Wihr-au-Val
Wihr-au-Val (en allemand Weier-im-Tal, en alsacien Wihr ìm Dà l) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Wihr-au-Val | |
Vue du village. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Grand Est |
Collectivité territoriale | Collectivité européenne d'Alsace |
Circonscription départementale | Haut-Rhin |
Arrondissement | Colmar-Ribeauvillé |
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de Munster |
Maire Mandat |
Gabriel Burgard 2020-2026 |
Code postal | 68230 |
Code commune | 68368 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Wihriens |
Population municipale |
1 231 hab. (2020 ) |
Densité | 98 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 48° 03′ 15″ nord, 7° 12′ 23″ est |
Altitude | Min. 288 m Max. 960 m |
Superficie | 12,54 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Colmar (commune de la couronne) |
Élections | |
DĂ©partementales | Canton de Wintzenheim |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://www.wihr-au-val.fr/ |
Elle est située à 15 km de Colmar et à 85 km de Strasbourg.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
C'est un petit village vinicole faisant partie de la vallée de Munster. Les habitants sont appelés les Wihriens.
GĂ©ographie
Localisation
Wihr-au-Val est un petit village sur la route des vins d'Alsace, qui se situe Ă 7 km de Munster et Ă 13 km de Colmar.
Les communes limitrophes sont Gunsbach, Orbey, Labaroche, Walbach, Wintzenheim, Voegtlinshoffen et Soultzbach-les-Bains.
GĂ©ologie et relief
La superficie de la commune est de 1 254 hectares ; son altitude varie entre 288 et 960 mètres. Les forêts occupent 730 hectares, soit près de 60 % du ban communal.
Le point culminant du ban communal est situé à 960 m, sur les flancs du Kuhberg, aux confins des bans d'Orbey et de Gunsbach.
Le sommet le plus haut de la commune est le Zwergberg situé à 951 m d'altitude, au nord du village, et son sommet le plus emblématique est le Staufen à 899 m d'altitude, situé au sud.
Le village est situé sur un substrat alluvial. Le massif au nord du ban est essentiellement granitique jusqu'à 900 mètres d'altitude. La crête est constituée de grès rose. Le massif du Staufen, au sud, est constitué essentiellement de schiste[1].
Hydrographie
Le ban de Wihr-au-Val est traversé par la Fecht. Le village est traversé par le ruisseau du Grosswasserbach ou Thormattenbach partiellement enterré, affluent rive gauche de la Fecht. Le Muehlcanal est un ancien canal de dérivation situé en rive gauche de la Fecht, qui alimentait les anciens moulins. Le Krebsbach, affluent en rive droite de la Fecht traverse également le ban communal[2].
Voies de communication et transports
Le village est situé au bord de la D417 (ancienne Route Nationale 417) reliant Colmar à Remiremont par le col de la Schlucht.
Il est traversé par la D10 reliant Ingersheim à Sondernach.
Il est desservi par la ligne de chemin de fer Colmar-Metzeral, Gare de Wihr-au-Val-Soultzbach.
Urbanisme
Typologie
Wihr-au-Val est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
La commune est constituée d'une agglomération principale autour du bourg médiéval, qui s'est agrandie d'abord autour des axes routiers, puis par la création de lotissements. S'y ajoute un hameau au lieu-dit La Nouvelle Auberge, une quinzaine d'habitations à l'ouest de la rue de la Gare dans l'agglomération de Soultzbach-les-Bains, une habitation sur les hauteurs de l'agglomération de Gunsbach, deux fermes isolées aux lieux-dits Gigerburgersmatten, une ferme au lieu-dit Obere Muehlmatten, le long de la D430 et une ferme dans le vallon de l'Altenbach (centre équestre).
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,5 %), terres arables (11,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones urbanisées (5,1 %), cultures permanentes (4,2 %), prairies (4,1 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Toponymie
La première origine connue du nom date d'un document de 896 sous le nom de « Bonifacii Villare », c’est-à -dire la villa de Bonifacius, duc franc d'Alsace. D'après ce document, Bonifacius vers 660 s'était fait ériger un pavillon de chasse où il séjournait quand il venait chasser ; son souvenir lui survit dans le nom du village portant désormais son nom. Par la suite « Villare » est devenu, « Wilre » (1120), « Wilr bi Girsperg » (1344), « Wilr im Munstertal » (1475), « Weiller » (1572), puis « Wihr »[10].
Il était toujours précisé « Weiller im Gregorienthal (aujourd'hui encore les bornes marquant le ban communal portent les lettres « WIG », « WG » ou « GW »), ou « Wihr au Val Saint Grégoire » à compter de 1648. Après 1789, la mention à Saint Grégoire disparaît et la ville devient Wihr-au-Val.
La commune s'est appelée Weier im Thal entre 1871 et 1918 et entre 1940 et 1945, périodes d'occupations de l'Alsace par l'Allemagne.
Histoire
660 Fondation de l'Abbaye de Munster (à cinq kilomètres à l'ouest du centre-ville de Wihr) par Boniface d'Alsace.
896 Wihr-au-Val est citée pour la première fois sous le nom « Bonifacii Villare », ferme de Boniface.
1162 Le bourg est octroyé en fief aux Ribeaupierre.
1279 Il est incendiée par les Girsberg[11]. Constructions d'une enceinte autour du village, et du château du Sonnenbourg.
1181 Les Girsberg tentent de construire un château au sommet du Staufen, qui est immédiatement détruit par l'Evêque de Strasbourg.
1184 Les Girsberg reconstruisent un château au sommet du Staufen qui, comme le premier, sera détruit la même année par les Hattstatt.
1190 - 1191 Siège du château du Girsberg par les Ribeaupierre, jusqu'à sa reddition.
1293 Wihr subit un siège et est une nouvelle fois entièrement détruit.
1316 Le château du Gigersbourg est cédé aux Ribeaupierre et définitivement abandonné.
1346 Wihr et son château du Sonnenbourg sont cédés en arrière-fief aux Hattstatt.
1440 Les Ribeaupierre récupèrent leur fief.
1632 La Guerre de Trente Ans touche le bourg, qui sera plusieurs fois pillé par la suite lors de ce conflit.
1648 Rattachement au Royaume de France. Weyr im Gregorienthal devient Wihr au Val Saint Grégoire.
1673 Extinction de la famille de Ribeaupierre. Wihr appartient au prince des Deux-Ponts.
1792 Destruction de la Chapelle de la Sainte Croix par des révolutionnaires (elle est reconstruite en 1806, et gravement endommagée le 18 juin 1940). Wihr au Val Saint Grégoire devient Wihr au Val.
1848 Révolution de 1848. Médard Burgard maire de la commune. Il sera élu député à l'Assemblée Nationale, où il siégera "à gauche".
1871 L'Alsace est annexée par l'Allemagne. Wihr-au-Val devient Weier im Thal.
1914 Combats sur l'espace situé entre le village et Gunsbach, à la Croix de Wihr et autour de la chapelle de la Sainte Croix. Ici est tué le 31 août Agier Jean-Baptiste-Marcel, né le 24 / 01 / 1898 à Brugheas (Allier), plus jeune soldat français mort lors de la Première Guerre mondiale, à l'âge de seize ans sept mois et sept jours[12].
1918 Retour de la municipalité à la France, Weier im Thal redevient Wihr-au-Val.
1940 Le 18 juin, 107 maisons, 70 granges, la mairie, le clocher de l'église [13] ... sont détruits par un bombardement aérien allemand de représailles [14]. Libération du village le .
Politique et administration
Budget et fiscalité 2014
En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[15] :
- total des produits de fonctionnement : 966 000 €, soit 740 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 736 000 €, soit 563 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 135 000 €, soit 103 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 80 000 €, soit 61 € par habitant ;
- endettement : 296 000 €, soit 227 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 6,31 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,16 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 42,01 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2020, la commune comptait 1 231 habitants[Note 3], en diminution de 3,07 % par rapport Ă 2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Associations
- Association L.A.S.C (Loisirs Artisanat Sport et Culture)
- Association L'Entente Cynophile de la Vallée de Munster
- Club Sportif « Étoile Rouge »
- Association Mon P'tit Patrimoine
- Association du Foyer Saint SĂ©bastien
- Association de la Chapelle
- Association Soleil d'Automne
- Association Tennis de table
- Amicale des pĂŞcheurs
- Amicale des donneurs de sang
- Amicale des sapeurs pompiers
- Association Wihr-au-Val Terres Durables
Économie
Revenus de la population
En 2017, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 780 €[21]..
Emploi
En 2017, la population âgée de 15 à 64 ans comptait 78 % d'actifs en 2016, dont 72.6 % ayant un emploi et 5,4 % de chômeurs.
On comptait 337 emplois dans la zone d'emploi en 2016, contre 378 en 2011. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 568, l'indicateur de concentration d'emploi est de 59,3 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre moins de 0,6 emplois par actif.
Entreprises et commerces
Au , Wihr-au-Val comptait 123 établissements : 11 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 7 dans l'industrie, 21 dans la construction, 62 dans le commerce-transports-services divers et 22 étaient relatifs au secteur administratif.
Vignoble
Le vignoble de Wihr-au-Val, dont les coteaux montent jusqu'à 500 mètres d'altitude, constitue le vignoble le plus élevé de l'ensemble de l'appellation Vins d'Alsace.
Bénéficiant des appellations Linsenberg, Herrenreben, Holder et Val Saint Grégoire, ces vins produits sur sol granitique et en altitude présentent un caractère spécifique.
Tourisme
Le village dispose de deux campings, plusieurs gîtes et chambres d'hôtes.
Plusieurs itinéraires circulaires balisés par le Club Vosgien permettent de découvrir les environs.
Deux pistes cyclables sont disponibles : la voie verte de la Vallée de Munster et la piste cyclable Wihr-au-Val - Gunsbach - Piscine de Munster.
Le restaurant de la Nouvelle Auberge a été gratifié d'une étoile au Guide Michelin.
Industrie
L'activité textile qui avait fait la richesse de Wihr-au-Val a disparu désormais.
Une usine d'emballage et de conditionnement est actuellement Ă©tablie sur le ban communal.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques classés
- À l'entrée du haut village : une porte fortifiée[22]. Tour porte dite Untertor[23].
- Cimetière de Wihr-au-Val et notamment la chapelle-ossuaire Saint Michel.
Edifices religieux inscrits à l'inventaire général du patrimoine
- Église catholique[24] et son orgue Mutin Cavaillé-Coll[25] - [26].
- Chapelle Sainte-Croix[27] et chemin de croix y conduisant.
- Chapelle Sainte-Barbe[28], aujourd'hui disparue.
Patrimoine populaire
- Parcours des oratoires.
- Kinderbrennla
- Croix de Wihr
Patrimoine castral
- Château du Sonnenbourg[29].
- Château du Gigersburg[30].
- Château du Staufen
Patrimoine industriel
Comme en témoigne l'enquête thématique régionale (patrimoine industriel du canton de Munster), l'activité économique a évolué en permanence dans la commune :
- Tissage Kiener, puis brasserie Kempf, actuellement maison[31].
- Tissage et finissage « W » des Manufactures Hartmann et Fils, puis Georges Perrin, actuellement usine d'emballage et de conditionnement[32].
- Scierie et moulin Ă huile de la Nouvelle Auberge, puis scierie Graue[33].
- Moulin Ă farine, puis ferme[34].
- Tuilerie et briqueterie Straub, puis Straub et Schoenheitz, puis ferme, actuellement maison[35].
- Tissage Immer-Klein, puis usine d'articles en caoutchouc France Latex[36].
- Moulin à farine, actuellement salle de réunion et vestiaire dit clubhouse[37].
Patrimoine militaire de la Première Guerre mondiale
- Monument de la Croix de Wihr
Douze blockhaus de la ligne de défense et d'observation Staufen-Hohnack-Riegel se dressent sur le territoire de la commune :
- 2 abris en fond de vallon, versant ouest du Laederskopf, construits par des prisonniers roumains (dits abris des roumains)
- 4 abris (groupés par deux) en fond de vallon, versant est du Krizle, au bord du chemin
- Abri du Krizle (dit Leuchtsignal)
- Refuge octogonal du Zwergberg
- Poste de commandement du Kuhberg
- Abri et réseau entre le Kuhberg et le Zwergberg
- Abri rue de Munster
- Abri de la Gare
Patrimoine naturel
- Nombreux sentiers de randonnée et de VTT[38].
- Rocher du Laederskopf
- Sommet du Staufen
Personnalités liées à la commune
- MĂ©dard Burgard, homme politique
HĂ©raldique
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Les armes de Wihr-au-Val se blasonnent ainsi : |
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Le blason représente deux goupilles de roues, qui évoquent sa position près d'une route commerciale.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Système d’information pour la gestion de l’Aquifère rhénan, « Fiche commune Wihr-au-Val », sur http://sigesar.brgm.fr.
- Base Sandre, « Fiche de Wihr-au-Val », sur www.sandre.eaufrance.fr.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Colmar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- (la) Jo. Daniel Schoepflinus, Alsatia Illustrata Germanica Gallica : Tomus II, Colmar, Ex Typographia Regia, (lire en ligne), p. 616.
- Famille noble apparut vers le milieu du XIIe siècle et qui s'éteignit vers 1435, signalée à plusieurs reprises dans l'entourage des souverains du Saint-Empire Germanique. Elle fit bâtir le château du Gigersbourg, et fut souvent en conflit avec les seigneurs voisins.
- « Guides de Balades », sur tchinggiz.org (consulté le ).
- L'église Saint-Martin fut bâtie entre 1868 et 1873 en remplacement d'un ancien sanctuaire devenu trop petit.
- http://www.wihr-au-val.fr (Aucun habitant ne sera blessé ou tué)
- Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive).
- RĂ©sultats des Ă©lections Municipales 2008 : Wihr-au-Val
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- INSEE, « Comparateur de territoire - commune de Wihr-au-Val ».
- « Ancienne porte de Ville », notice no PA00085736, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tour porte dite Untertor », notice no IA68001295, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Martin », notice no IA68001268, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IM68012240, base Palissy, ministère français de la Culture Orgue de l'église paroissiale Saint-Martin
- Inventaire de l'orgue
- « Chapelle de la Sainte-Croix », notice no IA68001260, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Chapelle Sainte-Barbe », notice no IA68001259, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort de Sonnenbourg », notice no IA68001294, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château fort de Gigersburg », notice no IA68001364, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tissage Kiener, puis brasserie Kempf, actuellement maison », notice no IA68001059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tissage et finissage "W" des Manufactures Hartmann et Fils, puis Georges Perrin, actuellement usine d'emballage et de conditionnement », notice no IA68001222, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Scierie et moulin à huile de la Nouvelle Auberge, puis scierie Graue », notice no IA68001058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à farine, puis ferme », notice no IA68001073, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tuilerie et briqueterie Straub, puis Straub et Schoenheitz, puis ferme, actuellement maison », notice no IA68001060, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tissage Immer-Klein, puis usine d'articles en caoutchouc France Latex », notice no IA68001195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin à farine, actuellement salle de réunion et vestiaire dit clubhouse », notice no IA68001061, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Histoire et patrimoine de Wihr-au-Val
Bibliographie
- Pierre Brunel, Gérard Leser et Louis Schlaefli, « Nouvelles découvertes dans la chapelle ossuaire Saint Michel de Wihr-au-Val », in Annuaire de la Société d'histoire du val et de la ville de Munster, 2002, no 56, p. 46-55
- J. Dietrich, La sorcière de Munster. Sa torture à Wihr-au-Val et son exécution à Gunsbach, 1631, E. Barth, Colmar, 1869, 13 p.
- « Les événements du dans la vallée de Munster », in Almanach d'Alsace n°69, 1980.
- Wihr-au-Val à travers les âges, (2000) (ISBN 2-9515999-0-0), Adaptation de Ortsgeschichte von Weier im Tal (1938) de M.
- René Victor Wehrlen, La promenade d'un bataillon d'instruction sur le front de l'Est, et les combats du 21/42e R.I.F. dans la vallée de Munster et au Col de la Schlucht (Vosges) en , 1979.
- Samuel Wernain, Les orgues de Wihr-au-Val et l’orgue Mutin Cavaillé-Coll, Éditions Delatour France, Sampzon, 2006 (ISBN 2-7521-0031-0).
- Albert Zeh, « Wihr-au-Val, », in Annuaire de la Société d'Histoire du Val et de la Ville de Munster, 1999.
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
- Communauté de paroisses de la Vallée de Munster
- Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663 p. (ISBN 2-7165-0250-1)Wihr-au-Val, pp. 627-628
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Wihr-au-Val sur le site de l'Insee
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)