Clumanc
Clumanc [klymɑ̃k] est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Clumanc | |||||
Ensemble mairie-école-salle polyvalente, au centre de la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Castellane | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière | ||||
Maire Mandat |
Thierry Viale 2020-2026 |
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Code postal | 04330 | ||||
Code commune | 04059 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Clumancais | ||||
Population municipale |
221 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 4,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 01′ 28″ nord, 6° 23′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 773 m Max. 1 703 m |
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Superficie | 53,68 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Riez | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Clumancais[1].
Géographie
Les communes limitrophes de Clumanc sont Tartonne, Lambruisse, Moriez, Saint-Lions, Saint-Jacques, Chaudon-Norante et Digne-les-Bains.
Comme sa voisine Tartonne, Clumanc présente un habitat dispersé avec un assemblage de hameaux dans la vallée de l’Asse de Clumanc.
Il n’y a pas de village-centre ni aucune localité précise portant le nom de la commune.
La mairie et l'école sont établis au pied de la colline où se trouve le château appartenant a deux propriétaires différents en bordure de la D 19.
Hameaux
La commune compte 24 hameaux :
- Fourchauchier
- Bourgogne
- les Bourillons
- les Nèbles
- Douroulles
- le Gion
- le Riou
- les Sauzeries (Hautes et Basses)
- Toueste
- Valaury
- Laubre
- les Roux
- les Vachiers
- les Souliers
- la Lèche
- la Poste
- la Tour
- le Château
- la Ville
- les Blancs
- les Pauls
- Seisset
- Chambaresc
- Saint-Honorat
Géologie et relief
Marnes à Clumanc. Montagne de la Sapée. Paysage vers Clumanc.
Le point culminant est le sommet de la Sapée à 1 701 m d'altitude.
La commune est située dans le périmètre de protection de la réserve naturelle géologique de Haute-Provence.
Hydrographie et eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[2] :
- La commune est traversée par la rivière l'Asse de Clumanc, une rivière torrentielle, qui se réunit à l'Asse de Moriez et à l'Asse de Blieux sur la commune de Barrême.
- Ravins des Sauzeries, du Riou, de Gion, Saint-Martin.
Environnement
La commune compte 1 124 ha de bois et forêts, soit 20 % de sa superficie[1].
La commune est couverte par des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I et II[3] et une ZNIEFF géologique.
Climat
L'altitude de la commune varie entre 773 et 1 703 mètres, ce qui influence énormément le climat ; les différences de températures dans la même journée sont très importantes.
Voies de communications et transports
Risques majeurs
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Clumanc est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Clumanc est également exposée à trois autres risques naturels[5] :
- feu de forêt ;
- inondation (dans la vallée de l’Asse) ;
- mouvement de terrain : les versants inférieurs de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[6].
La commune de Clumanc n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7], mais le Dicrim existe depuis 2011[8].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle en 1994 pour des inondations et des coulées de boue[5]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux[9] :
- du 31 octobre 1997, avec une intensité macro-sismique de III et demi sur l’échelle MSK et Prads-Haute-Bléone pour épicentre[10] ;
- et celui du 8 février 1974, avec une intensité de V et Thorame pour épicentre[11].
Histoire
Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Clumanc dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame) ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés, avec la disparition de l’évêché de Thorame[14].
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1046[15], les comtes de Provence y possédaient une maison forte[16]. Le prieuré de Saint-Honorat relevait de l’abbaye de Lérins, du milieu du XIe siècle à la Révolution[17]. L’église Notre-Dame relevait elle de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, ou de l’évêque de Digne[17]. Ces églises étaient situées dans des petits castrum[17].
En 1342, les communautés de Clumanc, Labaud et Saint-Honorat sont rattachées à la viguerie de Castellane par le comte de Provence [18] avant de relever de celle de Barrême[17]. Les communautés de Labaud (Labaudum au XIIIe siècle[19]) et de Saint-Honorat, qui comptaient respectivement 24 et 49 feux en 1315, sont fortement dépeuplées par la crise du XIVe siècle (peste noire et guerre de Cent Ans) et annexées par celle de Clumanc au XVe siècle[16].
Durant une longue période, les seigneurs de Clumanc étaient les membres de la famille de Perier[20].
Durant la Révolution, la société patriotique de la commune y est créée précocement, pendant l’été 1792[21].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que le cadastre dit napoléonien de Clumanc est achevé[22].
Comme de nombreuses communes du département, Clumanc se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en possède trois, dont une aux Sauzeries Basses, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[23]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851), qui impose pourtant l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, n’est pas appliquée[24]. Quand la première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants, la commune ouvre enfin une école de filles[25]. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[26].
Héraldique
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Politique et administration
Municipalité
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[35] :
- total des produits de fonctionnement : 220 000 €, soit 1 140 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 202 000 €, soit 1 046 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 130 000 €, soit 673 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 43 000 €, soit 224 € par habitant.
- endettement : 328 000 €, soit 1 698 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 9,82 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,14 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 17,52 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 26,91 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 16 470 €[36].
Intercommunalité
Clumanc a fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes du Moyen Verdon. Depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.
Urbanisme
Typologie
Clumanc est une commune rurale[Note 1] - [37]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[38] - [39]. La commune est en outre hors attraction des villes[40] - [41].
La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[42].
Occupation des sol
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8 %), terres arables (6,1 %), prairies (2,3 %)[43].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[44].
Population et société
Démographie
En 2020, la commune de Clumanc comptait 221 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Clumanc). Les autres « recensements » sont des estimations.
L’histoire démographique de Clumanc, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide, et de longue durée. Dès 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[49]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’à la fin des années 1970. Depuis, le mouvement s'est inversé, avec une croissance faible sur quarante ans.
Enseignement
La commune est dotée d’une école primaire[50].
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 81 personnes, dont 7 chômeurs[51] (12 fin 2011[52]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (64 %)[53] et travaillent majoritairement hors de la commune (60 %)[53].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 29 établissements agricoles actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[54].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 13 en 2010. Il était de 18 en 2000[55], de 31 en 1988[56]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin et bovin, et le maraîchage[55]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de 1 796 ha à 492 ha[56]. La SAU a continué sa chute lors de la dernière décennie, pour s’établir à 206 ha[55].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, n’employant aucun salarié[54].
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait quatre établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les trois établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant neuf personnes[54].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[57], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[58]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune, mais uniquement sous la forme de meublés[59].
Les résidences secondaires apportent un complément important à la capacité d’accueil[60] : au nombre de 113, elles représentent presque la moitié des logements. Trois résidences secondaires possèdent plus d’un logement, et quatre sont des logements mobiles installés à l’année[61] - [62].
Lieux et monuments
Architecture civile
- Château des Périers.
- Château de Seisset.
- À Valaury, porte gravée 1789.
- À Valaury, autre porte au linteau daté de 1832.
Le château des Périers, proche de la mairie, relève du style du XVIe mais peut avoir été construit dans le deuxième quart du XVIIe siècle. Carré, encadré de quatre tours d’angle également carrées, il est inscrit à l’inventaire des monuments historiques[63] - [64]. Aujourd'hui à moitié en ruines, ce château appartenait aux membres de la famille de Perier, seigneurs de Clumanc[65].
Au-dessous du château des Périer, le bâtiment dit « couvent ou tour de l’Annonciade », ou encore « tour de Boriane » est peut-être une maison campagnarde appartenant à un bourgeois aisé ou à un seigneur local : elle est construite en appareil régulier, est ornée d’une baie géminée et date de la fin du XIIe siècle ou du XIIIe siècle[66] ; c’est un monument inscrit[67]. Sur sa façade, un cadran solaire de 1879 gravé sur pierre a été restauré en 1988[68].
Au Riou, se trouve une ferme du XVIIe siècle, avec une cheminée en gypserie[69].
Le château de Seisset est situé au sud de la commune[15].
Église Notre-Dame
L’église paroissiale Notre-Dame (inscrite à l’inventaire des monuments historiques), est un ancien prieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille fondé au XIe siècle, mais dont l’état actuel remonte au plus tôt au XIIIe, voire au XIVe siècle selon la DRAC[70]. La première chapelle date du XVe ou du XVIe siècle[71], ce qui la rendrait contemporaine de la façade. La DRAC penche pour une construction des quatre chapelles au XVIIe siècle. Le clocher-mur est construit au-dessus du chevet. Des travaux de réparation ou de construction de chapelles latérales sont datés : 1677, 1675. D’autres travaux ont lieu au milieu du XIXe siècle. La toiture d’everite, qui remplace en 1975 les lauzes posées sur la voûte, a permis de conserver le bâtiment[72]. Elle est inscrite aux monuments historiques[73].
Entre la nef et une chapelle nord, l’arcade est soutenue par des colonnes médiévales, données pour carolingiennes par Raymond Collier. Elles sont ornées, sur plusieurs registres, d’entrelacs, de colonnettes torsadées, d’étoiles et de rosaces, classées[74] - [75].
Dans son mobilier, se trouvent :
- un tableau de la Vierge, encadrée de saint Augustin et saint Martin, peint en 1609 par François Mimault (1580-1652)[76], classé[77] - [78] ;
- une Nativité, avec saint Luc et saint Marc, datée de 1636, classée au titre objet[79] ;
- une statue-reliquaire de saint Marc, en bois doré, classée[80] ;
- la clôture de la chapelle, en bois, est ornée de pampres, mais en mauvais état[81] - [82] ; l’autel du XVIIe siècle, classé, a disparu[83].
À côté de l’église Notre-Dame, la croix en fonte est signalée pour son décor végétal[84].
Autres églises et chapelles
- Prieuré Saint-Honorat.
- Chapelle de Valaury.
- Chapelle Saint-Jean, au hameau du Riou.
L’église Saint-Honorat est fondée au XIe siècle, et son état actuel date de 1645 (selon Raymond Collier), ou du XIIIe siècle au plus tôt (selon la DRAC) : c’est alors un prieuré de l’abbaye de Lérins, construit selon les principes de l’architecture romane. Sa nef comprend cinq travées. Deux chapelles latérales, dans la dernière travée, forme transept. Le chevet est plat, l’abside voûtée en berceau. Elle est restaurée entre 1750 et 1779, sa nef allongée en 1862, restaurée en 1969 et sa couverture a été refaite en 1987[85] - [86]. Les cloches sont logées dans un clocher mur, situé au-dessus du portail.
Son mobilier comprend :
- un tableau représentant saint Sébastien, daté du XVIIe siècle et classé[87] ;
- une donation du Rosaire, classée, de 1645[88].
Du fait des nombreux hameaux, la commune compte de nombreuses chapelles :
- deux chapelles à Douroulles, dont la chapelle Saint-Paul datant du XVIIIe, orientée au nord et dépendant autrefois de la paroisse de Lambruisse[89] - [15] ;
- deux à Valaury[15],
- deux aux Sauzeries, dont la chapelle Sainte-Agathe[90], datant du XVIIe siècle, étroite et rustique[91] - [15] ;
- deux au Riou, dont la chapelle Saint-Jean-Baptiste, qui est une chapelle déplacée entre 1837 et 1840, le précédent édifice voisinant de trop près avec le torrent[92] - [15] ;
- une à Bourgogne[15],
- et une à Gion[15].
Personnalités liées à la commune
- Jean Taxis décédé à Clumanc en 1714.
Voir aussi
Bibliographie
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Inventaire sommaire des Archives hospitalières antérieures à 1792: série H
- Inventaire historique d'anciens sites industriels et activités de service, pages 63–110
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
- Bourg castral de Clumanc
- La Vallée des Hautes Asses : Clumanc, sur le site Dignois
- Cadrans solaires du Pays du Haut-Verdon : Clumanc
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Clumanc, p. 344
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Clumanc sur le site de l'Institut géographique national
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Références
- Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
- L'eau dans la commune
- Zones Naturelles d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique de la commune de Clumanc, sur le site basecommunale.paca.developpement-durable.gouv.fr.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 12 juillet 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
- Dicrim communal, base Dicrim, consulté le 12 juillet 2011
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Clumanc », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 12 juillet 2012
- BRGM, « fiche 40203 », Sisfrance, consulté le 12 juillet 2012
- BRGM, « fiche 40137 », Sisfrance, consulté le 12 juillet 2012
- Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 123
- Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire
- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22-23
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 171
- Daniel Thiery, « Clumanc », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 20 décembre 2010, consulté le 11 juillet 2012
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Histoire de la Sous-Préfecture de Castellane », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
- Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 179
- Robert de Brianson et Claude-François Ménestrier, L'état de la Provence dans sa noblesse, Bibliothèque nationale, , p. 450
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-297
- Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
- Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
- Labadie, op. cit., p. 16.
- Labadie, op. cit., p. 18.
- Labadie, op. cit., p. 11.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
- Dominique Cureau, « Moyen Verdon. 3 : Clumanc », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
- Jean-François Cruvellier, Histoire de Barrême, Société scientifique et littéraire des Basses-Alpes, 1889, p 95
- [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
- Bernard Molling est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Ségolène Royal (Parti socialiste) à l’élection présidentielle de 2007, cf Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
- F. B., « Le maire a dirigé son dernier conseil municipal », La Provence, 16 mars 2014, p. 10.
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Clumanc », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population - Clumanc », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, t. 21, no 85,‎ , p. 288 (lire en ligne).
- Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Digne, publiée le 6 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010
- Insee, Dossier local - Commune : Clumanc, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
- Insee, Dossier local, p. 8
- Insee, Dossier local, p. 7
- Insee, Dossier local, p. 16
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
- Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
- Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 255
- Arrêté du 1er mars 1978, « Château (ruines) », notice no PA00080369, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- « Famille de Perier de Clumanc »
- Raymond Collier, op. cit., p 354
- Arrêté du 21 février 1989, « Tour de l'Annonciade, dite aussi Tour de Poriane », notice no PA00080371, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Jean-Marie Homet et Franck Rozet, Cadrans solaires des Alpes-de-Haute-Provence, Aix-en-Provence, Édisud, (ISBN 2-7449-0309-4), p 113
- Olivia Pelletier, Elizabeth Sauze, « Ferme », notice no IA04000718, base Mérimée, ministère français de la Culture, 2 août 2008, consultée le 5 novembre 2008
- Elisabeth Sauze, « Église paroissiale Notre-Dame », notice no IA04000486, base Mérimée, ministère français de la Culture, 2 août 2008, consultée le 5 novembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 169
- Raymond Collier, op. cit., p 113
- Arrêté du 6 juin 1980, « Église Notre-Dame », notice no PA00080370, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 456-457
- Arrêté du 22 novembre 1966, « Piliers (2) », notice no PM04000077, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 475
- Raymond Collier, op. cit., p 478
- Arrêté du 8 janvier 1975,« Tableau : Vierge à l'Enfant entre saint Augustin et saint Martin (la) », notice no PM04000080, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Arrêté du 7 septembre 1988, « tableau : la Nativité avec saint Luc et saint Marc », notice no PM04000081, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 26 février 2019.
- Arrêté du 13 juin 1988, « Statue-reliquaire de saint Marc », notice no PM04000083, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 479
- Françoise Reynier 1988, « Ensemble de 2 clôtures de chapelle », notice no IM04000849, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Raymond Collier, op. cit., p 471
- Raymond Collier, op. cit., p 520
- Raymond Collier, op. cit., p 211
- Elisabeth Sauze, « Église paroissiale Saint-Honorat », notice no IA04000487, base Mérimée, ministère français de la Culture, 2 août 2008, consultée le 5 novembre 2008
- Arrêté du 7 septembre 1988, « Tableau : saint Sébastien », notice no PM04000084, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Arrêté du 7 septembre 1988, « Tableau : donation du rosaire (la) », notice no PM04000082, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 5 novembre 2008
- Elisabeth Sauze, « Chapelle de Douroulles », notice no IA04000653, base Mérimée, ministère français de la Culture, 2 août 2008, consultée le 3 novembre 2008
- Pascal Azan est le fondeur de la cloche de la chapelle Sainte-Agathe à Clumanc en 1845 et de 16 autres cloches dans le Var, dont celle de la Chapelle Notre-Dame de Spéluque
- Maïna Masson-Lautier, Olivia Pelletier, « Chapelle Sainte-Agathe », notice no IA04000335, base Mérimée, ministère français de la Culture, 12 septembre 2008, consultée le 25 septembre 2010
- Maïna Masson-Lautier, Olivia Pelletier, « Chapelle Saint-Jean », notice no IA04000250, base Mérimée, ministère français de la Culture, 12 septembre 2008, consultée le 25 septembre 2010