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Université Bretagne-Sud

L’université Bretagne-Sud[d 2], abrégée en UBS, est une université publique située dans le département du Morbihan en France. Créée en 1995, l’UBS est la quatrième et la plus jeune université bretonne après celles de Rennes-I, Rennes-II et de Bretagne-Occidentale. Les six composantes de l’université sont réparties sur les campus de Lorient et de Vannes. Une antenne de l’IUT de Lorient est implantée depuis 2001 à Pontivy.

Université de Bretagne-Sud
Logo de l'université Bretagne Sud.
Bâtiment, prénommé « Le Paquebot », de la faculté de lettres, langues, sciences humaines et sociales (LLSHS) situé sur le campus de Lanveur à Lorient en 2020.
Histoire
Fondation
1995[d 1]
Statut
Type
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)
RĂ©gime linguistique
Présidente
Virginie Dupont (d) (-)
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
Environ 10 800[e 1] (2021 - 2022)
Enseignants-chercheurs
500[c 1]
Budget
95 millions d'euros
Carte

L’universitĂ© est pluridisciplinaire (action sociale, arts, biologie, chimie, droit, Ă©conomie, gestion, gĂ©ographie, histoire, informatique, langues Ă©trangères, lettres, mathĂ©matiques). Depuis 2020, elle accueille plus de 10 000 Ă©tudiants chaque annĂ©e.

Elle est membre de plusieurs pôles de recherche et dispose d’une fondation depuis 2009.

Historique

Premières délocalisations universitaires

Le château de l'Hermine, ancienne école de droit du Morbihan.

Les premières implantations universitaires à Lorient et à Vannes se sont faites de manière dissociée, et sans souci de cohérence entre elles[b 1]. En 1966, une école de droit et de sciences économiques est créée à Vannes et ne délivre dans un premier temps que la capacité en droit. La mise en place d’une formation de DEUG se fait sous la tutelle de l’université Rennes-I avec l’ouverture de la première année en 1969, puis de la seconde année en 1971[b 2]. Les enseignements demeurent identiques à ceux de Rennes 1, tout enseignant de cette dernière ayant pour obligation d’effectuer une partie de son service dans l’antenne vannetaise[b 3]. Une expérience identique est menée à Lorient en 1973 mais ne se poursuit pas[b 2]. Dans le même temps, la chambre de commerce et d'industrie du Morbihan qui siège à Lorient soutient depuis 1963 l'idée d'un troisième pôle universitaire breton situé à Lorient[1].

La ville de Vannes bénéficie, dans les années suivantes, d'une seconde délocalisation avec la mise en place d’un institut universitaire de technologie : un département de l’IUT de Rennes en Gestion des entreprises et des administrations (GEA) ouvre en 1970. Puis un département de Statistique et Traitement informatique des données (STID) est ouvert l’année suivante avec le concours de l’université Rennes-II. En 1974 est alors créé sur ces bases un IUT autonome, l’IUT de Vannes, alors composante de l’université Rennes-II[b 4].

À Lorient, une première délocalisation universitaire a lieu en 1973 avec l’ouverture d’un département Hygiène et Sécurité de l’IUT de Quimper, une composante de l’université de Bretagne-Occidentale. En 1975, l’ouverture d’un département de Génie thermique et Énergie aboutit à la création d’un IUT de plein droit, l’IUT de Lorient, alors composante de l’université de Bretagne-Occidentale. Pendant près de vingt ans, cet institut reste le seul établissement universitaire de la ville[b 5].

Programmation de la nouvelle université

En 1986, trois députés socialistes, Louis Le Pensec, Jean-Yves Le Drian, et Jean Giovannelli, commencent à étudier le projet d'une nouvelle université structurés autour des trois villes du sud de la Bretagne. Dans celui-ci, Vannes se spécialiserait dans le droit et l'économie, Lorient dans les sciences, et Quimper dans les arts et les lettres. Pierre Pavec (d), alors maire de Vannes et non consulté, s'oppose à ce projet, de même que les directions des universités de la région[2]. Le projet continue d'être étudié sous la conduite de Jean Giovannelli qui est depuis 1981 rapporteur du budget de l'enseignement supérieur, et fréquente régulièrement les cabinets ministériels de Savary ainsi que Claude Allègre, futur conseiller du ministre de l'enseignement à partir de 1988[1].

À partir du milieu des années 1980, la hausse du nombre de bacheliers oblige les universités à se développer pour accueillir le nombre grandissant d’étudiants. En Bretagne en particulier, les universités rennaises ouvrent ainsi à Saint-Brieuc un nouveau campus ; les sites morbihannais ne sont pas oubliés, et de nouvelles formations diplômantes y ouvrent également[b 6]. Cependant, le but reste toujours de renforcer les antennes de premier cycle universitaire existantes, et non de créer une nouvelle université[1].

À partir de 1989, la région commence à préparer son contrat de projet avec l'État, et travaille au renforcement des pôles universitaires déjà existants jusqu'à ce qu'en octobre de la même année Claude Allègre, alors conseiller pour l'enseignement supérieur du ministre de l'éducation Lionel Jospin, propose la création d'une nouvelle université dans la région dans le cadre du programme des universités nouvelles[1]. Dans le même temps Louis Le Pensec qui est candidat au poste de président du conseil général du Finistère doit retirer son soutien au projet, car il pourrait entrer en concurrence avec l'université de Bretagne-Occidentale[3]. Le comité interministériel d’aménagement du territoire dote le le site Lorient-Vannes du statut de Pôle de développement universitaire (PDU)[b 7]. Dans le même temps les deux sites, tout en continuant leurs développements, sont invités à réfléchir à un projet commun[b 6].

En 1991, un schéma régional d’aménagement et de développement des enseignements supérieurs est préparé pour comme travail préparatoire au plan université 2000. Celui-ci prévoit quatre scénarios de développement possibles : une implantation ex nihilo en centre Bretagne, un projet multisite reposant sur les nouvelles technologies de communication, un projet strictement lorientais, et un projet strictement vannetais[b 6]. Cependant en le projet de nouvelle université doit être mis en sommeil à la suite des interventions politiques d'élus d'autres centres universitaires de la région[3].

Les villes du Morbihan continuent dans ce même temps à développer leurs formations de premier cycle. À Lorient, l’université Rennes-II ouvre ainsi des DEUG de langues étrangères appliquées en 1990 et d’histoire et de langues en 1991. En 1990, l’université Rennes-I ouvre un DEUST matériaux et l’Université de Bretagne occidentale ouvre des DEUG de sciences. L’IUT de Lorient s’enrichit d’un nouveau département d’Organisation et gestion de la production en 1992 puis d’un IUP Génie des systèmes industriels l’année suivante[b 6]. À Vannes, l’Université Rennes 1 implante un DEUG de sciences en 1990 puis de sciences économiques en 1992. L’IUT de Vannes se voit enrichir de départements d’informatique en 1986, de techniques de commercialisation en 1991, puis d’un IUP Statistiques et informatique en 1993[b 2].

La décision finale de créer une nouvelle université dans la région est finalement annoncée par Édouard Balladur, alors Premier ministre, lors d’un déplacement dans le Morbihan en [b 6].

Création de l'université et développement

L’université Bretagne-Sud prend le statut d’établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel par un décret du et devient une université à part entière. C’est alors la plus jeune des quatre universités publiques bretonnes. En attendant l’élection d’un président, Maurice Lièvremont est nommé administrateur provisoire.

En 1999, les statuts définitifs de l’UBS sont adoptés et les premiers conseils sont élus. Jusqu’alors, elle avait le statut d’ « université nouvelle ». Elle devient université de plein exercice en 2000 avec l’élection de Gilles Prado comme premier président[c 2]. L’année suivante, l’UBS signe son premier contrat quadriennal avec l’État, qui a pour objectif de fixer le partenariat entre l’université et son ministère de tutelle. La même année, une antenne de l’IUT de Lorient est ouverte à Pontivy : le département Génie Chimique-Génie des Procédés option Bioprocédés.

En 2004, le deuxième contrat quadriennal est signĂ© et voit l’adoption de la rĂ©forme Licence-Master-Doctorat (LMD) qui dĂ©signe l’application française du processus de Bologne. DĂ©jĂ  membre de l’association UniversitĂ© de Bretagne depuis 2001[e 2], l’UBS cofonde en 2007 l’universitĂ© europĂ©enne de Bretagne, l’un des neuf pĂ´les de recherche et d’enseignement supĂ©rieur crĂ©Ă©s par dĂ©cret en mars 2007[d 3]. L’UEB regroupe toutes les universitĂ©s et Ă©coles publiques bretonnes, soit 70 000 Ă©tudiants et 6 000 professionnels. CentrĂ©e sur le doctorat, la recherche et sa valorisation, elle vise une meilleure visibilitĂ© internationale. En septembre de la mĂŞme annĂ©e, l’école nationale supĂ©rieure d'ingĂ©nieurs de Bretagne Sud (ENSIBS) accueille sa première promotion d’étudiants Ă  Lorient et Ă  Vannes au sein de l’UBS[e 3].

En décembre 2007, l’UBS modifie ses statuts dans le cadre de la réforme des universités (Loi relative aux libertés et responsabilités des universités (LRU) du ). L’ensemble du personnel et des usagers désigne ensuite ses nouveaux représentants aux trois conseils statutaires resserrés de l’établissement en mars 2008. La même année, l’université décerne à Maciej Ciesielski, informaticien de l’Université du Massachusetts[c 3] - [4], le titre de premier docteur honoris causa de l’UBS.

Le , à la suite d’un audit de l’IGAENR qui juge l’UBS « entreprenante et bien organisée », le Conseil d’Administration de l’université vote en faveur du passage aux « compétences élargies ». Dans cette optique, le , la fondation universitaire de Bretagne-Sud est lancée à Vannes lors d'une cérémonie officielle présidée par le chancelier de l’Académie de Rennes[c 4] - [c 5]. La même année, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche autorise l’UBS à ouvrir deux classes préparatoires économiques et commerciales à Vannes et Lorient[e 4].

Lors de la rentrée universitaire 2009-2010, la faculté des sciences fête ses dix années d’existence et pour l’occasion, un nouveau bâtiment nommé « Sciences 2 » est inauguré sur le campus de Saint-Maudé à Lorient[c 6] - [e 5]. L'université accède aux « compétences élargies » le [c 7] - [e 6].

En 2010, le bâtiment dit du paquebot sur le site de Lorient est abandonné au profit d'une nouvelle implantation sur le campus de Saint-Maudé, le bâtiment étant laissé à la faculté de lettres[5]. La rentrée 2010 voit l'ouverture de diplômes de masters liés à l'enseignement, en partenariat avec l'IUFM. Désormais, elle est la seule composante à occuper le bâtiment dit du Paquebot, précédemment également utilisé par la faculté des sciences[6]

En 2012, la faculté de droit, des sciences économiques et de gestion abandonnera les locaux du campus centre de Vannes pour de nouveaux bâtiments situés sur le campus de Tohannic, rejoignant ainsi certaines installations de la faculté des sciences et de l’ENSIBS[e 7] - [e 8].

Les présidents de l'université Bretagne-Sud

Depuis la création de l’université, cinq présidents se sont succédé à la tête de l’établissement. De 1995 à 2000, un administrateur provisoire, Maurice Lièvremont, est à la tête de l’université. La présidente actuelle est Virginie Dupont (d), élue le [e 9].

Liste des présidents
NomAnnées
Gilles Prado[c 2] 2000 - 2005
Éric Martin 2005 - 2010
Olivier Sire 2010 - 2012
Jean Peeters[e 10] 2012 - 2016
2016 - 2020
Virginie Dupont (d)[e 9] Depuis 2020

Il a été décidé, afin de ne privilégier aucune des deux cités morbihannaises, de ne pas affecter à l’une ou l’autre le titre de siège unique de l’UBS. Ainsi, il existe deux bâtiments de la présidence ; l’un est situé sur le campus de Lanveur à Lorient, et l’autre sur le campus de Tohannic à Vannes. Les services communs et généraux ainsi que les divers organes de l’université sont répartis entre Vannes et Lorient.

Structure

Conformément au code de l'éducation qui fixe l’organisation légale des universités publiques en France, l’UBS rassemble six composantes[c 8] : trois unités de formation et de recherche, appelées « facultés », une école d’ingénieurs et deux instituts universitaires de technologie. D’autres services n’offrent pas de formations mais concourent à l’activité de l’université et disposent de statuts variés. Il en existe une dizaine à l’UBS[c 9], ils peuvent avoir une visibilité extérieure assez importante en raison de leurs activités.

Unités de formation et de recherche

L’université est structurée autour de trois unités de formation et de recherche[c 8]. Elles ont la charge de la formation des étudiants, mais aussi d’une partie des activités de recherche via des laboratoires de recherche et des instituts. L’accession en premier cycle se fait de droit pour tous les titulaires d’un baccalauréat ou d’un titre équivalent :

  • la FacultĂ© de droit, des sciences Ă©conomiques et de gestion de Bretagne-Sud[c 10] (DSEG), dirigĂ©e par Patrick Le Mestre, a la charge des formations en droit et Ă©conomie-gestion. Elle est structurĂ©e en deux dĂ©partements (dĂ©partement de droit et dĂ©partement d’économie-gestion, appelĂ© Institut de Management de Bretagne Sud), et comporte une unitĂ© de recherche. LocalisĂ©e sur le campus du centre Ă  Vannes, la facultĂ© de Droit, des Sciences Économiques et de Gestion est une des six composantes de l'universitĂ© de Bretagne-Sud[7]. Elle accueille trois laboratoires de recherche : le LEGO (laboratoire d’économie et de gestion de l’Ouest), le Lab-LEX (laboratoire en droit) et le LP3C (Laboratoire de Psychologie / Cognition, Comportement, Communication) ainsi qu'une chaire d'Ă©tablissement universitaire. La FacultĂ© compte 2 200 Ă©tudiants et dĂ©livre des diplĂ´mes de masters, licences professionnelles, licences et DU ;
  • la FacultĂ© de lettres, langues, sciences humaines et sociales de Bretagne-Sud[c 11] (LLSHS), dirigĂ©e par Laurent Daniel, a la charge des formations en langues, lettres modernes, sciences humaines et sociales, Ă©dition et documentation. Elle est structurĂ©e en deux pĂ´les : Lettres, Langues d'une part, Sciences Humaines et Sociales d'autre part, la structure de base restant le dĂ©partement qui sont au nombre de onze. LocalisĂ©e sur le campus de Lanveur Ă  Lorient, la facultĂ© de lettres, langues, sciences humaines et sociales est une des trois composantes de l'universitĂ© de Bretagne-Sud[8] ;
  • la FacultĂ© des sciences et sciences de l'ingĂ©nieur de Bretagne-Sud[c 12] (SSI), dirigĂ©e par FrĂ©dĂ©ric Bedel, a la charge des formations en physique, matĂ©riaux, sciences de l’ingĂ©nieur, biologie, biotechnologie, environnement, mathĂ©matiques, statistique, informatique, Ă©nergĂ©tique, Ă©lectronique, gĂ©nie mĂ©canique et gĂ©nie civil. Elle est structurĂ©e en trois dĂ©partements (dĂ©partement Sciences et Techniques, dĂ©partement MathĂ©matiques, Informatique et Statistique et dĂ©partement Sciences de la Matière et de la Vie), et comporte six unitĂ©s de recherche de niveau A (AERES). RĂ©partie sur les campus de Saint-MaudĂ© Ă  Lorient et de Tohannic Ă  Vannes, la facultĂ© des sciences et des sciences de l'ingĂ©nieur est une des composantes de l'UniversitĂ© de Bretagne-Sud.

Instituts universitaires de technologie et école d'ingénieurs

L'IUT de Lorient.

L’UBS dispose de deux instituts universitaires de technologie qui dispensent en formation initiale et continue un enseignement supérieur destiné à préparer aux fonctions d’encadrement technique et professionnel dans certains secteurs de la production, de la recherche appliquée et des services :

Service commun de documentation

Bibliothèque universitaire de Lorient, , campus de Lorient, Université Bretagne Sud
Bibliothèque universitaire de Lorient.

Le service commun de documentation (SCD) gère l’ensemble des fonds documentaires de l’université et met en œuvre sa politique documentaire. Il a été institué le par le conseil d’administration de l’université[c 14]. Il se compose de deux bibliothèques universitaires (BU) ouvertes à tous les publics : celle de Lorient (qui a intégré la BU de l'IUT de Lorient en 2010) et celle de Vannes-Tohannic, qui a intégré en 2013 la BU de Vannes-Droit ainsi que le Centre de Documentation de l'Institut de Formation des Soins Infirmiers (l'actuel IFPS anciennement nommé IFSI). La bibliothèque universitaire de l'IUT de Vannes est une bibliothèque associée au Service Commun de la Documentation.

  • la bibliothèque universitaire de Lorient offre un fonds d'ouvrages en histoire, lettres, langues, sciences humaines et sociales, sciences et techniques, et une documentation sur l'orientation et les concours.
  • la bibliothèque universitaire de Vannes propose quant Ă  elle des ouvrages de sciences, droit, sciences Ă©conomiques et gestion, ainsi que des collections propres Ă  l'IFPS (Institut de Formation des Professionnels de SantĂ©).
Bibliothèque universitaire de Vannes, campus de Tohannic, Université Bretagne Sud
Bibliothèque universitaire de Vannes.

Les deux sites abritent aussi des collections d'actualités et de culture générale ainsi que de nombreux abonnements à des revues. Le service commun de documentation met à disposition de la communauté universitaire un vaste bouquet en ligne de bases de données généralistes et disciplinaires.

Le prêt entre bibliothèque (PEB) permet en outre d’accéder à des ouvrages non référencés, mais disponibles dans des bibliothèques ou centres de documentation français comme étrangers.

Fondation universitaire de Bretagne-Sud

L’université dispose d'une fondation universitaire, la Fondation Universitaire de Bretagne-Sud. Ses statuts et son principe ont été votés par le conseil d’administration de l’université le [c 15]. Le , l'université et les 5 membres fondateurs sont réunis pour signer la convention qui les lie à la fondation[c 16].

La fondation vise trois buts : soutenir les Ă©tudiants dans leurs Ă©tudes ou dans leurs initiatives associatives, animer un rĂ©seau d’anciens Ă©tudiants de l’universitĂ©, et structurer les offres de services et d’expertise de l’universitĂ© aux entreprises. Les entreprises donatrices peuvent dĂ©duire de leur impĂ´t sur les sociĂ©tĂ©s l’équivalent de 60 % de leurs donations, dans une limite de 0,5 % de leur chiffre d’affaires. Les particuliers peuvent dĂ©duire l’équivalent de 66 % de leurs donations sur leur impĂ´t sur le revenu, dans la limite de 20 % de celui-ci, ou de 75 % du don s’ils sont redevables de l’impĂ´t sur la fortune, dans la limite de 50 000 â‚¬[c 16].

Campus

Localisation des implantations des universités bretonnes :
Université de Bretagne-Sud.
Université Rennes-I.
Université Rennes-II.
Université de Bretagne-Occidentale

En 2010, les composantes de l’universitĂ© sont rĂ©parties dans les quelque 91 723 m2 de terrain des campus de Vannes, Lorient et Pontivy[c 17]. Une antenne de l’IUT de Lorient d’une surface de 4 309 m2 est situĂ©e Ă  Pontivy[c 18].

Campus de Lorient

Ă€ Lorient l’universitĂ© compte deux campus[c 19]. Le campus de Lanveur rassemble la FacultĂ© de Lettres, Langues, Sciences Humaines et Sociales ainsi que le pĂ´le de formation Sanitaire et Sociale et l’IUT de Lorient. Les bâtiments « Sciences 1 » et « Sciences 2 » de la FacultĂ© des Sciences et Sciences de l’IngĂ©nieur et de l’ENSIBS sont implantĂ©s sur le campus de Saint-MaudĂ© non loin de la prĂ©sidence de l’universitĂ© pour les activitĂ©s lorientaises. En 2010, la surface du patrimoine immobilier lorientais reprĂ©sente près de 51 815 m2, soit 56,5 % de la surface globale de l’universitĂ©[c 17].

Campus de Vannes

Ă€ Vannes, l’universitĂ© compte un campus et deux lieux d’implantation[c 20] - [9]. Le campus de Tohannic rassemble une partie de l’ENSIBS ainsi que la FacultĂ© des Sciences et Sciences de l'IngĂ©nieur et la prĂ©sidence de l'universitĂ© pour les composantes vannetaises. L'IUT de Vannes ainsi qu'un restaurant universitaire sont implantĂ©s dans le quartier de Kercado. La FacultĂ© de Droit, des Sciences Économiques et de Gestion est elle implantĂ©e dans le centre-ville mais doit rejoindre le campus de Tohannic d'ici Ă  2013 ou 2014[e 11]. En 2010, la surface du patrimoine immobilier vannetais reprĂ©sente près de 35 589 m2, soit 38,8 % de la surface globale de l’universitĂ©[c 17].

Enseignement et recherche

Formation

L’IUFM de Vannes, école interne de l’université de Bretagne-Occidentale avec laquelle travaille l’université pour la formation des enseignants du secondaire.

L’ensemble des composantes de l’université propose pour l’année universitaire 2009/2010 près de 93 diplômes nationaux[c 21] - [c 22], et forme à plusieurs concours.

Licences et assimilés

L’université propose des formations pour le diplôme d'accès aux études universitaires permettant aux non-bacheliers d’accéder à l’Université ; deux mentions de DU Carrières juridiques[c 23] sont aussi proposés : secteur privé et administration territoriale. Les deux instituts universitaires de technologie proposent neuf DUT dans les domaines « Droit, Économie, Gestion »[c 24] et « Sciences, Technologies, Santé »[c 25].

La licence générale est délivrée dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités. Il est proposé à l’UBS :

  • la licence Arts, lettres et langues avec quatre mentions[c 26] ;
  • la licence Sciences humaines et sociales avec deux mentions[c 27] ;
  • la licence Droit Économie Gestion avec deux mentions[c 28] ;
  • la licence Sciences Technologies SantĂ© avec cinq mentions[c 29].

Par ailleurs l’université organise l’enseignement de 25 licences professionnelles.

Masters et assimilés

De la même façon, le master est délivré dans plusieurs domaines qui se déclinent ensuite en mentions puis en spécialités et éventuellement en parcours. Il est proposé à l’UBS :

  • le master Arts, lettres et langues avec une mention[c 30] ;
  • le master Sciences Humaines et Sociales avec trois mentions[c 31] ;
  • le master Droit Économie Gestion avec deux mentions[c 32] ;
  • le master Sciences Technologies SantĂ© avec trois mentions[c 33].

Ces formations reprĂ©sentent 31 spĂ©cialitĂ©s. Dans le rapport de l’AERES de juin 2008 concernant ces masters[a 1], une grande majoritĂ© de ces masters rĂ©coltent « la mention B - favorable ».

L’université est également habilitée à délivrer le diplôme d’ingénieur via son école interne dans quatre spécialités[d 4].

Préparation aux concours

L’université offre des préparations pour des concours de l’enseignement comme le CAPES[10] ou le CRPE[c 34] en partenariat avec l’institut universitaire de formation des maîtres de Bretagne, une école interne de l’université de Bretagne-Occidentale.

Deux classes préparatoires ENS Cachan voie D1 existent sur les sites de Lorient et Vannes en lien avec les lycées Dupuy-de-Lôme à Lorient et Charles-de-Gaulle à Vannes[d 5] - [c 35].

Échanges internationaux

L’universitĂ© est partie prenante dans des programmes d’échanges gĂ©nĂ©raux tels qu’Erasmus ou CREPUQ, et est aussi liĂ©e Ă  des universitĂ©s Ă©trangères par des conventions bilatĂ©rales. Ainsi, 67 conventions sont en cours avec des partenaires europĂ©ens et 34 conventions avec des partenaires hors Europe[c 36]. L’établissement a pu se reposer sur le soutien de collectivitĂ©s locales pour mettre en place certains Ă©changes, comme celui du conseil rĂ©gional de Bretagne pour l’UniversitĂ© Heriot-Watt, celui du conseil gĂ©nĂ©ral du Morbihan pour l’universitĂ© des PĂŞches du ViĂŞt Nam, ou encore la ville de Lorient pour l’universitĂ© de Galway[a 2].

En 2007-2008, 474 Ă©tudiants de l’UBS sont partis Ă  l’étranger dans le cadre d’études (213) ou de stages (261), ce qui reprĂ©sente un doublement des flux sortants depuis la pĂ©riode 2004-2005 (225 Ă©tudiants alors). L’Espagne, avec 69 Ă©tudiants en Ă©change et 49 stagiaires, et le Canada, avec 30 Ă©tudiants en Ă©change et 45 stagiaires, sont les deux premières destinations[c 37]. Sur la mĂŞme pĂ©riode, l’universitĂ© a accueilli 517 Ă©tudiants Ă©trangers en mobilitĂ© entrante[c 38]. La population Ă©trangère de l’universitĂ© est ainsi Ă©valuĂ©e Ă  4 % des effectifs[a 2]. Pour l'annĂ©e 2008-2009, avec 1,76 % de ses Ă©tudiants inscrits issus d'un Ă©change Erasmus, l'universitĂ© figure Ă  la 6e des universitĂ©s françaises pour cette population[d 6]

Le doctorat

Depuis 2008, l’activité doctorale des établissements du PRES Université européenne de Bretagne est organisée par le collège doctoral de l’UEB. Ce dernier regroupe huit écoles doctorales[11]. L’université Bretagne-Sud est coaccréditée pour quatre de ces écoles[c 39], l’école doctorale « Santé, Information - Communications, Mathématiques, Matière » (SICMA), l’école doctorale « Sciences humaines et sociales » (SHS), l’école doctorale « Arts, lettres, langues » (ALL) et l'école doctorale « Sciences de l'Homme, des Organisations et de la Société » (SHOS). Celles-ci ont pris la suite de l’école doctorale qui était propre à l’université et qui comptait une dizaine de thèses soutenues par an[a 3]. Elles ont la charge du suivi des étudiants en troisième cycle universitaire, mais aussi de la gestion des habilitations à diriger des recherches.

Les écoles doctorales « SHS » et « ALL » sont issues de la restructuration des deux anciennes écoles doctorales de l’université Rennes-II. Accréditées dans le cadre du volet recherche du contrat quadriennal 2008-2011[a 4], elles fonctionnent en réseau avec l’UBS et l’université de Bretagne-Occidentale, ces dernières étant coaccréditées. Rennes 2 est l’établissement de tutelle[12].

L’école doctorale « SICMA »[13] fait l’objet d’une coaccréditation entre l’UBS, Télécom Bretagne, et l’Université de Bretagne occidentale, ce dernier étant l’établissement de tutelle. L’école est structurée en trois groupements disciplinaires : Math-STIC, Matière et Biologie-Santé. L’école doctorale « SHOS » est née d’une coopération, dans le cadre d’une coaccréditation, entre l’UBS, l’Université de Bretagne occidentale, Agrocampus Ouest. L’université Rennes-I est l’établissement de tutelle.

Activités de recherche

Le bâtiment Christiaan Huygens à Lorient concentre une partie des laboratoires de recherche.

La recherche Ă  l’universitĂ© est regroupĂ©e en trois domaines, et compte dix laboratoires, dont deux unitĂ©s mixtes de recherche (UMR) avec le CNRS[c 40]. La plupart de ces laboratoires travaillent en commun avec d’autres Ă©tablissements supĂ©rieurs. Selon le classement Webometric de 2010 portant sur les Ă©tablissements supĂ©rieurs de recherche et d'enseignement, l’universitĂ© se situait aux alentours de la 1 184e place du classement mondial des Ă©tablissements supĂ©rieurs d’enseignement du Ranking Web of World Universities, et 75e française[14].

Axe de recherche « Mathématiques, Sciences, Technologies de l'Information et de la Communication » (Math-STIC)[c 41]

Le laboratoire « Lab-STICC » (UMR 6285 : Laboratoire des Sciences et Techniques de l'Information, de la Communication et de la Connaissance) travaille dans le domaine des communications et du traitement des connaissances[15].

Le laboratoire « LMAM » (EA 3885 : Laboratoire de Mathématiques et Applications des Mathématiques) travaille dans le domaine des mathématiques et du traitement de l'image[c 42].

Le laboratoire « VALORIA » (EA 2593 : Vannes-Lorient Recherche en Informatique et ses Applications) travaille dans le domaine de l'informatique diffuse et de « l'intelligence ambiante »[c 43].

Les biofilms, axe de recherche du laboratoire LBCM.
Axe de recherche « Technologie, Matériaux, Vivant » (TMV)[c 44]

Le laboratoire « LIMATB » (EA 4250 : Laboratoire d’Ingénierie des Matériaux de Bretagne) travaille dans le domaine des matériaux[c 45].

Le laboratoire « LBCM » (EA 3884 : Laboratoire de Biotechnologie et Chimie Marines) travaille sur l’étude de la formation de biofilms et le développement de techniques liées à celui-ci[c 46].

Axe de recherche « Mer, Innovation, Internationalisation et Gouvernance » (MIIG)[c 47]

Le « Centre de recherches historiques de l'Ouest » ou « CERHIO » (UMR CNRS 6258) travaille dans le domaine historique sur le Grand Ouest[16].

Le laboratoire « HCTI » (EA 4249 : Héritages et Constructions dans le Texte et l'Image) travaille sur les domaines de la littérature, de la linguistique et dans l'étude des civilisations[c 48].

Le laboratoire « IREA » (EA 4251 : Institut de Recherche sur les Entreprises et les Administrations) travaille dans une optique transversale les questions touchant aux entreprises et aux administrations[c 49].

Le laboratoire « GEOARCHITECTURE » (EA 2219 : Institut de géoarchitecture) travaille sur l'aménagement des territoires[17].

Le laboratoire « CRP2C » (EA 1285 : Centre de Recherche en Psychologie, Cognition et Communication), travaille dans le domaine de la Cognition et comportement, de la psychologie sociale, et de la sociologie de la santé et problèmes sociaux[c 50].

Ces trois derniers laboratoires sont membres du groupement d'intérêt scientifique Marsouin.

Personnalités liées à l'université

Vie Ă©tudiante

MĂ©dia

Restaurant universitaire du campus de Lanveur à Lorient en 2020. Il se situe près du parc Youri Gagarine et de la faculté de lettres, langues, sciences humaines et sociales (LLSHS).

Depuis 2006[c 51], une web radio associative et étudiante, la Compagnie des ondes, est diffusée via son site internet[18]. Gérée par des étudiants lorientais, elle diffuse des émissions musicales, scientifiques, politiques, citoyennes et créatives.

L’université gère aussi un journal interne à l’intention des étudiants et du personnel de l’université, Diagonale[c 52].

Activités sportives

La Course Croisière EDHEC, gagnée par un équipage de l'université en 2008.

Lors de l’annĂ©e universitaire 2007/2008, près de 30 % des Ă©tudiants sont inscrits dans une activitĂ© de sport universitaire[c 36]. La voile tient une part importante du fait de la proximitĂ© de la mer et de l’existence d’une licence professionnelle « nautisme »[e 12]. En 2008, des Ă©quipages de l’universitĂ© ont Ă©tĂ© vainqueurs de la Coupe de France en habitable, de la Coupe d’Europe, de la Coupe de France d’Open 5.7, et de la Course Croisière EDHEC[c 53] après avoir dĂ©jĂ  remportĂ© la Coupe de France et la Coupe d'Europe en 2007[c 54]. L'universitĂ© compte aussi dans ses anciens Ă©tudiants des skippers comme Nicolas Lunven, vainqueur de la 40e Ă©dition de la Solitaire du Figaro[c 55]. D'autres sports se sont aussi illustrĂ©s, par exemple le football, sport dans lequel une Ă©quipe de l'universitĂ© a gagnĂ© le championnat de France de football universitaire en 2010[c 56].

Associations Ă©tudiantes

En 2015, l’université compte en son sein une trentaine d'associations étudiantes réparties sur les campus de Vannes et de Lorient[c 57].

Les associations disposent d’une aide de la part des deux maisons des Ă©tudiants (MDE) gĂ©rĂ©es en partenariat par l’UBS et le CROUS, dans des locaux mis Ă  disposition par les mairies de Vannes et Lorient[b 8]. L’UBS permet aux associations d’être accompagnĂ©es par les MDE pour les dĂ©marches administratives et recherches de subventions ainsi que d’avoir une visibilitĂ© plus importante et d’être financĂ©es par le fonds de solidaritĂ© et de dĂ©veloppement des initiatives Ă©tudiantes (FSDIE). Le financement aux associations pas ce biais a augmentĂ© en passant de 10 500 â‚¬ en 2003 Ă  37 800 â‚¬ en 2005[a 5]. Les MDE mettent Ă  disposition des associations des bureaux Ă©quipĂ©s, cependant, la plupart d’entre elles sont toujours dissĂ©minĂ©es dans les diffĂ©rents bâtiments des diffĂ©rents campus.

Des associations diverses sont présentes sur le campus. Majoritairement locales, elles sont centrées sur des projets se déroulant à l’intérieur comme à l’extérieur du campus. Outre ces associations généralistes, l’université compte plusieurs associations de filières.

Évolution démographique

Depuis sa création, la fréquentation de l'Université n'a cessé de s'accroitre. On remarque cependant qu'il y a des périodes où le nombre d'étudiants se stabilise. A la rentrée 2020, l'UBS passe le cap des 10 000 étudiants[19].

Évolution démographique de la population universitaire
1995-1996 1996-1997 1997-1998 1998-1999 1999-2000 2000-2001 2001-2002 2002-2003
5 474[b 9]5 624[b 9]5 538[b 9]6 252[b 9]6 216[b 10]6 341[d 7]6 356[d 8]6 740[d 9]
2003-2004 2004-2005 2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011
7 124[d 10]7 428[d 11]7 684[d 12]7 372[d 13]7 585[d 14]7 792[d 15]8 203[d 16]8 578[d 17]
2011-2012 2012-2013 2013-2014 2014-2015 2015-2016 2016-2017 2017-2018 2018-2019
8 487[d 18]8 385[d 19]8 590[d 20]8 129[d 21]9 000[c 1]9 250[c 58]9 600[c 59]9 600[c 60]
2019-2020 2020-2021 2021-2022 - - - - -
9 700[c 61] 10 000[c 62]10 800[e 1]-----

Identité visuelle

  • Logo de l'universitĂ© utilisĂ© jusqu'en dĂ©cembre 2009.
    Logo de l'université utilisé jusqu'en [20].
  • Logo noir et blanc dĂ©cembre 2009 - septembre 2015.
    Logo noir et blanc - [20].
  • Autre version du logo noir et blanc dĂ©cembre 2009 - septembre 2015.
    Autre version du logo noir et blanc - .
  • Version noir et blanc du logo initial.
    Version noir et blanc du logo initial[20].
  • Logo de l'universitĂ© utilisĂ© depuis septembre 2015.
    Logo de l'université utilisé depuis .

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Notes et références

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  10. « Faculté de Lettres Sciences Humaines et Sociales (LLSHS) » [archive du ], sur univ-ubs.fr.
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  13. Statuts du Service Commun de la Documentation, univ-ubs.fr.
  14. Communiqué sur la création de la Fondation Universitaire de Bretagne Sud, univ-ubs.fr.
  15. La fondation de l'UBS réunit ses membres fondateurs mercredi 1er juillet pour officialiser sa création, univ-ubs.fr.
  16. [PDF]« Université Bretagne-Sud, Chiffres clés 2009/2010, 1ère partie », sur univ-ubs.fr (consulté le ).
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  18. Plan du campus de Lorient [PDF], univ-ubs.fr.
  19. Plan du campus de Vannes [PDF], univ-ubs.fr.
  20. Plaquette de formation 2008/2009, univ-ubs.fr.
  21. DU Droit Économie Gestion, univ-ubs.fr.
  22. Formations DSEG, univ-ubs.fr.
  23. Formations STS, univ-ubs.fr.
  24. Licences Arts, lettres et langues, univ-ubs.fr.
  25. Licences Sciences humaines et sociales, univ-ubs.fr.
  26. Licences Droit Economie Gestion, univ-ubs.fr.
  27. Licences Sciences Technologies Santé, univ-ubs.fr.
  28. Master Arts, lettres et langues, univ-ubs.fr.
  29. Masters Sciences Humaines et Sociales, univ-ubs.fr.
  30. Masters Droit Économie Gestion, univ-ubs.fr.
  31. Masters Sciences Technologies Santé, univ-ubs.fr.
  32. « Licence mention PLURIDISCIPLINAIRE », sur univ-ubs.fr.
  33. « Classe Préparatoire économique et commerciale (ENS Cachan) », sur ubs.fr.
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Site ministériels

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  3. Décret n°2007-381 du 21 mars 2007 portant création de l’établissement public de coopération scientifique Université européenne de Bretagne.
  4. Arrêté du 16 janvier 2009 fixant la liste des écoles habilitées à délivrer un titre d’ingénieur diplômé.
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  18. Ministère de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012.
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Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur

  1. [PDF]« Évaluation des masters de l'université Bretagne-Sud », sur aeres-evaluation.fr.
  2. Agence d'évaluation de le recherche et de l'enseignement supérieur, Rapport d'évaluation de l'Université de Bretagne Sud, janvier 2008,p. 15.
  3. Agence d'évaluation de le recherche et de l’enseignement supérieur, Rapport d'évaluation de l'Université de Bretagne Sud, janvier 2008, p. 12.
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  5. ibid.p. 9.

Comité national d'évaluation des EPSCP

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Presse

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Autres références

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  12. Les écoles doctorales Sciences de l'Homme et de la Société, et Arts, Lettres et Langues de l'Université Européenne de Bretagne, www.univ-brest.fr, consulté le 18 mai 2009.
  13. Site officiel de l'Ă©cole doctorale SICMA.
  14. Université de Bretagne-Sud, webometrics.info.
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  18. « La Compagnie Des Ondes », sur lacompagniedesondes.fr (consulté le ).
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