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Trédarzec

TrĂ©darzec [tʁedaʁzɛk] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des CĂŽtes-d'Armor, en rĂ©gion Bretagne.

Trédarzec
Trédarzec
La chapelle Saint-Nicolas de Kerhir.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂŽtes-d'Armor
Arrondissement Lannion
Intercommunalité Communauté d'agglomération Lannion-Trégor Communauté
Maire
Mandat
Yvon Le SĂ©guillon
2020-2026
Code postal 22220
Code commune 22347
DĂ©mographie
Gentilé Trédarzécois, Trédarzécoise
Population
municipale
1 054 hab. (2020 en diminution de 3,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 90 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 47â€Č 15″ nord, 3° 11â€Č 56″ ouest
Altitude 59 m
Min. 0 m
Max. 84 m
Superficie 11,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Tréguier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tréguier
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Trédarzec
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Trédarzec
Liens
Site web tredarzec.fr

    GĂ©ographie

    La commune est située sur la rive est du Jaudy.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 10,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 779 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Lanleff », sur la commune de Lanleff, mise en service en 1987[7] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 839,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Brieuc », sur la commune de TrĂ©muson, mise en service en 1985 et Ă  39 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  11,2 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    TrĂ©darzec est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de TrĂ©guier, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 4 communes[17] et 6 521 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de TrĂ©guier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[20] - [21].

    La commune, bordĂ©e par l'estuaire du Jaudy, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[22]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[23] - [24].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (91 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (53,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (36 %), zones urbanisĂ©es (5,1 %), eaux continentales[Note 8] (2,5 %), forĂȘts (2,2 %), eaux maritimes (0,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Tredarzec en 1330, Trederzaco en 1330, Trederzec en 1407, Tredarzec au XVe siÚcle[27].

    TrĂ©darzec vient de l’ancien breton treb (village) et de tarz (« Ă©clat, fracas, crevasse, Ă©ruption, jaillissement »)[28].

    Histoire

    Antiquité

    Des débris de tuiles et de briques au village du Cosquer témoignent d'une occupation romaine du territoire.

    Moyen Âge

    Saint Autrom (ou Vautrom), abbĂ© d'origine irlandaise, se fixa Ă  TrĂ©darzec au haut Moyen Âge, on ignore quel siĂšcle prĂ©cisĂ©ment[29]. La chapelle Saint-Votrom lui est dĂ©diĂ©e.

    Trédarzec est mentionné comme paroisse dÚs 1330 dans le procÚs en canonisation de saint Yves sous les noms de Trederzacum, Tredarzacum ou Trédarzec.

    La famille de Kerdérien fut une famille noble de Trédarzec[30]

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Les Templiers vécurent au village du Cosquer et les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem y créÚrent une léproserie.

    L'oratoire de Saint-Yves-de-Vérité

    En raison du saccage de la cathĂ©drale Saint-Tugdual de TrĂ©guier en 1793, le culte de Saint-Yves-de-VĂ©ritĂ© se dĂ©plaça dans la commune voisine de TrĂ©darzec, au lieu-dit Pors-Bihan, oĂč se trouvait un petit oratoire, dĂ©diĂ© initialement Ă  saint Sul (un saint inconnu, dont le nom provient sans doute d'un ancien culte solaire), patron de la paroisse.

    « Lorsque l'on s'estimait victime d'une injustice, on allait trouver dans cet oratoire celui que l'on nommait Saint-Yves-de-VĂ©ritĂ© ("Sant-Erwan-ar-Wirionez"), reprĂ©sentĂ©e ce lieu par sa statue. L'objectif Ă©tait de vouer Ă  la mort celui que l'on accusait d'un tort dont on n'avait pu obtenir rĂ©paration. (...) On faisait Saint-Yves-de-VĂ©ritĂ© juge de la querelle., mais il fallait ĂȘtre sur de son bon droit. Si l'accusation Ă©tait fausse, le sort se retournait contre l'accusateur qui sĂ©chait sur pied au bout de neuf mois »[31].

    En 1879, sur ordre des autorités religieuses, le curé de Trédarzec fit abattre l'oratoire, afin de faire cesser ces pratiques impies. Les pierres de l' oratoire furent transportées en 1896 sur l'ßle Illiec et servirent à restaurer les maisons d'Ambroise Thomas, de Charles Lindbergh et de la famille Heidsieck. La statue de Saint-Yves-de-Vérité fut brûlée en 1920 au monastÚre des Augustines de Tréguier.

    Le XIXe siĂšcle

    Ernest Renan dans son ouvrage Souvenirs d'enfance et de jeunesse évoque le village de Trédarzec et le manoir de Kermelle (il s'agit en fait du manoir du Carpont[32]) qui en dépendait à travers le récit d'une histoire d'amour qui finit trÚs tristement.

    Il dĂ©crit aussi le vieux noble qui habitait ce manoir vers le milieu du XIXe siĂšcle : « Un beau vieillard, grand et vigoureux comme un jeune homme (
). Il portait les cheveux longs relevĂ©s par un peigne, et ne le laissait tombe que le dimanche quand il allait communier. Je le vois encore (
), sĂ©rieux, grave, un peu triste, car il Ă©tait presque seul de son espĂšce. Cette petite noblesse de race avait disparu en grande partie ; les autres Ă©taient venus se fixer Ă  la ville depuis longtemps. Toute la contrĂ©e l'adorait. Il avait un banc Ă  part Ă  l'Ă©glise ; chaque dimanche, on l'y voyait assis au premier rang des fidĂšles, avec son ancien costume et ses gants de cĂ©rĂ©monie, qui lui montaient presque jusqu'au coude. Au moment de la communion, il prenait par le bas du chƓur, dĂ©nouait ses cheveux, dĂ©posait ses gants sur une petite crĂ©dence prĂ©parĂ©e pour lui prĂšs du jubĂ©, et traversait le chƓur, seul, sans perdre une ligne de sa haute taille. Personne n'allait communier que quand il Ă©tait de retour Ă  sa place et qu'il avait achevĂ© de remettre ses gantelets. Il Ă©tait trĂšs pauvre, mais il le dissimulait par devoir d'Ă©tat. (
) ».

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Trédarzec porte les noms de 54 soldats et marins morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale ; par exemple François Benech, marin mort lors du naufrage du cuirassé Bouvet le [33]

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Trédarzec porte les noms de 18 personnes mortes pour la France pendant la DeuxiÚme Guerre mondiale ; parmi eux trois résistants : Jean André, déporté le depuis CompiÚgne vers Buchenwald, mort le au camp de concentration de Dora ; Joseph L'Anthoen, déporté d'abord au camp de concentration de Natzweiler-Struthof, mort le au camp de concentration de Buchenwald et Jean Le Peuch, mort au camp de concentration de Bergen-Belsen. Trois marins au moins : Yves Tréveur, premier maßtre à bord du chalutier armé Henri-Guégan, qui sauta sur une mine le dans les bouches de l'Escaut ; Jean Le Rhun, matelot canonnier à bord du cuirassé Bretagne, victime de l'Attaque anglaise de Mers el-Kébir le et Yves Lamezec, quartier-maßtre électricien à bord du chalutier armé Vikings des Forces navales françaises libres coulé le au large de Saïda (Liban) par le sous-marin allemand U-81. Pierre Le Chalony, lieutenant au 155e régiment d'infanterie, fut tué à l'ennemi le à Haudainville (Meuse) lors de la Débùcle[33].

    L'aprĂšs Seconde Guerre mondiale

    Un soldat originaire de Trédarzec est mort pendant la Guerre d'Indochine (Marcel Morvan) et deux pendant la Guerre d'Algérie (E. Callennec et Jean Nicol). Deux autres sont morts pour la France, l'un en 1953 (René Terrien), l'autre en 1954 (René Derval), sans autre précision[33].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1946 1952 Louis Boulc'h[34]
    Yves Le Coz
    1989 1995 Jean-Claude Le Marer[35]
    1995 2008 Jean-Pierre Briant[36] Président de la Communauté de communes de la Presqu'ßle de Lézardrieux
    mars 2008 En cours Yvon Le Séguillon[37] DVG Retraité de la fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    DĂ©mographie


    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[41].

    En 2020, la commune comptait 1 054 habitants[Note 9], en diminution de 3,83 % par rapport Ă  2014 (CĂŽtes-d'Armor : +1,05 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3871 4731 5601 6121 6071 6351 6251 6441 619
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5531 5781 5661 6451 6391 6241 5121 4271 411
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3651 3851 4021 3011 2911 2181 2091 1811 231
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 1911 1289971 0581 0239991 0561 0731 117
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 0961 0601 054------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee Ă  partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise Saint-Pierre.
    • Les jardins de Kerdalo, sur la commune de TrĂ©darzec, ont obtenu le label « Jardin remarquable » en 2005 et ont Ă©tĂ© inscrits Ă  l'inventaire des monuments historiques en 2007.
    • L'Ă©glise Saint-Pierre.
    • La chapelle Saint-Votrom[44].
    • Le moulin Ă  marĂ©e de Ty Nod (ancien moulin seigneurial)[45].
    • Le manoir du Carpont bĂąti au XVe siĂšcle (auquel fait allusion Ernest Renan dans Souvenirs d'enfance et de jeunesse sous le nom de manoir de Kermelle)[46].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    La chapelle Saint-Votrom

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lanleff - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Trédarzec et Lanleff », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lanleff - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Trédarzec et Trémuson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Brieuc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Tréguier », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
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    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    27. infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de TrĂ©darzec ».
    28. Bernard Tanguy : Dictionnaire des noms de communes, trÚves et paroisses des CÎtes-d'Armor; ArMen-Le Chasse-Marée; 1992.
    29. « Vie de saint Autrom ou saint Vautrom, abbé. », sur InfoBretagne.com. (consulté le )
    30. Nobiliaire et Armorial de Bretagne par Pol Potier de Courcy.
    31. Daniel Giraudon, cité par Annick Le Douguet, "Crime et justice en Bretagne", Coop Breizh, 2011, (ISBN 978-2-84346-526-0).
    32. Christel Douard et Jean Kerhervé, Manoirs : Une histoire en Bretagne, Chùteaulin, Locus Solus, , 215 p. (ISBN 978-2-36833-338-9), p. 193.
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    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    44. https://g.co/kgs/v6APb9.
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