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CĂ©rences

CĂ©rences est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Manche en rĂ©gion Normandie, peuplĂ©e de 1 771 habitants[Note 1].

CĂ©rences
CĂ©rences
L'église Notre-Dame de Cérences sur la place du Marché.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Manche
Arrondissement Avranches
Intercommunalité Communauté de communes de Granville, Terre et Mer
Maire
Mandat
Jean-Paul Payen
2020-2026
Code postal 50510
Code commune 50109
DĂ©mographie
Gentilé Cérençais
Population
municipale
1 771 hab. (2020 en diminution de 5,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 68 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 54â€Č 59″ nord, 1° 26â€Č 08″ ouest
Altitude Min. 14 m
Max. 115 m
Superficie 26,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Granville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bréhal
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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CĂ©rences
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CĂ©rences
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CĂ©rences
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CĂ©rences
Liens
Site web www.cerences.fr

    GĂ©ographie

    La commune est au sud du Coutançais. Son bourg est Ă  km Ă  l'est de BrĂ©hal, Ă  km Ă  l'ouest de Gavray, Ă  17 km au sud de Coutances, Ă  17 km au nord-est de Granville et Ă  20 km au nord-ouest de Villedieu-les-PoĂȘles[1].

    Le territoire de CĂ©rences est le plus Ă©tendu des trente communes du canton de BrĂ©hal. La Sienne, riviĂšre d'environ 80 km de long, prend sa source en forĂȘt de Saint-Sever et termine son aventure Ă  RegnĂ©ville sur mer dessinant un paysage des plus remarquables : le havre de RegnĂ©ville. À CĂ©rences, la Sienne offre de beaux mĂ©andres, des moulins Ă©grainĂ©s et des saumons frĂ©tillants.

    Communes limitrophes de CĂ©rences[2]
    Muneville-sur-Mer Quettreville-sur-Sienne, Trelly(sur quelques dizaines de mĂštres), Le Mesnil-Aubert Le Mesnil-Aubert,
    Lengronne
    Bricqueville-sur-Mer,
    Bréhal(sur quelques dizaines de mÚtres)
    CĂ©rences Ver
    Chanteloup Hudimesnil, Le Loreur Ver
    • La Sienne.
      La Sienne.
    • Le centre-bourg.
      Le centre-bourg.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 957 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et qui se trouve Ă  14 km[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,9 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cérences est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Granville, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (93,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (51,9 %), terres arables (23,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (16,6 %), forĂȘts (4,2 %), zones urbanisĂ©es (2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le toponyme est attesté sous la forme curtam que appellatur Cerencis en 1027[21].

    Albert Dauzat le considÚre issu ou lié à l'ancien français seran / cerens, « séran », instrument servant à carder la filasse[22], mot d'origine gauloise, pluriel de l'oïl serence, seran, peigne pour séparer la filasse des fibres de lin ou de chanvre[21].

    Le gentilé est Cérençais.

    Histoire

    En 1639, la révolte des Nu-pieds qui s'étendit de l'Avranchin jusqu'à Cérences, entraßna l'incendie en représailles de maisons du bourg par les troupes de Gassion en 1640 sur les ordres de Richelieu[23].

    Auguste-François Brohon lieutenant-général civil et criminel fut le premier maire de Cérences, ainsi que député de la Manche au Conseil des Cinq-Cents[23].

    À la crĂ©ation des cantons, CĂ©rences est chef-lieu de canton. Ce canton est supprimĂ© lors du redĂ©coupage cantonal de l'an IX (1801)[24].

    En 1964, CĂ©rences (1 852 habitants en 1962) absorbe Bourey (73 habitants)[24] - [25].

    Politique et administration

    La mairie.
    La maison des services publics.
    Liste des maires[23]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1830 1846 Louis Jouenne[26]
    1871 1876 Auguste Maheut
    1945 1949 André de Beaucoudrey
    1949 1971 Alphonse Letarouilly
    1971 1977 André Combaux
    1977 1988 Jean de Roincé
    1988[27] avril 2014 Jean-Louis Remoué UMP Vétérinaire, conseiller général
    avril 2014[28] En cours Jean-Paul Payen SE Salarié du secteur médical
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[29].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 1 771 habitants[Note 8], en diminution de 5,19 % par rapport Ă  2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %). CĂ©rences a comptĂ© jusqu'Ă  2 346 habitants en 1800. Bourey a atteint son maximum dĂ©mographique en 1831 avec 357 habitants.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2072 3462 3202 0522 0642 2962 2532 2182 244
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1412 1622 1001 9421 9911 9161 9171 8551 910
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6981 6481 7541 6341 7101 8021 7671 7761 808
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 8521 8331 8651 8581 7771 7571 7891 7981 862
    2018 2020 - - - - - - -
    1 7921 771-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution dĂ©mographique de Bourey
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    226308328355357353340333
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886
    301292307211182183175168
    1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931
    149160126130125111100118
    1936 1946 1954 1962 - - - -
    919510073----
    (Source : EHESS[25])

    Activité économique

    La distillerie de pommes

    La distillerie de pommes est créée en 1926. En 1936, elle est rachetée par Lesaffre, industriels du Nord. Située prÚs du pont sur la Sienne et à proximité de la gare, elle est détruite aux trois quarts par les bombardements américains en 1944 et reconstruite en 1946. En 1958, elle se tourne vers le séchage du lait pour produire de la poudre de lait. DÚs les années 1970, elle produit de la levure sÚche. Avec la réorientation de la PAC (politique agricole commune) et la fin des excédents laitiers, l'usine se spécialise dans le séchage d'ingrédients alimentaires. Ainsi quatre nouvelles tours de séchage sont construites entre 1990 et 2003.

    Économie actuelle

    Maisonneuve (fabrication de fûts et citernes), Lesaffre ingrédients services (poudres alimentaires).

    Tourisme

    Un gßte et une aire de camping-cars de six places constituent l'offre d'hébergement de la commune.

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Notre-Dame de Bourey.
    Le coq de l'Ă©glise — don du seigneur Adhemary Le Coq en 1709 — est exposĂ© Ă  la mairie[37].
    • Église Notre-Dame de Bourey.
    • ChĂąteau de la Motte Billard des XVIIe – XIXe siĂšcles[23].
    • Manoir de l'Épinay des XVIe – XIXe siĂšcles[23] - [38].
    • Manoir de Guelle et son pigeonnier[23].
    • Ancien lavoir.
    • Croix Potier du XVIe siĂšcle[23].
    • La ForĂȘt des elfes, parc aventure[39].
    Pour mémoire
    • ChĂąteau de Bourey de la fin du XVIIIe siĂšcle, rasĂ© en 1980[40].

    Activité et manifestations

    Manifestations

    • FĂȘte communale autour du , autrefois trĂšs populaire.
    • FĂȘte du jeu et du sport en mars depuis 2014.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • RenĂ© Gautier et al. (prĂ©f. Jean-François Le Grand, postface DaniĂšle PolvĂ©-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 141

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routiĂšres les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cérences et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    12. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    13. « Station mĂ©tĂ©orologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la pĂ©riode 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Ernest NÚgre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 283 - (ISBN 2600028838).
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    23. Gautier 2014, p. 141.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Bourey », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le )..
    26. Annuaire du département de la Manche, 12e année, 1840, p 224.
    27. « Municipales à Cérences. Jean-Marie Remoué a présenté sa liste », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    28. « Mairie : un troisiÚme tour sous trÚs haute tension », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Cérences (50510) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Site du diocĂšse.
    34. « Groupe sculpté : Vierge à l'Enfant accompagnée d'un donateur ».
    35. « Chasuble, étole, manipule, voile de calice, bourse de corporal et voile de pupitre d'autel (ornement doré) ».
    36. « Fragment de bas-relief aux douze apÎtres ».
    37. « Coq ».
    38. Guy Le HallĂ© (prĂ©f. HervĂ© Morin, photogr. Yves Buffetaut), ChĂąteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN 978-284673-215-4), p. 83 (CĂ©rences).
    39. « Site de la ForĂȘt des elfes » (consultĂ© le ).
    40. Gautier 2014, p. 101.
    41. Nicolas Deslandes sur le site wikimanche.
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