Brombos
Brombos est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Brombos | |||||
La mairie-école. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Beauvais | ||||
Intercommunalité | CC de la Picardie Verte | ||||
Maire Mandat |
Étienne Caux 2020-2026 |
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Code postal | 60210 | ||||
Code commune | 60109 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Brombosiens, Brombosiennes | ||||
Population municipale |
254 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 38′ 50″ nord, 1° 53′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 175 m Max. 207 m |
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Superficie | 6,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Beauvais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Grandvilliers | ||||
Législatives | 2e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Localisation
Brombois est un village rural picard verdoyant du Beauvaisis situé à 5 km à l'ouest de Grandvilliers, à 29 km au nord-ouest de Beauvais, 41 km au sud-ouest d'Amiens et 61 km au nord-est de Rouen.
Il est traversé du nord au sud par une petite route dont le caractère rectiligne rappelle qu'elle fut une voie romaine, et, d'est en ouest, par la RD 96, qui relie le village de Feuquières à Thieuloy-Saint-Antoine. La commune est traversée par la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, qui assure des liaisons TER Hauts-de-France Beauvais-Le Tréport-Mers.
Sa superficie est de 690 ha et son altitude varie de 173 m à 206 m.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune n'est drainée par aucun cours d'eau.
En 1840, la nappe phréatique se trouvait à dix mètre environ du sol[1].
En 2002, l'eau potable était fournie par un captage situé au cœur du village, mais qui dépassait fortement le seuil toléré est de 0,1 µg et le seuil d'alerte à 0,40 µg pour le désethyl-atrazine, pesticide produit de la dégradation de l'atrazine, utilisée notamment pour désherber le maïs[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 26 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Brombos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [16] - [17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), prairies (17 %), zones urbanisées (4,4 %), forêts (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 105, alors qu'il était de 105 en 2013 et de 96 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 88,5 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Brombos en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,9 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Les anciennes appellations de la commune étaient Brombos, Bombos, Brombeau, Brunbos, Brunbost (Brunusboscus en 1148, Branboscus)[23].
Histoire
Des monnaies d'or de l'époque gauloise ont été retrouvées à Brombos à la fin du XIXe siècle[24].
Une ancienne voie romaine allant du hameau de la Chaussée (au nord-est de Feuquières) à Saint-Maur passe par la commune, reliant Beauvais à la mer[23].
La seigneurie de Brombos appartenait au XIIe siècle à l'abbaye de Beaupré[23] puis aux seigneurs de Sarcus[Note 8].
En 1613, un moulin à vent appartenant à l'abbaye de Beaupré était loué par le meunier Vincent Mathon[25].
En 1709, les habitants obtinrent en 1709 l'érection de leur chapelle en vicariat dépendant de Briot, sous l'invocation de saint Hubert[23].
Le village a été démembré de celui de la paroisse de Briot[23].
Au débit du XIXe siècle, les habitants vivaient de l'agriculture et certains confectionnaient des bas de laine[23], et on notait l'existence de muches, anciens souterrains de défense des habitants lors des temps troublés, près de l'église[26]. Avant 1900, Brombos comptait deux moulins à vent et une bonneterie.
Vers 1900, il existait un boulanger, un bourrelier, deux cafés, des épiceries, un cordonnier et un maréchal. En 1934, les mêmes commerces subsistaient, le bourrelier en moins et un marchand de cycles en plus.
Durant la Seconde Guerre mondiale, l'occupant allemand aménagea des pistes d'aviations, qui, détruites par un bombardement allié en qui épargna les habitants, ne fut jamais utilisé[27].
La gare de Brombos-Sarcus, située à mi-distance des deux villages, mais sur leterritoire de Brombos, est fermée de longue date et transformée en habitation.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Grandvilliers[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton est modifié, passant de 23 à 101 communes.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes de la Picardie verte créée le , et qui succède notamment au SIVOM de Grandvilliers (23 communes, créé le ).
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 254 habitants[Note 9], en diminution de 8,3 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,6 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 123 hommes pour 132 femmes, soit un taux de 51,76 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique administré par un syndicat scolaire qui regroupe Briot, Brombos, Halloy et Thieuloy-Saint-Antoine.
Economie
Le village ne compte en 2019 qu'un seul commerce, une boulangerie.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Hubert des XVIIe et XVIIIe siècles, dont la nef, plus élevée que le chœur plus ancien, date de 1751. Elle succède à la chapelle Saint-Hubert, mentionnée au XVIIe siècle dont elle a vraisemblablement conservé le chœur, et est élevée en brique, pierre de taille, moellon et silex.
- Elle est constituée d'un chœur à chevet polygonal, flanqué d'une sacristie et d'une nef plus large. Une charpente de flèche traverse le voûtement et les deux versants du comble. Le faîte du choeur, s'amortit plus bas sur le pignon Est. L'ensemble est couvert en ardoise. Le chœur a été repeint au XIXe siècle. L'église contient un groupe sculpté du XVIe siècle, représentant la Trinité[37].
- Les mares.
- L'ancienne gare de Brombos-Sarcus, désaffectée et transformée en habitation.
- Mare de la Rue de la Ville.
- Monument aux morts, sur le pignon de la mairie.
- Maison ancienne, et son four à pain proéminent.
Personnalités liées à la commune
Pierre Brisse, curé réfractaire de Boran-sur-Oise, né le à Brombos, massacré à Paris après avoir été emprisonné à la prison des Carmes 1792, a été béatifié en 1926[38].
Voir aussi
Bibliographie
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 32-33.
Articles connexes
Liens externes
- Brombos sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Brombos (60109) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Brombos », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Brombos » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le marquisat de Sarcus comprenait notamment en 1763 « les terres de Sarcus, de Feuquières et fiefs en dépendant, la châtellenie de Moliens, les terres et seigneuries de Pleuville, Broquiers, Handicourt, Hescamps, Frettemolle en partie, Elencourt, Saint-Clair, les fiers de Brombos, du Boquet », mentionné dans Abbé L. Meister, « Epigraphie du canton de Grandvilliers : Inscriptions antérieures au XIXe siècle (suite) », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XIX,‎ , p. 371-389, et notamment 373 (lire en ligne, consulté le ).
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Brombos » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Brombos - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Brombos - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 4.
- N. R., « A Brombos, pas question de changer ses habitudes », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Brombos et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Brombos et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Louis Graves, op. cit. en bibliographie, p. 32.
- Dr_V._Leblond1901">Dr V. Leblond, « Note sur quelques monnaies gauloises trouvées au pays des Bellovaques », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XVIII,‎ , p. 370-386 (lire en ligne, consulté le ).
- Chanoine Meister, « Documents extraits des minutes de Me Anne Robert, notaire à Marseille-en-Beauvaisis (1597-1627) », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XXVI,‎ , p. 277 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 49, lire en ligne sur Gallica.
- Le livre de la Picardie verte : l'émergence d'un territoire, 1997-2006, éd. Sync city international, p. 31.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Brombos », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 5 (ISSN 1144-5092).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Brombos (60109) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- « Groupe sculpté : Trinité », notice no PM60000411, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Boran - Le village, le prieuré », Mémoires de la Société académique d'archéologie, sciences et arts du département de l'Oise, t. XXIV,‎ , p. 1-384 (lire en ligne, consulté le ).