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Béluga (cétacé)

Le béluga ou bélouga (Delphinapterus leucas), appelé également baleine blanche, dauphin blanc et marsouin blanc, est une espèce de cétacés de la famille des Monodontidae vivant dans l'océan Arctique et dans l'estuaire du Saint-Laurent. Il dispose d'un des sonars les plus sophistiqués de tous les cétacés. Ce sonar lui est indispensable pour s'orienter et se repérer dans les canaux de glace immergés, qui forment un véritable labyrinthe.

Delphinapterus leucas Baleine blanche, Dauphin blanc, Marsouin blanc

Description

Béluga.
Béluga adulte à l'échelle humaine.

Le mot « bélouga » vient du russe белуха, beloukha signifiant « blanchette »[1]. Il désigne cette espèce de cétacés dont le mâle peut mesurer jusqu'à 5,5 m, et peser jusqu'à 1,5 t (exceptionnellement t)[2]. Le mâle adulte est généralement 25 % plus grand et plus lourd que la femelle[2]. La femelle mesure jusqu'à 4,1 m[2] pour environ t. Les bélugas nouveau-nés, appelés familièrement « veaux » ou « bleuvets », mesurent environ 1,50 m de long pour un poids de 80 kg[2]. Il fait partie de la famille des Monodondidaé ( famille des cétacés de l'ordre des mammifères).

Il est difficile de confondre le béluga avec un autre cétacé à taille adulte. Il possède une crête dorsale, résultat de l'atrophie de l'aileron dorsal, et est entièrement blanc, à l'inverse des jeunes bélugas qui sont bruns, puis gris. Il a un bec très court et une bouche large.

Le béluga appartient au genre Delphinapterus (du grec ancien δελφίν / delphín, « dauphin », avec le préfixe (dit « privatif » : le contraire, l'absence de) ἀ- / a-, et πτερόν / pterón, « aile » : « dauphin sans ailes ») en raison de l'absence d'aileron dorsal. Les scientifiques pensent qu'il s'agirait d'une adaptation qui leur permettrait de briser les glaces pour respirer à la surface, ou de réduire la surface de peau pour réduire la dissipation de la chaleur.

La maturité sexuelle intervient à l'âge de 6 à 9 ans pour les mâles, et de 4 à 7 ans pour les femelles[3]. Les mères donnent naissance à un unique petit au cours du printemps suivant la période de gestation d'une durée de quinze mois. Les petits bélugas sont uniformément gris foncé ; mais cette coloration s'éclaircit avec l'âge, allant de bleu à gris, jusqu'à ce qu'ils prennent enfin leur couleur blanche typique à l'âge de neuf ans pour les mâles et sept ans pour les femelles. Les petits restent sous la protection de la mère deux ans. L'accouplement du béluga n'est pas très bien connu ; il survient probablement au cours de l'hiver ou au tout début du printemps, quand les groupes de bélugas sont encore dans leur territoire hivernal ou au début de leur période de migration. Cependant, l'accouplement semble survenir à d'autres périodes également.

On pensait il y a peu, qu'un béluga vivait en moyenne trente ans[3]. Les scientifiques affirment à présent une tout autre espérance de vie. Les bélugas vivent en moyenne 70 ans (entre 60 et 80 ans)[4]. Sa longévité maximale est donc supérieure à 80 ans.

Écologie et comportement

Un groupe de bélugas au large du Manitoba, Canada.

Le béluga est très sociable. Il se déplace en groupes subdivisés en sous-entités habituellement composées d'animaux du même âge et du même sexe. Les mères et leurs petits intègrent généralement des groupes restreints. Lorsque les nombreuses sous-entités se rejoignent dans les estuaires, il est possible de dénombrer des milliers d'individus ; ce qui représente une proportion significative de la population mondiale des bélugas et les rend d'autant plus vulnérables à la chasse.

Ce mammifère marin nage relativement lentement et se nourrit majoritairement de poissons ; il mange également des céphalopodes (pieuvres, calmars...) et des crustacés (crabes, crevettes...). Il chasse cette faune des fonds marins généralement jusqu'à 300 m, bien qu'il puisse atteindre deux fois cette profondeur. Pour se nourrir, le béluga plonge généralement de 3 à 5 minutes, mais il peut retenir sa respiration pendant 20 minutes[5].

Le béluga est capable d'émettre un large éventail de sons passant par les sifflements, les claquements, les tintements et autres couics. C'est ce qui lui vaut son surnom de « canari des mers ». Certains chercheurs qui ont écouté un groupe de bélugas ont décrit cela comme un orchestre à cordes s'accordant avant un concert. Les scientifiques ont isolé une cinquantaine de sons particuliers, la plupart situés dans une gamme de fréquence allant de 0,1 à 12 kHz. Enfin, certains bélugas seraient en mesure d’émettre des sons dont la ressemblance avec la voix humaine est frappante[6] - [7].

Leurs principaux prédateurs naturels sont l'ours blanc et les orques. Lorsque les bélugas sont piégés par les glaces, les ours les assomment d'un coup de patte et les hissent sur la banquise pour les achever.

Il arrive parfois que le bélouga rencontre le narval, dans les zones où leurs aires de répartitions se rencontrent et se superposent ou lorsque des Narvals errants se trouvent hors de l'aire de répartition de leur espèce. Des observations d'un groupe de bélougas accompagné d'un jeune narval mâle à partir de 2016 ont montré que ces individus acceptaient pleinement la présence du jeune narval mâle malgré leur différence, ce qui semble témoigner de l'acceptation commune et d'une relation pacifique entre les deux espèces[8].

Il est aussi possible que ce soit ce genre de rencontre qui amène parfois les deux espèces à s'hybrider puisqu'en juin 2019, une étude a révélé qu'un crâne, découvert en 1990 par un chercheur auprès d'un chasseur inuit local d'une île de la baie de Disko au Groenland, soupçonné d’appartenir à un hybride a vu sa nature confirmée par une analyse ADN[9]. Surnommé le « Narluga », il s'agit de la première preuve formelle d'une hybridation viable entre les deux espèces, issu d'un béluga mâle (dont on pense qu'il était plus proche de lui en apparence) et d'une femelle narval[10]. L'hybride, un mâle de première génération, avait aussi un régime alimentaire très différent de ses deux parents puisque ayant une denture l'obligeant à adopter un régime alimentaire se composant essentiellement de mollusques et de petits poissons vivant au fond de l'eau, comme le morse, mais le crâne indique que l'animal avait parfaitement vécu jusqu'à l'âge adulte[11]. Le chasseur qui possédait le crâne avait indiqué également au chercheur qu'il avait au moins observé et tué deux autres individus comme celui auquel appartenait le crâne[12]. D'après la description du chasseur, qui avait tué l'animal dans les années 1980 en compagnie d'autres chasseurs inuits, l'animal était uniformément gris avec des nageoires de béluga et une queue de narval[13]. Les chercheurs indiquent que si l'hybridation est quelque chose de fréquent chez beaucoup d'espèces de cétacés et que rien n'empêche les deux espèces de s'hybrider sans causes extérieures, ils indiquent également que cela pourrait aussi être le résultat d'une des conséquences du réchauffement climatique qui ferait que les deux espèces pourraient se côtoyer plus souvent, de même que de s'hybrider, ce qui pourrait à terme représenter une menace pour les deux espèces[14].

Systématique

Taxinomie

Le premier à décrire le béluga fut Peter Simon Pallas, en 1776. Il fait partie de la famille des Monodontidae, au même titre que le narval. Le dauphin Irrawaddy fut un temps classé dans cette famille, avant que de récentes études génétiques n'infirment cette hypothèse.

Fossiles

Le plus ancien ancêtre connu du béluga est Denebola brachycephala, espèce du Miocène aujourd'hui éteinte. Un seul fossile a été découvert, dans la péninsule de la Basse-Californie, indiquant que la famille prospérait autrefois dans des eaux plus chaudes. Les fossiles suggèrent également que l'habitat des bélugas s'est déplacé en fonction de la couverture de la banquise : suivant son expansion durant les périodes glaciaires et de son retrait au cours des périodes de réchauffement.

Répartition et habitat

Répartition du Béluga.

L'habitat du béluga est compris entre 50° N a 80° N, dans les eaux arctiques et subarctiques. Il existe également une population isolée depuis 7 000 années qui vit dans l'estuaire du Saint-Laurent et dans le fjord du Saguenay autour du village de Tadoussac au Québec. Au printemps, les groupes de bélugas gagnent leur territoire estival : des baies, des estuaires et d'autres eaux peu profondes. Il a été remarqué qu'une femelle béluga regagne année après année toujours le même territoire estival. Ces zones sont prises dans les glaces l'hiver, les groupes refluent alors vers le large. La plupart avancent ensuite au fur et à mesure de la progression de la banquise. D'autres restent sous la glace, survivant grâce aux endroits de la banquise non gelés qui leur permettent de respirer ; ou alors grâce aux poches d'air emprisonnées sous la glace. La facilité avec laquelle les bélugas sont capables de trouver des zones où la glace est si fine qu'il est possible de la briser pour respirer en surface, alors que plus de 95 % de la banquise est trop épaisse pour cela, est un mystère qui intrigue grandement les scientifiques. Il semble presque certain que cette faculté fait appel au système d'écholocalisation pour repérer les zones de moindre densité de la glace.

Plusieurs cas d'individus errants ont été répertoriés dans des eaux plus méridionales. Le Bélouga a déjà été observé en Belgique, au Danemark, aux États-Unis contigus, en France métropolitaine[15] - [16] - [17], aux îles Féroé, en Irlande, en Islande, au Japon, en Norvège continentale, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni ou en Suède[18].

Les bélugas vivent en bande près des littoraux et en haute mer : dans les mers polaires arctiques et subarctiques. Pendant l’été ils vont dans des eaux peu profondes, salées et relativement chaudes ou avec des fonds sableux ou boueux. En hiver ils préfèrent les zones de glaces en mouvement où des eaux libres leur donnent accès à l’air.

Étymologie et dénomination

Illustration d'un Béluga (1867).

Le nom béluga vient du mot russe beloye, qui signifie « blanc ». La liste rouge des espèces menacées donne comme nom commun béluga, baleine blanche et dauphin blanc. On lui donne aussi le nom de canari de mer, en rapport avec les sons et sifflements aigus qu'il émet.

Le biologiste marin Le Gall note qu'en Europe, le mot Béluga a aussi été utilisé, à tort, par les marins-pêcheurs pour désigner les marsouins et d'autres petits cétacés[19].

Le Béluga et l'être humain

Populations et conservation

La population globale des bélugas s'est stabilisée aux environs de 100 000 individus. Bien que ce nombre soit plus important que celui d'autres cétacés, il est bien moins important qu'il y a des décennies, avant la chasse au béluga. On estime qu'il y a 40 000 individus en mer de Beaufort, 25 000 dans la baie d'Hudson, 18 000 dans la mer de Behring et 28 000 dans les eaux arctiques canadiennes. La population de l'estuaire du Saint-Laurent est estimée à environ 900 individus[20] - [21].

Menaces

Le béluga Hvaldimir escortant un bateau dans le port de Hammerfest (Norvège)

Les menaces pesant sur les bélugas varient selon leur distribution. La population de l'estuaire du Saint-Laurent, dont le nombre d'individus stagne depuis plusieurs années à environ un millier[20] - [21], a fait l'objet d'études qui laissent penser que la pollution est le principal danger à cet endroit. Il apparaît que, depuis plusieurs dizaines d'années, ces animaux sont exposés à divers composés organochlorés, des hydrocarbures aromatiques polycycliques et des métaux lourds[22]. Dans un cadre scientifique, des nécropsies ont été faites sur des carcasses échouées. Les analyses mettent en évidence un haut taux de cancer, le plus élevé de tous les cétacés[23], et comparable à celui de l'homme[24]. Les cas de cancers rapportés sur des individus du Saint-Laurent semblent se stabiliser. Diverses infections ont également été observées, notamment des parasites métazoaires dans les voies respiratoires et gastro-intestinales[24]. Ces infections pourraient être directement reliées à une contamination par les polluants énumérés ci-dessus, qui présentent un potentiel immunodépresseur[25]. Selon le parc du Fjord du Saguenay, il est erroné de croire que la carcasse d'un béluga échoué est considérée comme un déchet toxique. Toutefois, l'impact à long terme de la pollution sur le devenir de cette population n'est pas clairement connu.

Outre la pollution, d'autres activités humaines constituent également une menace pour l'espèce. Alors que certaines populations en sont venues à tolérer les petites embarcations, d'autres au contraire les évitent. Depuis la fin de la chasse commerciale, l'observation des bélugas est d'ailleurs devenue une activité florissante, notamment dans le Saint-Laurent et dans la rivière Churchill (baie d'Hudson). De plus, on observe une augmentation du trafic maritime, notamment sur le fleuve Saint-Laurent[26], accompagnée d'une augmentation de la taille des navires[26]. Le bruit fait par les moteurs des bateaux pourrait provoquer des dommages permanents aux oreilles des bélugas[27]. Des études sont en cours pour déterminer l'impact de ces sons sur la physiologie et le comportement du béluga. Les collisions avec les bateaux sont aussi une menace pour tous les cétacés[28].

La pollution, le trafic maritime et l'utilisation de brise-glaces[29] sont donc autant de facteurs qui perturbent l'environnement des bélugas.

Captivité

Un béluga dans un delphinarium à Moscou.

Les bélugas sont parmi les premières espèces à avoir été élevées en captivité. Le premier béluga fut exhibé au Barnum's Museum de New York en 1861. Aujourd'hui, le béluga est l'une des rares espèces de cétacés que l'on rencontre dans les aquariums d'Occident. Leur popularité est en grande partie due à leur couleur caractéristique et à leurs mimiques faciales. Alors que la plupart des dauphins ont un « sourire » figé, la flexibilité cervicale du béluga lui confère un répertoire plus vaste d'expressions faciales.

La plupart des bélugas détenus dans les aquariums ont été capturés à l'état sauvage puisque les programmes d'adaptation de cet animal à la captivité ont rencontré un certain succès.

Exploitation

Les bélugas et narvals capturés par des humains.
Cuir de béluga.
Chasse de subsistance au béluga dans la baie d'Hudson (Canada) en 2007.

En raison de leurs schémas migratoires prévisibles et de leur formation en groupes, les bélugas ont été chassés des siècles durant par les autochtones de l'Arctique. Ces derniers se servaient notamment de la viande comme nourriture, de la graisse comme combustible, et de la peau pour s'en faire des vêtements[30]. Au milieu du XVIIIe siècle, les non-autochtones feront une chasse commerciale du béluga dans la baie d'Hudson, à l'est de la baie d'Ungava et dans le Saint-Laurent. Jusqu'en 1860, l'huile est très en demande pour l'éclairage des phares, des lampadaires et des lampes. Par la suite, c'est surtout du cuir dont on se sert pour la fabrication d'attelages de chevaux, de courroies et de lacets[31].

Les bélugas du Saint-Laurent constituent probablement la population la plus affectée par la chasse, et pas seulement à cause de leur exploitation. En effet, dans les années 1920, les pêcheurs observent une diminution des stocks de morue et de saumon et pointent le béluga du doigt. Peu après, le gouvernement québécois offre une prime pour chaque animal abattu[30] - [31]. En 1946, une étude[32] démontra que les bélugas n'étaient pas responsables des problèmes des pêcheries, et il s'ensuivit un arrêt de la chasse à prime.

La chasse de subsistance au béluga est encore autorisée de nos jours dans certaines zones et par certaines populations. Le moratoire international sur la chasse s'applique aux grandes baleines[33]. Ces aires sont le sujet de dialogues entre les Inuits et les gouvernements afin d'instaurer une chasse intelligente et raisonnable. Cette chasse a également permis d'ajouter le béluga à la liste des espèces en danger en 1994.

Aussi bien la marine américaine que la marine soviétique ont utilisé les bélugas dans des opérations de déminage des eaux arctiques[30].

Ce n'est pas cet animal qui donne le réputé « caviar bélouga », mais un esturgeon du même nom, le Bélouga ou Grand esturgeon (Huso huso).

La chasse par région

Année Mer de Beaufort, Mackenzie, Paulatuk, Canada Nunavut, Canada Nunavik, Québec, Canada Océan Arctique + mer de Béring, Russie Mer de Okhotsk, Russie Canada Total Groenland URSS + Russie Alaska Total mondial, incomplet Perdu en mer en% des captures


2017
2016 1574015720340
2015 823034038512540326876
2014 10430240406271403461063
2013 9020740297304403671008
2012 9820740305211403609164 %
2011 7020740277150402887553 %
2010 9020740297190403188453 %
2009 9620740303245402538416 %
2008 7320740280287402548618 %
2007 83207402901164057610222 %
2006 12220740329138402267333 %
2005 10620740313184402828192 %
2004 13220740339193402348068 %
2003 115250207405724244025112879 %
2002 86170210404664304036212983 %
2001 95370404654564041613771 %
2000 84116243404436164028013798 %
1999 862072434053649240217128520 %
1998 861372434046671440342156222 %
1997 1143762434073355740276160622 %
1996 1202032434056654140389153626 %
1995 1294012978440171112422 %
1994 1414014161840285108422 %
1993 1104011079040369130918 %
1992 1214012190040181124213 %
1991 1164011664440315111516 %
1990 87408765740335111924 %
1989 11740117712401388215 %
1988 11640116338401951319 %
1987 144401448194022102513 %
1986 15040150848400103815 %
1985 1201100120755110098517 %
1984 1411100141738110170115920 %
1983 86110086742110235117320 %
1982 12611001261003110335157419 %
1981 15511001551256110209173020 %
1980 851100851096110249154023 %
1979 14426014491526138122322 %
1978 12926012988726177121925 %
1977 148260148103726247145822 %
1976 15426015484526186121128 %
1975 14923014980723185116423 %
1974 12823012892123184125625 %
1973 178230178117923150153023 %
1972 11301139680180126121 %
1971 790797400250106923 %
1970 1150115475020079025 %
1969 70001089700170195925 %
1968 1470001134700150198426 %
1967 407000655700225158024 %
1966 967000671700225159623 %
1965 707000493700225141821 %
1964 457000331700225125622 %
1963 947000230700225115521 %
1962 967000330700225125524 %
1961 1457000345700300134527 %
1960 1457000326700375140122 %
1959 7008003731500450232324 %
1958 7008003341500450228423 %
1957 7008006121500450256226 %
1956 7008005361500450248625 %
1955 700130409830450168924 %
1954 700130209830450148928 %
Sources 1960-1984[34]

1970-99[35] 2013-15[36] 2000-2012[37]

Arviat[38] 1996-2002[39]

2003-16[40]

1954-1985 citations aux papiers russes[34] NMFS, citation au papier russe[41] Total des colonnes à gauche, incomplet 1954-2016[42] Total des colonnes à gauche, incomplet 1954-1984 avec les citations antérieures[34]

1987-90 Cook Inlet[43] 1990-2011[44] 2012-2015 +Cook Inlet[45] - [46]

Total des autres colonnes Étude du Groenland 1954-1999[42], Étude de Beaufort 2000-2012[37]

Notes et références

  1. « L’origine du mot « béluga » - Les démons blancs - Histoires oubliées », sur histoiresoubliees.ca (consulté le )
  2. Shirihai et Jarrett 2011, p. 98
  3. Shirihai et Jarrett 2011, p. 99
  4. « L’âge d’or des animaux - Fin de vie - Regarder le documentaire complet », sur ARTE (consulté en )
  5. Beluga Whales, Delphinapterus leucas, MarineBio, page consulté le 8 avril 2012
  6. http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/nature-environnement/20121023.OBS6639/noc-le-beluga-imitateur-qui-reproduisait-la-voix-humaine.html
  7. « NOC, le béluga imitateur qui reproduisait la voix humaine », sur Sciences et Avenir, (consulté le )
  8. « Le narval parmi les bélugas revu en 2019 », sur Baleines en direct, (consulté le )
  9. (en) Maria Hornbek, « Danish researchers confirm that narwhals and belugas can interbreed », sur news.ku.dk, (consulté le )
  10. « Découverte du premier hybride béluga-narval reconnu à ce jour », sur GuruMeditation, (consulté le )
  11. (en) Mikkel Skovrind, Jose Alfredo Samaniego Castruita, James Haile et Eve C. Treadaway, « Hybridization between two high Arctic cetaceans confirmed by genomic analysis », Scientific Reports, vol. 9, no 1, , p. 7729 (ISSN 2045-2322, DOI 10.1038/s41598-019-44038-0, lire en ligne, consulté le )
  12. Céline Deluzarche, « Voici le narluga, premier hybride entre un narval et un béluga », sur Futura (consulté le )
  13. « Le narluga existe bien ! | Le blob, l'extra-média », sur leblob.fr (consulté le )
  14. Normand Lester, « Nos bélugas s’accouplent-ils avec des narvals? », sur Le Journal de Montréal (consulté le )
  15. Pascal Rolland, « Bibliographie des Mammifères sauvages terrestres et marins de Bretagne et inventaire des spécimens régionaux conservés dans les collections d’histoire naturelle », Groupe mammalogique breton, , p. 1-481 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  16. Paul-Léon Niort, « Un Béluga sur les côtes de France », La Nature, no 3177, , p. 9-10 (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Béluga dans la Seine : malgré l’état stationnaire du cétacé, les espoirs de le sauver s’amenuisent », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  18. (en) Référence UICN : espèce Delphinapterus leucas (Pallas, 1776) (consulté le ).
  19. Le gall, La pêche en Norvège (Notes de mission), Mémoires ; Office scientifique et technique de pêches maritimes, 81 pages. Série spéciale No 4 ; Ed Blondel La Rougerie ; Paris. (Il s'agit du compte rendu d'une mission d'études des techniques de pêche en Norvège, réalisée à la demande du « Syndicat des Armateurs boulonnais » pour étudier la possibilité pour l'industrie haranguière boulonnaise d'aller directement pêcher le hareng en Norvège au lieu de l'importer. (voir page 81, chapitre intitulé Une application possible du fusil-harpon : La chasse aux bélugas)
  20. COSEPAC, Évaluation et Rapport de situation du COSEPAC sur le béluga (Delphinapterus leucas) au Canada, 2004 – Mise à jour, Ottawa, 77 p.
  21. Ministère canadien des pêches et des océans, Évaluation du potentiel de rétablissement des populations de bélugas de la baie Cumberland, de la baie d'Ungava, de l'est de la baie d'Hudson et du Saint-Laurent (Delphinapterus leucas)], 2005, Secrétariat canadien de consultation scientifique du MPO, document de recherche 2005/036, 23 p.
  22. Martineau et al. (1994), Pathology and toxicology of beluga whales from the Saint-Lawrence estuary, Québec, Canada - Past, present and future, Science of the Total Environment 154, 201-215.
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  24. MARTINEAU, D., LEMBERGER, K., DALLAIRE, A., LABELLE, P., LIPSCOMB, T. P., MICHEL, P. & MIKAELIAN, I. (2002). Cancer in wildlife, a case study: Beluga from the St. Lawrence estuary, Quebec,Canada. Environmental Health Perspectives 110, 285-292.
  25. DEGUISE, S., MARTINEAU, D., BELAND, P. & FOURNIER, M. (1995). Possible mechanisms of action of environmental contaminants on St-Lawrence beluga whales (Delphinapterus leucas). Environmental Health Perspectives 103, 73-77.
  26. Ministère canadien des pêches et des océans, Perspectives marines, faits saillants de l'industrie du transport maritime (mars 2011) 28
  27. Baleines en direct, Sommes-nous trop bruyants?, page consultée le 19 novembre 2011
  28. Parcs Canada, Pour une meilleure approche des bélugas, Pause nature (15 mars 2010), page consultée le 19 novembre 2011
  29. Ministère canadien des pêches et des océans, Le béluga, Le monde sous-marin, page consultée le 19 novembre 2011
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Annexes

Articles connexes

Bibliographie

  • Jean-Pierre Sylvestre, Guide des mammifères marins du Canada, Ottawa, Broquet, , 330 p. (ISBN 2-89000-428-7)
  • Hadoram Shirihai et Brett Jarrett (Illustrations) (trad. Maxime Zucca), Guide des mammifères marins du monde : Toutes les espèces décrites et illustrées, Delachaux et Niestlé, coll. « Les guides du naturaliste », , 384 p. (ISBN 978-2-603-01820-0)

Références taxinomiques

Liens externes

Bases de données et dictionnaires

Le chant du beluga

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