Aubers
Aubers [obÉÊ] est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement du Nord en rĂ©gion Hauts-de-France. Aubers faisait partie de la communautĂ© de communes de Weppes, en Flandre française, qui a choisi de rejoindre la MĂ©tropole EuropĂ©enne de Lille en 2017.
Aubers | |||||
Aubers, vu depuis Fauquissart (commune de Laventie). | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Alain Leclercq 2020-2026 |
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Code postal | 59249 | ||||
Code commune | 59025 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Aubersois | ||||
Population municipale |
1 698 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 167 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 35âČ 46âł nord, 2° 49âČ 33âł est | ||||
Altitude | Min. 18 m Max. 41 m |
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Superficie | 10,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'AnnĆullin | ||||
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
GĂ©olocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | aubers.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Aubers se situe dans le pays des Weppes, en Flandre romane, Ă 20 km au sud-ouest de Lille et 15 km Ă l'est de BĂ©thune.
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Hydrographie
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[7] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 762,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et Ă 20 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Voie de communication et transport
- En provenance de Paris : prendre l'autoroute A1 jusque Lille, suivre la direction de Dunkerque par l'autoroute A25, sortir à « Béthune / La Bassée » (route nationale 41).
- En provenance de Dunkerque : prendre l'autoroute A25 en direction de Lille, sortir à « Lens / Haubourdin » (RN 41).
Urbanisme
Typologie
Aubers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (96,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (26 %), prairies (4,5 %), zones urbanisĂ©es (4,2 %), forĂȘts (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Noms anciens : Obertio, 1152, bulle d'EugĂšne III, en faveur des Ă©vĂȘques d'Ărras, Mir. III, 340. Obert, 1203, ch. d'Et. de Tournai, Mir. II, 839. Oberch, 1210, titre de St-ĂmĂ© de Douai. Auberch , 1344> 1er cart. de la Dame de Cassel. Les Ă©vĂȘques d'Arras jouissaient de l'autel d'Ăubers, en vertu delĂ bulle de 1152 sus-rappelĂ©e.
Histoire
Guillaume du Plouich d'Aubert, issu de la branche cadette des chĂątelains de Lille, Ă laquelle paraĂźt avoir appartenu ce village, et Pierron d'Aubers se mirent, en 1340, du parti du duc de Bourgogne, contre Robert d'Artois, qui faisait le siĂšge de Saint-Omer.
Aubers était le siÚge d'une seigneurie dont les derniers titulaires, avant la Révolution française qui abolit les titres de noblesse, relevaient de la famille Blondel qui, par la suite, a porté le nom de Blondel d'Aubers. Roland Blondel achÚte la seigneurie en 1698. Elle consiste en un village à clocher, possédant toute la justice seigneuriale relevant du bourg et chùteau de Warneton. Elle correspond à différentes terres, rentes, prés, ferme, etc.. Elle est achetée 85 000 livres de France. Roland Blondel commence la construction du chùteau d'Aubers que son fils va continuer[21].
En 1794, lors de sa vente, le chĂąteau d'Aubers s'Ă©tendait sur neuf hectares[21].
La commune, un temps située sur le front a été fortement marquée par la PremiÚre Guerre mondiale qui a laissé de nombreuses séquelles dans le paysage et dans les communautés.
Comme à Fromelles, de violents combats visant le contrÎle de la plaine située entre la Deûle et la Lys ont détruit une grande partie de la commune forçant la plupart des habitants à fuir. Le village sera ensuite quasiment rasé par les obus alors que les soldats s'enterraient dans les réseaux de tranchées creusés à la hùte. Seul un tilleul déjà considéré comme remarquable (en 1721, il avait survécu à la foudre qui l'avait fendu en deux parties) sera miraculeusement épargné. Ce tilleul, qui atteint aujourd'hui environ 8 mÚtres de circonférence, est protégé par la commune d'Aubers et par le Cercle Historique d'Aubers[22].
Beaucoup de soldats anglais et du Commonwealth sont morts sur place. Les cadavres trouvés sur place et les corps déplacés de cimetiÚres provisoires seront rassemblés dans l'Aubers Ridge British Cemetery.
La reconstruction sera entreprise dÚs 1919 en commençant par un travail de déminage (fait sous le contrÎle de l'armée anglaise), car de nombreuses munitions non-explosées jonchaient le sol ou étaient enterrées. Ces milliers de munitions (obus de tous calibres) seront pétardées sur place ou transportées vers des centres de tri et de démantÚlement (ferrailleurs spécialisés disposant de concessions spéciales).
Politique et administration
Situation administrative
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Politique environnementale
Jumelages
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[26].
En 2020, la commune comptait 1 698 habitants[Note 8], en augmentation de 8,71 % par rapport Ă 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 33,2 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (39,5 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 27,5 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,5 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 815 hommes pour 840 femmes, soit un taux de 50,76 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Aubers fait partie de l'académie de Lille.
Ăconomie
La commune abrite l'Ăcole de spectacle Ă©questre le Domaine de L'Hippocrate[33].
Le camping, le Camp des Roses, est en activité sur le village.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le chĆur de l'ancienne Ă©glise Ă©tait autrefois ornĂ© de huit vitraux dont cinq furent donnĂ©s par Wallerand de Beaufremez, et trois par des membres de la famille de Noyelles. Ils portaient les armes de ces familles. Dans la nef de gauche Ă©tait un vitrail offert par un membre de la famille Preudhomme d'Ailly ; dans la nef de droite un vitrail donnĂ© par un membre de la famille Castelain. On y voyait un tableau attribuĂ© Ă Van Dyck.
- Le tilleul du Joncquoy (planté en 1490).
- Les mottes et douves des deux chĂąteaux de PiĂštre.
- Le site des Ă©tangs : 5 ha ouvert Ă la pĂȘche depuis 1970.
- La grotte Notre-Dame de Lourdes, réalisée en 1958.
- Plaine à proximité d'Aubers avec au loin son église.
- Le monument aux morts.
- Le Tilleul du Joncquois.
- : Le blockhaus de 1914-1918- Neuve-Chapelle rue de PiĂštre.
- Ăglise Vaast d'Arras.
- le chemin du Joncquois.
Seigneurs d'Aubers
- Claude De Richardot, prince de Steenhuyse, comte de Gamarage, général des armées de sa majesté catholique (le roi d'Espagne) et colonel d'un régiment de dragons possÚde la seigneurie d'Aubers avant 1698[21].
- Roland Blondel (1642-1722), nait à Ransart en 1642. Il devient bourgeois d'Arras le , puis secrétaire du roi en la chancellerie du Parlement de Flandres le . Il épouse Isabelle de Vauchelles. Il achÚte en 1698 la seigneurie d'Aubers à Claude de Richardot. Il acquiert le la moitié de la seigneurie de Vendin-le-Vieil. Il meurt à Aubers le , à l'ùge de 80 ans[21].
- Adolphe-Roland-Liévin Blondel (1689-1739), fils de Roland, nait à Neuville-Saint-Vaast le . Seigneur d'Aubers aprÚs son pÚre, il devient bourgeois d'Arras le , échevin d'Arras en 1715, 1716, 1731, puis conseiller du roi, trésorier payeur des gages, alternatifs et triennal des officiers de la chancellerie d'Artois le . Il épouse à Arras le Marie-Claire Caudron, fille d'Antoine, bourgeois marchand d'Arras et de Jeanne de Warlincourt. Il meurt à Aubers le [21].
- EugĂšne-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767), chevalier, seigneur d'Aubers, fils d'Adolphe-Roland-LiĂ©vin, nait Ă Arras le . Il fait des Ă©tudes Ă Paris oĂč il aurait obtenu le baccalaurĂ©at. Il est avocat au Parlement de Flandres en 1737,conseiller du roi en ses conseils audit Parlement en 1739, procureur gĂ©nĂ©ral au mĂȘme endroit en 1741, premier prĂ©sident du arlement de Flandres de 1756 Ă 1767, proche du dauphin Louis de France pĂšre du roi Louis XVI. Il se marie Ă Douai par contrat du avec Camille-Gabrielle Vernimmen (1713-1757), fille de Gilles-Paul, procureur gĂ©nĂ©ral au Parlement de Flandres et de Marie-Louise-Bernardine Poulet. NĂ©e en 1713, elle meurt le , sans enfant. C'est Ă la suite de ce mariage qu'il devient procureur gĂ©nĂ©ral au Parlement, en rĂ©cupĂ©rant la charge tenue par son beau-pĂšre, en cĂ©dant celle de conseiller Ă son beau-frĂšre[21]. EugĂšne-Roland-Joseph, devenu veuf, Ă©pouse par contrat Ă Douai le Marie-Anne de Calonne, sĆur du ministre et contrĂŽleur gĂ©nĂ©ral des finances Charles-Alexandre de Calonne[34]. NĂ©e le , elle est la fille de Louis-Joseph-Dominique de Calonne, prĂ©sident Ă mortier au Parlement de Flandres, et d'Henriette de Franqueville d'Abancourt. EugĂšne-Roland-Joseph achĂšte le reste de la terre de Vendin-le-Vieil avec le titre seigneurial en 1759. Le , EugĂšne-Roland-Joseph et sa femme Marie-Anne de Calonne achĂštent la terre de Pont-Ă -Vendin. Il meurt Ă Douai le , est inhumĂ© dans le chĆur de l'Ă©glise d'Aubers le 5 octobre. Ă la suite de quoi sa veuve Ă©tablit sa demeure au chĂąteau de Vendin-le-Vieil. Puis sa veuve Ă©migre en 1792 pendant la RĂ©volution française, elle gagne l'Angleterre, les biens fonciers du couple vont ĂȘtre dĂ©clarĂ©s biens de la Nation, elle dĂ©cĂšde en exil le [21].
- Louis-Marie-Joseph Blondel d'Aubers (1765-1830), fils d'EugĂšne-Roland-Joseph, appelĂ© messire, chevalier, seigneur d'Aubers, de Vendin-le-Vieil, conseiller du Parlement de Paris, puis conseiller Ă la Cour de cassation, puis conseiller d'Ătat titulaire puis honoraire, dĂ©putĂ© du Pas-de-Calais.
- Ămile-Louis-Marie Blondel d'Aubers (1791-1877), fils de Louis-Marie-Joseph, effectue une brillante carriĂšre[34]. Il nait Ă Lille le , est avocat stagiaire Ă Paris en 1811, nommĂ© sous-prĂ©fet de Douai en 1815, sous-prĂ©fet de Mortagne-au-Perche en 1817, prĂ©fet de l'ArdĂšche en 1828, prĂ©fet du Gers en 1829, maire de Vendin-le-Vieil aprĂšs 1830, membre du conseil gĂ©nĂ©ral du Pas-de-calais[35], chevalier puis officier de la LĂ©gion d'honneur, chevalier de l'Ordre de l'Ăperon d'or[36]. Il a Ă©pousĂ© CĂ©line des Perriers de Fresnes, dont il a eu trois filles[37]
HĂ©raldique
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Les armes d'Aubers se blasonnent ainsi : « De gueules à la croix d'or. » |
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Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Aubers et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Aubers et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Sébastien Bocquillon, « Fortune d'un premier président au Parlement de Flandre, EugÚne-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767) », Revue du Nord 2007/3 (n° 371), pages 507 à 529, sur Cairn info.
- Circuit de visite permettant de voir le Tilleul remarquable historique d'Aubert
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aubers (59025) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement du Nord (59) », (consultĂ© le ).
- « ILLIES AUBERS ETOILE S. C. ».
- « Terrain de Paintball d'Aubers . ».
- « CENTRE ĂQUESTRE DOMAINE DE L HIPPOCRATE . ».
- ĂlĂ©onore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-59.
- Raoul d'Entragues, « Notice biographique sur M. de Blondel d'Aubers. »
- « Recherche - Base de données Léonore », sur www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Notice LH//260/21.
- ĂlĂ©onore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 59.