CityPlay

L'agence CityPlay d'Amiens.

Lors de son rachat par Wibox, CityPlay était présent[6] :

• Sur son propre réseau à Amiens ;
• Sur le réseau de la communauté d'agglomération Europ'Essonne, qui couvre Épinay-sur-Orge, Saulx-les-Chartreux, Champlan et La Ville-du-Bois ;
• Sur le réseau du Syndicat intercommunal à vocation unique de Cappelle-la-Grande, Coudekerque-Branche, Fort-Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer ;
• Sur le réseau de Moulins-lès-Metz en Moselle ;
• Sur le réseau de la communauté d'agglomération Seine-Essonne, qui couvre Soisy-sur-Seine, Étiolles, Corbeil-Essonnes et Le Coudray-Montceaux ;
• Sur le réseau du conseil général de Seine-et-Marne, qui couvre Bailly-Romainvilliers, Cesson, Vert-Saint-Denis et Chevry-Cossigny[13].

Dans le passé, CityPlay était également présent[14] :

• Sur le réseau de Maizières-lès-Metz en Moselle ;
• Sur le réseau de la communauté de communes Cœur Côte Fleurie, qui couvre Saint-Pierre-Azif, Vauville, Benerville-sur-Mer, Blonville-sur-Mer, Deauville, Saint-Arnoult, Touques, Tourgéville, Trouville-sur-Mer, Villers-sur-Mer et Villerville.

En 1999, la SAS France CitéVision est créée[3].

Le 25 septembre 2000, le journal officiel annonce l'attribution d'une licence d'opérateur à France CitéVision pour le département de Loir-et-Cher[15], qui sera étendue le 20 août 2001 aux régions Auvergne, Centre, Île-de-France, Picardie et Poitou-Charentes[16]. L'ARCEP a enregistré France CitéVision en tant que « réseau ouvert au public, service téléphonique » avec le nom de code FCTV[17].

Le 11 juin 2001, France CitéVision est retenu pour la réalisation du réseau câblé de la ville d'Amiens, ainsi que d'un réseau local nommé Philéas Net dédié aux établissements publics de la même ville[18].

En 2002, France CitéVision commence à investir et construire son réseau sur Amiens[6].

Début 2003, les premiers quartiers d'Amiens construits ont accès aux services de France CitéVision[19].

Le 19 juillet 2007, Alcatel-Lucent annonce la construction d'un réseau FTTH GPON sur Amiens pour France CitéVision. Jusque-là, les clients amiénois étaient raccordés en HFC[20] - [21].

Depuis le 9 janvier 2012, France CitéVision propose des offres mobile des offres quadruple play et mobile en tant que MVNO sur le réseau France Télécom[7].

Le 26 juillet 2012, France CitéVision annonce sept licenciements économiques. Des grévistes annoncent alors le chiffre de 80 clients pour la téléphonie mobile[22].

En novembre 2012, France CitéVision arrive sur le secteur de la Côte Fleurie[23].

Le 29 janvier 2013, l'ARCEP attribue le numéro court 1006 à France CitéVision[24].

En mars 2013, France CitéVision commence à raccorder des abonnés sur le réseau SIVU fibre des villes de Cappelle-la-Grande, Coudekerque-Branche, Fort-Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer[25].

En 2013, France CitéVision est également présent en Moselle sur le réseau de Moulins-lès-Metz et Maizières-lès-Metz[26], ainsi que sur Europ'Essonne[27] - [6].

Le 16 avril 2013, France CitéVision est officiellement renommé en CityPlay[5], changement de marque qui avait déjà été annoncé dans un dossier de presse le 14 novembre 2012[28].

En septembre 2013, CityPlay annonce neuf nouveaux licenciements[29].

En janvier 2014, alors que Orange commence à déployer de la fibre optique sur Amiens en concurrence avec CityPlay, l'installation d'une nouvelle tête de réseau est annoncée pour 2014[30].

CityPlay propose différentes box et différents routeurs selon les réseaux sur lesquels l'opérateur est présent[31].

En mars 2013, CityPlay fournissait aux abonnés du réseau SIVU un routeur de marque Comtrend associé à un décodeur TV Siligence, ainsi qu'à un téléphone Logicom[25].

En novembre 2013, le site web de CityPlay mentionne deux décodeurs TV différents[32] : un décodeur SGS 7233 de marque Siligence[33], ainsi que la box Vidéo Futur[34].

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  La box fournie sur le réseau de Moulins-lès-Metz en juin 2013.
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  La box fournie sur le réseau FTTH d'Amiens en juin 2013 (vue intérieure).
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  Le décodeur TV fourni aux abonnés FTTH en juin 2013.
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  Le décodeur TV fourni aux abonnés FTTH en juin 2013 (vue arrière).
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  Le routeur fourni sur le réseau SIVU en juin 2013.
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  Le routeur fourni sur le réseau SIVU en juin 2013 (vue arrière).
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  Le matériel fourni sur le réseau SIVU en juin 2013.

Lors de son installation dans un immeuble sur le réseau d'Amiens, le câble a pu remplacer les anciens réseaux de distribution ; les prises mises en place dans les appartements ne sont plus reliées à une antenne « râteau » (qui parfois est encore présente, mais déconnectée). Pour éviter que le téléspectateur ne soit lésé, la loi impose au câblo-opérateur de diffuser toutes les chaînes nationales gratuites de la TNT.

Les opérateurs doivent faire, sur demande du client, une offre commerciale au gestionnaire de l’immeuble pour fixer les modalités de ce service antenne. L’offre ne doit être soumise ni à un abonnement, ni à une location de terminal. Seule une redevance d’entretien du réseau peut être demandée, généralement de l’ordre de quelques euros par mois et par logement ; elle est incluse dans les charges communes. Des informations juridiques plus précises sont présentes dans l’article 34-1 de la loi du 30 septembre 1986[35]. Le CSA en a précisé les conditions de mise en œuvre, notamment financières et techniques, dans sa recommandation du 21 mars 2006[36].