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Asques (Gironde)

Asques (Ascas en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Asques
Asques (Gironde)
Mairie d'Asques.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes du Fronsadais
Maire
Mandat
Murielle Darcos
2020-2026
Code postal 33240
Code commune 33016
DĂ©mographie
Gentilé Asquais
Population
municipale
439 hab. (2020 en diminution de 7,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 70 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 57â€Č 10″ nord, 0° 24â€Č 40″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 32 m
Superficie 6,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Lande-de-Fronsac
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Libournais-Fronsadais
LĂ©gislatives DixiĂšme circonscription
Localisation
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Asques
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Asques

    GĂ©ographie

    Cartographies interactive et OpenStreetMap
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    1. Carte dynamique
    2. Carte Openstreetmap
    3. Carte topographique
    4. Carte avec les communes environnantes

    Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située sur la rive droite de la Dordogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Saint-Romain-la-Virvée et Saint-LoubÚs.

    Communes limitrophes d’Asques
    Saint-Romain-la-Virvée
    Asques
    Saint-LoubĂšs

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 889 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 784,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  22 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[13].

    Milieux naturels et biodiversité

    La Dordogne Ă  Asques.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Asques[14] - [15]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[16].

    ZNIEFF

    Asques fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[17] - [18], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Asques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [20] - [21] - [22]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de La Lande-de-Fronsac, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[23] et 6 543 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[24] - [25].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[26] - [27].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (77,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), eaux continentales[Note 7] (22,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,8 %), zones urbanisĂ©es (8,3 %), cultures permanentes (5,1 %), prairies (4,6 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Asques est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Libourne, regroupant les 20 communes concernĂ©es par un risque de submersion marine ou de dĂ©bordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[31]. Les Ă©vĂ©nements significatifs aux XIXe et XXe siĂšcles sont les crues de 1843 (6,80 m l'Ă©chelle de Libourne), de 1866 (6,40 m) et du (6,38 m) et du (6,36 m). Au XXIe siĂšcle, les Ă©vĂ©nements les plus marquants sont les crues de mars 2010 (5,55 m) et du (5,97 m). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[32]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1988, 1999, 2009, 2010, 2013, 2014 et 2016[33] - [29].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs[34]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[35].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Asques.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 87,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 215 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 215 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[35].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2012 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[29].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 8] soumis Ă  PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mĂštres cubes[38]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[39].

    Histoire

    À la RĂ©volution, le hameau d'Asques et sa chapelle Saint-Martin appartenant Ă  la paroisse Saint-Romain-de-Boursas (devenue elle-mĂȘme la commune de Saint-Romain-la-VirvĂ©e) forme la commune d'Asques[40].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 2020 Jean Mora[41] Retraité
    2020 En cours Murielle Darcos Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Les habitants sont nommés les Asquais[42].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[44].

    En 2020, la commune comptait 439 habitants[Note 9], en diminution de 7,58 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    720675758775704672723729758
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    725721730759736657607608596
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    563591501486440392399336336
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    315378382414444474476476484
    2018 2020 - - - - - - -
    451439-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      L'Ă©glise Saint-Jean
    • voir la lĂ©gende ci-aprĂšs
      Croix de chemin
    • L'Ă©glise Saint-Jean[47] : À l'origine, au XIIe siĂšcle, l'Ă©glise Ă©tait la chapelle d’une Commanderie HospitaliĂšre. De l’édifice primitif subsiste : le plan rectangulaire Ă  chevet plat et nef unique prĂ©cĂ©dĂ©e d’un clocher. Le portail est alors tout simplement surmontĂ© de deux arceaux et couronnĂ© par une croix de Malte. Les parties hautes du clocher, pourvues de baies en lancette, sont reconstruites au XVe siĂšcle, et un escalier Ă  vis permet d’y accĂ©der. Deux Ă©pais contreforts consolident le chevet plat dont le mur nord est percĂ© d’une baie en lancette.
    Cette austĂ©ritĂ© architecturale se maintient jusqu’à la fin du XVIIIe siĂšcle, mais Ă  la suite de la visite du vicaire gĂ©nĂ©ral de l’archevĂȘque de Bordeaux sur requĂȘte des Asquais, des travaux de rĂ©novation importants sont engagĂ©s. L’église est agrandie d’un bas-cĂŽtĂ© au nord et sa façade est refaite dans le style nĂ©o-classique, avec un fronton triangulaire, des pilastres et des colonnes engagĂ©es. L’archevĂȘque de Bordeaux vient lui-mĂȘme, en 1788, consacrer l’église rĂ©novĂ©e.
    Au XIXe siĂšcle, le bas-cĂŽtĂ© restaurĂ© reçoit un dĂ©cor de peintures murales figurant l’ascension de la Vierge. Une sacristie est construite au sud-est du chevet. Toutes les fenĂȘtres, refaites, sont Ă©clairĂ©es de vitraux rĂ©alisĂ©s en 1875-1876 par l’atelier bordelais du maĂźtre-verrier Gustave Pierre Dagrant.
    Le clocher a retrouvĂ© rĂ©cemment sa couverture en tuiles, en remplacement d’une couverture en feuilles de zinc datant de 1884.
    • Croix d’Asques[48]
    La commune d’Asques conserve une croix en pierre dont les origines font l’objet de nombreuses suppositions.
    Les querelles territoriales ayant Ă©tĂ© nombreuses Ă  Asques, il est possible que cette croix ait dĂ©limitĂ© autrefois les terres appartenant Ă  l’Ordre de Malte.
    Il est Ă©galement possible qu’il s’agisse de la croix mentionnĂ©e dans le registre des baptĂȘmes de Saint-Romain-de-Boursas. Elle aurait alors Ă©tĂ© bĂ©nite le 12 aoĂ»t 1691 ?
    Dans le hameau de Saint-Martin, Ă  l’emplacement des ruines d’une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Martin, subsiste le socle d’une deuxiĂšme croix de carrefour, bĂ©nite le 24 juin 1721.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[37].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Asques et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Asques et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. - FR7200660 - La Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    15. Carte du site « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    16. EspÚces, INPN, consulté le .
    17. [PDF] - La Dordogne (Identifiant national 720020014), GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
    18. Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
    19. EspÚces, INPN, consulté le .
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Unité urbaine 2020 de La Lande-de-Fronsac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    24. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    25. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    29. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Asques », sur Géorisques (consulté le )
    30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    31. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    32. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Libourne », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    35. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Asques », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    37. Article R214-112 du code de l’environnement
    38. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    39. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    40. Historique des communes, p. 2, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 12 avril 2013.
    41. Commune d'Asques sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 12 avril 2013.
    42. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 12 avril 2013.
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. L'Ă©glise Saint-Jean sur le site de l'Office de Tourisme Fronsadais.
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