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Saint-Jacques (Alpes-de-Haute-Provence)

Saint-Jacques (Sant Jaume en occitan provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Saint-Jacques
Saint-Jacques (Alpes-de-Haute-Provence)
Cadran solaire Ă  Saint-Jacques.
Blason de Saint-Jacques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Alix Chaillan
2020-2026
Code postal 04330
Code commune 04180
DĂ©mographie
Population
municipale
81 hab. (2020 en augmentation de 44,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 17 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 58′ 13″ nord, 6° 22′ 33″ est
Altitude Min. 780 m
Max. 1 447 m
Superficie 4,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques

    Le nom de ses habitants est Saint-Jacquois[1] ou les San Jaumiers.

    GĂ©ographie

    Localisation

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Saint-Jacques et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Saint-Jacques est village bâti sur un éperon à 800 m d’altitude[2], perché au-dessus de la vallée de l’Asse avec un panorama.

    La commune la plus proche est Barrême (2 km), sur la route Napoléon.

    Les communes limitrophes de Saint-Jacques sont Clumanc, Saint-Lions, BarrĂŞme et Chaudon-Norante.

    Relief

    Le point culminant de la commune est le sommet Saint-Martin (1451 m).

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Saint-Jacques est exposée à trois risques naturels[3] :

    • feu de forĂŞt,
    • inondation,
    • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernĂ©s par un alĂ©a moyen Ă  fort[4].

    La commune de Saint-Jacques n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] ; le Dicrim existe depuis 2011[6].

    Sismicité

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Saint-Jacques est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3].

    Toponymie

    Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum Sant Jacobi) ; il est nommé d’après saint Jacques le Majeur, sous sa forme occitane Jacme, qui a été francisée par la suite[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jacques est une commune rurale[Note 1] - [9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (67,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), forêts (7,7 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Économie

    Commerces

    Un seul commerce est présent dans cette commune : un restaurant appelé Domaine d'Aiguines.

    Histoire

    Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Saint-Jacques dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame), ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés avec la disparition de celle de Thorame[16]. La via salinaria ou via Vintinia, de Cagnes à Digne-les-Bains, et dont le tracé est presque intégralement connu de Vence à Digne, passait sur la commune[17].

    Le village de Saint-Jacques est la possession d’une prévôté de moines augustins[18], attestée en 1108, installée à quelques centaines de mètres du village mais sur la même colline[17] - [19]. Ce monastère prend la suite d’une église qui y aurait existé depuis le VIIIe siècle[17]. Le fief appartient aux Villeneuve du XVe siècle au milieu du XVIIIe siècle[18].

    En 1570, pendant les guerres de religion, la prévôté des augustins est détruite sur ordre du gouverneur de Provence, le comte de Carcès, pour empêcher les protestants de s’y fortifier[19].

    Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Jacques-lès-Barrême[20].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1838 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Jacques est achevé[21].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Jacques Blason
    D'azur à un saint Jacques vêtu en pèlerin d'or[22] - [23].
    DĂ©tails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 Antoine Olivier[24]
    1977(?) 1983(?) Jules Daumas[25]
    avant 2005 mars 2008 Marc Olivier
    mars 2008 2014 Gilles Mistral[26]
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Alix Chaillan[27] SE Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[28] :

    • total des produits de fonctionnement : 53 000 â‚¬, soit 955 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 39 000 â‚¬, soit 703 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 28 000 â‚¬, soit 513 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 23 000 â‚¬, soit 412 â‚¬ par habitant.
    • endettement : 10 000 â‚¬, soit 176 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 6,90 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 6,19 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 23,91 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 17,17 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[29].

    Intercommunalité

    Saint-Jacques fait partie:

    Urbanisme

    La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[30].

    Population et société

    Évolution démographique

    En 2020, Saint-Jacques comptait 81 habitants. Ă€ partir du XXIe siècle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017, etc. pour Saint-Jacques). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    36 feux3 feux151150102135147206184190
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    167151149158162162149142118110
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    100929184777164545557
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2020 - -
    4838312939365681--
    Population sans doubles comptes de 1962 Ă  1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[18], EHESS[31], Insee à partir de 1968[32] - [33] - [34])

    L’histoire démographique de Saint-Jacques est marquée par la saignée des XIVe et XVe siècles.

    Au XIXe siècle, Saint-Jacques arrive au bout d’un mouvement de croissance, et connait une période d’ « étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Ensuite, la commune est touché par l’exode rural : sa population décroît régulièrement, et 65 ans après le maximum démographique de 1831, elle a perdu plus de la moitié de sa population[35]. La baisse se poursuit jusqu’aux années 1980 ; depuis, Saint-Jacques a connu une inversion de tendance et a pratiquement doublé sa population.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Comme de nombreuses communes du département, Saint-Jacques se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[36]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[37], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Lions[38] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.

    Personnalités liées à la commune

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    Patrimoine civil

    • Four communal du XVIIIe siècle.
    • Fontaine avec lavoir ombragĂ©s de châtaigniers.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. Â« Villes et villages de France Â», 1989, ReliĂ©, 72 p. (non paginĂ©) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
    6. Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28434, p 1621
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
    17. Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 412
    18. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 195
    19. Daniel Thiery, « Saint-Jacques », Aux origines des Ă©glises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publiĂ© le 22 dĂ©cembre 2011, mis Ă  jour le 23 dĂ©cembre 2011, consultĂ© le 15 aoĂ»t 2012
    20. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
    21. AlexeĂŻ Laurent, « Paysages ruraux de la première moitiĂ© du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes Â», in Jean-Christophe Labadie (directeur Ă©ditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première JournĂ©e d'Ă©tudes d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives dĂ©partementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    22. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
    23. Dominique Cureau, « Moyen Verdon. 3 : Saint-Jacques », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
    24. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    25. Jules Daumas est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Marie-France Garaud (RPR, candidate non officielle) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1049, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    26. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
    27. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    28. Les comptes de la commune
    29. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    30. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jacques », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. « Résultats du recensement de la population - Saint-Jacques », sur le site de l'Insee (consulté le )
    33. « Recensement de la population au 1er janvier 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    34. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    35. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    36. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    37. Labadie, op. cit., p. 16.
    38. Labadie, op. cit., p. 18.
    39. « église paroissiale Saint-Jacques », notice no IA04000342, base Mérimée, ministère français de la Culture
    40. « chapelle Saint-Joseph », notice no IA04000883, base Mérimée, ministère français de la Culture
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