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Briot (Oise)

Briot est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Briot
Briot (Oise)
Mairie de Briot
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Franck Cordier
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60108
Démographie
Gentilé Briotins, Briotines
Population
municipale
293 hab. (2020 en augmentation de 6,55 % par rapport à 2014)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 02″ nord, 1° 55′ 29″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 204 m
Superficie 6,49 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Grandvilliers
(banlieue)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives 2e circonscription de l'Oise
Localisation
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Briot
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Briot
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Briot
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Briot

    Géographie

    Localisation

    La rue principale.

    Briot est un village-rue rural picard situé à la limite du Pays de Bray et du Beauvaisis, situé à km au sud-ouest de Grandvilliers, 26 km au nord-ouest de Beauvais et à 66 km au nord-est de Rouen.

    La commune a une superficie de 649 hectares et se trouve à une altitude comprise entre 159 et 204 m.

    Elle est traversée par la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui assure des liaisons TER Hauts-de-France Beauvais-Le Tréport-Mers.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune n'est drainée par aucun cours-d'eau. En 1840, la nappe phréatique était profonde de 25 à 35 mètres[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 839 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Briot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grandvilliers, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 3 675 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,8 %), prairies (13,1 %), forêts (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones urbanisées (3,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune compte un hameau, Briot-la-Grange.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 138, alors qu'il était de 130 en 2013 et de 128 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,6 % étaient des résidences principales, 8 % des résidences secondaires et 9,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Briot en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Briot en 2018.
    Typologie Briot[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 82,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 9,4 7,1 8,2

    Toponymie

    Le village fut dénommé Briost , Briot-Brombos, Briostel-la-ville (Borolium, Briotonvilla Brotouvilla)[25].

    La commune est instaurée sous la Révolution française sous son nom actuel[26].

    Histoire

    Le monument aux morts.

    Le 13 octobre 1323, les religieux de l'abbaye de Beaupré érigèrent l'église de Briot en cure et s'en réservèrent la nomination alternativement avec l'évêque de Beauvais[25].

    Le territoire de Briot a appartenu jusqu'à la Révolution française à l'abbaye de Beaupré. Il y avait un établissement des templiers à Briot-la-grange qui comptait 20 maisons en 1840[25]. On y a découvert des sarcophages[25].

    Une tuilerie est créée en 1831 par Delompré en face de la ferme des Alleux. Vers 1850, on compte 16 mares et 2 puits à Briot[25]. Avant 1900, le bourg comprend un moulin à vent, une bonneterie et on y fabrique du bois à soufflets. En 1900, il existe deux bonneteries, une briqueterie, trois épiceries et un fabricant de soufflets. En 1934, on retrouve la briqueterie, deux cafés-épiceries et une scierie.

    En 1910, l'armée française aménage un champ d'aviation sur la plaine de Briot baptisé « Briot aviation » pour les grandes manœuvres de Picardie. Les dirigeables Clément-Bayard, Liberté et des avions y évoluent. Des pionniers de l'aviation, comme Hubert Latham, y prennent part. Au terme des manœuvres, l'Armée estime que les dirigeables sont des cibles faciles pour l'aviation, mais peuvent servir de postes d'observation[27] - [28].

    Politique et administration

    La communauté de communes de la Picardie verte dans le département de l'Oise

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise

    Elle fait partie depuis 1793 du canton de Grandvilliers[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton est modifié, passant de 23 à 101 communes.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes de la Picardie verte créée le , et qui succède notamment au SIVOM de Grandvilliers (23 communes, créé le 6 février 1965).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962 G. Laignier
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Maurice Sentune DVD[30]
    mars 2008[31] En cours
    (au 13 juillet 2020)
    Franck Cordier Inspecteur de l’Education nationale
    Vice-président de la CC de la Picardie Verte (2020 → )
    Réélu pour le mandat 20202-2026[32] - [33]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 293 habitants[Note 8], en augmentation de 6,55 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    556587641631640670576528528
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    497466473399346314328325306
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    267257247247266203199250231
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    291288269258265262296306276
    2018 2020 - - - - - - -
    288293-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,5 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 144 hommes pour 144 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    8,3
    75-89 ans
    11,8
    20,8
    60-74 ans
    16,0
    20,1
    45-59 ans
    20,8
    14,6
    30-44 ans
    14,6
    20,1
    15-29 ans
    16,7
    16,0
    0-14 ans
    20,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Matthieu.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Matthieu : construite vraisemblablement à la fin du XVIe siècle en brique et soubassements en grès. Le clocher date de 1749.
      L'intérieur est couvert par une belle charpente contemporaine en forme de carène. Des blochets sculptés alternent avec les entraits. A la première travée, une structure en bois indépendante des murs soutient le clocher selon une formule alors couramment utilisée. Le chœur est revetu d'un bel ensemble de boiseries dorées du XVIIe siècle. L'autel est encadré par deux anges agenouillés et son retable comporte une peinture représentant la Résurrection du Christ. Le mobilier liturgique comprend une Vierge à l’Enfant, en pierre, du XVIIe siècle et une chaire du XVIIIe siècle[39].
    • Le poste électrique de la commune a été décoré en 2017 par Michelle Perrier d'une illustration représentant les Grandes manÅ“uvres de 1910[27] - [40].
    • Les deux mares de la commune[41].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 31-32.
    • Lucien Denise, Ombres et silhouettes d'un village : histoire de Briot et quelques alentours. Impression : Groupe Morault, Imprimerie Houdeville, Beauvais, 2003 - 99 pages.
    • Les grandes manÅ“uvres de Picardie 1910 - 2010, Grandvilliers, éditions Delattre, , 80 p. (ISBN 978-2-915907-77-3), textes et photos du service de l’armée de l’époque complétés par d’autres documents d’époque. Edition de 1910 rééditée en 2010.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Briot », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 4.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Briot et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Briot et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Grandvilliers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 31.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Matthias Schweisguth, « Le transformateur évoque le camp d'aviation », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3438,‎ , p. 6.
    28. Jacques Calcine, « Briot », sur https://www.anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
    29. « Les maires de Briot », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    30. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 53.
    31. Hebdomadaire Le réveil du 27 mars 2008
    32. Pierre-Emmanuel Reger, « Maire depuis 2008, Franck Cordier se représente ! », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3585,‎ , p. 8.
    33. « A Briot, Franck Cordier a été réélu maire pour un troisième mandat : Franck Cordier a été réélu fin mai maire de Briot par le nouveau conseil municipal élu le 15 mars 2020 », L'Éclaireur du Vimeu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Briot (60108) », (consulté le ).
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    39. Dominique Vermand, « Briot, église Saint-Matthieu », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    40. « Briot : le poste de transformation électrique embelli », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    41. Le livre de la Picardie verte : l'émergence d'un territoire, 1997-2006, éd. Sync city international, p. 28.
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