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Châteauredon

Châteauredon est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Châteauredon
Châteauredon
La chapelle Saint-Michel de Cousson, emblématique de la région.
Blason de Châteauredon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Sandrine Nebes
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04054
DĂ©mographie
Gentilé Châteauredonnais
Population
municipale
73 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 6,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 00′ 55″ nord, 6° 12′ 55″ est
Altitude Min. 573 m
Max. 1 511 m
Superficie 10,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Châteauredon
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Châteauredon
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Châteauredon
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Châteauredon

    Le nom de ses habitants est Châteauredonnais[1].

    GĂ©ographie

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Châteauredon et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est situĂ© Ă  613 m d’altitude[2].

    Les communes limitrophes de Châteauredon sont Entrages, Beynes, Mézel, Le Chaffaut-Saint-Jurson et Digne-les-Bains.

    Relief

    Sommet de Cousson : 1 516 m

    Hydrographie

    La commune est traversée par l’Asse.

    Voies routières

    La commune est desservie par la route nationale 85.

    Lignes régionales

    Châteauredon est desservie par une ligne express régionale LER Provence-Alpes-Côte d'Azur (bus)[3] qui sont les suivantes :

    Ligne Tracé
    31Nice ↔ Châteauredon ↔ Digne-les-Bains ↔ Sisteron ↔ Grenoble[4]
    Lignes départementales

    Le village est aussi reliée par une ligne départementale[5] :

    Ligne Tracé
    D2Riez ↔ Estoublon ↔ Digne-les-Bains

    Transports ferroviaires

    Petite gare de Mézel, avec wagon plat devant le hangar à marchandises précédé d'un vaste auvent, et bâtiment voyageur à étage.
    Gare de MĂ©zel.

    La commune partage avec Mézel la gare de Mézel-Châteauredon, où le train de la ligne de Nice à Digne a un arrêt[6].

    Ligne Tracé
    CPNice ↔ Mézel-Châteauredon ↔ Digne-les-Bains

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Mézel auquel appartient Châteauredon est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Châteauredon est également exposée à trois autres risques naturels[8] :

    • feu de forĂŞt,
    • inondation (dans la vallĂ©e de l’Asse),
    • mouvement de terrain : la commune est presque entièrement concernĂ©e par un alĂ©a moyen Ă  fort[9].

    La commune de Châteauredon est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[10]. La route nationale 85 et la départementale RD907 (ancienne route nationale 207) peuvent être empruntées par les transports routiers de marchandises dangereuses[11].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[10] et le Dicrim n’existe pas non plus[12].

    Le tremblement de terre qui a été ressenti de la manière la plus sensible dans la commune est celui du 19 juin 1984, avec une intensité macro-sismique de V sur l’échelle MSK et Aiglun pour épicentre[13].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XVIe siècle (Castèl Redon). Le nom actuel est une francisation de l’occitan signifiant village fortifié, de forme ronde[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteauredon est une commune rurale[Note 1] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,3 %), forêts (36,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,3 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Histoire

    Le sommet du Cousson était occupé par une communauté de bergers au VIIe siècle. En 1035, Almerad, le prêtre de cette communauté, fait don de la chapelle Saint-Michel de Cousson à l’abbaye Saint-Victor de Marseille[22].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle (Castrum Rotundum)[2]. L’ancien village est au lieu-dit Cornette, et s’est déplacé progressivement au pied du château[2] - [23].

    La communauté de Sueilles[2], Suye[24] ou Sullia, comptait 23 feux en 1315. Son église Saint-Martin relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, qui percevait les revenus qui y étaient attachés[23]. Elle est fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (peste noire et guerre de Cent Ans) et annexée par celle de Châteauredon au XVe siècle[24]. Le fief correspondant est lui aussi réuni à celui de Châteauredon[23]. Les deux communautés relevaient de la viguerie de Digne[23].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[25]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Belair[26].

    Comme de nombreuses communes du département, Châteauredon se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[27]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[28], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent la commune[29] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Châteauredon sont régulièrement scolarisées.

    Le premier train entre en gare de Mézel-Châteauredon le , lors de l’inauguration du deuxième tronçon de la ligne de Nice à Digne, tronçon allant de Mézel à Saint-André-les-Alpes[30]. Le tunnel de la Colle est achevé en 1903, et la totalité de la ligne entre Saint-André et Nice est inaugurée du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics[30].

    La Libération de Châteauredon est marquée par le passage d’une colonne de la 36e division d’infanterie (US), le matin du , venant de Riez et se dirigeant sur Digne via le col de l'Orme[31]. Cette colonne progresse presque sans opposition, mais à Châteauredon, elle est accrochée à l’endroit où la voie de chemin de fer traverse la route allant à Mézel. Au moment où la colonne blindée s’approche, les Allemands tirent de leurs positions surplombant la route. Ils décrochent ensuite vers le village où ils sont pris à partie par les canons des blindés. Certains sont faits prisonniers dans le village, d’autres dans la chapelle. D’autres se replient vers la Clue de Chabrières et engagent le combat avec des résistants[32].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Châteauredon. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[33].

    HĂ©raldique

    Blason de Châteauredon Blason
    D'azur à une tour ronde donjonnée de trois tourelles d'argent, la tour ouverte de sable, la tour et les tourelles ajourées de sable, le tout maçonné du même[34].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 55 personnes, dont 8 chômeurs[35]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (86 %)[36] et travaillent majoritairement hors de la commune (86 %)[36].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait deux établissements agricoles actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et aucun emploi salarié[37].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique, depuis 2000[38] ; il n’en restait que quatre en 1988[39].

    L’olivier n’était pas présent dans la commune au début du XIXe siècle. Actuellement, il occupe quelques surfaces restreintes avec une oliveraie qui compte moins de 1000 pieds[40].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, employant huit salariés[37]. La carrière de la Blache, exploitée par Negro[41], est un de ces établissements.

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services, administrations, secteur sanitaire et social et enseignement), comptait six Ă©tablissements salariant deux personnes[37].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est peu importante pour la commune, avec moins d’un touriste accueilli par habitant[42]. La seule structure d’hébergement à finalité touristique de la commune était, en 2007, un hôtel non classé[43] - [44].

    Politique et administration

    Mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 Gabriel Gorde[45]
    avant 2005 mars 2008 Jean-Pierre Karche[46]
    mars 2008 En cours
    (au 17 avril 2014)
    Sandrine Nebes[47] - [48] DVG employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Châteauredon a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].

    En 2020, la commune comptait 73 habitants[Note 3], en stagnation par rapport Ă  2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    11360115114125142142153143
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    153133134142145144151167131
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    113108107967257445430
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008
    313440405667969797
    2013 2018 2020 - - - - - -
    757473------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee Ă  partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    25 feux6 feux

    L’histoire démographique de Châteauredon, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période se prolonge de 1831 à 1891. L’exode rural intervient tardivement, mais n’en provoque pas moins un mouvement de baisse de la population rapide et de longue durée. Dès 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[53]. Après une période de stabilisation dans l’après-Seconde Guerre mondiale, la population se remet à croître, triplant en un demi-siècle, et repassant au-dessus de ce niveau de 50 % du maximum historique.

    Lieux et monuments

    Un bâtiment imposant, résidence seigneuriale du XVIIe, domine le village et est appelée « château »[54]. La balustrade de l’escalier intérieur est en gypserie[55].

    L'église paroissiale est consacrée à Saint-Maxime[24] (XIXe siècle).

    La chapelle Saint-Michel-de-Cousson est fondĂ©e en 1010 ou avant, et est consacrĂ©e par l’évĂŞque de Digne et celui de Toulon. Son prieurĂ© relevait de l’abbaye Saint-Victor de Marseille[23]. But de plusieurs pèlerinages[23], elle est restaurĂ©e en 1983 ; une sculpture mĂ©rovingienne est encastrĂ©e dans son mur extĂ©rieur[56]. Elle abrite un chancel, inscrit aux monuments historiques[57]. Son site exceptionnel (au bord d’un escarpement vertigineux, Ă  1 560 m d’altitude) en fait une des chapelles les plus signalĂ©es par les guides touristiques[58].

    • Château fort en ruines[2].
    • Les chapelles Saint-Jean-Baptiste-de-Cornette, dans le ravin du mĂŞme nom proche du village, et Notre-Dame-des-Cornettes, sur un sommet au sud du village, sont en ruines[2] - [23].
    • Le « château Â».
      Le « château Â».
    • Église Saint-Maxime.
      Église Saint-Maxime.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
    • Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principautĂ© d’Orange, comtĂ© de Nice, principautĂ© de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
    • HĂ©lène VĂ©sian en collaboration avec Évelyne Falvard et Claude Gouron, Châteaux et bastides en Haute Provence aux XVIe siècle, XVIIe et XVIIIe siècles, Avignon, Aubanel, , 166 p. (ISBN 2-7006-0145-9)
      La bastide de Châteauredon, p.139

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Mézel », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. Â« Villes et villages de France Â», 1989, ReliĂ©, 72 p. (non paginĂ©) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. Info LER PACA.
    4. Horaires et tarifs LER Ligne 31, sur info-ler.fr.
    5. Réseau départemental des lignes de transport des A.H.P.
    6. Chemins de fer de Provence, Horaires Nice - Annot- Digne-les-Bains, consulté le 22 juin 2012
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    8. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 9 juillet 2012
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    10. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95
    11. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80
    12. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 9 juillet 2011
    13. BRGM, « fiche 40176 », Sisfrance, consulté le 9 juillet 2012
    14. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne). § 26656, p 1465
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN 978-2-86004014-3), p. 31.
    23. Daniel Thiery, « Châteauredon », Aux origines des Ă©glises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publiĂ© le 19 dĂ©cembre 2010, mis Ă  jour le 20 dĂ©cembre 2010, consultĂ© le 9 juillet 2012
    24. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 170
    25. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 296-298
    26. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
    27. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    28. Labadie, op. cit., p. 16.
    29. Labadie, op. cit., p. 18.
    30. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Deux siècles d’activités préfectorales », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
    31. Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126
    32. Guy Reymond, Ça sentait la liberté et l’espérance, Les Petites affiches, 1993, p. 80
    33. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
    34. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994
    35. Insee, Dossier local - Commune : Châteauredon, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    36. Insee, Dossier local, p. 7
    37. Insee, Dossier local, p. 15
    38. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    39. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    40. RĂ©paraz, op. cit., p. 58
    41. Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement, « Liste des carrières dans les Alpes de Haute Provence », mise à jour le 31 décembre 2011, consultée le 28 septembre 2012
    42. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    43. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
    44. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 13
    45. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    46. Jean-Pierre Karche est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Gérard Schivardi (PT) à l’élection présidentielle de 2007, Parrainages élection présidentielle 2007, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007
    47. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De La Bréole à Corbières (liste 2), consulté le 7 mars 2013
    48. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « De La Bréole à Corbières (liste 2) », Les communes du département, consultée le 17 avril 2014.
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    53. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 289.
    54. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 267
    55. Comtesse du Chaffaut, Gypseries en Haute-Provence : cheminées et escaliers (XVIe – XVIIe siècles), Turriers, Naturalia publications, (ISBN 2-909717-22-4), p 42
    56. Collier, op. cit., p 456
    57. Arrêté du 2 septembre 1988, Notice no PM04000075, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 3 novembre 2008
    58. Serge Panarotto, Chapelles de Provence : chapelles rurales et petits édifices religieux, Édisud, Aix-en-Provence, 2007, collection « Patrimoines », (ISBN 978-2-7449-0817-0), p. 145
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