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Achille Laugé

Biographie

La route de Cailhau , huile sur toile, Beaux-Arts de Carcassonne.

Né dans une famille de paysans qui le destinait au métier de pharmacien, Achille Laugé fréquente l'École des beaux-arts de Toulouse de 1876 à 1881, en même temps qu'il fait un stage dans une pharmacie de cette ville. Il y fait la connaissance d'Antoine Bourdelle, Henri Martin et Henri Marre[1].

En 1882, Achille Laugé s'installe au no 13 rue Radziwill à Paris et il entre à l'École nationale supérieure des beaux-arts[2]. Il y est successivement l'élève d'Alexandre Cabanel et de Jean-Paul Laurens jusqu'en 1886. Il y retrouve Bourdelle et rencontre Aristide Maillol qui a pu dire : « C'est Laugé qui m'a appris à mettre un homme debout »[2]. Il entretient une relation amicale toute sa vie avec eux. Laugé étant pauvre et Bourdelle aussi, ce dernier accepte avec reconnaissance de partager sa mansarde du no 24 rue Bonaparte à Paris. Il partage l'atelier de Maillol, au no 79 rue de Sèvres, et demeure dans la capitale jusqu'en 1888. Pendant cette période de formation, il subit l'influence de Georges Seurat, de Paul Signac et de Camille Pissarro. Aussi, quand il revient dans sa famille, il ne pratique pas la technique apprise aux Beaux-Arts mais adopte la division du ton. Il travaille d'abord à Carcassonne, au no 13 rue des Jardins, et y noue de solides amitiés.

Il épouse en 1891 une jeune fille de la région, Marie-Agnès Boyer avec qui il aura quatre enfants : Pierre en 1892, Juliette en 1894, Jeanne en 1896 et Julien en 1900 (mort en 1910)[2]. En 1894, il expose trois toiles au Salon des indépendants. Les critiques parues dans la Revue Méridionale ne lui sont pas favorables. Le Journal de Trouville écrit : « Carcassonne a voulu épater Paris »[3]. La même année cependant, le journal La Dépêche expose à Toulouse plusieurs des tableaux présentés au Salon des indépendants en compagnie des peintres Louis Anquetin, Pierre Bonnard, Maurice Denis, Henri-Gabriel Ibels, Paul René Georges Hermann, Maxime Maufra, Ker-Xavier Roussel, Paul Sérusier, Henri de Toulouse-Lautrec, Félix Vallotton et Édouard Vuillard[2], un catalogue enrichi d'une lithographie originale de chacun des exposants étant édité[4].

Laugé est soutenu par un cercle d'amis : Achille Astre[5], appelé devenir le secrétaire de Gustave Geffroy et qui collectionne des œuvres de Toulouse-Lautrec ; Jean Alboize, directeur de L'Artiste, puis conservateur du palais de Fontainebleau ; Achille Rouquet, rédacteur de la Revue Méridionale ; Albert Sarraut, qui lui demeurera toujours fidèle et, plus tard, lui fera obtenir des commandes de la Manufacture de la Savonnerie et de la Manufacture des Gobelins[6]. Le collectionneur Maurice Fabre de Gasparets, qui posséda, entre autres, Les Roulottes de Vincent van Gogh, fut parmi les premiers amateurs qui lui achetèrent des toiles.

Après la mort de son père, Achille Laugé s'installe à Cailhau, dans la région du Razès dont il devait si souvent peindre les genêts. Il choisit une vie simple et il aida le maçon du village à bâtir une maison modeste (« l'Alouette »)[2]. C'est autour de cette maison qu'il trouve la meilleure source de son inspiration. Comme Claude Monet avait eu un bateau-atelier, Laugé imagine une charrette-atelier qu'il conduit jusqu'au motif[7], et dans laquelle il peint en plein air, parfois à l'huile, parfois au pastel, avant de reprendre son travail à l'atelier, « atteignant la maîtrise en redécouvrant pour son propre compte les lois du pointillisme sans avoir été en relation avec des fondateurs du néo-impressionnisme »[7]. Il simplifie, sans styliser, demeurant toujours naturel. En, il envoie au Salon de la Société nationale des beaux-arts de 1900 son tableau Devant la fenêtre, composé de deux figures et de fleurs sur fond de paysage, celui qu'il voyait de la fenêtre de son atelier (Paris, musée national d'art moderne)[8]. Cette toile est refusée, tout comme celle qu'il présente au Salon d'automne de 1908[9]. Lassé de ses insuccès aux Salons, il expose chez des marchands parisiens, notamment chez son ami Achille Astre, rue Laffitte, chez Alvin-Beaumont, Bernheim ou Georges Petit.

Vers 1905 - année où il conçoit une roulotte-atelier commodément adaptée à sa peinture sur le motif[10] - constatant l'insuccès de la technique qu'il pratique depuis près de vingt ans et pressé par le besoin, il adopte une manière moins stricte et, avec une pâte plus riche et une touche plus large, il peint avec plus de liberté. S'il commence en 1910 à peindre des cartons de tapisseries pour la Manufacture des Gobelins[2], il continue de peindre à Cailhau, mais aussi à Alet à partir de 1916, à Collioure où à partir de 1926[11] il passe chaque été, y retrouvant fréquemment Henri Martin, pour l'hiver préférer Toulouse (no 17 rue Georges-Picot)[2], revenant parfois au pointillisme, donnant toujours dans ses paysages l'atmosphère du plein air.

En , rapporte Nicole Tamburini, Antoine Bourdelle lui écrit : « Toi, tu apportes une vision très personnelle, beaucoup de logique sereine et un beau don de l'unité dans l'amour de l'air lumineux qui règne jusque dans tes ombres »[2]. On retrouve en 1929 Achille Laugé voisin de Bourdelle (qui meurt cette année-là) lorsque, de retour à Paris, il installe son atelier, jusqu'en 1937 estime Nicole Tamburini, au no 18 impasse du Maine[2].

Se retirant à Toulouse en 1940, Achille Laugé perd son épouse Marie-Agnès le et meurt à Cailhau le . Ses traits nous restent fixés par le buste en plâtre, « portrait émouvant d'un Laugé jeune et bouclé[12] » que modela Antoine Bourdelle et que conserve le musée des beaux-arts de Carcassonne[13].

RĂ©ception critique

  • « Il vit Ă  Cailhau, oĂą il est nĂ©, un petit village près de Carcassonne, dont il suggère bien dans son Ĺ“uvre la sĂ©rĂ©nitĂ© et la torpeur. Quatre tons posĂ©s par petits points juxtaposĂ©s, le bleu, le jaune, le vert et le rouge, des pastels moins vibrants de couleurs; dans une atmosphère presque aveuglante, des chemins secs, blancs, des arbres en fleurs se dĂ©coupant su le bleu du ciel; nul personnage, nulle anecdote, seulement quelques plantes indiquĂ©es par des tacles vives : c'est le pur paysage des Corbières. » - GĂ©rald Schurr[14]
  • « LaugĂ© aurait pu se contenter de faire partie de ces petits maĂ®tres rĂ©gionaux aux toiles pittoresques, attachantes parce que caractĂ©ristiques de leur terroir natal. Mais il n'est pas passĂ© Ă  cĂ´tĂ© du grand mouvement qui, dans la suite de l'impressionnisme, bouleverse la peinture Ă  partir de la dĂ©cennie 1880. L'emploi d'un nombre très restreint de couleurs pures et la touche divisĂ©e qui apparaissent dans l'essentiel de son Ĺ“uvre Ă©voquent une communautĂ© de recherche picturale avec le nĂ©o-impressionnisme. Son orientation vers une nouvelle manière de peindre, associĂ©e Ă  une poĂ©sie qui lui est propre, fait de lui mieux que le fĂ©libre qui chante son Languedoc natal et lui donne la dimension d'un artiste national. » - Nicole Tanburini[2]

Ĺ’uvres dans les collections publiques

En France
au Royaume-Uni
En Suisse
aux États-Unis

Collections privées référencées

  • Achille Astre[5].

Estampes

  • Planches lithographiques parues rĂ©gulièrement dans la Revue mĂ©ridionale en 1894.

Expositions

Salons et expositions collectives

  • Salon des artistes français, Paris, 1884 (Portrait de Bourdelle), 1888.
  • Salon de peinture de Carcassonne en 1893, 1894, 1895.
  • Salon des indĂ©pendants, Paris, 1893, 1894 (cinq toiles, dont le Portrait de Mme Astre), 1906.
  • Exposition collective dans les locaux du journal La DĂ©pĂŞche de Toulouse, [19] - [4].
  • Salon de l'union artistique, Toulouse, 1897, 1907.
  • Salon d'automne, Paris, 1906.
  • Salon des artistes occitans, Toulouse, 1936, 1937, 1938, 1939, 1940.
  • Salon du Midi, Galerie La BoĂ©tie, Paris, janvier-.
  • Achille LaugĂ© et ses amis Bourdelle et Maillol, musĂ©e des Augustins, Toulouse, 1961[20].
  • French Impressionist paintings, Kaplan Gallery, Londres, 1967.
  • Le nĂ©o-impressionnisme, MusĂ©e Solomon R. Guggenheim, New York, 1968.
  • De Bonnard Ă  Soulages, quatre-vingts ans de peinture Ă  Paris, Belgrade, Ljubljana, Skopje, Zagreb, Sarajevo, - .
  • Pointillisme, Galleria d'Arte Pirra, Turin, 1976.
  • Le post-impressionnisme, Centre culturel Sejong, SĂ©oul, 1978.
  • Le pointillisme, National Museum of Western Art, Tokyo, avril-, Municipal Museum of Art, Kyoto, juin-.
  • La femme corps et âme, Petit-Palais, Genève, juin-.
  • Paysages audois, MusĂ©e d'art et d'histoire de Narbonne, 1986.
  • Chefs-d'Ĺ“uvre nĂ©o-impressionnistes, Fondation Septentrion, Marcq-en-BarĹ“ul, - 1988.
  • Femmes et fleurs, MusĂ©e de l'AthĂ©nĂ©e, Genève, juillet-.
  • Une fĂŞte de couleur, les post-impressionnistes dans les collections privĂ©es, Noordbrabants Museum (nl), Bois-le-Duc, septembre-.
  • Toulouse et l'art moderne, MusĂ©e Paul-Dupuy, Toulouse, - .
  • De David Ă  Picasso - Les chefs d'Ĺ“uvre du MusĂ©e de Grenoble, Lausanne, 1992, Takamatsu et Ishikawa, 1993.
  • Pointillisme - Sur les traces de Seurat, MusĂ©e Wallraf Richartz, Cologne, septembre- et Fondation de l'Hermitage, janvier-.
  • La Manufacture des Gobelins dans la première moitiĂ© du XXe siècle, de Gustave Geffroy Ă  Guillaume Jeanneau, 1908-1944, Galerie nationale de ta tapisserie, Beauvais, - .
  • Seurat et le nĂ©o-impressionnisme, MusĂ©e d'art de Kochi, Utsunomiya Museum of Art, National Museum of Modern Art, Kyoto, Seiji Togo Memorial Yasuda Museum of Art, Tokyo, juin-.
  • De Caillebotte Ă  Picasso - Chefs-d'Ĺ“uvre de la collection Oscar Ghez, MusĂ©e Jacquemart-AndrĂ©, Paris, - , MusĂ©e national des beaux-arts du QuĂ©bec, QuĂ©bec, - .
  • Le nĂ©o-impressionnisme, de Seurat Ă  Paul Klee, MusĂ©e d'Orsay, Paris, mars-.
  • El neoimpressionismo, la eclosiĂłn de la modernidad, Fondation Mapfre, Madrid, avril-.
  • Georges Seurat, Paul Signac et les nĂ©o-impressionnistes, Palazzo Reale, Milan, - .
  • L'arbre dans la peinture de paysage de Corot Ă  Matisse, 1850-1920, MusĂ©e Tavet-Delacour, Pontoise, avril-[21].
  • Radiance : The Neo-Impressionists, National Gallery of Victoria, Melbourne, - [22].
  • To the Point : le portrait nĂ©o-impressionniste, 1886-1904, ING Art Center, place Royale, Bruxelles, fĂ©vrier-[23].
  • Face to face : the Neo-Impressionnist Portrait, 1886-1904, MusĂ©e d'art d'Indianapolis, juin-[24].
  • Toulouse-Lautrec et la vie moderne, Galerie d'art de l'Alberta, Edmonton, septembre-[25].
  • Achille LaugĂ© et ses amis peintres de Carcassonne, musĂ©e des beaux-arts de Carcassonne, [12].
  • Autour d'Henri Martin, MusĂ©e du Pays vaurais, Lavaur (Tarn), [26].

Expositions personnelles

Achille LaugĂ©, Bocal aux dahlias du jardin du peintre (1908), huile sur toile, 55 Ă— 38 cm, collection particulière
  • Toulouse, journal La DĂ©pĂŞche, 1902.
  • Paris, galerie Achille Astre, au (catalogue, texte de Gustave Geffroy).
  • Paris, galerie Alvin Beaumont, 1911.
  • Paris, galerie Nunes et Fiquet, 1919.
  • Paris, Galerie Bernheim-Jeune, .
  • Toulouse, Galerie Salles et Cie, .
  • Paris, galerie Georges Petit, du 16 au (catalogue, prĂ©face de Jean Mistler).
  • Paris, Studio Scribe, .
  • Paris, Galerie de la Renaissance, (catalogue, prĂ©face de François ThiĂ©bault-Sisson).
  • Paris, Galerie Marcel Zivy, (catalogue, prĂ©face de Raymond Escholier).
  • Limoux, musĂ©e Petiet, du au (catalogue)[27].
  • Toulouse, MusĂ©e des Augustins, 1961.
  • New York, Hammer Galleries, 1962, (catalogue).
  • Londres, galerie Roland Browse et Delbanco, Achille LaugĂ©, (catalogue, texte de Norman Adams).
  • Londres, Kaplan Gallery, (catalogue), juin-.
  • Paris, galerie Marcel Flavian, RĂ©trospective Achille LaugĂ©, du au (catalogue, texte de Paul MesplĂ©).
  • Godeau, Solanet et Audap, commissaires-priseurs, deux ventes de l'atelier Achille LaugĂ©, HĂ´tel Drouot, Paris, [28] et [29].
  • Achille LaugĂ© - Portraits pointillistes, Saint-Tropez, musĂ©e de l'Annonciade, avril- et Carcassonne, MusĂ©e des beaux-arts, juin- (catalogue, texte de Pierre Cabanne et Michel Hoog).
  • Tajan, commissaires-priseurs, important ensemble d'Ĺ“uvres d'Achille LaugĂ©, HĂ´tel George-V, Paris, [30].
  • musĂ©e des beaux-arts de Carcassonne et musĂ©e Petiet de Limoux, Achille LaugĂ© : le point, la ligne, la lumière, du au [31].
  • musĂ©e de la Chartreuse de Douai, Achille LaugĂ© : le point, la ligne, la lumière, du au [32] - [33] - [34].
  • MĂ©diathèque de Trèbes, 2017.
  • Fondation de l'Hermitage, Lausanne, juin-octobre 2022[35] - [36] - [37]

Prix et distinctions

Hommages

  • Une rue de Carcassonne porte son nom.
  • Une place de Cailhau porte son nom.
  • Une rue et un espace culturel d'Arzens portent son nom.
  • Circuit Achille LaugĂ© Ă  Cailhau : un circuit de km, incluant la voie verte, a Ă©tĂ© amĂ©nagĂ© avec des pupitres prĂ©sentant des reproductions de toiles peintes sur les lieux par LaugĂ©[38] - [39].
  • JournĂ©e Achille LaugĂ© : deux fois par an (en juin et en septembre), exposition de reproductions et d’œuvres originales, diaporamas, vidĂ©os, confĂ©rences, dĂ©dicaces et festivitĂ©s, place Achille LaugĂ© Ă  Cailhau[40].

Références

  1. Trianarts, Achille Laugé, puntillismo y almendros en flor
  2. Nicole Tamburini, Achille Laugé - Le point, la ligne, la lumière, Éditions Silvana Editoriale, 2009.
  3. Gabriel Sarraute, Achille Laugé, publié le 24 mars 2011 par Roger Cousin, Mémoires de guerre
  4. Musée d'art et d'histoire de Genève, Catalogue de l'exposition de la Dépêche de Toulouse, 1894
  5. Auguste Brouet, « Le portrait de M.A. », Le journal, 15 juin 2015.
  6. Chantal Humbert, « Achille Laugé - Collioure mise au point », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n°37, 26 octobre 2012.
  7. Gérald Schurr, Le guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996, pp. 526-527.
  8. Tutt Art, Achille Laugé, peintre néo-impressionniste, 2015.
  9. Art Kaleidoscope, Le peintre français Achille Laugé.
  10. Claude Marquié, « Carcassonne - Achille Laugé, un peintre moderne et rural », La Dépêche, 29 mai 2022
  11. Dictionnaire Bénézit, Gründ, 1999, tome 8, pp. 322-323.
  12. TV Carcassonne, Interview de Marie-Noelle Ménard, conservatrice du musée des beaux-arts de Carcassonne, 1er juillet 2015 (durée : 1 min 54 s )
  13. Musée des beaux-arts de Carcassonne, Buste d'Achille Laugé par Antoine Bourdelle.
  14. Gérald Schurr, Les petits maîtres de la peinture, valeur de demain, Les Éditions de l'Amateur, 1972, tome 2, pages 58 et 61.
  15. Musée des Jacobins, Morlaix, Achille Laugé dans les collections
  16. Musée Paul-Dupuy, Achille Laugé dans les collections
  17. Art U.K., Achille Laugé dans les collections de la Grundy Art Gallery
  18. Musée d'art et d'histoire de Genève, Achille Laugé dans les collections du cabinet d'arts graphiques
  19. Armand Silvestre, « À Toulouse », La Dépêche, 12 juin 1894.
  20. Michel Roquebert, « Le peintre audois Achille Laugé et ses amis Bourdelle et Maillol », La Dépêche du Midi, 27 juin 1961.
  21. Musée Tavet-Delacour, L'arbre dans la peinture de paysage de Corot à Matisse, présentation de l'exposition
  22. Katrina Grand, « Radiance. The Neo-Impressionists », Melbourne Art Network, 20 novembre 2012
  23. Espace culturel de la Place Royale, Bruxelles, To the Point : le portrait néo-impressionniste, 1886-1904, présentation de l'exposition, 2014
  24. Musée d'art d'Indianapolis, Face to face : the Neo-Impressionnist Portrait, 1886-1904, présentation de l'exposition, 2014
  25. Sheila Shingal, Mise-en-scène. Toulouse-Lautrec et la vie moderne, Musée des beaux-arts du Canada, 29 septembre 2014
  26. Le Parisien, Autour d'Henri Martin, présentation de l'exposition, 20 mai 2017
  27. « La grande réhabilitation d'Achille Laugé », Le Limouxin, 20 septembre 1958.
  28. Gérald Schurr, « Achille Laugé, le peintre-ermite de Cailhau », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n°8, 20 février 1976, pages 16-17.
  29. La Gazette de l'HĂ´tel Drouot, 4 mars 1977.
  30. La Gazette de l'HĂ´tel Drouot, 15 juin 2001.
  31. Le point, la ligne, la lumière, exposition au Musée des beaux-arts de Carcassonne, 2009 (source : DailyMotion ; durée : 1 min 21 s
  32. Musée de la Chartreuse, Douai, Achille Laugé : le point, la ligne, la lumière, présentation de l'exposition, 2010
  33. Stéphanie Labdant, « Au musée de la Chartreuse, Laugé, peintre de la lumière, sort de l'ombre », La Voix du Nord, 27 février 2010
  34. Gilles Coÿne, « Exposition Achille Laugé », Actualité des arts, 8 mars 2010
  35. Fondation de l'Hermitage, Achille Laugé - Le néo-impressionnisme dans la lumière du Sud, 2022
  36. « Achille Laugé illumine la Fondation de l'Hermitage avec sa lumière du Sud » (consulté le )
  37. Caroline Legrand, « Achille Laugé sous le soleil de Collioure », La Gazette Drouot, 2 novembre 2022
  38. Sébastien Dubos, « Peintre de la douceur, Achille Laugé a connu la gloire après sa mort », La Dépêche, 1er février 2015
  39. Christine Belcikowski, À Cailhau, dans l'Aude, sur les chemins du peintre Achille Laugé
  40. Association Achille Laugé, présentation de la journée Achille Laugé, 2016

Annexes

Bibliographie

  • Victor Gastilleur (prĂ©face d'Albert Sarraut), Achille LaugĂ©, peintre languedocien, Carcassonne, Servière et Patau, 1906.
  • Achille Astre, Achille LaugĂ©, peintre et lithographe, in Souvenirs d'art et de littĂ©rature, Paris, Éditions du Cygne, 1930.
  • Jean Girou, Profils occitans - Antoine Bourdelle, Aristide Maillol, Achille LaugĂ©, collection « Ă€ la porte d'Aude », Éditions d'art Jordy, Carcassonne, 1930.
  • Jean Ajalbert, Les peintres de la Manufacture nationale de tapisseries de Beauvais, Éditions Eugène Rey, 1933.
  • Jean Girou, Peintres du Midi, Paris, 1939, pp. 97 Ă  118.
  • Charles Pornon, Achille LaugĂ© et ses amis Bourdelle et Maillol, prĂ©face de Paul MesplĂ© et Albert Sarraut, Imp. FourniĂ© pour le musĂ©e des Augustins, 1961, 35 p.
  • Pierre Cabanne, Le Midi des peintres, collection « Tout par l'image », Hachette, 1964.
  • François Daulte, Oscar Ghez et Ezio Gribaudo, NĂ©o-impressionnistes et autour du nĂ©o-impressionnisme, Éditions du Petit-Palais, Genève, 1968.
  • GĂ©rald Schurr, Les petits maĂ®tres de la peinture, valeur de demain, tome 2, Les Éditions de l'Amateur, 1972.
  • Larousse de la peinture, tome 1, 1979, p. 995 (lire en ligne).
  • Germain Bazin, L'univers impressionniste, Éditions Somogy, 1981.
  • Jean Cassou, Pierre Courthion, Bernard Dorival, Georges Duby, Serge Fauchereau, RenĂ© Huyghe, Jean Leymarie, Jean Monneret, AndrĂ© Parinaud, Pierre Roumeguère et Michel Seuphor, Un siècle d'art moderne - L'histoire du Salon des IndĂ©pendants, DenoĂ«l, 1984.
  • Nicole Tamburini et Jean-François Mozziconacci, Achille LaugĂ© 1861-1944, portraits pointillistes, catalogue de l'exposition de 1990 au musĂ©e des beaux-arts de Carcassonne et au musĂ©e de l'Annonciade de Saint-Tropez.
  • GĂ©rald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Nico J. Brederoo et Rainer Budde, Pointillisme - Sur les traces de Seurat, coĂ©dition MusĂ©e Wallraf Richartz, Cologne, et Fondation de l'Hermitage, Lausanne, 1997.
  • Emmanuel BĂ©nĂ©zit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et gravaurs, GrĂĽnd, 1999.
  • Emeline Garau, L'Ĺ“uvre gravĂ© et dessinĂ© d'Achille LaugĂ©, mĂ©moire de Master I, UniversitĂ© du Mirail, Toulouse, 2007.
  • Jean Lepage, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs, dessinateurs et architectes du Languedoc-Roussillon, Éditions Singulières, 2008.
  • Nicole Tamburini, Achille LaugĂ© - Le point, la ligne, la lumière, catalogue de l'exposition du musĂ©e de Carcassonne, Limoux, Douai, Éditions Silvana Editoriale, 2009.
  • Annie Merle, L'École de Toulouse - Grands acteurs de l'art contemporain, Éditions Atlantica, 2010.
  • Christophe Duvivier, L'arbre dans la peinture de paysage entre 1850 et 1920, Éditions Somogy, 2012.
  • Jane Block, Ellen W. Lee, Marina Feretti-Bocquillon et Nicole Tamburini, The Neo-impressionnist Portrait, 1886-1904, Yale University Press, 2014.
  • Mario Ferrisi, Achille LaugĂ© - les derniers chemins, Aquiprint, Édition Gironde, 2014.
  • Mario Ferrisi, Odes Ă  LaugĂ©, cent poèmes dĂ©diĂ©s Ă  Achille LaugĂ©, Aquiprint, Édition Gironde, 2015 (prĂ©sentation et extrait en ligne).
  • Barbara Dordi (prĂ©face d'Anny LaugĂ©), Achille LaugĂ©, Neo-Impressionist, 1861-1944, a brief history, Éditions Barbara Dordi, Cailhau, 2015.

Articles de presse

Filmographie

  • Charles Pornon, La lumière du Languedoc vue par le peintre Achille LaugĂ©, Groupe des cinĂ©astes indĂ©pendants de Toulouse, 196-?.
  • Mario Ferrisi, Achille LaugĂ©, sa vie, son Ĺ“uvre, son actualitĂ©, 2014

Article connexe

Liens externes

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