Benfeld
Benfeld [bɛnfɛld] est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Benfeld | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Bas-Rhin |
Arrondissement | SĂ©lestat-Erstein |
Intercommunalité | Communauté de communes du Canton d'Erstein (siège) |
Maire Mandat |
Jacky Wolfarth 2020-2026 |
Code postal | 67230 |
Code commune | 67028 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Benfeldois [1] |
Population municipale |
5 820 hab. (2020 ) |
Densité | 747 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 22′ 17″ nord, 7° 35′ 35″ est |
Altitude | Min. 155 m Max. 162 m |
Superficie | 7,79 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Benfeld (ville-centre) |
Aire d'attraction | Strasbourg (partie française) (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton d'Erstein |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.benfeld.fr |
GĂ©ographie
Localisation
Benfeld, située au sud de Strasbourg, est une des « Portes du Ried », zone humide à la richesse écologique de premier plan. Le bourg centre du canton de Benfeld s'est développé à l'ouest de l'Ill.
GĂ©ologie et relief
Le relief de la commune est plat. Les altitudes sont comprises entre 155 m et 160 m.
Le territoire de la commune est concerné par une zone humide remarquable d’intérêt au moins régional nommée « Ried de la Lutter – Huttenheim »[2].
Sismicité
L’ensemble de la commune est situé en zone de sismicité de niveau 3 (modéré)[3] - [4].
Hydrographie et les eaux souterraines
Le territoire de Benfeld est traversé dans sa partie orientale par l’Ill et ses affluents[5]
Le , un camion-citerne appartenant à la société ONATRA, et transportant du tétrachlorure de carbone, se coucha et déversa accidentellement son contenu à la sortie Nord de Benfeld. Environ 4 000 litres de ce produit ne purent être récupérés et s’infiltrèrent dans la nappe phréatique rhénane[6]. Pour l'instant, la pollution semble contenue entre Benfeld et Erstein. Selon l'association Robin des Bois, la pollution continue vers le nord, et menace l'alimentation en eau potable de Strasbourg[7].
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[8].
Voies routières
Accès par l’autoroute A35 et la départementale 1083.
Transports en commun
- L'Alsace sans ma voiture[9].
- Benfeld possède une gare desservie par le TER Alsace.
Toponymie
Benfeld - BĂ©nestroff - Bensdorf[10].
Histoire
- Benfeld provient de l'installation de colonies romaines ne trouvant plus de place à l'intérieur du campement romain d'Ellelum ou Helvetum (Ehl)[11] qui fut détruit par les Vandales en janvier 407. La ville gallo-romaine ne sera pas reconstruite et plus tard, on en réutilisa les pierres pour construire le village de Benaveldim[12].
Benfeld est mentionnée dans une charte de l'évêque Eddin du diocèse de Strasbourg, en 769, l'appelant « villa Benveltin ». Un autre évêque fit construire une enceinte fortifiée et l'empereur Albrecht I lui conféra le titre de ville en 1306. En 1349, Benfeld est le lieu de rencontre des dix villes libres d'Alsace, la Décapole, de la ville de Strasbourg et des Seigneuries pour délibérer des mesures à prendre à la suite de l'épidémie de peste. En 1394, la cité est donnée en gage à la ville de Strasbourg à la suite des dépenses inconsidérées de l'évêque Guillaume de Diest pour une période de dix ans. Faute de remboursement le pacte fut reconduit et ce n'est que 115 ans plus tard que l'évêque Guillaume de Hohnstein réussit à récupérer les biens du bailliage. Benfelden, forteresse revient en 1537 aux Princes-Évêques de Strasbourg et en 1580 devient le chef-lieu du bailliage épiscopal précédemment situé à Bernstein[13].
- Pendant la guerre de Trente Ans, à la fin du mois d', les forces suédoises commandées par le maréchal Horn et le rhingrave Othon-Louis, comte de Salm, franchirent le pont entre Kehl et Strasbourg puis enlevèrent Obernai et Erstein. Ayant récupéré les pièces d'artillerie de Strasbourg les Suédois mirent le siège devant la forteresse épiscopale de Benfeld[14]. Défendue par ses habitants et Louis Zorn von Bulach, la ville résiste pendant 66 jours au siège qui avait débuté le .
- Après la reddition de la ville, les Suédois occupèrent Benfeld qui sera le quartier général de l'Armée suédoise du , jusqu'en 1650 à la suite de la signature du traité de Westphalie. Les fortifications sont détruites selon les termes du traité sous les ordres du colonel Moser et Benfeld fête sa libération le .
Il existe actuellement encore deux rues rappelant les anciennes fortifications, la rue de Petit-Rempart et la rue du Grand-Rempart[15].
- Elle fut chef-lieu de district de 1790 Ă 1795.
- Au cours de la bataille d'Alsace, Benfeld a été libérée le 1er décembre 1944 par les spahis de la 2e Division blindée.
Mais le , les Allemands qui avaient déclenché une énergique offensive sur Strasbourg (Opération Nordwind) reprenaient une partie du terrain perdu et, atteignant l'Ill, arrivaient aux portes de la localité. Devant cette sérieuse menace, toute la population dut être évacuée et Benfeld subit, jusqu'au 20 janvier, le violent feu de l'artillerie allemande.
La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[16].
HĂ©raldique
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Les armes de Benfeld se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune est membre de la Communauté de communes du canton d'Erstein (CCCE).
Urbanisme
Typologie
Benfeld est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [20] - [21] - [22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Benfeld, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[23] et 8 454 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[24] - [25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[26] - [27].
- La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (20,4 %), terres arables (17,5 %), zones urbanisées (16,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), prairies (10,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10 %), mines, décharges et chantiers (8,1 %)[29].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[30].
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :
- total des produits de fonctionnement : 4 175 000 €, soit 718 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 989 000 €, soit 514 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 3 011 000 €, soit 518 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 1 606 000 €, soit 279 € par habitant ;
- endettement : 4 967 000 €, soit 854 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 16,46 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,23 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,53 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 129 €[32].
Économie
La commune constitue l'un des pôles d'emplois entre Sélestat au sud et Strasbourg, situé plus au nord.
Agriculture
- Chambre DĂ©partementale D'Agriculture Du Bas Rhin (A.D.A.R de la plaine de l'Ill).
Tourisme
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 5 820 habitants[Note 3], en augmentation de 1,96 % par rapport Ă 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Établissements d'enseignements[40] :
- Écoles maternelles et primaires,
- Collège,
- Lycées à Erstein, Barr et Obernai.
Santé
Professionnels et établissements de santé[41] :
- MĂ©decins,
- HĂ´pitaux Ă Benfeld, Erstein[42].
Cultes
- Culte catholique, Saint-Laurent, Diocèse de Strasbourg[43].
- Paroisse luthérienne.
Lieux et monuments
Hôtel de ville (1531). Église Saint-Laurent. Église protestante. Ancien centre de fermentation des tabacs (XIXe siècle), rue du Château. Maison de bailli (XVIe siècle),
12 rue Clemenceau[50].
L'hĂ´tel de ville
Il date de 1531 ; la tour latérale avec son horloge à automates (jacquemarts) a été ajoutée en 1619[53] - [54].
La gare
Le bâtiment voyageur de la gare démoli en 2012 datait de la construction de la ligne Strasbourg-Bâle, inaugurée en 1840. Elle était une des vingt stations de la ligne. Il était le dernier de la ligne et à ce titre le plus vieux d’Alsace et certainement un des plus vieux du monde.
L'Ă©glise Saint-Laurent
L'église épiscopale date de l'époque mérovingienne (762). Une reconstruction eut lieu en 1352 dont subsiste le chœur. La nef et le clocher ont été remaniés aux XVIIIe et XIXe siècles. Des sarcophages mérovingiens datant de l'église primitive ont été découverts sous les fondations de l'église actuelle. L'église fut remaniée en 1754, le chœur gothique a été conservé et la nef reconstruite en 1840 en style néoclassique. L'église abrite entre autres des fonts baptismaux de la fin du XVe siècle provenant du couvent de Ehl[55].
L'orgue est de Georges et Curt Schwenkedel, 1954[56].
La synagogue
La synagogue, construite en 1846 et agrandie en 1875, inscrite sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du [57] - [58]. La restauration de l'édifice a été inscrite dans le Loto du patrimoine[59] - [60].
Ses orgues sont de Charles et Edgard Wetzel (1895)[61].
Le temple
Temple construit en 1866 d'après un projet d'Antoine Ringeisen[62] - [63] - [64].
Le collège
Le collège Robert-Schuman est situé rue du Luxembourg et accueille environ 700-900 élèves[67].
Industrie
- Socomec, entreprise spécialisée dans les onduleurs et armoires électriques, a son siège social et deux usines, ainsi qu'un centre de cistribution d'une superficie de six mille mètres carrés destiné au stockage.
- Les laboratoires de PCB Création sont spécialisés dans les décors alimentaires.
- SECOME SAS conçoit et réalise des moyens de productions pour la transformation du métal en feuille ; ADEcut, sa société sœur, met en œuvre ces moyens (outillage de presse) en produisant des pièces métalliques.
- Édifice industriel dit Centre de fermentation des tabacs[68] - [69].
- Moulin du Muhlbach[70].
Personnalités liées à la commune
- François Antoine Joseph Nicolas Macors (1744-1825), général des armées de la Royauté et de la République, né dans la commune.
- François-Xavier Gsell, né à Benfeld le et décédé à Sydney le . Missionnaire du Sacré-Cœur en Australie, il fut, en 1938, le premier évêque de Darwin.
- Pierre Roland-Lévy, magistrat originaire de Benfeld. Il est connu pour avoir été un acteur clef dans l'affaire Denoël.
- Étienne Yver (1955-), peintre contemporain, est le petit-fils d'un maire de Benfeld.
- Docteur Édouard Sieffermann (de), docteur en médecine et député protestataire[71] ayant créé une station thermale sur les bords de l'Ill.
- René Gsell (1921-2000), linguiste et phonéticien français.
- Eugénie Mettenet (1916-2008), Juste parmi les nations.
- Antoine Béchamp (1816-1908), docteur en sciences, en médecine et en chimie et diplômé en pharmacie.
- Emile Woerth (1870 - 1926), homme de lettres Ă qui l'on doit les paroles de l'hymne alsacien.
- Christophe Felder (1965- ), pâtissier renommé.
Voir aussi
Bibliographie
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Benfeld, pp. 43 à 47
- Les personnes nées à Belfeld et mortes en déportation
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel
L'horloge de Benfeld
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune de Benfeld
- Benfeld sur le site de l'Institut géographique national
- Benfeld sur le site de l'Insee
- Office de Tourisme de Benfeld et environs
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement de la commune
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
- Ried de la Lutter de Sermersheim Ă Benfeld (Identifiant national : 420007170)(ZNIEFF Continentale de type 1)
- Sismicité
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Plan d'occupation des sols : La nature des sols et sous-sols, cours d'eau : L’hydrographie, p.16
- fiche BASOL des sols pollués ministère de l'environnement.
- La France toxique association Robin des Bois page 84 (ISBN 978-2-0813-6379-3).
- Table climatique
- L'Alsace sans ma voiture
- Toponymie - Ortsnamen
- Les villes Celtiques
- La ville de Benfeld de 1592 Ă 1632: Histoires et anecdotes, Emile Woerth
- Benfeld Ă travers l'histoire, Pierre Andlauer
- Henri Sacchi, La guerre de Trente ans : L'Empire supplicié.
- « Fortification d'agglomération », notice no IA00023500, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
- Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
- Jacky Wolfarth, Ă©lu maire, L'Alsace, article du 18 juillet 2012.
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Benfeld », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Règlement du PLU de Benfeld
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Les comptes de la commune de Benfeld
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- H$otels
- Commerces de proximité
- Services de proximité
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Établissements d'enseignements
- Professionnels de santé
- HĂ´pitaux
- Saint-Laurent
- « Hôpital », notice no PA00084604, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hôpital », notice no IA00023506, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ancien relais de poste à chevaux », notice no PA00084608, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « relais de poste », notice no IA00023531, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison dite le Châtelet », notice no PA00085277, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de gouverneur dite Châtelet », notice no IA00023518, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison de bailli », notice no IA00023519, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 4 rue du Général de Gaulle », notice no IA00023521, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison 4, anciennement Grande-Rue ( ) 4 rue du Général-de-Gaulle », notice no PA00084607, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hôtel de ville », notice no PA00084605, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Hôtel de ville », notice no IA00023505, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Laurent », notice no IA00023501, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Orgue de Georges et Curt Schwenkedel, 1954
- Notice no PA00084610, base Mérimée, ministère français de la Culture Synagogue
- Notice no IA00023504, base Mérimée, ministère français de la Culture synagogue construite en 1846 ; et agrandie par des bas-côtés en 1875
- L'Alsace redonne vie à ses synagogues rurales longtemps oubliées
- Synagogue de Benfeld, le soutien de la Fondation du patrimoine
- Orgue de Charles et Edgard Wetzel
- Benfeld, paroisse luthérienne
- Notice no IA00023503, base Mérimée, ministère français de la Culture Temple
- Église protestante, orgue de Dalstein-Haerpfer, 1916
- Conflits commémorés 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962)
- Monument aux Morts tous conflits, Monument aux Morts 1914-1918
- Voir le site officiel du collège Robert Schuman, consulté le 31 mai 2011.
- « Centre de fermentation des tabacs », notice no PA00084602, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Édifice industriel dit Centre de fermentation des tabacs », notice no IA00023529, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin du Muhlbach », notice no IA00023527, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Ouvrages d'Édouard Sieffermann