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Tréogan

TrĂ©ogan [tʁeÉ”ÉĄÉ‘Ìƒ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.

Tréogan
Tréogan
La mairie.
Blason de Tréogan
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes Poher communauté
Maire Thierry Dahirel
Code postal 22340
Code commune 22373
DĂ©mographie
Gentilé Tréoganais, Tréoganaise
Population
municipale
104 hab. (2020 en augmentation de 5,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 11â€Č 24″ nord, 3° 31â€Č 07″ ouest
Altitude 214 m
Min. 135 m
Max. 293 m
Superficie 7,1 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Carhaix-Plouguer
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Rostrenen
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Tréogan
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Liens
Site web https://www.treogan.bzh/

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
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    La paroisse faisait partie du territoire breton traditionnel du pays Fisel. La commune est situĂ©e Ă  l'extrĂ©mitĂ© orientale du dĂ©partement du FinistĂšre, Ă  la limite de ceux du Morbihan et des CĂŽtes-d'Armor, en plein cƓur du Kreiz Breizh, dans le triangle formĂ© par les villes de Carhaix, Gourin et Rostrenen.

    TrĂ©ogan est dans une dĂ©pression situĂ©e Ă  l'extrĂ©mitĂ© orientale du versant nord des montagnes Noires (qui culminent Ă  286 mĂštres, mais ce sommet et les autres sont situĂ©s dans la commune de Langonnet (Morbihan), au-delĂ  de la limite sud de la commune), une autre ligne de hauteurs appalachiennes culminant au Menez GliguĂ©ric, Ă  304 m d'altitude, mais ce sommet est situĂ© dans la commune de PlĂ©vin (CĂŽtes-d'Armor), au nord de la limite nord de la commune de TrĂ©ogan ; le bourg est vers 214 m d'altitude, mais le relief s'abaisse jusqu'Ă  136 mĂštres d'altitude Ă  l'extrĂ©mitĂ© ouest du finage communal, au niveau de la confluence entre le ruisseau de Goaranvec (affluent de rive gauche de l'HyĂšre) et son propre affluent, le ruisseau de Saint-Conogan, qui servent d'ailleurs tous les deux de limite communale, le premier citĂ© avec Langonnet et Gourin, le second citĂ© avec Motreff.

    Tréogan a un paysage rural traditionnel de bocage avec habitat dispersé en hameaux et fermes isolées.

    La commune est traversée par la route départementale 3, provenant de Gourin (elle se nomme RD 302 pour sa partie située dans le département du Morbihan) et allant jusqu'à Rostrenen aprÚs avoir traversé Glomel.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 246 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 16,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Carhaix », sur la commune de Carhaix-Plouguer, mise en service en 1983[7] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 082,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de QuĂ©ven, dans le dĂ©partement du Morbihan, mise en service en 1952 et Ă  45 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  12 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tréogan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carhaix-Plouguer, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 0,15 % 1
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,3 % 44
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 77,5 % 544
    ForĂȘts de feuillus 7,0 % 49
    ForĂȘts de conifĂšres 6,6 % 46
    Landes et broussailles 0,6 % 4,5
    ForĂȘt et vĂ©gĂ©tation arbustive en mutation 1,9 % 13,5
    Source : Corine Land Cover[19]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Treaugan en 1450, 1516, 1535, 1536 et en 1599[20].

    Du toponyme breton treo et de l'anthroponyme Ogan. Le toponyme Treaugan (des XVe et XVIe siÚcles) renvoie à Augan dont la racine alcam (kam) en vieux breton pourrait avoir désigné un enclos circulaire[21] - [22]. Une autre hypothÚse plus convaincante est que le nom signifie, par contraction, « trÚve de saint Conogan », la commune étant effectivement une ancienne trÚve de la paroisse de Plévin[20] ; d'ailleurs un ruisseau qui parcourt la commune porte le nom de « ruisseau de Saint-Conogan », l'église paroissiale lui est dédiée et un hameau de la commune est dénommé "Beuzit", nom qui fait penser à Conogan de Beuzit, autre nom de saint Conogan.

    Histoire

    Antiquité

    La voie romaine allant de Quimper à Corseul via Vorgium (Carhaix) passait par Tréogan[23].

    Moyen Âge

    Issue d'un dĂ©membrement de la paroisse de l'Armorique primitive de PlĂ©vin, la paroisse eut initialement son centre au lieu-dit Coz-TrĂ©ogan, situĂ© au sud du bourg actuel, en lisiĂšre de la forĂȘt de Conveau.

    En 1356, Jean, seigneur de Tréogan, avait une compagnie noble au service du roi Charles V. Les manoirs nobles de Pencoz, Kerleaugui, Kerfredin, Keraslan et le Mengui existaient à cette époque à Tréogan[24].

    Époque moderne

    Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges : le , des paysans de Plévin et Tréogan contraignirent les moines de l'abbaye de Langonnet à accepter le retour aux anciennes coutumes pour la mesure censive de l'abbaye et les droits de lods et ventes[20].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tréogan en 1778 :

    « TrĂ©ogat [en fait TrĂ©ogan], dans un fond, Ă  dix lieues un tiers Ă  l'est-nord-est de Quimper, son Ă©vĂȘchĂ©, Ă  31 lieues de Rennes et Ă  1 lieue deux-tiers de Gourin, sa subdĂ©lĂ©gation. Cette paroisse relĂšve du Roi, ressortit Ă  Carhaix et compte 550 communiants[25] ; la cure est Ă  l'alternative. Le territoire n'est composĂ© que de monticules nommĂ©s les Montagnes Noires, qui forment une chaĂźne depuis Évran jusqu'Ă  Crozon, de maniĂšre que la plus grande partie du terroir est absolument inculte ; on y vit en outre la forĂȘt de Conveau qui a deux lieues de circuit[24]. »

    Révolution française

    Tréogan fut érigée en commune en 1790, mais ensuite rattachée à nouveau à Plévin jusqu'en 1844, date à laquelle elle redevint une commune indépendante par l'ordonnance du .

    XIXe siĂšcle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréogan en 1845 :

    « TrĂ©ogan (sous l'invocation de saint Conogan), commune formĂ©e par l'ancienne paroisse du mĂȘme nom. (...) Principaux villages : Kernon, Kerleur, KerfrĂšre, Kervern, Kergrec'h, Keralain, le Buzit, Hallegulen, Ty-Douvou. Superficie totale : 18 ha 84 ares dont (...) terres labourables 312 ha, prĂ©s et pĂątures 72 ha, bois 12 ha, vergers et jardins 18 ha, landes et incultes 278 ha (...) Moulin-Blanc, Ă  eau. Cette commune n'a pas de succursale, le desservant de PlĂ©vin bine [dessert les deux paroisses] avec celui de TrĂ©ogan. GĂ©ologie : schiste argileux. On parle le breton[26]. »

    La portion de la route royale n° 169 (actuelles routes dĂ©partementales n°1 du Morbihan et n° 3 des CĂŽtes-d'Armor) allant de TrĂ©ogan via Conveau et Gourin Ă  la limite dĂ©partementale du FinistĂšre en passant par Roudouallec, fut le dernier tronçon de l'axe routier allant de Quimper Ă  Saint-Brieuc Ă  ĂȘtre amĂ©nagĂ© Ă  partir de 1846[27].

    Un malheureux fait divers survenu le , une tentative d'assassinat d'une domestique par la femme qui l'employait, affaire dénommée dans les journaux « Le mystÚre de Tréogan », montre qu'à l'époque la plupart des habitants de Tréogan ne parlaient que le breton : parlant des témoins lors du procÚs qui se tint en , Le Petit Journal écrit : « On entend ensuite plusieurs habitants de Tréogan. Un interprÚte doit traduire les dépositions de la plupart d'entre eux »[28].

    XXe siĂšcle

    Le monument aux morts de Tréogan.

    PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de TrĂ©ogan porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la PremiĂšre Guerre mondiale ; parmi eux, un (Guillaume Briand[29]) est mort en Belgique dĂšs 1914 ; un (Yves Daniel) est mort en captivitĂ© en Allemagne ; les autres sont dĂ©cĂ©dĂ©s sur le sol français dont trois portant le mĂȘme nom de famille (François Fraval, Jean Fraval, Nicolas Fraval)[30].

    HĂ©raldique


    De gueules Ă  trois coquilles d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1959 octobre 1973 Ernest David PCF Conseiller général du canton de Maël-Carhaix
    (1961-1973)
    janvier 1974 mars 1983 Jean Goacolou SE, proche du PCF (*) Agriculteur
    mars 1983 juillet 2021 Honoré Lescoat DVD[31] - [32] Agriculteur retraité
    juillet 2021 en cours Thierry Dahirel Sans Ă©tiquette Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    (*) Jean Goacolou a parrainé la candidature de Georges Marchais pour l'élection présidentielle de 1981 (réf. JO du ).

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 104 habitants[Note 8], en augmentation de 5,05 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    193243284240286301295308307
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    289311290264307298336373405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    418424381362322307309282233
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    18616816016213811910310199
    2017 2020 - - - - - - -
    100104-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Conogan.
    • L'enclos paroissial de TrĂ©ogan : le cimetiĂšre, le calvaire et l'Ă©glise paroissiale Saint-Conogan.
      L'enclos paroissial de Tréogan : le cimetiÚre, le calvaire et l'église paroissiale Saint-Conogan.
    • Le calvaire du Buzit ;
    • Le calvaire du Buzit.
      Le calvaire du Buzit.
    • Salle polyvalente.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Carhaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tréogan et Carhaix-Plouguer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Carhaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tréogan et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. http://www.infobretagne.com/treogan.htm
    21. Le patrimoine des communes des Cotes-d'Armor, t. 2, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », (ISBN 978-2-84234-030-8).
    22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-Paul Gisserot, (lire en ligne), p. 82.
    23. http://fr.topic-topos.com/patrimoine-treogan
    24. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist04og
    25. Personnes en Ăąge de communier
    26. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 2, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj_u6zXpenSAhVLLsAKHXgyCmkQ6wEIHTAA#v=onepage&q=Tr%C3%A9ogan&f=false
    27. "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général du Morbihan", 1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5807098t/f61.image.r=Roudouallec?rk=85837;2
    28. Le Petit Journal, n° du 15 avril 1896, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k613858h/f2.image.r=Tr%C3%A9ogan?rk=21459;2
    29. Guillaume Briand, né le à Gourin, soldat au 36e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Chùtelet, décoré de la Croix de guerre
    30. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=34450
    31. « Résultats municipales 2020 à Tréogan », sur lemonde.fr (consulté le ).
    32. Présentateur de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle française de 2012 : JORF n°0078 du 31, mars 2012 page 5810, texte n° 1, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République (1) », NOR: CSCX1209092K
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-conogan-treogan
    38. http://fr.topic-topos.com/vierge-a-lenfant-treogan

    Voir aussi

    Liens externes

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