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BĂ©ville-le-Comte

Béville-le-Comte est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

BĂ©ville-le-Comte
BĂ©ville-le-Comte
La mairie, style fin XIXe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes des Portes EurĂ©liennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Éric SĂ©gard
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28039
DĂ©mographie
Population
municipale
1 670 hab. (2020 en augmentation de 5,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 83 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 26â€Č 14″ nord, 1° 42â€Č 51″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 158 m
Superficie 20,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Auneau
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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BĂ©ville-le-Comte
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BĂ©ville-le-Comte
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BĂ©ville-le-Comte
Liens
Site web bevillelecomte.com

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • BĂ©ville-le-Comte dans son arrondissement.
      BĂ©ville-le-Comte dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de BĂ©ville-le-Comte.
      Carte de la commune de BĂ©ville-le-Comte.

    Communes limitrophes

    Écarts et lieux-dits

    Baronville, Les Calotiers, La Faisanderie, Les Longs RĂ©ages, Le Luet, Machery (ancienne seigneurie), La Mare, Le Moulin Trubert (moulin Ă  vent).

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 632 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sours - Man », sur la commune de Sours, mise en service en 1974[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 617,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et Ă  16 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Béville-le-Comte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (83,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), forĂȘts (12,8 %), zones urbanisĂ©es (4,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de BĂ©ville-le-Comte est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[20]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Voise. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1983, 1999, 2001 et 2021[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Béville-le-Comte.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 27,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (52,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 666 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 203 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 30 %, Ă  comparer aux 70 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bĂąti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Belsis villa vers 984[27] ; Basonis villa vers l'an 1000[28] ; Besvilla vers 1038[27] ; Besvilla Comitis vers 1250[29] ; Béville la Fontaine en 1793, en cette période révolutionnaire, le titre de noblesse est supprimé, la fontaine Saint Martin est donc mise en avant.
    BĂ©ville-le-Comte depuis 1795[30].

    le Comte, nom commun de personne au cas possessif, le comte « du comte » (de Blois)[29], Béville dépend du comté de Chartres.

    Histoire

    La commune de BĂ©ville-le-Comte est rĂ©putĂ©e depuis le Moyen Âge pour sa fontaine Saint-Martin, guĂ©rissant les maladies des yeux. C'est pour cette raison que le nom originel de la commune Ă©tait Belssy Villas.

    La seigneurie de Bainville, puis BĂ©ville, fut tenue par les Montescot, puis les Lattaignant, puis acquise en 1783 par Étienne François d'Aligre.

    Le bureau d'aide sociale et l'Ă©cole de filles (aujourd'hui Ă©cole primaire) furent crĂ©Ă©s par Étienne Jean François d'Aligre, qui rĂ©amĂ©nagea Ă©galement la fontaine Saint Martin.

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Béville-la-Fontaine[31].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Louis Perrot[32] Rad. puis MRG Conseiller gĂ©nĂ©ral d'Auneau (1958 → 1982)
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1992 Maurice Thirouin
    (1925-2002)
    juillet 1992 janvier 2019[33] Dominique Leblond UDF puis
    NC-UDI
    Collaborateur de pharmacie
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton d'Auneau (2001 → 2015)
    Vice-prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral d'Eure-et-Loir (? → 2015)
    PrĂ©sident de la CC de la Beauce AlnĂ©loise (? → 2016)
    2e vice-prĂ©sident de la CC des Portes EurĂ©liennes d'Île-de-France (2017 → 2019)
    janvier 2019 mai 2020 Eric Segard[34] Ingénieur conseil
    mai 2020 En cours Éric SĂ©gard[34] - [35] IngĂ©nieur ou cadre technique d'entreprise

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[37].

    En 2020, la commune comptait 1 670 habitants[Note 8], en augmentation de 5,36 % par rapport Ă  2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    614681720696719760773782785
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    7837888088679531 0291 1351 1021 075
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 035984994885787829811832772
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7588409491 0931 2101 3351 4051 4151 490
    2017 2020 - - - - - - -
    1 6571 670-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Deux Ă©coles, une maternelle et une primaire, sont ouvertes sur la commune, ainsi qu'une crĂšche et une bibliothĂšque municipale.

    Vie associative

    BĂ©ville-le-Comte accueille plusieurs associations :

    • Le FEP : regroupe diverses sections sportives et culturelles du village ;
    • Association ABYS Music : association de musique ;
    • ADEBA : association environnementale.

    Culture locale et patrimoine

    Baronville

    ChĂąteau de Baronville sur la commune de BĂ©ville-le-Comte
    ChĂąteau

    Logo monument historique Inscrit MH (1985)[39].

    Le chùteau de Baronville est un édifice du XIXe, reconstruit dans le style Louis XIII par le marquis de Pomereu d'Aligre sur les bases d'un chùteau de 1623. C'est une propriété privée, à cheval sur les communes de Béville-le-Comte et Oinville-sous-Auneau, possédée par les descendants du marquis.

    Carrousel

    Le carrousel de Baronville, également privé, servait d'écuries et de ferme modÚle du chùteau de Baronville.

    « Capitale mondiale de l'épouvantail »

    Depuis 1990, Ă  l'initiative de l'association "Épouvantail, TĂ©moin Universel, je vis au salon de mai", BĂ©ville-le-Comte se dit la capitale mondiale de l'Ă©pouvantail. Les fondateurs de cette association sont : Michel Laurent, Serge Mogere et Alain Brillant. Ils ont rĂ©alisĂ© le plus grand Ă©pouvantail et le plus petit Ă©pouvantail du monde.

    En 2007, Ă  la suite d'une commande de la municipalitĂ©, diffĂ©rentes Ɠuvres d'art reprĂ©sentant des Ă©pouvantails ont Ă©tĂ© installĂ©es dans le village :

    • En venant de Roinville ou d'Auneau, l'entrĂ©e du village prĂ©sente, dans un bloc de granite de Bignan de 320 cm, une silhouette d'Ă©pouvantail en "creux". "Hulot chasse les oiseaux" est le titre de cette sculpture de Pierre Garçon.
    • En venant de la route de Chartres, deux Ă©pouvantails accueillaient les visiteurs : le premier, crĂ©Ă© par Christophe Dumont est fait de mĂ©tal, accompagnĂ© d'un grand manteau. Le second, aujourd'hui disparu, de Monique Bouquerel Ă©tait une peinture sur tissu, accrochĂ©e au chĂąteau d'eau.
    • Dans le village, devant l'ancien silo de la SCAEL, un Ă©pouvantail mĂ©tallique, de Caroline Lee.


    • Épouvantails aux entrĂ©es de BĂ©ville
    • Hulot chasse les oiseaux, route d'Auneau, Pierre Garçon
      Hulot chasse les oiseaux, route d'Auneau, Pierre Garçon
    • Chateau d'eau, Monique Bouquerel
      Chateau d'eau, Monique Bouquerel
    • L'Épouvantange, devant la SCAEL, Caroline Lee
      L'Épouvantange, devant la SCAEL, Caroline Lee
    • Enfin, sur le terrain du jeu de paume, se trouvent dix Ă©pouvantails.


    • Épouvantails du jeu de paume de BĂ©ville
    • Xue-Feng Chen-Linotte
      Xue-Feng Chen-Linotte
    • Louis-Marie Catta
      Louis-Marie Catta
    • Philippe Guillemet
      Philippe Guillemet
    • Alice Morlon
      Alice Morlon
    • Laurent Grevy
      Laurent Grevy
    • Pierre Gaucher
      Pierre Gaucher
    • Pierre Garçon
      Pierre Garçon
    • Guillaume Roche
      Guillaume Roche
    • Patrick de Bruyn
      Patrick de Bruyn
    • Christian Champin
      Christian Champin

    Autres lieux et monuments

    • Église paroissiale Saint-Martin, Ă©difiĂ©e au XIIe siĂšcle et reconstruite et agrandie au XVe aprĂšs un incendie[40] ; elle rĂ©haussĂ©e d'un clocher en flĂšche, offert en 1882 par Armand, marquis de Pomereu d'Aligre ;
    • Mairie, style fin XIXe ;
    • Monument aux morts de la guerre 1914-1918, rĂ©alisĂ© par FĂ©lix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installĂ© Ă  Chassant (Eure-et-Loir) et offert par le vicomte Gaston de Pomereu d'Aligre, marquis d'Aligre et maire du village ;
    • Vieux four Ă  pain rĂ©cemment rĂ©novĂ©.
    • Lieux et monuments de BĂ©ville-le-Comte
    • L'Ă©glise Saint-Martin.
      L'Ă©glise Saint-Martin.
    • La mairie.
      La mairie.
    • Le monument aux morts de FĂ©lix Charpentier.
      Le monument aux morts de FĂ©lix Charpentier.
    • Le chĂąteau d'eau.
      Le chĂąteau d'eau.

    Personnalités liées à la commune

    • Étienne François d'Aligre, comte de Marans, marquis d'Aligre, magistrat français nĂ© en 1727, il achĂšte la seigneurie de Baronville en 1783 et meurt en exil Ă  Brunswick en 1798;
    • Étienne Jean François Charles d'Aligre, son fils, marquis d'Aligre (Paris, 1770 - 1847), pair de France, homme politique français, maire de Croissy-sur-Seine, propriĂ©taire du chĂąteau de Baronville puis prĂ©sident du CollĂšge Électoral d'Eure-et-Loir;
    • Émile Labiche (BĂ©ville-le-Comte, 1827 - Paris, 1922), sĂ©nateur d'Eure-et-Loir sous la 3e RĂ©publique, descendant de la famille Labiche qui fut notaire de pĂšre en fils Ă  BĂ©ville-le-Comte de 1604 au , pendant sept gĂ©nĂ©rations;
    • Émile Millochau (BĂ©ville-le-Comte, 1846 - 1929), dĂ©putĂ© d'Eure-et-Loir;
    • Gaston de Pomereu d'Aligre (1861-1935), vicomte de Pomereu et marquis d'Aligre, ancien conseiller gĂ©nĂ©ral de la NiĂšvre, maire de BĂ©ville-le-Comte, prĂ©sident des Anciens Combattants de 14-18, propriĂ©taire du chĂąteau de Baronville et prĂ©sident de la Fondation d'Aligre, de LĂšves;
    • Claude de RougĂ© (1889-1962), comte de RougĂ©, maire-adjoint de BĂ©ville-le-Comte, propriĂ©taire du chĂąteau, ancien combattant des deux guerres mondiales et rĂ©sistant, honorĂ© par une rue du "Comte Claude de RougĂ©", Ă  BĂ©ville.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Sours - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Béville-le-Comte et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Sours - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Béville-le-Comte et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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