Bricqueville-sur-Mer
Bricqueville-sur-Mer est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 241 habitants[Note 1].
Bricqueville-sur-Mer | |
L'église Saint-Vigor. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Avranches |
Intercommunalité | Communauté de communes de Granville, Terre et Mer |
Maire Mandat |
Hervé Bougon 2020-2026 |
Code postal | 50290 |
Code commune | 50085 |
Démographie | |
Gentilé | Bricquais |
Population municipale |
1 241 hab. (2020 ) |
Densité | 96 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 54′ 48″ nord, 1° 31′ 19″ ouest |
Altitude | Min. 3 m Max. 73 m |
Superficie | 12,88 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Unité urbaine | Bréhal (banlieue) |
Aire d'attraction | Granville (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Bréhal |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.bricqueville-sur-mer.fr |
Géographie
La commune affecte la forme générale d'un rectangle d'environ 6 à 7 km de long d'est en ouest et de 2 à 3 km de large du nord au sud. Au nord, la limite avec les communes de Lingreville et de Muneville-sur-Mer est constituée par le ruisseau de Talvas encore appelé ruet de Saucey, au sud par le ruisseau du Pont de Bois qui sépare Bricqueville de la commune de Bréhal.
À l'ouest, une côte dunaire se terminant par un estran extrêmement plat explique des amplitudes de marées très importantes proches de celles de la baie du mont Saint-Michel. À l'arrière de ce cordon dunaire, la Vanlée, fleuve côtier qui prend sa source à Bréville-sur-Mer, se jette dans un havre à la limite de Lingreville. Le havre de la Vanlée constitue le plus méridional des huit havres de la côte ouest du département de la Manche.
Le franchissement de la Vanlée s'est effectué jusqu'en 1972 par un passage à gué pour les voitures et une passerelle en bois pour les piétons. Depuis cette date, une route submersible permet de traverser sans difficulté la Vanlée, sauf par grande marée. L’inondation de la route par la mer à partir d'un coefficient de 100 constitue toujours un spectacle apprécié.
Le point culminant de la commune se situe au Village Maire avec une altitude d'environ 70 mètres.
On observe un écart moyen de température de 2 à 3 °C entre la côte et la partie orientale de la commune à la limite de la commune de Cérences.
Lieux-dits ou hameaux
- Les Salines, situé près de la mer et du havre de la Vanlée.
- La Châtellerie, situé au sud de la route du Havre entre les Salines et le centre du village.
- Le village de l'Isle.
- La Bretonnière, situé à la limite nord de la commune entre Lingreville et le centre du village.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et qui se trouve à 10 km[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[10] à 11,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Bricqueville-sur-Mer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [13] - [14] - [15].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bréhal, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes[16] et 4 978 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,6 %), prairies (23,2 %), terres arables (12,4 %), zones urbanisées (8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %), zones humides côtières (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Brichevilla en 1154, Brikevilla en 1227[26], Briquevilla en 1263, Briquevilla sur la mer en 1349[27].
Le premier élément est probablement le nom de personne d'origine scandinave Briki, d'où le sens global de « domaine de Briki ». Briki est cependant un nom hypothétique[28].
Le déterminant -sur-Mer est employé d'après la situation géographique de la commune pour la différencier de Bricqueville-la-Blouette, apparaît pour la première fois en 1332 sous la forme latinisée supra Mare, puis au milieu du XIVe siècle sous la forme romane sur la Mer, et près la Mer aux XVIIe et XVIIIe siècles. La forme « -sur-Mer » est fixée au début du XIXe siècle.
Le gentilé est Bricquais.
Histoire
Les fouilles archéologiques effectuées en 1995 au nord des Salines ont révélé une occupation du site dès la période néolithique.
Historiquement, Bricqueville apparaît pour la première fois en 1145 dans l'acte de fondation de l'abbaye de Hambye par Guillaume Paynel qui est cité comme en étant le seigneur. Le fief de la grande seigneurie de Bricqueville relevait de l'abbaye du Mont-Saint-Michel.
Les huit fiefs qui constituaient la paroisse de Bricqueville-près-la-Mer appartenaient à deux seigneurs différents : les Paynel auxquels succédèrent les Halluin de Piennes puis les Montgomery pour les fiefs de Bricqueville, de Saint-Éloy, des Mézières et de Sey et les seigneurs de Chanteloup pour les fiefs de la Saucée, d'Annoville, de la Vallée et de la Motte.
À ces deux seigneuries correspondaient deux sections de la paroisse : la grande portion ou portion majeure dite de Saint-Vigor dont le curé était présenté par le seigneur de Bricqueville et la petite portion ou portion mineure dite de Saint-Jean dont le curé était présenté par le seigneur de Chanteloup.
Une ancienne tradition veut que les deux curés aient disposé à l'origine chacun d'une église : l'église Saint-Vigor pour l'un au Bourg et l'église Saint-Jean pour l'autre au Village Maire, à 2 km à l'ouest. Une croix de granite érigée en 1953 signale l'emplacement présumé de cette dernière qui semble avoir disparu depuis longtemps et ce au moins depuis le milieu du XVIIe siècle, époque où les plus anciens registres paroissiaux qui nous soient parvenus prouvent qu'ils étaient déjà tenus en commun par les deux curés. Le curé de Saint-Jean qui résidait au Bourg dans un presbytère en face de celui de son confrère, célébrait son office dans l'église Saint-Vigor ce qui a engendré à certains moments des problèmes de préséance.
Les deux portions fusionnèrent au moment de la Révolution. C'est également à cette période que l'ancien nom de Bricqueville-près-la Mer disparaît au profit de celui de Bricqueville-sur-Mer donné à la nouvelle commune dont le territoire fut augmenté peu après de Sainte-Marguerite-près-la-Mer, au nord du territoire, qui avait préalablement été érigée en commune peuplée de 258 habitants en 1793[29].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et quatre adjoints[33].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2020, la commune comptait 1 241 habitants[Note 8], en augmentation de 4,81 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Bricqueville-sur-Mer a compté jusqu'à 2 361 habitants en 1800.
Économie et tourisme
Bricqueville-sur-Mer est dénommée « commune touristique » depuis [38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Havre de la Vanlée (site naturel classé en 1988[39]). Ce site servit en 1975 de décor pour le tournage de Grand-père viking du réalisateur Claude-Jean Bonnardot avec dans les rôles principaux Étienne Bierry, Marie Déa, Éric Laborey et Henri Lambert. Ce téléfilm produit par TF1 sera diffusé en six épisodes en janvier et février 1976. Ce site a également servi de décor pour certaines scènes du téléfilm Meurtres à Granville réalisé par Christophe Douchand durant l'été 2020 et diffusé le sur France 3 avec dans les rôles principaux Florence Pernel et Raphaël Lenglet.
L'église néogothique Saint-Vigor, du XIXe siècle[40], dépend de la paroisse Notre-Dame-de-l'Espérance du doyenné du Pays de Granville-Villedieu[41]. Elle a fait l'objet en 2020-2021 d'une restauration globale (maçonnerie, fresque, enclos paroissial, etc.)[42]. L'église abrite un maître-autel et autels latéraux (XIXe), une verrière (XXe) de Mazuet, ainsi qu'un décor mural représentant la multiplication des pains[40].
Aux salines, les ruines du château de Bricqueville du XIVe siècle, appelé à tort château Grimaldi, rasé en 1421. Il n'en subsiste que les vestiges d'une tour ronde sur les quatre de son enceinte carrée[40].
Personnalités liées à la commune
- André Prévot-Valéri (Paris 1890 - Granville 1959)[40], peintre de paysages et de scènes de genre qui travailla et résida un temps aux Salines d'où était originaire son épouse. Il y a peint notamment de nombreuses représentations de la vie des champs et de la récolte du varech. L'école communale porte son nom.
- Mona Ozouf, écrivain et historienne, née en 1931, a vécu et est toujours propriétaire d'une maison sur le havre de la Vanlée, aux Salines.
- Jacques Gamblin, comédien et écrivain né en 1957 à Granville, dont la famille paternelle est originaire de Bricqueville.
Héraldique
Blason | Palé d'or et de gueules, à une plaine d'azur chargée de trois ondes d'argent ; au chef de gueules chargé d'un léopard d'or, armé et lampassé d'azur[43]. |
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Détails | Le léopard d'or sur champ de gueules rappelle les armes de la Normandie Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Saint Vigor, évêque de Bayeux, patron de Bricqueville-sur-Mer, par l'abbé A. Drouet (Lafare Frères, Nîmes, 1895)
- Sur le rivage normand, Bricqueville-sur-Mer, par l'abbé Pierre Béhier (Ocep, Coutances, 1975)
- Un parcellaire en étoile dans le marais de Bricqueville-sur-Mer en 1247, par Xavier Halard (Annales de Normandie, Caen, octobre 1981)
- 100 ans en images, Bricqueville-sur-Mer, par Bernard Vivier et Jean-Pierre Lehoussu, préface de Mona Ozouf (Ocep, Coutances, 1995)
- Un site protohistorique dans le havre de la Vanlée à Lingreville et Bricqueville-sur-Mer (Manche), par Cyrille Billard et al. (Revue archéologique de l'Ouest, Rennes, 1995).
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 118
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Bricqueville-sur-Mer sur le site de la communauté de communes
- Résumé statistique de Bricqueville-sur-Mer sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bricqueville-sur-Mer et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bréhal », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre - 1998 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 953.
- François de Beaurepaire - 1986 - Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Page 89.
- Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, « Les noms de communes de Normandie », in Annales de Normandie XIV (1964), § 498.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sainte-Margueritte », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
- « L'ancien maire de Bricqueville-sur-Mer décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Yves Delisle briguera un deuxième mandat de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Hervé Bougon, nouveau maire, succède à Yves Delisle », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Bricqueville-sur-Mer (50290) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [PDF] « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - février 2010 » (consulté le ) : page 4.
- « Site de la Dreal de Basse-Normandie - Décret du 26 décembre 1988 » [PDF] (consulté le ).
- Gautier 2014, p. 118.
- Site du diocèse.
- « Un patrimoine vivant, reflet du département », Manchemag, no 73, , p. 17 (lire en ligne, consulté le ).
- « 50085 Bricqueville-sur-Mer (Manche) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).