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Beauregard-l'Évêque

Beauregard-l'Évêque est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Beauregard-l'Évêque
Beauregard-l'Évêque
Vue générale du village de Beauregard-l'Évêque.
Blason de Beauregard-l'Évêque
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Communauté de communes Billom Communauté
Maire
Mandat
Patricia Bussière
2020-2026
Code postal 63116
Code commune 63034
Démographie
Gentilé Beauregardois[1]
Population
municipale
1 547 hab. (2020 en augmentation de 9,95 % par rapport à 2014)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 42″ nord, 3° 18′ 01″ est
Altitude Min. 295 m
Max. 390 m
Superficie 12,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Billom
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Beauregard-l'Évêque
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Beauregard-l'Évêque
Liens
Site web beauregardleveque.fr

    Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

    Géographie

    Localisation

    Le village de Beauregard se situe sur un piton rocheux. L'Allier, alimentée par le Joron, passe au pied du village à l'ouest. Le village est composé de plusieurs quartiers (La Côte de Bas, Le Chantou, La Motte, Le Charmagnat, La Double, Le Bois, Le Coudert, La Coudiarche), et hameaux, écarts ou domaines (Courcourt, la Malgarou, Margnat, Mirabeau, le Domaine Neuf, l'Eguilhe, La Borde, Layat).

    Huit communes sont limitrophes[2] :

    Communes limitrophes de Beauregard-l'Évêque
    Les Martres-d'Artière Joze Culhat, Lempty
    Pont-du-Château Beauregard-l'Évêque Seychalles
    Vertaizon Bouzel

    Transports

    Le village est situé près de l'A89, qui passe au pied du piton en direction de Culhat. Deux aires de repos sont installées sur le territoire même de la commune : l'aire du Branchillion en direction de Lyon, et l'aire des Pacages en direction de Clermont-Ferrand[2]. L'accès le plus proche s'effectue à Lezoux (échangeur 28) ou près de Pont-du-Château.

    Le territoire communal est traversé par la route départementale 2089 (ancienne route nationale 89) de Thiers à Clermont-Ferrand, ainsi que la RD 4, qui traverse le bourg, et la RD 70, au sud de la RD 2089[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Beauregard-l'Évêque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), zones urbanisées (6,7 %), forêts (6,5 %), eaux continentales[Note 3] (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), mines, décharges et chantiers (0,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    On relève les différentes appellations suivantes : Bellum Regardum (du latin « qui concerne la guerre », 1103), Castrum Dicitur inter duos rivos (1212), Belragard (1262), Apud Bellum Regardum (1286), Belli Regardi (1318), Belregard (1418), Ville de Beauregard (1560) et enfin Beauregard-l'Evêque en 1789.

    Beauregard : village beau à voir, disposant d'une belle vue, ou bien forteresse, auquel cas l'origine du nom est Bellum Regardum, venant du latin « qui concerne la guerre ».

    L'Évêque : Beauregard est connu, durant une grande partie du Moyen Âge et durant la période moderne, pour avoir été un lieu de résidence ou de villégiature des évêques de Clermont.

    Histoire

    Le château fort de Beauregard, fut confisqué au dauphin d'Auvergne par Philippe-Auguste, donné (1212) par ce roi à l'évêque de Clermont[9].

    Audigier (1659-1744)[10] mentionne « une petite éminence, au-dessous du château de Beauregard sur le chemin de Lezoux, d’où l’on tire un minéral apprécié pour la peinture à fresque et à huile par les marchands de Clermont ». Il considère les vins de Beauregard parmi les plus renommés et que l’on « ne mépriserait pas dans les meilleures tables de Paris s’ils pouvaient être transportés sans demeurer longtemps en chemin ». Audigier cite également « deux sources d’eaux minérales entre Beauregard et Joze, au-dessous du bois du prieuré de Médagues, l’une appelée le petit Bouillon et l’autre le grand Bouillon »[11]. Massillon, en proie à de violents maux d’estomac, en buvait régulièrement afin de se soulager.

    Le roi Charles VII y vint visiter l'évêque Gouje de Charpaigne (8 juin 1440).

    Dom Boyer[12] est reçu, les 13 et 14 janvier 1711, par les Minimes de Beauregard lors de sa collecte d’informations pour la Gallia Christiana. Il y revient, le 5 juillet 1712. Le 10 il est à Clermont où les Minimes de Beauregard viennent de remettre une relique de saint François de Paule à ceux de Clermont pour la procession du reliquaire exécuté par l’orfèvre Dangoran natif de Bourges.

    Massillon, prédicateur et évêque de Clermont, décède à Beauregard le 28 septembre 1742 à dix heures du soir. Les entrailles et le cœur sont inhumés dans l’église paroissiale entre l’entrée du chœur et la première marche du maître autel[Note 4] alors que le corps est transporté, dès le lendemain du décès au palais épiscopal de Clermont. Il y demeura trois jours avant d’être inhumé, le 2 octobre 1742 vers onze heures, dans le chœur de la cathédrale en présence du célébrant Paul de Ribeyre évêque de Saint-Flour. La pierre tombale noire, gravée en lettres gothiques, a été déplacée et remplacée.

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de la commune est, pour une courte période, redevenu simplement Beauregard[13].

    En 1789, entre le bourg et l'église des minimes, furent découverts une statue de pierre avec une tête de barbu qui représentait vraisemblablement Jupiter ; des tronçons de colonnes ; des médailles de bas empire prouvant l'existence d'un temple gallo-romain.

    Évêques de Clermont ayant résidé à Beauregard

    Politique et administration

    La commune de Beauregard-l'Évêque est membre de la communauté de communes Billom Communauté[16], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Billom. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[16].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Billom pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[16], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[18].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Beauregard-l'Évêque, commune de plus de 1 000 habitants, est élu au scrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[19], pour un mandat de six ans renouvelable[20]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 19[21]. Les dix-neuf conseillers municipaux, issus d'une seule liste, sont élus au premier tour avec un taux de participation de 40,02 %[22].

    Trois sièges sont attribués à la commune au sein du conseil communautaire de la communauté de communes Billom Communauté[22].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1809 François Pourcher
    1809 1822 Thaurin Jarrier-Groisne
    1822 1831 Antoine Androdias de Murol
    1831 1865 Antoine-Guillaume Chastaignier
    1865 1874 André Champrigaud
    1874 1879 Jean-Gaspard Moussat
    1879 1882 Jacques-Adolphe Jarrier
    1882 1892 Gilbert-Annet Serciron
    1892 1894 Jean Begon
    1894 1900 Etienne-Léon-Mary Thiénard
    ... ... ... ... ...
    Alain Néri[23] PS Retraité de l'éducation nationale spécialisée
    Sénateur, ancien député
    Conseiller général du canton de Vertaizon (1982-2014)
    En cours
    (au )
    Patricia Bussière[24] Coordinatrice technique insertion[25]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Beauregard-l'Évêque dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

    Les élèves débutent leur scolarité à l'école élémentaire publique de la commune[26]. Ils la poursuivent au collège George-Onslow de Lezoux[27], puis à Thiers, au lycée Montdory (filières générales et sciences et technologies du management et de la gestion) ou au lycée Jean-Zay (filières générales et sciences et technologies de l'industrie et du développement durable)[28].

    Instances judiciaires

    Beauregard-l'Évêque dépend de la cour d'appel de Riom et des tribunaux judiciaire et de commerce de Clermont-Ferrand[29].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2020, la commune comptait 1 547 habitants[Note 5], en augmentation de 9,95 % par rapport à 2014 (Puy-de-Dôme : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4921 4831 5321 4941 4271 4971 6371 6501 490
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4711 4841 5181 4731 4141 3351 3511 2501 145
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1191 1131 099886800786708678634
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6486546347738941 1581 2991 3061 312
    2015 2020 - - - - - - -
    1 4441 547-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Commerce

    La base permanente des équipements de 2014 recense une boulangerie[33].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Maison à colombage de 1571.
    • Chapelle Saint-Aventin (XIIe siècle) sur les bords de l'Allier. On peut voir au plafond un ex-voto représentant un trois-mâts placé par les mariniers de l'ancien port de la gabelle tout proche.
    • Couvent des Minimes (XVIe et XVIIIe siècles) au lieu-dit Mirabeau : fondé par Guillaume Duprat, évêque de Clermont[Note 6]. Il occupe l'emplacement d'une petite chapelle construite au sommet d'une colline. L'ensemble conçu pour accueillir les Minimes est d'une grande ampleur pour une situation aussi isolée. Il se compose de deux ailes, l'une, à l'ouest, du XVIe siècle modifiée au siècle suivant, l'autre, au nord, du XVIIIe siècle, très endommagée par un incendie en 1920. Entre les deux se trouvent la moitié d'un cloître et l'église, qui est constituée d'une nef unique, de grande dimension, voûtée de croisée d'ogives. Elle est probablement déjà terminée en 1560. Le lieu-dit reçu son nom au moment de l'achat du couvent à la Révolution par un admirateur de Mirabeau[34].
    • Église paroissiale Saint-Étienne[35] - [36] : Reconstruite presque totalement au XIXe siècle, on a alors placé le clocher et l'entrée principale sur l'abside de la vieille église, bien orientée au XVIIIe siècle, qui sert de porche. Le chœur est maintenant à l'ouest. Transféré du couvent des Minimes en 1808, l'autel du chœur fut morcelé, car trop volumineux, pour ornementer le fond du chœur et les trois chapelles.
    • Château des évêques. Démoli en 1797. De 1724 à 1731, Massillon entreprit une série de travaux et restauration importants dans sa résidence seigneuriale conjointement à ceux du palais épiscopal de Clermont : terrasses entourant le château de toute part, chapelle garnie d’une riche argenterie à ses armes, et ornée de boiseries sculptées identiques à celles de Clermont. Ce chef-d’œuvre, selon les témoins, a été réalisé par un maître menuisier de Clermont originaire de Saint-Julien-de-Coppel, Pierre Sureau. Ces pièces ont été transférées à la Révolution en l’église de Lempdes avant d’être vendues à un brocanteur. Le testament[Note 7] de l’évêque donne le nom du concierge du château, Cousson, à qui il lègue une rente annuelle et viagère de cent livres[37].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Abbé Ossédat, Les évêques de Clermont à Beauregard, Clermont-Ferrand, Impr. Générale, , 164 p.
    • Pierre Mondanel, L'ancienne batellerie de l'Allier et de la Dore, Mémoires de l'Académie des Sciences, Belles-Lettres & Arts de Clermont-Ferrand, Impr. De Bussac, , 689 p., p. 52, 68, 69, 515, 558, 559, 613

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Les viscères seront exhumés le 28 novembre 1862 par l’entrepreneur Mandon, des dalles en volvic recouvrent le caveau où a été déposée une lame de plomb portant inscription de l’évènement.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Les Minimes de Beauregard dépendaient à l’origine de la Province d’Aquitaine et ensuite dans celle de Lyon. Un décret du consistoire sous Alexandre VII (1655 – 1667) créa la Province d’Auvergne composée des couvents de Clermont, Beauregard, Chaumont, Courpière, Brioude, Usson.
    7. en date du 14 mars 1737.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Beauregard-l'Évêque (63116) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
    2. Carte de Beauregard-l'Évêque sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
    9. Begon Fournier, Histoire de Beauregard l'Evêque le Gonfanon no 28, Argha
    10. Histoire d'Auvergne, Clermont-Ferrand, L. Bellet, , p. 152, 168, 211, 212, 271, 272.
    11. À propos de « Medaigues », Jean Banc cite les travaux d'un médecin thiernois, le Sieur Bachot, dans La Mémoire renouvelée des merveilles des eaux naturelles en faveur de nos nymphes françoises et des malades qui ont recours à leurs emplois salutaires, Paris, .
    12. Dom Jacques Boyer, « Journal de voyage (1710-1714) », Bulletin Historique et Scientifique de l'Auvergne, t. XXVI, , p. 112, 115, 294, 296.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Archives départementales du Puy-de-Dôme 1 G 14 / 6 : Testament de Martin Gouge (copie).
    15. Testament de Martin Gouge cité dans Jean Savaron, Les origines de la ville de Clairmont, augmentées des remarques, nottes et recherches curieuses des choses advenuës avant et après la première Édition. Ensemble des généalogies de l’ancienne et illustre maison de Senectere et autres, justifiées par chartres, tiltres, privileges des Rois, et autres preuves authentiques, et enrichies de plusieurs portraits dédiées à Monsieur le Mareschal de Senectere, par Pierre Durand, conseiller du Roy, Visiteur General des Gabelles en la cour des Aydes de Clairmont-Ferrand, Paris, 1662.
    16. « Commune de Beauregard-l'Évêque (63034) », sur insee.fr (consulté le ).
    17. « CC Billom Communauté (No SIREN : 200067627) », sur la base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
    18. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
    19. Loi no 2013-403 du relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51, et son décret d'application no 2013-938 du .
    20. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL.
    21. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    22. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    23. Liste des maires 2014 [PDF], site de la préfecture du Puy-de-Dôme (consulté le 28 septembre 2014).
    24. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
    25. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 24 (édition du Puy-de-Dôme).
    26. Annuaire des établissements scolaires de Beauregard-l'Évêque sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
    27. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « BEAUREGARD-L'EVEQUE » dans le formulaire de saisie.
    28. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectoriation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 2.
    29. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur annuaires.justice.gouv.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .
    34. Annie Regond, « Le couvent des Minimes de Mirabeau à Beauregard-l'Evêque. », Congrès archéologique de France, vol. 2000, no 158, , p. 57-65 (lire en ligne).
    35. Père Mallay, « Classification des églises du diocèse de Clermont », Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne, t. XII, .
    36. Patrimoine Auvergne-Rhône-Alpes : église paroissiale Saint-Etienne
    37. Michel Cohendy, « Correspondances, Décisions, Ordonnances et autres œuvres inédites de Jean-Baptiste Massillon, évêque de Clermont », Bulletin Historique et Scientifique de l’Auvergne, t. XXIV, , p. 145-320.
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