur Georges Renand qui lui restera fidèle et lui achètera de nombreuses toiles. En , la galerie Jeanne Castel, rue du Cirque Ă  Paris, lui organise sa première exposition personnelle et Jean Cassou, conservateur en chef du musĂ©e national d'Art moderne, achète pour cette institution une toile : La Maison potagère[7]. De 1951 Ă  1954, elle voyage en Belgique, Hollande, Autriche et Angleterre.

1954-1975 : les grands voyages Ă  travers l'Europe

En 1954 débute une longue série de voyages en Espagne. C'est également un tournant dans l'œuvre de la peintre. Elle abandonne définitivement son style primitif et poétique et désire rejoindre les maîtres de l'art classique admirés au Prado à Madrid : Goya, Vélasquez et Zurbarán. André Bernier organise dans sa galerie parisienne en 1958 et en 1960 deux expositions consacrées aux peintures d'Espagne. L'État lui achète le tableau Solitude du Torero et le dépose au musée Goya de Castres. L'année 1960 marque le retour en Italie précédemment visitée avec Jean Lasne en 1936. Elle passe par Rome, Naples, les Pouilles, la Calabre. En 1961, elle visite Florence, Ravenne, Assise et les Abruzzes et découvre la Yougoslavie (Belgrade, Skopje, Ohrid) et la Macédoine. En 1962, elle se rend en Bosnie à Sarajevo et en Croatie à Zagreb. Cette même année, la galerie Bernier organise une exposition consacrée aux peintures d’Italie. La Ville de Paris achète le tableau Cosenza (Calabre). En 1964, cette même galerie présente un choix d’œuvres issues des voyages en Yougoslavie intitulé Chronique en 30 tableaux d'un pays anachronique, titre est inspiré du livre La Chronique de Travnik d'Ivo Andrić, prix Nobel de littérature en 1961. En 1966, Colette Beleys, fascinée par le site du château de Vianden au Luxembourg, lieu qui avait déjà inspiré Victor Hugo, en brosse le Portrait en douze tableaux, série de toiles qui seront exposées au Centre culturel français de Luxembourg en 1969. Le Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg lui achètera une toile à cette occasion. En 1968, elle expose à l'Institut français de Florence et en profite pour visiter les villas florentines et en rapporter des sujets pour ses toiles. Entre 1969 et 1972, elle découvre la Turquie, la Grèce, la Russie (Moscou et Léningrad) et la Bulgarie. En 1973, Colette Beleys et sa mère Marguerite passent des vacances en Haute Provence. La santé de Marguerite Beleys diminue et elle meurt en .

1975-1998 : voyages en France. DĂ©fense de l'Ĺ“uvre de Jean Lasne

La disparition de sa mère constitue une nouvelle épreuve pour Colette Beleys. Elle passe l'été dans l’Esterel puis à l’Île-aux-Moines. En , elle expose, dans le cadre d'Europalia 75, à la galerie Drisket à Liège, des toiles inspirées par la Turquie, la Bulgarie et la Russie. Le musée d'Art moderne et d'Art contemporain de Liège y acquiert la toile Parasols et falaises en Bulgarie. En 1976, à l'occasion d'une exposition consacrée à Marcel Proust intitulée Dessins et peintures d’Illiers-Combray, Colette Beleys rencontre Alain Rivière, fils de Jacques Rivière et neveu d’Alain-Fournier. Ce sera le début d'une longue amitié qui l’entraînera vers la Sologne et Le Grand Meaulnes. En 1981, Beleys présente à Cabrières-d'Aigues une exposition de ses toiles de Provence et y fait la connaissance d'Aline Giono, fille de Jean Giono. Cette nouvelle connivence d'esprit se traduira par l'exposition Provences autour de Giono à Courbevoie en 1983 et surtout par la présence de toiles de Beleys dans l'exposition consacrée à l'écrivain organisée à Forcalquier en 1984.

La galerie Raspail Rive Gauche présente, en 1987, un ensemble de toiles inspirées par la Yougoslavie sous le titre Une cantate en peintures autour de la Bosnie en hommage à Ivo Andric. Cette exposition sera reprise en 1988 à la galerie France à Bordeaux et en 1989 à la galerie Aktuaryus à Strasbourg.

Le Centre culturel de Courbevoie présente, en 1988, la première exposition rétrospective de son œuvre intitulée Un chemin de vie sur une palette.

En 1990, le musée Goya de Castres organise une exposition de ses toiles d'Espagne : Colette Beleys. Passion d'Espagne.

En 1995, le catalogue raisonnĂ© de son Ĺ“uvre peint Ă©tabli par Jean Bernard Sandler et comportant une prĂ©face de François Bergot, conservateur gĂ©nĂ©ral du patrimoine, paraĂ®t aux Éditions Monelle Hayot[1]. Ă€ cette occasion, le musĂ©e Ingres de Montauban, l'hĂ´tel Jouffroy Ă  Besançon, le musĂ©e Granet d'Aix-en-Provence, le musĂ©e des Beaux-Arts de Tourcoing et le musĂ©e des Beaux-Arts d'OrlĂ©ans prĂ©sentent une grande rĂ©trospective de son Ĺ“uvre intitulĂ©e Colette Beleys. Une vie en peinture.

À partir de 1980 et à l'occasion de l'exposition Forces Nouvelles 1935-1939 organisée par le musée d'Art moderne de la ville de Paris, Colette Beleys travaille pour remettre en lumière l'œuvre de son mari Jean Lasne qui n'avait pour ainsi dire jamais été présenté depuis sa disparition tragique en 1940. Colette Beleys reçoit la médaille d'argent de la Ville de Paris en 1981 et les insignes de chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en 1993.

Elle meurt le Ă  Ennery.

Trois ventes d'atelier ont eu lieu Ă  Paris Ă  l'hĂ´tel Drouot en 1998, 1999 et 2001.

Ĺ’uvres dans les collections publiques

Belgique
France
  • Aix-en-Provence, musĂ©e Granet :
    • Le GoĂ»ter, entrĂ© en 1998 ;
    • Sainte-Victoire avant l'incendie, entrĂ© en 1998.
  • Amiens, musĂ©e de Picardie :
    • La Villa Aldobrandini Ă  Frascati, entrĂ© en 1999 ;
    • La Villa Torlonia Ă  Frascati, entrĂ© en 1999 ;
    • La Petite fille de Quilleboeuf, entrĂ© en 1999 ;
    • La Petite fille d'Aubervilliers, entrĂ© en 1999 ;
    • Le Bois de Gruchet, entrĂ© en 1999.
  • Castres :
    • mairie : Les Poules au marchĂ© de Cuenca, entrĂ© en 1990.
    • musĂ©e Goya :
      • Solitude du Torero, coll. FNAC, inv. 27205 et D 63.5.1, entrĂ© en 1960[8] ;
      • Les Amoureux de Madrid, entrĂ© en 1997 ;
      • La Pradera de San Isidro, entrĂ© en 1997 ;
      • La Mère et l'enfant, entrĂ© en 1997 ;
      • La Femme en noir au marchĂ© de Plasencia, entrĂ© en 1997 ;
      • Les Moines blancs de la Alberca, entrĂ© en 1997 ;
      • Les SĂ©minaristes, entrĂ© en 1997 ;
      • Le Picador, entrĂ© en 1997 ;
      • Les Parques de Peniscola, entrĂ© en 1997 ;
      • Vue de Salamanque, entrĂ© en 1997 ;
      • La Mendiante de l’hĂ´pital de Tavera, entrĂ© en 1997 ;
      • La Femme Ă  la fontaine de la Alberca, entrĂ© en 1997 ;
      • La Femme et le Christ Ă  SĂ©govie, entrĂ© en 1997
      • Le Bassin de fleurs roses Ă  Grenade, entrĂ© en 1997.
  • Courbevoie, mairie : Istamboul-Le Bosphore, entrĂ© en 1988.
  • Grenoble, musĂ©e de Grenoble :
    • Bolbec, coll. FNAC, inv. 16008, entrĂ© en 1939 ;
    • La Pastorale, coll. FNAC, inv 16009, entrĂ© en 1939.
  • Laval, musĂ©e d'Art naĂŻf et d'Arts singuliers :
    • HĂ©lier endormi, inv. 97.16.1, entrĂ© en 1997[9] ;
    • La Grande ferme Ă  Embrun, inv. 97.16.5, entrĂ© en 1997[10] ;
    • Le Diable, inv. 97.16.4, entrĂ© en 1997[11] ;
    • Le Pont sur la Seine, inv. 97.16.3, entrĂ© en 1997[12] ;
    • Maltaverne aux boutons dorĂ©s, inv. 97.16.2, entrĂ© en 1997[13].
  • Maubeuge, musĂ©e Henri-Boez : Le Monastère de Decani, coll. FNAC, inv. 28513, entrĂ© en 1965.
  • Montauban, musĂ©e Ingres-Bourdelle :
    • Hourton couchĂ©, inv. MI. 99.1.3, entrĂ© en 1999[14] ;
    • Les Joueurs de boules, inv. MI. 99.1.1, entrĂ© en 1999[15] ;
    • L'Église Ă  Saint-Cirq-Lapopie, inv. MI. 99.1.2, entrĂ© en 1999[16].
  • OrlĂ©ans, musĂ©e des Beaux-Arts :
    • Portrait de Pierre HĂ©lier, entrĂ© en 1998 ;
    • Hourton Ă  la mappemonde, entrĂ© en 1998 ;
    • Autoportrait au fauteuil blanc, entrĂ© en 1998 ;
    • Poissons sĂ©chant Ă  Ostende, entrĂ© en 1998.
  • Paris :
    • musĂ©e d'Art moderne de Paris :
      • Cosenza-Calabre, inv. P. 14898, entrĂ© en 1962 ;
      • Sarajevo, inv. P. 15956, entrĂ© en 1964 ;
      • Le CloĂ®tre au jasmin Ă  Almeria, inv. P. 18558, entrĂ© en 1981 ;
      • La Maison de Balzac, inv. P. 19387, entrĂ© en 1982.
    • musĂ©e national d'Art moderne : La Maison potagère, coll. FNAC, inv. 22781, entrĂ© en 1952.
  • Puteaux, Fonds national d'art contemporain :
    • Paysage de Soria, coll. FNAC, inv. 26351, entrĂ© en 1958 ;
    • Les Parasols endormis et les albatros en vol, coll. FNAC, inv. 33624, entrĂ© en 1981.
  • Tours, musĂ©e des Beaux-Arts :
    • Branche de mimosa, dessin, entrĂ© en 2000 ;
    • Paysage avec reliefs. VoguĂ«, dessin, entrĂ© en 2000 ;
    • Étude de table avec une chaise, dessin, entrĂ© en 2000.
Guernesey
Luxembourg

Expositions

  • 1934 : Peintures de C. Beleys, R. Humblot, H. Jannot, J. Lasne, G. Rohner, Paris, galerie Carmine, 51, rue de Seine, 2-15 novembre 1934.
  • 1939 : Peintres et maĂ®tres populaires, Paris, galerie de Beaune, 25 rue de Beaune, mai 1939.
  • 1951 : 1re Biennale de peinture de France, dĂ©diĂ©e Ă  Raoul Dufy, Menton, Palais du Kursaal, 3 aoĂ»t-.
  • 1951 : Colette Beleys, Paris, galerie Jeanne Castel, 3 rue du Cirque, 17 novembre-.
  • 1960 : Colette Beleys, en Espagne, Paris, galerie Bernier, 15 avenue de Messine, 26 mars-23 avril 1960.
  • 1962 : Colette Beleys, peintures d'Italie, Paris, galerie Bernier, 4 rue Jacques Callot, 24 mars-19 avril 1962.
  • 1964 : Chronique en 30 tableaux d'un monde anachronique. Des monastères de Serbie aux mosquĂ©es de Bosnie, Paris, galerie Bernier, 4 rue Jacques Callot, 11 avril-9 mai 1964.
  • 1968 : Peintures d'Italie de Colette Beleys, Florence, Institut français, juin 1968.
  • 1969 : Portrait d'un château en 12 tableaux de Colette Beleys, Luxembourg, Centre culturel français, 16 avril-10 mai 1969.
  • 1970 : Peintures d'Espagne. Colette Beleys, Barcelone, Institut français, novembre-dĂ©cembre 1970.
  • 1971 : Les Paysages d'eau de Combray et quelques toiles d'inspiration proustienne de Colette Beleys, Paris, Maison de l'AmĂ©rique latine, 18-24 juin 1971.
  • 1973 : Paysages d'eau de Combray et toiles d'inspiration proustienne de Colette Beleys, Bruxelles, galerie Reflets, 19 mai-6 juin 1973.
  • 1974 : Regards sur des pays slaves, Paris, galerie Colette Dubois, 352, rue Saint-HonorĂ©, 13 fĂ©vrier-4 mars 1974.
  • 1976 : L'Espagne et Colette Beleys, Bruxelles, galerie Reflets, 14, rue Saint-Jean, 12 novembre-.
  • 1978 : Paysages français, Paris, galerie Colette Dubois, 352, rue Saint-HonorĂ©, 10 fĂ©vrier-6 mars 1978.
  • 1979 : Du cĂ´tĂ© de chez Proust, Courbevoie, Maison pour tous, 10-27 janvier 1979.
  • 1979 : Les peintures d'Espagne de Colette Beleys, Bibliothèque espagnole, 11, avenue Marceau,14-24 novembre 1979.
  • 1980 : Colette Beleys. Jardins d'Europe, Paris, galerie Galarte, 26, rue de Miollis, 6-30 novembre 1980.
  • 1981 : Les peintures d'Espagne de Colette Beleys, Paris, Bibliothèque espagnole, 13-27 novembre 1981.
  • 1982 : Colette Beleys, Bordeaux, Centre culturel Casa de Goya, 11 mars-2 avril 1982.
  • 1982 : Andry-Farcy, un conservateur novateur, le musĂ©e de Grenoble de 1919 Ă  1949, Grenoble, musĂ©e de Grenoble, 1982.
  • 1982 : Colette Beleys. Autour du Luxembourg. Paysages europĂ©ens, Luxembourg, Centre culturel français, 12-27 novembre 1982.
  • 1987 : Colette Beleys. Une cantate en peintures autour de la Bosnie en hommage Ă  Ivo Andric, Paris, galerie Raspail rive gauche, 221, boulevard Raspail, 7-31 octobre 1987.
  • 1988 : Colette Beleys. Une cantate en peintures autour de la Bosnie en hommage Ă  Ivo Andric, Bordeaux, galerie France, 12, rue de la Devise, mars-avril 1988.
  • 1988 : Colette Beleys. Un chemin de vie sur une palette, Courbevoie, Centre culturel, 5-28 octobre 1988.
  • 1989 : Une cantate en peintures autour de la Bosnie en hommage Ă  Ivo Andric, Strasbourg, galerie Aktuarius, 23, rue de la NuĂ©e-Bleue, 14 juin-5 juillet 1989.
  • 1990 : Colette Beleys. Une passion d'Espagne, Castres, musĂ©e Goya, 20 avril-10 juin 1990.
  • 1995 : Colette Beleys. Une vie en peinture, Montauban, musĂ©e Ingres, 9 mars-7 mai 1995.
  • 1995 : Colette Beleys. Une vie en peinture, Besançon, hĂ´tel Jouffroy, 23 juin-17 septembre 1995.
  • 1995 : Colette Beleys. Une vie en peinture, Aix-en-Provence, musĂ©e Granet, dĂ©cembre 1995.
  • 1996 : Colette Beleys. Une vie en peinture, OrlĂ©ans, musĂ©e des Beaux-Arts, 2 juin-2 septembre 1996.
  • 1996 : Colette Beleys. Une vie en peinture, Tourcoing, musĂ©e des Beaux-Arts, 21 septembre-25 novembre 1996.
  • 2009 : Colette Beleys. Ĺ’uvres peintes, Paris, galerie Thierry Mercier, 40, rue de l’UniversitĂ©, 28 mai-20 juin 2009.

Notes et références

  1. Jean Bernard Sandler, Colette Beleys, catalogue raisonné de l’œuvre peint, Editions Monelle Hayot, .
  2. Société des Artistes Français, Salon 1931, 144e exposition officielle des Beaux-Arts, Grand Palais des Champs-Elysées, , catalogues no 4279 et no 4280.
  3. Colette Beleys. Une vie en peinture, Musée Ingres, Montauban, , p. 9-10-11-13-14-15.
  4. « Un quartier d’artistes », Pasteur, no 195,‎ , p. 12.
  5. De Montparnasse à Montsouris. Itinéraire historique dans le 14e arrondissement, Paris, Musée Carnavalet, , p. 109-110.
  6. Musée de Grenoble, inventaire MG 2899 et DG 1939-10.
  7. Paris, musée national d'Art moderne, inventaire A.M. 3142P.
  8. Base Joconde.
  9. Base Joconde.
  10. Base Joconde - Musées de France.
  11. Base Joconde.
  12. Base Joconde.
  13. Base Joconde.
  14. Base Joconde.
  15. Base Joconde.
  16. Base Joconde.

Annexes

Bibliographie

  • Jean Bernard Sandler, Colette Beleys, catalogue raisonnĂ© de l'Ĺ“uvre peint, Saint-RĂ©my-en-l'eau, Éditions Monelle Hayot, 1995.
  • Denis Coutagne, « Le carton retrouvĂ©, La prĂ©sence de Colette Beleys », Impressions du MusĂ©e Granet, no 6, Aix-en-Provence, avril 1991, pp. 23–29.
  • Collectif, Colette Beleys. Une passion d'Espagne, [catalogue d'exposition], Castres, MusĂ©e Goya de Castres, 1990.
  • Collectif, Colette Beleys. Un chemin de vie sur une palette, Courbevoie, Centre culturel, 1988.
  • Patrice de la Perrière, « Colette Beleys. Passion d'Espagne », Arts ActualitĂ©s Magazine, no 6, Paris, mai 1990, pp. 38–41.
  • Jean Bernard Sandler, « Colette Beleys. Une vie en peinture », Univers des Arts no 15, Paris, avril 1996, pp. 44–46.
  • Collectif, Colette Beleys. Une vie en peinture, 1995. — Catalogue de l'exposition itinĂ©rante du mĂŞme titre pour le musĂ©e Ingres de Montauban, l'hĂ´tel Jouffroy de Besançon, le musĂ©e Granet d'Aix-en-Provence et les musĂ©es des Beaux-Arts d'OrlĂ©ans et Tourcoing.
  • Collectif, Andry-Farcy, Un conservateur novateur. Le MusĂ©e de Grenoble de 1919 Ă  1949, Grenoble, MusĂ©e de Grenoble, 1982, p. 114.
  • Collectif, PrĂ©sence de l'art naĂŻf en Europe, Laval, SiloĂ«, 1997, p. 23.
  • BĂ©atrice de Andia (dir.), De Montparnasse Ă  Montsouris. ItinĂ©raire historique dans le 14e arrondissement, 1986, p. 109. — Catalogue d'exposition du musĂ©e Carnavalet, Paris, mairie du 14e arrondissement.
  • Collectif, Giono, Forcalquier, Affaires culturelles de la MunicipalitĂ© de Forcalquier, 1984.
  • Françoise Henry et Colette Lasne, Catalogue raisonnĂ© de l'Ĺ“uvre de Jean Lasne, Paris, Le LĂ©opard d'Or, 1988.
  • Collectif, Jean Lasne. L'Ĺ“uvre sur papier, 1991. — Catalogue de l'exposition itinĂ©rante du mĂŞme titre pour le MusĂ©e des Beaux-Arts de Tourcoing, le MusĂ©e Ingres de Montauban et le MusĂ©e des Beaux-Arts et d'ArchĂ©ologie de Besançon.
  • Études Thierry-Lannon, Atelier Colette Beleys, Paris, hĂ´tel Drouot, 1998. — Catalogue de la vente aux enchères publiques Ă  Drouot-Richelieu du .
  • Études Thierry-Lannon, Atelier Colette Beleys, Paris, hĂ´tel Drouot, 1999. — Catalogue de la vente aux enchères publiques Ă  Drouot-Richelieu du .

Liens externes

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