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Beynes (Alpes-de-Haute-Provence)

Beynes (Beinas en occitan vivaro-alpin) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Beynes
Beynes (Alpes-de-Haute-Provence)
Vieux village de Beynes.
Blason de Beynes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Digne-les-Bains
Intercommunalité Provence-Alpes Agglomération
Maire
Mandat
Sylvain Flores
2020-2026
Code postal 04270
Code commune 04028
DĂ©mographie
Gentilé Beynois
Population
municipale
121 hab. (2020 en diminution de 1,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 59′ 30″ nord, 6° 13′ 27″ est
Altitude Min. 537 m
Max. 1 601 m
Superficie 41,24 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Beynes
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Beynes
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Beynes
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Beynes

    Le nom de ses habitants est Beynois[1].

    GĂ©ographie

    Le vieux village est situĂ© Ă  793 m d’altitude[2], dans un vallon affluent de l’Asse, dans le massif du Montdenier.

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Beynes et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Les communes limitrophes de Beynes sont Entrages, Chaudon-Norante, Senez (enclave du Poil), Estoublon, Mézel, Châteauredon.

    Hameaux :

    Relief

    Montagne de Beynes, au fond (1 601 m).

    Sommets et cols :

    • montagne de Beynes (1 598 m) ;
    • col de la Croix (869 m) entre Palus et Majastres.

    Environnement

    La commune compte 1 181 ha de bois et forĂŞts, soit 28 % de sa superficie[1].

    Transports

    Route départementale RD 17 de Beynes à Majastres.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Mézel auquel appartient Beynes est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune de Beynes est également exposée à trois autres risques naturels[4] :

    • feu de forĂŞt,
    • inondation (dans la vallĂ©e de la BlĂ©one),
    • mouvement de terrain : la commune est concernĂ©e par un alĂ©a moyen Ă  fort[5].

    La commune de Beynes est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[6]. La départementale RD 907 (ancienne route nationale 207) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[7].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim n’existe pas non plus[8].

    La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle en 1994 pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Beynes est une commune rurale[Note 1] - [9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,3 %), prairies (1,8 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (de Bezenas, ou Bedenis[16]). Selon Charles Rostaing, le nom est formé de la racine oronymique (désignant une montagne) * BeD, qui s’est appliqué à l’éperon rocheux sur lequel le village est construit, racine qui serait antérieure aux Gaulois. Ernest Nègre lui attribue la même racine, sans lui donner de sens particulier[17] - [18] - [19].

    Le nom de l’ancienne commune de Creysset (citée en 1274, de Greissello, est issu du nom préceltique *kr-isc-ellu, désignant un terrain caillouteux[20] et celui de Trévans (de Trevano, cité en 1157) est formé sur la racine oronymique préceltique *Tr-[21].

    Histoire

    Les territoires de Creysset et de Beynes ont été occupés très tôt, comme l’attestent les nombreux vestiges datant de l’âge du fer retrouvés[22].

    De la période de présence romaine datent quelques vestiges. En 1981, des travaux ont mis au jour un four de potier à canaux latéraux[23].

    Au Moyen Âge, les deux communautés de Creysset et de Beynes relevaient de la viguerie de Digne[22]. Le hameau de Saint-Pierre, situé près de la clue de Chabrières, peut correspondre à un prieuré Saint-Pierre-d’Arcançon.

    Les ligueurs assiègent le château en 1591, avant qu’il soit démoli.

    Un marquisat de Beynes est créé en 1673 pour Pierre de Castillon[16].

    Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : 4 habitants de Beynes sont traduits devant la commission mixte[24].

    Comme de nombreuses communes du département, Beynes et Creisset se dotent d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, Beynes en possède deux, installées au chef-lieu et au hameau de Palus, et Creisset possède aussi la sienne, qui dispensent une instruction primaire aux garçons[25]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[26], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent les deux communes[27]. La commune de Creisset profite des subventions de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[28], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles des deux communes sont régulièrement scolarisées.

    La commune de Creisset est absorbée par celle de Beynes en 1925[29]. La communauté de Creisset est signalée au XIIIe siècle, sous le nom de Creissellum[30]. Elle comptait 21 feux en 1315 et 6 après la crise du XIVe siècle (peste noire et guerre de Cent Ans) ; en 1765, sa population était de 168 habitants[30].

    • Monuments aux morts
    • Plaque-monument aux morts sur la mairie de Beynes.
      Plaque-monument aux morts sur la mairie de Beynes.
    • Plaque-monument aux morts sur l’église du vieux village de Beynes.
      Plaque-monument aux morts sur l’église du vieux village de Beynes.

    La libération de Beynes a lieu lors du passage d’une colonne de la 36e division d’infanterie (US), le matin du , sur la route nationale 207. Mais, venant de Riez et se dirigeant sur Digne, elle n’est pas passée au village[31].

    Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Beynes, Saint-Pierre, et Creisset. Le vin produit, était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[32].

    HĂ©raldique

    Blason de Beynes Blason
    De gueules à la lettre B capitale d'or accompagnée de trois annelets d'argent[33].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Beynes
    Alias du blason de Beynes
    D'azur, à un croissant d'argent, surmonté d'un soleil d'or.
    Creisset (ancienne commune rattachée en 1925)[33].

    Politique et administration

    La mairie (une partie du bâtiment sert de logements).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 Louis Trabuc[34]
    mars 2001 mars 2008 Julien Beuil
    mars 2008 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Sylvain Flores[35] - [36] - [37] DVG Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Fontaine-lavoir du vieux village (1871).

    Beynes a fait partie, de 2005 à 2012, de la communauté de communes de l'Asse et de ses Affluents, puis de 2013 à 2016 de la communauté de communes Asse Bléone Verdon. Cette dernière a fusionné avec d'autres communautés de communes pour constituer la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération, existant depuis le .

    DĂ©mographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 121 habitants[Note 3], en diminution de 1,63 % par rapport Ă  2014 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,39 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    173357326365349417406364401
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    373351340315319326333309306
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    279266223233162161149146109
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    876351547593114119124
    2016 2020 - - - - - - -
    128121-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1315 1471
    73 feux36 feux

    L’histoire démographique de Beynes, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1831[41]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt que dans les années 1970. Depuis, la population a plus que doublé.

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 59 personnes, dont neuf chômeurs[42] (huit fin 2011[43]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (31 sur 50)[44] et travaillent majoritairement hors de la commune (37 actifs sur 50)[44]. Plus de la moitié des établissements de la commune se trouvent dans l’agriculture (15 sur 28 en 2010)[45].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 15 établissements actifs au sens de l’Insee et un emploi salarié[45].

    Le nombre d’exploitations, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est en légère augmentation dans les années 2000, passant de 11 à 12, essentiellement des élevages ovins (sept). La polyculture a disparu de la commune dans les années 2000, les exploitants restants pratiquant soit les grandes cultures, soit le maraîchage[46]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 654 ha à 710 ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 15 à 11)[47]. Cette augmentation de la SAU a continué lors de la dernière décennie, pour arriver à 738 ha[46].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait trois établissements, employant huit salariés[45].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (sans aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les trois établissements du secteur administratif, sanitaire et social, salariant une personne[45].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[48], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[49]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    Les résidences secondaires apportent un appoint non négligeable à la capacité d’accueil[54] (un logement sur trois, soit 36, sont des résidences secondaires[55]).

    Pont dit romain, dans un vallon adjacent aux gorges de Trévans (la clef de voûte est gravée 1851).
    Église Saint-Pierre-et-Saint-Martin de Beynes.

    Lieux et monuments

    • Châteaux : au Plan-de-Beynes (XVIIe[56] ou XVIIIe siècle), dĂ©crit comme une bastide par Raymond Collier, et ornĂ© de gypseries[57] ; château fort proche du village, en ruines ; château de Creisset, en ruines
    • plusieurs ponts de la commune sont assez anciens ou particuliers :
      • sur le chemin (abandonnĂ©) allant de Creisset Ă  Digne, subsiste une arche surbaissĂ©e (datĂ©e approximativement du XVIIIe siècle), appuyĂ©e sur le Rocher des trois Ă©vĂŞchĂ©s (Digne, Riez, Senez) au centre de l’Asse[58] ;
      • le pont sur le ravin du pas d’Escale, dit « pont romain » : Ă  2,5 km Ă  l’est de TrĂ©vans, vers les gorges de TrĂ©vans, en passant par la chapelle Saint-AndrĂ©. Le pont comporte une arche unique en plein cintre. Le roc a Ă©tĂ© entaillĂ© pour donner un appui au cintre de construction, construction qui remonte Ă  1851 d’après la date portĂ©e sur la clef de l’arc de tĂŞte. Il est construit pour faire passer un chemin muletier[58] ;
      • le pont de Preynes : situĂ© Ă  400 m en amont, sur la RD 17/route de Preynes. Il date de 1855 : construit en appareil soignĂ©, il est long de 19 m, large de m, son arche a une portĂ©e de 7,9 m[59] ;
    • Églises :
    • Chapelles : Ă  Palus (ancienne Ă©glise paroissiale)[22] ; Saint-Étienne[2]

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Mézel », Le Trésor des régions, consultée le 10 juin 2013.
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    3. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    4. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 11 juillet 2011, consultée le 2 juillet 2012.
    5. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95.
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 80.
    8. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 2 juillet 2011.
    9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 165.
    17. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p. 76.
    18. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations prĂ©celtiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne). § 1135, p. 54.
    19. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire.
    20. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 20.
    21. Fénié & Fénié, op. cit., p. 26.
    22. Daniel Thiery, « Beynes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 14 décembre 2010, consulté le 2 juillet 2012.
    23. Marc Gauthier, « Provence-Alpes-Côte-d'Azur », Gallia, Tome 43, no 2, 1985. p. 515.
    24. Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
    25. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    26. Labadie, op. cit., p. 16.
    27. Labadie, op. cit., p. 18.
    28. Labadie, op. cit., p. 11.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p. 172.
    31. Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 126.
    32. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59.
    33. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition : Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994.
    34. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
    35. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, D’Aiglun à Braux (liste 1), consulté le 6 mars 2013.
    36. Sylvain Florès est l’un des 500 élus qui ont parrainé Philippe Poutou (NPA) à l’élection présidentielle de 2012, Conseil constitutionnel, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République », Journal officiel, 31 mars 2012.
    37. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    42. Insee, Dossier local - Commune : , p. 5.
    43. Insee, Dossier local, p. 8.
    44. Insee, Dossier local, p. 7.
    45. Insee, Dossier local, p. 16.
    46. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).
    47. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio).
    48. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6.
    49. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7.
    50. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 23 et 25.
    51. Insee, Dossier local, op. cit., p. 18.
    52. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio).
    53. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32.
    54. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44.
    55. Insee, Dossier local, p. 17.
    56. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 270.
    57. Raymond Collier, op. cit., p. 272.
    58. Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p. 58.
    59. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p. 59.
    60. Raymond Collier, op. cit., p. 218.
    61. Raymond Collier, op. cit., p. 468.
    62. Arrêté du 11 décembre 1980, Notice no PM04000046, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
    63. Arrêté du 30 janvier 1995, Notice no PM04000650, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
    64. Arrêté du 11 décembre 1980, Notice no PM04000047, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 28 octobre 2008.
    65. Raymond Collier, op. cit., p. 486.
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