Accueil🇫🇷Chercher

Catonvielle

Catonvielle (Catonvièla en gascon) est une commune française située dans l'est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Catonvielle
Catonvielle
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Philippe Bonnecaze
2020-2026
Code postal 32200
Code commune 32092
Démographie
Population
municipale
96 hab. (2020 en diminution de 9,43 % par rapport à 2014)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 38″ nord, 0° 57′ 47″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 213 m
Superficie 3,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gimone-Arrats
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Catonvielle
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Catonvielle
Géolocalisation sur la carte : Gers
Voir sur la carte topographique du Gers
Catonvielle
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Catonvielle

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Sarrampion et par deux autres cours d'eau.

    Catonvielle est une commune rurale qui compte 96 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 204 habitants en 1841. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Catonviellois ou Catonvielloises.

    Géographie

    Localisation

    Petite commune au territoire vallonné, Catonvielle est située dans l'est du département du Gers, à l'écart et au nord de la route nationale 124, à mi-chemin entre Auch et Toulouse.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Escornebœuf, Razengues, Roquelaure-Saint-Aubin et Saint-Germier.

    Communes limitrophes de Catonvielle[1]
    Saint-Germier
    Escornebœuf Catonvielle Roquelaure-Saint-Aubin
    Razengues

    Hameaux et lieux-dits

    Ne comprenant pas de bourg à proprement parler, la commune est principalement constituée des hameaux de Montagnac où est située la mairie, et de Sansas.

    Géologie et relief

    Catonvielle se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Catonvielle.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Sarrampion et le ruisseau d'en Carrignan et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    Le Sarrampion, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune de Monferran-Savès et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gimone à Maubec, après avoir traversé 14 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 703 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 30 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] à 13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17] - [18] - [19].

    Urbanisme

    Typologie

    Catonvielle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [20] - [I 1] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (100 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Catonvielle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Catonvielle.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 52 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 52 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Toponymie

    Ni Albert Dauzat, ni Ernest Nègre ne citent de formes anciennes pour Catonvielle.

    Cependant il s'agit bien pour eux d'une formation toponymique médiévale en -villa au sens ancien de « domaine rural » précédé d'un anthroponyme germanique[27] - [28] au cas régime. L'un suggère le nom de personne germanique Catto[27] et l'autre suppose Gatto[28].

    Remarque : le même nom de personne semble se retrouver dans Cattenom (Moselle, Cathenem 1182)[27]; Chattonville (Eure-et-Loir) et Chatonrupt (Haute-Marne, Catonis rivus 1131). Ernest Nègre propose lui une homonymie avec Gatteville (Manche, Gatevilla XIIe siècle)[29]

    Histoire

    Un site archéologique (occupation néolithique) a été découvert sur la commune en 1997.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de sept[30] - [31].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la communauté de communes des Coteaux Arrats Gimone et du canton de Gimone-Arrats (avant le redécoupage départemental de 2014, Catonvielle faisait partie de l'ex-canton de Gimont) et avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes de l'Arrats-Gimone.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1795 Jean Pierre Vigneaux
    1790 1804 Bernard Fourcade
    1795 1796 Léonard Arrivet
    1796 1798 Berenard Sahuguede
    1798 1800 Jean Sahuguede
    1800 1803 François Vidaillon
    1803 1812 Jean Baptiste Sahuguede
    1804 1807 Jean Guerguilh
    1807 1817 Bernard Denad
    1812 1817 François Arrivet
    1817 1821 Joseph Placide Daguzan
    1817 1821 Jean Baptiste Sahuguede
    1821 1840 Joseph Placide Daguzan
    1840 1843 Raymond Laborie
    1843 1865 Joseph Placide Daguzan
    1865 1870 Jean Pierre Guerguilh
    1870 1871 Jean Raymond Mazeres
    1871 1881 Jean Pierre Guerguilh
    1881 1884 François Doutre
    1884 1887 Jean Joseph Daguzan
    1887 1925 Maurice Guerguilh
    1925 1944 Abel Barada
    1944 1945 Elie Garros
    1945 1971 Paul Flourence
    1971 1994 Michel Lacoste
    1994 1997 Jean Ufferte
    1997 2014 Max Lamothe[33] DVD
    mars 2014 En cours Philippe Bonnecaze DVD Cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2020, la commune comptait 96 habitants[Note 6], en diminution de 9,43 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    93977984198204197199199
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    199177164164156154147118112
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    121122109102110113948880
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    7373747362821059896
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]7,4 %1,5 %0 %
    Département[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 54 personnes, parmi lesquelles on compte 76,8 % d'actifs (76,8 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 23,2 % d'inactifs[Note 7] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 13 emplois en 2018, contre 20 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 29,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55 %[I 8].

    Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 72,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,8 % les transports en commun, 2,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 18,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    11 établissements[Note 8] sont implantés à Catonvielle au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 54,5 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 11 entreprises implantées à Catonvielle), contre 12,3 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations11876
    SAU[Note 9] (ha)428494445399

    La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (onze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 399 ha[40] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[39].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Catonvielle » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Catonvielle », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « le Sarrampion »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Ste-Anne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Catonvielle et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Ste-Anne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Catonvielle et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Catonvielle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des ZNIEFF de la commune de Catonvielle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des espaces protégés sur la commune de Catonvielle », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques près de chez moi - commune de Catonvielle », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Catonvielle », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 155 - 156.
    28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, vol. 2, Droz, , p. 960 (lire en ligne)
    29. Ernest Nègre, Ibid., p. 954, n° 17133
    30. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    31. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Les maires de Catonvielle », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    33. Site de la préfecture - fiche de Catonvielle
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    39. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Catonvielle - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    41. contact@tourisme-gers.com, « Comité Départemental du Tourisme Destination Gers », sur http://www.tourisme-gers.com (consulté le ).
    42. « Chasuble, étole (ornement noir) », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    43. « Plat de quête », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.