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The Shift Project

The Shift Project (abrégé « TSP » ou « le Shift ») est une association française créée en 2010 et un laboratoire d'idées qui s'est donné pour objectif l'atténuation du changement climatique et la réduction de la dépendance de l'économie aux énergies fossiles, particulièrement au pétrole.

The Shift Project
Logo de l'organisation
Logo de The Shift Project

Devise : « Redesigning the Economy to Achieve Carbon Transition »

Situation
RĂ©gion ĂŽle-de-France
Création
Type Association / think-tank
Siège 16-18 rue de Budapest
Paris Drapeau de la France France
Organisation
Membres Alain Grandjean, Gaël Giraud, Hervé Le Treut, Jean-Pascal van Ypersele
Président Jean-Marc Jancovici
Directeur Matthieu Auzanneau

Site web theshiftproject.org

Le nom anglais de l'association peut être traduit en français par « le projet de changement » (ou « le projet de mutation »), la devise étant Redesigning the Economy to Achieve Carbon Transition (« Redéfinir l'économie pour réaliser la transition carbone »).

Présentation, objectifs et fonctionnement

The Shift Project est une association loi de 1901[p 1] reconnue d'intérêt général, créée en à Paris, à l'initiative d'un groupe d'experts, dont Jean-Marc Jancovici, Geneviève Férone-Creuzet et Michel Lepetit[1]. L'objectif de l'association est de répondre à la double contrainte du carbone : changement climatique et raréfaction des ressources énergétiques fossiles. Pour cela, le « Shift » se propose de jouer un rôle de laboratoire d'idées en interface avec les acteurs économiques, politiques, académiques et associatifs. À la création de l'association, le premier directeur est Cédric Ringenbach. Il quitte son poste en 2016 pour créer, trois ans plus tard, l'association La fresque du climat[2] et est remplacé par Matthieu Auzanneau.

Structure et gouvernance

L'association est dirigée par un bureau composé de trois membres (personnes physiques) agréés par son conseil d'administration. Celui-ci est composé d'administrateurs issus pour certains des entreprises membres. Un comité d'experts[p 2] est chargé de s'assurer de la rigueur scientifique des travaux menés par The Shift Project : il est composé d'experts (en physique, climat, économie, histoire, agronomie...) que sont Alain Grandjean, Gaël Giraud, Hervé Le Treut, Jean-Pascal van Ypersele et Jacques Treiner. The Shift Project dispose d'une équipe d'une dizaine de salariés et travaille avec The Shifters (« Les Shifters »), une association autonome[p 2] comprenant des experts bénévoles et des particuliers non spécialistes (4000 membres cotisants, de tous âges, formations et niveaux sociaux, et 500 membres actifs dans les différents projets de l'association).

Objectifs

The Shift Project s'intéresse à la dépendance de l'économie au pétrole sous trois angles[3] : le lien entre croissance économique et croissance de la consommation de pétrole[4], les problèmes liés à la disponibilité du pétrole et du gaz en quantités limitées[5] - [6] et le changement climatique, qui rend nécessaire « un rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre d'environ 5 % par an en moyenne dès aujourd'hui ». Pour l'organisme, même si certains usages sont possibles, l'utilité du PIB est finalement limitée[p 3], notamment parce qu'il ne prend pas en compte les ressources naturelles (et ne permet pas de rendre compte de leur caractère fini) et la génération d'externalités (comme les émissions de gaz à effet de serre).

Financement

The Shift Project est financĂ© par un système de mĂ©cĂ©nat provenant des entreprises membres[p 1]. Les membres en sont de grandes entreprises, comme Spie, la SNCF, EDF, Bouygues, Vicat, Rockwool, Vinci, L'OrĂ©al ou Kingspan. L'organisme compte aussi des mĂ©cènes comme Thalys, Keolis, Asfa, l'Ademe ou Enedis[p 4]. Son budget opĂ©rationnel pour 2017 se monte Ă  près de 600 000 €[p 5]. Ce budget est en croissance et atteint en 2019 environ 1 100 000 €[p 6]. En 2020, il lève plus de 500 000 € pour publier un Plan de transformation de l'Ă©conomie française (PTEF), grâce Ă  un financement participatif, et reçoit le soutien de plusieurs PME[7].

Les Shifters

The Shifters (« Les Shifters ») constituent une association loi de 1901 indépendante de The Shift Project , bien que les liens avec The Shift Project soient très étroits. Elle contribue en effet à appuyer The Shift Project dans ses travaux et à diffuser ses informations.

En 2022, les Shifters comptent environ 10 000 sympathisants. Ils rĂ©alisent notamment du lobbying auprès des collectivitĂ©s et des Ă©lus, surveillent les textes de loi des parlementaires, envoient aux candidats Ă  la prĂ©sidentielle de 2022 le Plan de transformation de l'Ă©conomie française (PTEF) et analysent leurs programmes, posent des questions aux candidats lors des Ă©missions de grande Ă©coute, mènent des actions plus discrètes comme soutenir l'arrĂŞt du chauffage Ă  gaz dans la rĂ©glementation de construction des bâtiments ou la re-crĂ©ation du Haut-commissaire au plan[8].

Projets, événements, activités

Depuis 2012, The Shift Project organise chaque année une rencontre de deux jours, baptisée The Shift Forum, ayant pour objectif l'échange et le débat entre dirigeants de grands groupes industriels et financiers, académiciens et experts dans le domaine de l'énergie, du climat et de l'économie. Le Shift organise aussi de nombreux événements publics[9], parfois en collaboration avec d'autres organisations comme le Business and Climate Summit 2015[10] ou le World Efficiency 2015[11].

L'association a participé au comité d'experts du Débat national sur la transition énergétique[12] - [13], et en 2018 son président Jean-Marc Jancovici est nommé membre du Haut Conseil pour l'action climatique auprès du Premier ministre[14].

Principales publications

L'association fonctionne notamment sur la base de groupes de travail, qui rassemblent durant plusieurs mois ou années des experts (du monde académique, des ONG, des entreprises, d'institutions publiques…) sur un sujet précis. Ces groupes de travail publient ensuite un rapport, qui est présenté aux acteurs concernés et disponible publiquement.

Parmi les sujets traités au sein de ses projets ou groupes de travail se trouve la rénovation énergétique des bâtiments[15], les liens entre PIB et énergie[16] - [17] - [18], les indicateurs alternatifs au PIB[19], la qualité scientifique des scénarios énergétiques[20], la mobilité soutenable[21] ou encore le prix du carbone[22] - [23].

À partir de 2013, l'association rassemble des experts sur la rénovation énergétique du bâtiment puis fait des propositions, dont celle du « passeport efficacité énergétique »[24] qui est repris dans la Loi de transition énergétique et par des acteurs du bâtiment[25] en plus de l'expérimentation que mène le Shift à travers l'association Expérience P2E[26]. Les résultats de cette expérimentation ont conclu que le P2E « aide ceux qui ont une idée de travaux à passer au projet, et en particulier incite à embarquer la performance énergétique dans ce projet (augmentation des performances, approche globale…) »[27], même s'il « ne suffit pas pour entraîner le passage à l’acte » à lui seul car « il reste à combler le montage financier et la mise en relation avec les professionnels »[27] : le Passeport ne suffit pas à l'accompagnement des ménages, il en est une partie.

En 2016, l'ingénieur Francisco Luciano rassemble à la demande de TSP un groupe d'experts, en collaboration notamment avec la SNCF, Vinci Autoroutes, EDF, le CVTC, des start-ups du covoiturage, le haut-fonctionnaire Olivier Paul-Dubois-Taine et des chercheurs. Le Shift publie en le rapport Décarboner les zones de moyenne densité - Moins de carbone plus de lien[28], qui vaut au Shift et au directeur du groupe de travail Francisco Luciano d'être invités par le ministère des Transports à participer aux Assises de la mobilité[29] et à divers groupes de travail gouvernementaux. Le rapport, qui se veut argumenté et chiffré, conclut qu'il est possible de largement décarboner la mobilité dans les zones périurbaines grâce à un système joignant vélo, covoiturage et transports publics rapides. Le groupe de travail étudie aussi la livraison des achats et le télétravail.

Le laboratoire d'idées publie le un rapport sur l'Impact environnemental de l'économie numérique et propose un principe de sobriété numérique[30].

Loi Climat-RĂ©silience - 34 propositions d'amendements

Les Shifters, association constituée de bénévoles soutenant The Shift Project, a proposé, en , 34 amendements aux députés, dans le cadre de la loi Climat-Résilience, sur l'ensemble des thématiques : consommer, produire et travailler, se déplacer, se loger et se nourrir. Une trentaine ont été déposés par des députés à la première lecture de la commission spéciale[31]. Plus d’une trentaine[32] ont été déposés lors de la séance publique.

Plan de transformation de l'économie française

Lancé en mars 2020 par le Shift Project, le Plan de transformation de l'économie française (PTEF) est une planification écologique qui détaille des solutions pragmatiques pour transformer l'économie française, en la rendant moins carbonée, plus résiliente, et créatrice d'emploi.

La méthodologie choisie a pour but d’assurer une cohérence d'ensemble entre la quinzaine de secteurs traités (industrie lourde et chimique, agriculture et alimentation, transport de marchandises, mobilité quotidienne, mobilité longue distance, industrie automobile, logement, administration publique, santé, culture et villes et territoires) et les chantiers transversaux (emploi, finances et énergie et matières premières). Ce plan se donne trois lignes directrices : réduire drastiquement la consommation d'énergie fossile, limiter la consommation de matériaux[p 7] - [33] et limiter la consommation de biomasse. Il reprend les principes de sobriété[34] et d'efficacité énergétique (connus sous le vocable de négawatt), auxquels il adjoint l'électrification.

Engagement politique pour le climat : le « Manifeste pour décarboner l'Europe » de 2017

Appel Ă  l'action du monde Ă©conomique

Le , le think tank rend publics les signataires d'un texte, le « Manifeste pour décarboner l'Europe ». Ce texte est décrit comme un signal d'alarme 15 mois après la signature de l’Accord de Paris[35]. Il commence par « Nous, signataires du présent manifeste pour décarboner l’Europe, appelons les États européens à lancer dès maintenant les politiques capables d’aboutir en 2050 à des émissions de gaz à effet de serre aussi proches que possible de zéro ! »[36] et vise à « garantir la paix »[37].

L'appel est soutenu par plus de 3 000 citoyens dont 80 patrons et une quarantaine de scientifiques et de personnalitĂ©s politiques. La presse mentionne surtout la signature des dirigeants Ă©conomiques, comme le magazine Challenges : « Climat : Pourquoi les patrons s’unissent (enfin) pour dĂ©carboner l’Europe »[38], mais pose Ă©galement la question de l'indĂ©pendance du Shift Project soupçonnĂ© d'ĂŞtre une simple façade chargĂ©e de porter les propositions des entreprises qui le financent[39].

Le think tank appelle ensuite les candidats à la présidentielle à s'engager en faveur d'un plan européen de lutte contre le dérèglement climatique à la hauteur de l'accord de Paris[40].

Neuf propositions

The Shift Projet a publié « 9 propositions pour changer d'ère », qui concernent autant de chantiers qu'il faut selon lui impérativement conduire pour être à la hauteur de l'Accord de Paris. L'AFP précise que ces propositions sont mises sur la table « en parallèle du Manifeste » et sont « non endossées par les signataires »[41]. Le quotidien économique Les Échos met en avant le « plan pour une Europe “zéro carbone” »[42].

Ces propositions concernent sept secteurs : l'électricité ; le transport ; le bâtiment ; l'industrie ; l'alimentation, l'agriculture et la forêt. Leur détail est publié en sous le titre Décarbonons ![p 8].

Impact environnemental du numérique

Constatant que le numérique émet en 2018 près de 4 % des gaz à effet de serre du monde avec une croissance de la consommation énergétique de 9 % par an, The Shift Project alerte sur la prise en compte nécessaire de cet impact dans les objectifs de transition énergétique. Il propose de réinventer nos usages du numérique pour qu’ils soient compatibles avec les contraintes climatiques[p 9].

En , The Shift Project publie le rapport Lean ICT – Pour une sobriété numérique, qui recommande de rendre la transition numérique compatible avec les impératifs climatiques et les contraintes sur les ressources naturelles et énergétiques[p 10].

Un nouveau rapport sur le streaming, Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne – Un cas pratique pour la sobriété numérique, est publié en [p 11]. The Shift Project y pointe notamment l'incompatibilité avec une logique de sobriété numérique des indicateurs actuels de performance fondés sur la quantité de contenu visionné. Néanmoins, l'étude initiale de The Shift Project sur l'impact de la vidéo en ligne est sujette à caution car elle aurait exagéré entre 27 et 57 fois le bilan effectif de la consommation de vidéo en streaming[43]. The Shift Project reconnaît avoir commis une erreur, lors d'une communication médiatique, sans conséquence sur les résultats publiés dans ses rapports[p 12].

Le , The Shift Project publie un troisième rapport sur l'impact environnemental du numérique, Déployer la sobriété numérique[p 13].

Lobbying

The Shift Project France est inscrit depuis 2014 au registre de transparence des reprĂ©sentants d'intĂ©rĂŞts auprès de la Commission europĂ©enne. Il dĂ©clare en 2019 pour cette activitĂ© des dĂ©penses d'un montant infĂ©rieur Ă  25 000 euros[44].

En France, l'association dĂ©clare en 2022 Ă  la Haute AutoritĂ© pour la transparence de la vie publique des dĂ©penses liĂ©es aux actions de reprĂ©sentation d'intĂ©rĂŞts comprises entre 10 000 et 25 000 euros[45].

Critiques

Le philosophe Luc Ferry distingue quatre types d'écologisme, représentés par les tenants de la collapsologie, les partisans de la décroissance, les « réformistes […] favorables à l’économie de marché et à la croissance » et les « écomodernistes ». La préférence du philosophe va à ces derniers. Il classe The Shift Project parmi les partisans de la décroissance, en reconnaissant toutefois que leur absence d'animosité voire leur compréhension vis-à-vis de l'énergie nucléaire leur confère un certain caractère réformiste[46].

Proximité avec le monde de l'entreprise

Dans un article publié en , Nicolas Cori, journaliste de Les Jours, qualifie The Shift Project de « pantoufle de vert des entreprises ». Selon lui, The Shift Project constituerait une plateforme au service de l'écoblanchiment d'entreprises comme EDF, Bouygues, la SNCF ou encore Vinci. Nicolas Cori estime que le think tank serait « bien utile pour les entreprises qui le financent », notamment parce qu'il permettrait, prétendument, aux dirigeants d'entreprise de présenter leur stratégie concernant les enjeux climatiques « sans être trop bousculés ». Le journaliste au Jours dénonce notamment le fait que les intervenants aux événements organisés par le think tank recevraient, en amont, les questions devant être posées, ce qui leur permettrait de préparer leurs éléments de langage. Dans le même esprit, il dénonce également une supposée bienveillance entre les organisateurs de ces rencontres, parmi lesquels figurent, en tête, Jean-Marc Jancovici, et les dirigeants qui y participent[47].

Interrogé par Nicolas Cori dans le cadre de la rédaction de cet article, Jean-Marc Jancovici nuance les critiques qui lui sont faites. Il assume pleinement sa proximité avec le monde de l'entreprise et souligne que seules deux attitudes sont possibles pour changer les choses, « gueuler de l'extérieur ou de l'intérieur ». Constatant que le premier créneau est déjà « bien encombré », il explique avoir choisi d'opter pour une approche de l'intérieur[47] - [48].

Notes et références

The Shift Project

  1. « Statuts de l'association The Shift Project » [PDF], sur The Shift Project (consulté le ).
  2. « Le think-tank de la transition carbone », plaquette de présentation [PDF], sur The Shift Project (consulté le ).
  3. Pierre Lachaize et Julien Morel, « Les usages du PIB » [PDF], sur The Shift Project, (présentation en ligne, consulté le ).
  4. « Notre gouvernance - The Shift Project, think tank de la transition carbone », sur The Shift Project (consulté le )
  5. « Rapport du Commissaire aux Comptes pour l'année 2017 » [PDF], sur The Shift Project, (consulté le ).
  6. « Rapport du Commissaire aux Comptes pour l'année 2019 » [PDF], sur The Shift Project, (consulté le ).
  7. Plan de transformation de l'économie française (PTEF), p. 49-61.
  8. The Shift Project, Zeynep Kahraman, André-Jean Guérin, Jean-Marc Jancovici, Décarbonons ! 9 propositions pour que l'Europe change d'ère, Paris, éditions Odile Jacob, .
  9. Le numérique, The Shift Project, « Nos thématiques ».
  10. Lean ICT - Pour une sobriété numérique : Rapport du groupe de travail dirigé par Hugues Ferrebœuf, The Shift Project, , 88 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  11. Maxime Efoui-Hess, The Shift Project, Climat : l’insoutenable usage de la vidéo en ligne : Un cas pratique pour la sobriété numérique, , 36 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  12. « Le Shift Project a-t-il vraiment surestimé l’empreinte carbone de la vidéo ? », sur The Shift Project, (consulté le ).
  13. The Shift Project, Déployer la sobriété numérique (présentation en ligne).

Autres références

  1. « Michel Lepetit - Intervenant Groupe BPCE », sur Lescolloques.bpce.fr, Groupe BPCE (consulté le ).
  2. Aude Raux, « La Fresque du Climat : jouer pour comprendre », Kaizen magazine, no 50,‎ , p. 62-66.
  3. Vittorio de Filippis, « Matthieu Auzanneau : « Le pétrole a été le lait maternel de Wall Street » », Libération,‎ (lire en ligne).
  4. Isabelle Hennebelle, « On ne sait pas faire de croissance sans une énergie abondante », L'Express,‎ (lire en ligne).
  5. Jean-Denis Renard, « Énergie : la fin du pétrole est en vue », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  6. « L'Europe a dix ans pour se préparer au pic de pétrole », sur Reporterre, .
  7. « Financement participatif du Plan de transformation de l'économie française (PTEF) de The Shift Project », Lumo (consulté le ).
  8. « Jean-Marc Jancovici, un décroissant pronucléaire en campagne », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Vincent Rondreux, « Bulle carbone et “stranded assets”: une affaire à 28 000 milliards de dollars… », Sortirdupétrole.com,‎ (lire en ligne).
  10. Antonin Amado, Béatrice Héraud, Concepcion Alvarez, « Climate business summit : un consensus et des promesses à tenir », sur Novethic.fr, .
  11. Dorothée Laperche, « “Le salon World Efficiency va impulser une culture du changement” », Actu-Environnement.com,‎ (lire en ligne).
  12. Véronique Pappe, « Le think-tank "The Shift Project" soumet son rapport sur la rénovation thermique du bâtiment au secrétariat du DNTE », Construction21,‎ (lire en ligne).
  13. « L’évaluation économique des scénarios énergétiques », sur developpement-durable.gouv.fr, .
  14. Pierre Le Hir, Audrey Garric et Cédric Pietralunga, « Climat : un Haut Conseil pour orienter le gouvernement », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Frédérique Vergne, « Passeport pour l’efficacité énergétique : « The Shift Project » passe à l’action », Le Moniteur,‎ (lire en ligne).
  16. Matthieu Auzanneau, « Gaël Giraud, du CNRS : « Le vrai rôle de l’énergie va obliger les économistes à changer de dogme » », blog, sur petrole.blog.lemonde.fr, Le Monde, .
  17. Gaël Giraud, « Pourquoi la transition énergétique est nécessaire pour l'économie (Tribune) », Challenges,‎ (lire en ligne).
  18. « How Dependent is Growth from Primary Energy? The Dependency ratio of Energy in 33 Countries (1970-2011) », sur http://econpapers.repec.org/ (consulté le ).
  19. Dominique Pialot, « Comment se passer d'un indicateur comme le PIB ? », La Tribune,‎ (lire en ligne).
  20. (en) « “Interdisciplinary energy prospective: towards a common toolbox for scenario assessment and design?” », sur science-and-energy.org, (consulté le ).
  21. Vincent Rondreux, « Quelle transition pour la mobilité au quotidien ? », Sortirdupétrole.com,‎ (lire en ligne).
  22. Annick Masounave, « Le juste prix », L'AGEFI,‎ (lire en ligne).
  23. Marie Théobald, « Prix du carbone : quels sont les enjeux ? », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  24. Frédérique Vergne, « Passeport pour l’efficacité énergétique : « The Shift Project » passe à l’action », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Direct Energie va expérimenter le Passeport de rénovation énergétique », Batiactu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Frédérique Vergne, « La nouvelle association Expérience P2E expérimente le passeport efficacité énergétique », Le Moniteur,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Le « passeport » : chaînon manquant de la rénovation énergétique en maison individuelle ? – Gaëtan Brisepierre Sociologue » (consulté le ).
  28. « Le défi de la desserte des zones périurbaines dans un monde décarboné », sur Mobilicités (consulté le ).
  29. « Assises de la mobilité : le covoiturage et le vélo permettraien », sur novethic.fr (consulté le ).
  30. Benoît Georges, « La transition numérique, un risque écologique », Les Échos, .
  31. 22 listés, Assemblée nationale (consulté le ).
  32. « 36 listés », sur Assemblée nationale, (consulté le ).
  33. « En trois décennies, nous allons consommer 60 % des ressources de cuivre connues », Les Échos, (consulté le ).
  34. « Pas de neutralité carbone sans sobriété, démontre The Shift Project », sur L'Usine nouvelle, .
  35. Irène Inchauspé, « Ces patrons qui veulent décarboner l'Europe », L'Opinion,‎ (lire en ligne).
  36. Isabelle Chaperon, « Les patrons français offensifs sur le climat », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  37. « L'appel de patrons pour "décarboner l'Europe" », Le Figaro avec AFP,‎ (lire en ligne).
  38. Thuy-Diep Nguyen, « Climat: Pourquoi les patrons s’unissent (enfin) pour décarboner l’Europe », Challenges,‎ (lire en ligne).
  39. « The Shift Project, la pantoufle de vert des entreprises », sur Les Jours, (consulté le ).
  40. « Lettre d'Emmanuel Macron à The Shift Project », sur decarbonizeurope.org, (consulté le ).
  41. « Des patrons lancent un signal d'alarme pour “décarboner l’Europe” », AFP,‎ (lire en ligne).
  42. Benoit Georges, « Un plan pour une Europe “zéro carbone” », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  43. Pauline Fricot, « Le streaming sur Netflix : une empreinte carbone allégée ? », sur Libération, (consulté le ).
  44. (en) « Registre des représentants d'intérêts », sur Commission européenne (consulté le ).
  45. « Fiche The Shift Project », sur Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (consulté le ).
  46. « Les quatre écologies », sur infoimmo.ch
  47. Nicolas Cori, « The Shift Project, la pantoufle de vert des entreprises », sur Les Jours, (consulté le )
  48. « Qu’est-ce que le Shift Project ? » [audio], sur Reporterre, .

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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