Arçay (Vienne)
Arçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.
Arçay | |
Dolmen de Briande. | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine |
DĂ©partement | Vienne |
Arrondissement | ChĂątellerault |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays loudunais |
Maire Mandat |
Alain Noe 2020-2026 |
Code postal | 86200 |
Code commune | 86008 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Arçois |
Population municipale |
337 hab. (2020 ) |
Densité | 24 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 46° 58âČ 10âł nord, 0° 00âČ 54âł est |
Altitude | 78 m Min. 50 m Max. 122 m |
Superficie | 14,05 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Loudun (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Loudun |
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
Les citoyens d'Arçay sont nommés les Arçois et les Arçoises.
Localisation
La commune est proche du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine.
Communes limitrophes
Arçay est situé à 33 km au sud-est de Saumur qui est la plus grande ville aux alentours.
GĂ©ologie et relief
La région d'Arçay présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de plaines de champs ouverts. Le terroir se compose de[1]:
- dans les vallées et les terrasses alluviales, de calcaires (16 %) et de tourbe (9 %) ;
- sur les collines et les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien, d'argilo (22 %) ;
- sur les autres collines, de champagnes ou aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour moins de 1 % ;
- sur les plaines, de groies moyennement profondes (52 %). Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en gĂ©nĂ©ral de moins de 50 cm dâĂ©paisseur â et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices Ă la polyculture cĂ©rĂ©aliĂšre mais elles sâassĂšchent vite
En 2006, 94 % de la superficie de la commune Ă©tait occupĂ©e par l'agriculture, 3 % par des forĂȘts et des milieux semi-naturels et 3 % par des zones construites et amĂ©nagĂ©es par l'homme (voirie)[2].
La forĂȘt privĂ©e reprĂ©sente, en 2007, 100 hectares soit 7 % du territoire communal[3]. Les espaces boisĂ©s sur le territoire communal contribuent Ă assurer des fonctions de production (bois dâĆuvre mais aussi bois Ă©nergie), de protection (espĂšces, qualitĂ© des eaux) et sociales (accueil du public). Les forĂȘts les plus anciennes ou implantĂ©es dans des conditions Ă©cologiques particuliĂšres (pentes, bords de cours d'eau...) abritent en gĂ©nĂ©ral la biodiversitĂ© la plus forte. Mais, au cours de lâhistoire, pour rĂ©pondre aux besoins d'une population rurale importante, la forĂȘt poitevine a Ă©tĂ© intensĂ©ment dĂ©frichĂ©e et surexploitĂ©e jusquâĂ la rĂ©volution industrielle. Environ la moitiĂ© des forĂȘts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[4].
Hydrographie
La commune est parcourue par 8 km de cours d'eau. La riviĂšre la Dive en est le principal cours d'eau qui traverse le territoire de la commune sur 3 km.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[5]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Martaize », sur la commune de MartaizĂ©, mise en service en 1993[11] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 565,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et Ă 49 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15] Ă 11,7 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 12,2 °C pour 1991-2020[17].
Voies de communication et transports
Les gares les plus proches se trouvent Ă Thouars Ă 17,08 km et Ă Montreuil-Bellay Ă 21,25 km.
Urbanisme
Typologie
Arçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Loudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (94 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (72,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,1 %), prairies (5,8 %), zones urbanisĂ©es (2,8 %), forĂȘts (1,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,3 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Arçay est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dive et la Briande. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[26] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[27]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[28]. 99 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (79,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ĂLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[24].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Arciacus en 791[30] - [31], dans la phrase Artiacus villa in vicaria castri landunensis en 950[32].
Histoire
Arçay a eu une activité importante au temps des chemins de fer, notamment pour le trafic de marchandises. C'était l'embranchement des lignes Tours - Loudun - Thouars - Bressuire - Les Sables-d'Olonne et Loudun - Poitiers. Entre 1930 et 1940 (notamment, cf note 3), une bonne partie des foyers d'Arçay vivait du salaire versé par les "Chemins de Fer". Aujourd'hui, gare et rails sont désaffectés.
Politique et administration
Arçay dépend de l'arrondissement de Chùtellerault.
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté de communes du Pays Loudunais.
liste des maires
Instances judiciaires et administratives
La commune relĂšve du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la SĂ©curitĂ© sociale de la Vienne, de la cour dâassises de la Vienne.
Services publics
Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.
La gare est désaffectée.
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants sont nommés les Arçois[33]
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 337 habitants[Note 9], en diminution de 11,78 % par rapport Ă 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, la densité de population de la commune était de 29 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
Enseignement
La commune d'Arçay dépend de l'académie de Poitiers et les écoles primaires de la commune dépendent de l'inspection académique de la Vienne. La commune possÚde encore une école primaire publique.
Sport
Club de foot : ES Arçay
Ăconomie
Selon la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂȘt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 14 en 2000[38].
Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont augmentĂ© et sont passĂ©es de 792 hectares Ă 940 hectares entre 2000 et 2010[38]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible dâexploitations. Cette tendance est conforme Ă lâĂ©volution constatĂ©e sur tout le dĂ©partement de la Vienne puisque de 2000 Ă 2007, chaque exploitation a gagnĂ© en moyenne 20 hectares.
70 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre pour la moitié de la superficie, de l'orge et du maïs) et 20 % pour les oléagineux (tournesol)[38].
Entre 2000 et 2010, l'Ă©levage a disparu. En 2000, on comptait trois exploitations d'Ă©levage de chĂšvres (337 tĂȘtes). Il n'y en a plus en 2010[38]. Cette disparition est rĂ©vĂ©latrice de lâĂ©volution quâa connu, en rĂ©gion Poitou-Charentes, cet Ă©levage au cours des deux derniĂšres dĂ©cennies: division par trois du nombre dâexploitations, augmentation des effectifs moyens par Ă©levage (38 chĂšvres en 1988, 115 en 2000), division par 10 des chĂšvreries de 10 Ă 50 chĂšvres qui reprĂ©sentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par 6 des Ă©levages de plus de 200 chĂšvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette Ă©volution a principalement pour origine la crise de surproduction laitiĂšre de 1990-1991 qui, en parallĂšle des mesures incitatives, a favorisĂ© des dĂ©parts dâĂ©leveurs en prĂ©retraite[39]
LâEscargoterie de la Roche Briande est une vaste ferme poitevine en pierre de galuche qui abrite un Ă©levage dâescargots. Il est possible de visiter les serres dâĂ©levage, vastes enclos oĂč ils naissent et sont nourris. Des visites guidĂ©es et commentĂ©es sur l'Ă©levage sont organisĂ©es. Elles permettent de dĂ©couvrir les mĂ©thodes d'Ă©levage des escargots. Plus de 100 000 "lumas" grandissent chaque annĂ©e dans les herbes de l'exploitation.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Dolmens de Briande : deux dolmens encore visibles, dont un Ă©tĂ© inscrit au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du 4 juillet 1978[40].
- Dolmen de la ferme du Pontreau : ruiné.
Patrimoine naturel
- La zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de la plaine d'Oiron Ă Thenezay garantit la protection des oiseaux sauvages et de leur biotope.
- Selon l'inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[41], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un Mûrier noir.
Ăquipement culturel
Le conservatoire de l'Amandier sur la butte de Marcoux. L'amandier, arbre ancré sur le pourtour méditerranéen depuis des millénaires, fleurit aussi dans les contrées loudunaises. DÚs le mois de février, sa floraison rose et blanche est spectaculaire. Ces amandiers sont plantés prÚs des vignes, au pied des murets de clos mais aussi isolément dans la plaine, et ceci depuis un millénaire. Le conservatoire permet de découvrir les amandiers de souche locale.
Spécialités gastronomiques
Le macaron d'Arçay, biscuit à base d'amandes.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[8].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
3. (selon les souvenirs d'un écolier à cette période)
Références
- Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
- Observatoire RĂ©gional de l'Environnement de Poitou-Charentes
- Centre Régional de la Propriété ForestiÚre de Poitou-Charentes - 2007
- IFEN-BD CORINE Land CoverÂź 2006, toutes couches « ForĂȘt », hors espace vert artificialisĂ© non agricole
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Martaize - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Arçay et Martaizé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Martaize - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 27/09/2008.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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