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Albussac

Albussac (Albuçac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze, en région Nouvelle-Aquitaine.

Albussac
Albussac
L'église Saint-Martin.
Blason de Albussac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes Xaintrie Val'Dordogne
Maire
Mandat
Sébastien Meilhac
2020-2026
Code postal 19380
Code commune 19004
Démographie
Gentilé Albussacois
Population
municipale
740 hab. (2020 en augmentation de 4,37 % par rapport à 2014)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 08′ 20″ nord, 1° 50′ 11″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 636 ou 637 m
Superficie 36,26 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tulle
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argentat-sur-Dordogne
Législatives Première circonscription
Localisation
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Albussac
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Albussac
Liens
Site web albussac.correze.net

    Géographie

    Albussac est une commune du Massif central située dans le sud du département de la Corrèze, à environ 500 m d'altitude. Le territoire communal est arrosé par la Franche Valeine, et la Roanne y prend sa source.

    L'altitude minimale, 240 m, se situe à l'est, là où la Franche Valeine quitte le territoire communal et sert de limite entre les communes de Forgès et Saint-Chamant ; le point culminant, avec 636 ou 637 m, se situe à la Roche de Vic, au sud-ouest de la commune[1] - [Note 1].

    Le climat y est océanique avec des températures de l'ordre de 25 °C à 3 °C en été et de 9 °C en hiver avec des périodes de vagues de froid fréquentes en janvier et février (fréquemment -10 à -12 °C au lever du soleil et pas plus de -3 °C à 0 °C à 15 h). Albussac connaît assez régulièrement des épisodes neigeux en hiver, il n'est pas rare d'observer des précipitations de l'ordre de 20 cm de neige.

    Communes limitrophes

    Albussac est limitrophe de sept autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 1 228 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Argentat », sur la commune d'Argentat-sur-Dordogne, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 165,4 mm pour la période 1981-2010[10].

    Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Albussac est une commune rurale[Note 6] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tulle, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (51,4 %), forêts (41,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %), zones urbanisées (0,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Albussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Albussac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 426 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Albussac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

    Toponymie

    La plus ancienne mention connue du lieu date de l'an 861 sous la forme latine Albuciacus[29].

    Ce nom dérive d'un personnage d'origine latine, Albucius, auquel le suffixe -acum a été ajouté[29], correspondant ainsi au « domaine d'Albucius Â».

    Histoire

    La stèle en mémoire des cinq résistants morts le 31 juillet 1944.

    L'église d'Albussac fut donnée à l'abbaye de Tulle vers 930 par le vicomte Adhémar, avec les mas et les vignes de Murel. Antérieurement, vers l'an 861, elle avait été donnée pour moitié au monastère de Beaulieu. C'est dire que le bourg d'Albussac remonte au moins à l'époque des Carolingiens. C'est devant cette église, sur la place de Saint-Ferréol, que le juge de la baronnie de Neuville tenait ses assises.

    La Roche de Vic est une colline historique. Ce site fut occupé dès le Mésolithique[30]. Il présente des retranchements, longtemps considérés comme gaulois, mais qui datent probablement du Moyen Âge. En effet, à la fin du XIIe siècle, le vicomte de Turenne fait un don à l'abbaye d'Obazine en réparation des dommages causés lors de la construction de Roche de Vic (Rochadavit) par son armée[31].

    Près du moulin de Prézat, au bord du ruisseau qui tombe en cascades (les cascades de Murel), il y a juste après les cascades, au sommet d'un monticule difficile d'accès, les ruines d'une église ou d'une chapelle qui semblent très anciennes.

    Le , la division SS Das Reich incendie le village des Quatre Routes d'Albussac, situé sur la route départementale 940, avant d'assassiner un vieil homme et de brûler sa maison au Grelet de Sainte-Fortunade puis de poursuivre leurs assassinats à Tulle[32] - [33].

    Le , cinq résistants périssent lors du combat des Murels[34].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La commanderie templière puis hospitalière de Puy de Noix[35]. Bien que le village de Puy de Noix soit sur la commune de Beynat, le lieu-dit la Commanderie se trouve sur le territoire d'Albussac (45° 09′ 10″ N, 1° 45′ 54″ E). Voir également la liste des commanderies templières en Corrèze et le grand prieuré d'Auvergne de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1794 1801 Pierre Chastrusse
    1801 1801 Jean Bourdet
    1801 1801 Jean Chastrusse
    1801 1803 Pierre Chastrusse
    1803 1807 Jean Chastrusse
    1807 1832 Gabriel Noël Bourdet
    1832 1850 Jean-Baptiste Bourdet
    1850 1851 Pierre Daunie
    1851 1865 Jean-Baptiste Chastrusse
    1865 1872 Jean Sol
    1872 1878 Jean-Baptiste Désiré Naudoux
    1878 1896 François Nugon
    1896 1908 Martial Maugein
    1908 1918 Jules François Nugon
    1918 1919 Jean Soustre
    1919 1925 Martial Maugein
    1925 1944 Pierre Bordes
    1944 1958 Emmanuel Arago
    1958 1959 Jean-Baptiste Raoul
    1959 1965 Cyprien Rode
    1965 1977 Jean-Baptiste Raoul
    1977 1983 Gilbert Coste
    1983 décembre 2016 Raymond Raoul[Note 9] LR Agriculteur retraité
    février 2017 En cours Sébastien Meilhac[36] LR Artisan

    Démographie

    Les habitants sont appelés les Albussacois[37].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

    En 2020, la commune comptait 740 habitants[Note 10], en augmentation de 4,37 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0681 1161 0681 2701 2941 3551 3361 3891 359
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4031 4441 3351 4141 4001 3321 4661 3911 537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4011 4971 4601 1911 2271 1831 1491 0381 007
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    925851790718739668691695691
    2017 2020 - - - - - - -
    731740-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Albussac Blason
    De gueules au chevron d’or accompagné en pointe d’un croissant d’argent, au chef cousu d’azur, chargé de trois étoiles d’or de six rais.
    Détails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Docteur Albert Massonie : Vieux Passé d'Albussac, Tulle, 1990.
    • Alain Maury, Michèle Vergne et Marguerite Guély, « La commanderie de Puy de Noix (Beynat-Albussac) au début du XVIe siècle », Bulletin de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze, no 133,‎
    • Michèle Vergne, Des templiers aux laboureurs, Puy de Noix, Beynat – Albussac en Bas-Limousin,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux données contradictoires selon l'IGN : sur les cartes, la Roche de Vic est indiquée à 636 m, alors que dans son ancienne base de données, la commune culmine à 637 m.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
    9. Décédé en fonctions.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Albussac sur le site de l'Institut géographique national (archive).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Argentat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Albussac et Argentat-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Argentat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Albussac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr (consulté le ).
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune d'Albussac », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Albussac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. Article R214-112 du code de l’environnement
    26. « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    29. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1989, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 9.
    30. COUCHARD (Jean), Constructions et Monuments préhistoriques de la Corrèze, Brive, Société Scientifique et Historique de la Corrèze, , 80 p., p. 68-71.
    31. BARRIERE (Bernadette), Le cartulaire de l'abbaye cistercienne d'Obazine, Clermont-Ferrand, , p. 451-452..
    32. Le drame du 9 juin commémoré au Grelet
    33. 29 juillet 1944 : le drame du Perrier de Beynat page 9
    34. « La commune se souvient des Murels » sur le site de La Montagne, consulté le 15 juillet 2015.
    35. Julien Lherbeil, « La commanderie de Puy de Noix sur la plateau de Roche de Vic », Bulletin de la Société Scientifique, Historique et Archéologique de la Corrèze, no 93,‎ , p. 75-82 (présentation en ligne).
    36. « Les élus », site de la commune, consulté le 2 mars 2017.
    37. Les gentilés de Corrèze
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Église Saint-Martin », notice no PA00099645, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 24 octobre 2016.
    43. Fiche sur le site de l'Ordre de la Libération
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