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Érin

Érin est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Érinois.

Érin
Érin
L'église Sainte-Marie-Madeleine.
Blason de Érin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Cédric Leclercq
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62303
Démographie
Gentilé Érinois
Population
municipale
237 hab. (2020 en augmentation de 14,49 % par rapport à 2014)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 23″ nord, 2° 12′ 38″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 123 m
Superficie 6,36 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Érin
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Érin
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Érin
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Érin

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à 14 km au nord-ouest de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise et fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes d’Érin
    Tilly-Capelle Teneur
    Érin
    Humerœuille Fleury,
    Bermicourt

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41,43 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville et conflue dans la Canche dans la commune d'Huby-Saint-Leu[1]. Sur le territoire de la commune, le petit ruisseau la Motte, d'une longueur de 1,8 km, prend sa source dans la commune et termine sa course dans la commune[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 891 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le réservoir biologique de la Ternoise, d’une superficie de 1 hectare et d'une altitude variant de 46 à 48 mètres. Cette ZNIEFF est la seule partie de la Ternoise non impacté par les activités anthropiques et, de ce fait, est une pépinière au niveau de l’écosystème de la rivière[4].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[5].

    Urbanisme

    Typologie

    Érin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), prairies (9,7 %), forêts (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), zones urbanisées (4 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Voies de communication

    La commune est desservie par la route départementale D 94[13].

    Transport ferroviaire

    La commune se trouve à km, au nord-est, de la gare de Blangy-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[14].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Hérin en 1113 ; Erin en 1137 ; Ering en 1177 ; Dérin en 1430 ; Hérin en 1512 ; Érin en 1789[15], Erin en 1793 ; Ezin et Érin depuis 1801[16].

    Histoire

    Guillaume d'Erin, seigneur d'Erin, a combattu et trouvé la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[17].

    Première Guerre mondiale

    Lors de la Première Guerre mondiale, le quartier général du tank corps de l'armée anglaise, placé sous les ordres du lieutenant-colonel Elles et des capitaines, Martel et Hotblack, s'installe en au château de Bermicourt[18]. Cet état-major décide d'implanter à Érin les ateliers de tanks de l'armée britannique, le « Central Workshops and Stores ». Le site prévu pour accueillir 1 200 soldats et 25 officiers, demeurera en service jusqu'en 1921. À partir d’, trois compagnies de 500 ouvriers chinois arrivent dans le Ternois pour travailler dans les ateliers[19]. En , des avions allemands font des repérages aériens, et bombardent l'atelier, la nuit du 24 au 25, tuant quatre travailleurs[20].

    La création d'un musée est envisagée par l'association Groupe de recherches historiques des ateliers des tanks[21] (GRHAT), qui souhaite acheter en 2018 le bâtiment de l'ancienne mairie et de l'école d'Érin, afin de rappeler l'histoire du l'« Central Workshops and Stores »[20].

    • Des tanks britanniques Mark V et Whippet nettoyés au dépôt d'Érin, 22 juin 1918.
      Des tanks britanniques Mark V et Whippet nettoyés au dépôt d'Érin, .
    • Des tanks dans leurs hangars.
      Des tanks dans leurs hangars.

    Seconde Guerre mondiale

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux rampes de lancement de V1 ont été construites par l'armée allemande, l'une sur la route Bernicourt - Érin et l'autre entre Érin et Fleury[22].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[16].


    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [23] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24]. À l'initiative des intercommunalités concernées[25], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[26] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [27] - [28].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [29].

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2014[30] Charles du Hays Divers droite
    2014 En cours
    (au 17 février 2022)
    Cédric Leclercq Artisan[31] - [32]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[33] - [34]

    Équipements et services publics

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[35].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Érinois[36].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

    En 2020, la commune comptait 237 habitants[Note 7], en augmentation de 14,49 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    386286338360383397411417413
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    420425430388395382374358386
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    359347322344322297268235243
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    242231207187157152179199228
    2020 - - - - - - - -
    237--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 121 hommes pour 118 femmes, soit un taux de 50,63 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    7,0
    75-89 ans
    8,8
    8,7
    60-74 ans
    13,3
    14,8
    45-59 ans
    17,7
    22,6
    30-44 ans
    19,5
    21,7
    15-29 ans
    16,8
    25,2
    0-14 ans
    23,9
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Clovis Grimbert (d) (1887-1918), poète, journaliste et militaire, né à Érin.

    Héraldique

    Blason de Érin Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e d'agent à trois fasces de gueules, aux 2e et 3e d'argent à trois doloires de gueules rangées en bande; sur le tout, d'or au créquier de gueules[44].
    Détails
    Association des fasces et des doloires des De Croÿ et le créquier des De Créqui.

    Adopté par la municipalité.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ternoise (E5400650 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Motte (E5401660 ) » (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « ZNIEFF 310030039 - Réservoir biologique de la Ternoise », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    14. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance entre la commune et la gare de Blangy-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    15. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 136.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    18. Alexis Degroote, « Ternois : le « tank corps » britannique avait pris ses quartiers à Bermicourt », Pas-de-Calais, La Grande Guerre, (consulté le ).
    19. Alexis Degroote, « Il y a 100 ans, les chars britanniques arrivaient dans le Ternois : Jeune Ternésien passionné d’histoire, Antoine Berthe prépare avec son association, le Groupe de recherches historiques des ateliers des tanks d’Érin, une exposition sur l’arrivée des chars britanniques dans le Ternois. Une histoire passionnante… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    20. Ch. D., « Installation d’un musée dans l’ancienne mairie Un appel aux dons est lancé sur Internet », L'Abeille de la Ternoise, nos 8666-1811,‎ , p. 24.
    21. Site du GRHAT
    22. Laurent Bailleul, « Mise à jour du livre « Les sites V1 en Flandres et en Artois » », sur Les sites V1 du Nord de la France (consulté le ).
    23. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    25. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    26. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    27. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    28. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    29. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    30. Aline Chartrel, « Bilan du maire à Érin : l’école ferme, « on hésite à y installer la mairie » : C’est son quatrième mandat à la tête de la commune, vingt-quatre ans que Charles du Hays tient les rênes du village. Son mot d’ordre : la continuité. Pour celui selon qui « tout est une affaire d’équipe », la question des municipales n’a cependant pas encore été soulevée. Elle le sera, promet-il, « au moment opportun ». », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    32. Aline Chartrel, « Érin – « Nous voulons transférer la mairie dans l’ancienne école » : Charles du Hays ayant pris sa retraite, son ancien premier adjoint lui a succédé. Outre la création d’une gazette communale (« Le Petit Érinois ») ou son envie de redynamiser la commune, Cédric Leclercq entend s’atteler à un gros morceau : le transfert de la mairie dans l’ancienne école. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    35. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    36. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Érin (62303) », (consulté le ).
    41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    42. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du Ministère de la culture (consulté le ).
    43. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    44. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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